This School In Mangaluru Is Giving Free Education To Underprivileged Children Since 1943 And Is Still Going Strong

A school in Mangaluru is imparting free education to students, especially daily wage labourers with an aim to provide quality education to the bright and talented unprivileged children. Navbharat Night High School has now turned 76-years-old but the people teaching here from last several decades have not lost their enthusiasm for doing this noble job.

ANI

This school, which is located at Shri Gayatri Devi Temple Road, not only teaches the poor children but also women who are housewives as well as auto rickshaw drivers since 1943.

Mars Films veut se recentrer sur la production

La société de production et distribution Mars Films, placée en redressement judiciaire, à la suite d’une cessation de paiement, annonce vouloir se recentrer sur la production

La société de distribution et production Mars Films se recentre sur la production et “calibrer” son activité de distribution. La société a notamment produit par le passé La Famille Bélier d’Eric Lartigau, et Demain tout commence de Hugo Gélin.

Dans un communiqué, diffusé par nos confrères du Film Français, Mars Films en dit un peu plus sur son avenir : “Dans un marché de la distribution bouleversé par la fragilité de la distribution en salles et l’effondrement du marché de la vidéo, Mars Films a décidé d’accélérer son virage opérationnel pour se concentrer sur son activité de producteur de contenus cinéma et télévisuel tout en calibrant son outil de distribution autour d’une dizaine de films maximum”. Elle indique par ailleurs que “le redressement judiciaire de Mars Films, qui est fermement soutenue par la profession et objet déjà de multiples marques d’intérêt, permettra de restructurer son endettement, de recomposer son capital, de poursuivre son virage stratégique dans la production, tout en réorganisant la distribution autour d’un nombre de films en adéquation avec le marché”.

Pour mémoire, le Tribunal de Commerce de Paris a prononcé début août l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire concernant la société. Cette dernière était en cessation de paiement depuis le 8 juillet 2019. Une période d’observation est fixée jusqu’au 1er février 2020.

Ancienne filiale de distribution de BAC Films, Mars Films fut acquise à 80 % par Studiocanal en 2000, puis rachetée entièrement en 2002. Pour l’heure, Mars Films affiche toujours cinq films dans son line up de sorties d’ici la fin de l’année, dont Un jour de pluie à New York de Woody Allen, prévu le 18 septembre; J’irai où tu iras de Géraldine Nakache, attendu le 2 octobre; ou Les traducteurs de Régis Roinsard, dont la sortie est calée au 18 décembre. La société entamera l’année 2020 avec Qu’un sang impur…, premier long métrage d’Abdel Raouf Dafri (scénariste entre autre d’Un Prophète et le dyptique Mesrine), prévu le 8 janvier. Quant à la comédie Le Lion emmenée par Dany Boon, sa sortie est fixée au 5 février.

Un jour de pluie à New York de Woody Allen, prochain long métrage distribué par Mars Films : 

Un jour de pluie à New York Bande-annonce VO

 

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Manor point ‘opens our eyes’, says Felipe Nasr

Pascal Wehrlein’s remarkable performance in Sunday’s Austrian Grand Prix, in which the Manor driver finished 10th, now means that Sauber is the only team which remains without any points in the current championship.

Starting at the back of the pack, Sauber’s Felipe Nasr actually put in a great performance, making his way into the top 10 and consistently racing there by the half-way mark before falling back after a change of tyres.

“Most people stopped under the Safety Car and I had to stay out,” Nasr explianed.

” If I fitted the Super Soft [under the Safety Car] there was not enough tyre left to go to the end.

“It was a shame, if the Safety Car came maybe 10 or 15 laps later then it would have been ideal for us to fight for a point.”

The Brazilian admitted the result was the best he could have achieved, but Manor’s performance was not lost on him.

“For sure it’s something that opens our eyes, let’s say,” said Nasr when asked about Wehrlein’s point.

“We definitely need to raise the bar and for that we need the updates for the car.  I’m pretty sure they [Manor] have been improving their car race by race steadily and it’s time for us to do it – I’m sure points are not too far [away] for us.”

Austrian Grand Prix – F1i Driver ratings

REPORT: Hamilton snatches dramatic victory on final lap from Rosberg

Breakfast with … Alexander Rossi

F1i Classic: Penske’s emotional Austrian GP win

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Deauville 2019 : Michel Hazanavicius, Roman Polanski, Catherine Deneuve… ont fêté les 25 ans de la Compétition

Le Festival de Deauville a fêté le 25ème anniversaire de sa Compétition en réunissant des anciens présidents et jurés, dont Michel Hazanavicius, Emmanuelle Béart, Roman Polanski ou Valérie Donzelli.

1. Les anciens présidents et jurés en mouvement
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Jean-Paul Rappeneau, Valérie Donzelli, Claude Lelouch (président en 2004), Jean-Pierre Jeunet (président en 2016), Régis Wargnier (président en 1999), Michel Hazanavicius, Roman Polanski, Emmanuelle Béart et Pierre Lescure (président en 2002).
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© Denis Guignebourg / Bestimage

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Haas gives Leclerc five FP1 outings

Haas F1 team has announced that development driver Charles Leclerc will make five free practice appearances across the second half of the 2016 Formula One season, starting at the British Grand Prix.

The Monegasque recently completed the mandatory 300 kilometres to secured a practice only superlicence, after piloting a 2014-spec F14 T at Fiorano.

Leclerc will replace Esteban Gutierrez at Silverstone before reappearing in FP1 sessions in Germany, Hungary, Malaysia, and Abu Dhabi.

“This is a fantastic opportunity to get seat time in a Formula One car and I can’t thank Haas F1 Team and Esteban enough,” the 18-year-old said. “I’m honored by the faith Haas F1 Team and Ferrari have in me. This is an important step toward my ultimate goal of becoming a Formula One driver.”

Having finished as the highest-placed rookie in the 2015 FIA Formula 3 European championship, Leclerc was added to the revamped Ferrari Driver Academy ahead of the current season.

Besides his F1 commitment, he is also contesting this year’s GP3 Series with reigning champions ART Grand Prix, and currently leading the Drivers’ standings after winning on debut in Barcelona.

Commenting upon the announcement, Haas team principal Guenther Steiner added: “Charles Leclerc is highly regarded by Ferrari and his record speaks for itself.

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“We’re happy to provide this opportunity and help develop the next generation of Formula One drivers. Credit also goes to Esteban for sharing his racecar and serving as a mentor to Charles.”

Technical analysis – Baku

Scene at the Grand Prix of Europe

Grand Prix of Europe – Driver ratings

Breakfast with … Derek Daly

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‘India On Its Way To Moon,’ International Media Hails ISRO For Chandrayaan-2 Launch

Since the Indian Space Research Organisation (ISRO) launched Chandrayaan-2 into Earth’s orbit yesterday, Indians are over the moon. While ISRO has grown into one of the most trustworthy and affordable space launch destination across the world, the Chandrayaan-2 feat in particular has added to credibility of the organisation.

ISRO

The international media also hailed the effort of the Indian space agency and it has put India in the league of countries with most advanced space technology.Click Here: Geelong Cats Guernsey

Trois jours et une vie : “Le secret est un sujet de cinéma magnifique”

Nicolas Boukhrief adapte Pierre Lemaitre, avec “Trois jours et une vie”, thriller implacable sur le poids du secret, ancré dans les Ardennes belges, et porté entre autres par Sandrine Bonnaire, Pablo Pauly et Charles Berling. Rencontre.

AlloCiné : L’un des aspects les plus étonnants de Trois jours et une vie est que l’on se surprend à vouloir protéger un coupable… On a peur pour lui, peur qu’il soit découvert !

Nicolas Boukhrief, réalisateur : C’est une des choses qui m’a vraiment séduite quand j’ai lu le scénario. C’était l’idée de ce personnage de coupable, pour lequel on allait avoir de l’empathie. Et qu’on allait se retrouver dans cette étrange sensation en tant que spectateur qui est d’être partie prenante de quelqu’un qui a fait un mauvais choix.

Comme c’est un enfant, ça nous ramène forcément à notre propre enfance. C’est un parti pris de narration qu’ont fait Pierre Lemaitre et Perrine Margaine, sa coscénariste. J’ai trouvé ce parti pris formidable car c’est assez rare. Ca pose presque un problème de morale, et le cinéma sert à ça, interroger la morale. Donc se retrouver en empathie avec cet enfant qui a pris une mauvaise route, et qui est donc coupable de quelque chose, tout en souhaitant qu’il ne se fasse pas attraper… Je trouvais ça très singulier.

Le cinéma sert à interroger la morale

Dans Psychose d’Alfred Hitchcock, il y a un moment incroyable, où –je vais spoiler, donc il vaut mieux éviter de lire si vous ne l’avez pas vu. Norman Bates, le psychopathe du film, a fait une victime, la met dans le coffre de sa voiture, et pousse sa voiture dans un marécage. A un moment donné, la voiture qui est en train de couler s’arrête, et ne coule pas. Il y a un petit moment de suspension, où nous spectateurs on se dit ‘mon dieu, mais cette voiture, il faut qu’elle coule, sinon il va se faire attraper’. Qui va se faire attraper ? Un serial killer ! Hitchcock avait réussi pendant ce petit moment à créer un suspense et une émotion proche du coupable. Tout Trois jours et une vie m’a paru être comme ça. C’est à dire que c’est vraiment l’histoire d’un coupable aimable, et ça j’ai trouvé ça délicieux à travailler. 

Pouvez-vous nous parler de votre collaboration avec Pierre Lemaitre justement, le co-scénariste du film et prix Goncourt avec Au-revoir là haut, son précédent livre à avoir été adapté au cinéma ? 

Pierre Lemaitre m’a contacté en me disant : ‘j’aime beaucoup ce que vous faites, j’aimerais vous confier le scénario que j’ai fait de mon propre roman’. Ce qui m’a évidemment beaucoup touché vu le talent du bonhomme. J’ai lu ce scénario que j’ai trouvé incroyable. J’ai trouvé que c’était une histoire passionnante. Je n’avais pas lu le roman. J’ai lu le roman juste après.

Je me suis dit que je ne pouvais pas refuser un scénario pareil. Si je refuse ce scénario, il faut que j’arrête de lire les scénarios qu’on me propose ! Parce que jusque là, j’avais toujours tout refusé. Mais là si je ne fais pas cette histoire, qu’est ce que je voudrais faire comme scénario ?! Ca voudrait dire que je suis condamné à écrire tous mes films ! Donc une fois que j’avais accepté ce scénario, on a fait plusieurs réunions avec Perrine Margaine et Pierre Lemaitre, où je leur disais : ‘j’adore ce scénario mais il y a cette séquence… ce personnage…’. J’ai donné quelques desiderata que je pouvais avoir pour m’approprier complètement le matériau, et à chaque fois je suis tombé sur des interlocuteurs très ouverts, créatifs, donc là a commencé une phase d’écriture, où on a adapté le scénario. Mais les grandes lignes de force étaient déjà quasiment toutes là.

Je ne pouvais pas refuser un scénario pareil !

Et puis à partir de là, je me suis dit : ‘bon maintenant, je fais quoi ?’ Je prends le scénario et on part en préparation tournage ? Mais ce n’est pas une histoire que j’ai inventé moi, c’est Pierre Lemaitre. Pourquoi je ne continuerais pas à collaborer avec eux le plus longtemps possible ? Je ne risque rien à collaborer plus longtemps. Donc il y a eu deux étapes supplémentaires qui ont été passionnantes, à partir du moment où on a trouvé le village dans les Ardennes belges où j’ai décidé de tourner le film : le village était tellement beau et proche de l’histoire. Comment adapter le scénario au décor ? Parce qu’on écrit un scénario idéal, et quand on découvre le décor, tout n’est pas situé comme on l’avait imaginé. On est allé passer une semaine dans ce village pour adapter le scénario à ce village.

Par exemple, il y a un train qui passe au milieu de la ville, c’est une chose qui n’était pas dans le scénario, mais qui était dans ce village, donc dans quelle scène peut on faire ça ? Qu’est ce qu’on peut modifier ? Enfin est arrivée l’étape du casting, et là de la même façon, je me suis dit, ce n’est pas mon histoire, ce serait quand même dommage que j’impose à Pierre Lemaitre des visages à ces personnages qui ne conviennent pas. Donc je lui ai dit : ‘pourquoi on ne travaillerait pas sur le casting ensemble ?’ En général, c’est un travail qu’on fait avec la production. Et là je me suis dit : pourquoi on ne serait pas trois ? La production, les auteurs et moi-meme ? Et donc je disais à Pierre : ‘pour tel personnage, je pense à tel acteur’. ‘- Ah non, je ne le vois pas du tout comme ça’. ‘- Moi je pensais à lui’. ‘- Ah non je ne le vois pas comme ça’… Et donc on a commencé à trouver les noms où l’on se retrouve.

Beaucoup de noms se sont imposés tout de suite, comme celui de Sandrine Bonnaire

C’était le début d’un casting encore plus proche du public puisque ce n’est uniquement le fantasme ou la volonté d’un seul metteur ou d’une production qui prend un acteur parce qu’il est « bankable ». Là c’était vraiment la création d’un monde entre celui de l’auteur et celui du metteur en scène. Beaucoup de noms se sont imposés tout de suite, comme Sandrine Bonnaire. Premier nom, premier choix. Pablo Pauly, c’était la même chose. Mais je tenais à lui soumettre les visages pour ne pas faire injure à son imaginaire. 

Et puis un jour, il m’a dit qu’il aimerait bien passer dans le film. Je lui ai dit que j’avais pensé à lui pour jouer le rôle du prêtre qui est un tout petit rôle. Il me dit : J’avais pensé au passage du procureur. Il était ravi et il s’est rendu compte que c’était un vrai rôle, une vraie scène, un vrai texte. Il m’a dit : ‘si ça ne va pas, tu changes, tu changes !’ ‘- Non, non, tu t’es engagé, tu le fais !’ ‘- On va faire des essais quand même ?’ ‘- Non, non je ne fais jamais d’essais avec aucun comédien, donc je ne ferai pas d’essais avec toi non plus. Je suis sûr que tu peux très bien le faire’.

Pierre Lemaitre m’a avoué après la scène qu’il a excellemment bien tourné et qui a quand même scotché pas mal d’acteurs qui étaient présents sur place, qu’il n’avait pas dormi de la nuit ! Etre acteur l’avait terriblement angoissé. Il a pris ça très au sérieux comme tout ce qu’il fait dans la vie. Et puis après, très naturellement, comme je le fais avec tous les scénaristes avec qui je travaille, je leur ai montré le montage, et nous voilà maintenant pas loin de la sortie et toujours aussi proches dans cette adaptation.  

Savez-vous si, pour cette histoire, Pierre Lemaitre s’est inspiré de faits réels ?

Je pense que Pierre travaille complètement par intuition. La base de l’histoire, c’était de travailler sur l’idée d’un coupable qui n’est jugé par personne. Que fait un coupable s’il n’est jamais attrapé et qu’il n’est pas jugé ? Qu’est-ce qu’il se passe ? Comment vivre avec un secret ? Je crois que c’était ça la première question de Pierre Lemaitre, et c’est vrai que du coup, en tant que metteur en scène, c’est un cadeau, parce que le secret est un sujet de cinéma magnifique. Faire un film sur un secret, ça vous créé l’ambiance. Pour des acteurs, travailler un rôle sur la base du secret, c’est forcément hyper intéressant. Ca créé tout de suite un background formidable aux personnages. 

Faire un film sur un secret, ça vous créé l’ambiance

La question du poids du secret est forte car elle peut renvoyer à plein d’autres choses. Plus largement, cela pose la question : comment vit-on lorsqu’on a quelque chose à cacher ?

Alors ça s’est étonnant parce que je me suis tellement focalisé sur la façon d’adapter cette histoire, la raconter la mieux possible, que je ne me suis posé aucune question sur la résonance thématique du film auprès du public. Et ce qu’il y a de très surprenant, c’est que par exemple hier un spectacteur est venu me voir, en me disant : ‘ce film m’a bouvelversé, parce qu’il m’a ramené à mon secret à moi : j’ai mis 15 ans à avouer mon homosexualité à mes parents’. Ce qui n’a strictement rien à voir avec ce film ! Mais le fait de filmer un enfant porteur d’un secret, c’est une chose que je n’imaginais pas ramenée à leur propre existence de vivre avec un secret. Bravo Pierre Lemaitre ! 

Un mot au sujet de l’aimbiance du film. On peut y voir un côté Twin Peaks à la française, notamment avec cette forêt…

Ce n’était pas du tout une référence, mais c’est marrant parce que quelques personnes m’ont cité Twin Peaks. Mais je n’y ai pas du tout pensé, d’abord parce que j’ai trop d’admiration pour Lynch pour m’inspirer de lui. Et Twin Peaks est pour moi un film totalement ésotérique. Or, là, nous sommes beaucoup plus dans une ambiance à la Simenon. Beaucoup plus dans une ambiance de ce cinéma français des années 40 – 50. Une vraie tradition du cinéma français, du type Le Corbeau de Cluzot, des films d’Henri Decoin, de Duvivier… Des films très ancrés dans la province. Avec une communauté de caractère très puissante, très fort. Et cette communauté est bouleversée, fracassée, remise en question par un drame.

C’est une vraie tendance du cinéma français, qui était très puissante. Par exemple, le cinéma de Chabrol. Le film Garde à vue de Claude Miller, c’est la même chose. Je me suis dit : quelle chance à mon tour de pouvoir honorer ce genre. C’est un genre qui s’est un peu perdu. Je le dis souvent mais c’est très marrant, parce que l’excellent Parasite, beaucoup de gens disent : on dirait du Chabrol. C’est formidable qu’on pense à Chabrol, et il se revendique de Chabrol. Mais ce serait dommage qu’en France, on ne continue pas à cultiver ce pan entier du cinéma français. 

La bande-annonce de Trois jours et une vie à l’affiche ce mercredi :

Trois jours et une vie Bande-annonce VF

Propos recueillis au Festival du film francophone d’Angoulême 2019 

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Verstappen targets Mercedes and Ferrari

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When he switched to Red Bull Racing earlier this season,  Max Verstappen considered 2016 to be a year of learning but it doesn’t appear the Dutch prodigy really has much to ingest given his spectacular form and race results.

Verstappen concluded his British GP weekend with a second podium finish in succession, outperforming again team mate Daniel Ricciardo whom he also outqualified for the first time this season at Silverstone.

While his ability to adapt to his new environment and his performance level have been remarkable, Verstappen believes two targets remain to be fulfilled between now and when the championship concluded in Abu Dhabi in November.

“I try to do the best I can in every race, and now it’s again on the podium,” said the 18-year-old on Sunday.

“So two races in a row and I think that’s very good, if only we can keep going like this and we can close the gap to Mercedes.

“I think that’s our main target, and we still have to overtake Ferrari as well in the Constructors’ championship. I think those are our first targets, to overtake them and then close the gap.”

Fans and spectators basking in the rain or shine on Sunday around Silverstone were treated to an incredible display of car control and speed by the driver of Red Bull n°33. The tricky conditions played perfectly into the hands of Verstappen who admits to being no stranger when it comes to rain.

“In general, I have always enjoyed tricky conditions, especially in the rain. We have a lot of rain in Holland as well so in go-karting, you had a lot of time to practice that.

“If you have a great car you can make the difference and I think we definitely did today, I was definitely enjoying myself and even when we went onto the slick tyres I definitely had some fun.

“The pace was good and it was of course very tricky in turn one as you could see but that’s all part of it and at the end, great fun.”

LIVE: Silverstone in-season test – Day 2

REPORT: Alonso tops opening day of rain-hit Silverstone test

Silbermann says … Radio Ga Ga

2016 British Grand Prix – Driver ratings

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BJP Expels Rape Accused MLA Sengar, Court Moves His Trial To Delhi. We Eagerly Wait For Justice

Two years after the rape complaint was filed against him the BJP has finally expelled Kuldeep Singh Sengar from the party.

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The development comes days after the party announced that Sengar has been suspended from BJP pending the CBI investigation. The party had also claimed that disciplinary action was taken against Sengar last year itself. He was issued a notice by the disciplinary committee and was later suspended from the party.

Mindhunter : quel acteur donne la réplique à Dany Boon dans Le Dindon ?

En salles depuis mercredi, “Le Dindon” de Jalil Lespert compte à son générique l’un des comédiens de la série “Mindhunter”. Savez-vous lequel ?

Après le biopic Yves Saint-Laurent et le thriller Iris, Jalil Lespert se frotte à une pièce de Georges Feydeau, Le Dindon. Il réunit devant sa caméra Dany Boon, Guillaume Gallienne (qui a participé par ailleurs à l’écriture du film) et Alice Pol, entre autres. Ce vaudeville compte aussi à son générique la présence étonnante d’un acteur américain.

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En effet, les spectateurs auront reconnu Holt McCallany, l’un des deux agents du FBI de Mindhunter, la série Netflix consacrée à la naissance du profilage criminel. Le programme est produit par David Fincher que McCallany connaît bien puisqu’il a tourné sous sa direction dans Alien 3 et Fight Club. Le comédien est également apparu dans Les Experts : Miami et Sully. Dans Le Dindon, il incarne un Américain vivant à Paris dont l’épouse est la maîtresse du personnage interprété par Dany Boon. 

Si sa présence au casting de cette comédie française peut surprendre, il faut savoir que le comédien a suivi des cours de théâtre à Paris dans les années 1980 et parle par conséquent la langue de Molière. Ce n’est pas la première fois qu’un acteur anglo-saxon décroche un rôle secondaire dans une comédie française. En 2010, Andrew Lincoln (Love Actually, The Walking Dead) incarnait le fiancé de Vanessa Paradis dans L’Arnacoeur.

La bande-annonce du Dindon, actuellement en salles : 

Le Dindon Bande-annonce (2) VF