Emmanuelle Béart dernier clin d’oeil ému à son père

Tandis que l’inhumation de Guy Béart se prépare dans la journée de ce vendredi, Emmanuelle Béart a publié cette nuit un bref hommage à son défunt papa.

Mercredi matin, lors d’une banale sortie pour se rendre à un rendez-vous chez le coiffeur, frappé par une crise cardiaque, Guy Béart s’est écroulé et ne s’est plus jamais relevé. Le choc est grand pour le monde du showbusiness, et immense pour sa famille. La comédienne Emmanuelle Béart, sa fille, a appris la triste nouvelle alors qu’elle descendait d’un train à destination de Genève. Elle a immédiatement fait demi-tour pour se rapprocher de la dépouille de son père.

Depuis, toute à sa peine, la star est restée discrète. On les savait soudés, admiratifs l’un de l’autre au point de se produire ensemble sur scène en janvier dernier. Il y a quelques années dans la préface du livre Le Grand Chambardement, écrit par Guy Béart, Emmanuelle lui adressait un bel éloge, tout comme dans les colonnes de Paris Match un peu plus tard où elle évoquait un homme brillant, “terrifiant de justesse” sur ses analyses, généreux, altruiste et sur lequel on pouvait compter.

Présente mais pas parmi les plus actives sur les réseaux sociaux, Emmanuelle Béart a cependant fait un écart que l’on a pu découvrir ce matin. Vu l’heure à laquelle elle a posté la photo de son père sur Instagram, on devine une nuit blanchie par les larmes. “Notre papa a fait sa grande valise… #papa” On espère que ces quelques mots poétiques qui légendent le cliché lui auront permis de trouver un certain apaisement avant le grand au revoir à l’artiste prévu cet après-midi.

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Rihanna : un vrai tyran avec ses employés !

Info ou intox ? Sur son compte Instagram, la chanteuse publie une charte d’entreprise complètement délirante.

Généralement, les vedettes internationales sont sans des patrons sans pitié : humiliations quotidiennes, horaires à rallonge, exigences démesurées, salaires de misère…

Dans un document publié sur son compte Instagram, l’affolante Barbadienne pousse le bouchon très loin. Ressemblant à une charte d’entreprise et titré Employee Handboock, on y apprend que, dans cette société réelle ou fictive, il ne vaut mieux pas être malade. En effet, « Si vous être capable d’aller chez le médecin, c’est que vous êtes capables d’aller au boulot ».

Quant à la pause repas, elle dépend de la morphologie : “Les gens squelettiques ont 30 minutes pour leur déjeuner, parce qu’ils ont besoin d’apparaître en bonne santé (…) Les gens normaux ont 15 minutes pour maintenir une apparence normale. Quant aux gros, il ont 5 minutes, soit le temps de boire un Slim Fast”.

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Ce n’est pas tout, il y a aussi un dress code : « Il est conseillé de venir travailler avec une tenue adaptée à son salaire. Si vous êtes vus avec une paire de baskets Prada à 350 dollars et avec un sac Gucci à 600 dollars, inutile de demander une augmentation. Si vous êtes habillés comme un pauvre, c’est que vous avez besoin d’apprendre à gérer votre argent et que vous n’avez pas besoin d’augmentation. Si vous êtes entre les deux, vous êtes à pile votre place et n’avez pas non plus besoin d’augmentation. »

Le reste est à l’avenant, entre une tirade sur « l’inutilité d’aller aux enterrements vu que l’on ne peut plus rien pour les morts » et un temps de passage limité à 3 minutes au toilettes : « Au delà de cette limite, l’accès au papier toilette sera refusé. »

Mais que font les syndicats ?

Chimène Badi victime de discrimination

Ce week-end, Chimène Badi chantait à Agadir lors d’un grand concert pour la tolérance (qui sera diffusé le 17 octobre sur W9). Interviewée par Paris Match, la chanteuse a confié son propre rapport à l’intolérance – et combien elle en avait souffert à cause de sa religion.

Elle « ne se prend plus la tête » – mais n’accepte pas pour autant tous les affronts. Chimène Badi, lors d’une interview accordée à Paris Match, a confié combien l’intolérance pouvait lui peser. Surtout lorsqu’elle concerne sa religion, l’islam, et se base sur des amalgames.

« J’entends tellement de chose sur l’islam. Les gens font des amalgames et pourtant, c’est une religion tellement tolérante, assure la chanteuse. Je ne veux pas avoir honte de ma religion mais malheureusement, des extrémistes se cachent derrière l’islam pour commettre des actes de barbarie. »

Comme Christophe Willem, qui dévoilait ce dimanche certaines affres de la célébrité, Chimène Badi a dû faire face à de nouvelles attaques depuis qu’elle est devenue une chanteuse populaire. « À partir du moment où l’on devient un personnage public, nous sommes confrontés aux critiques. J’ai dû apprendre à faire face, explique-t-elle. Mais j’avoue que c’est parfois très violent. J’en ai pris plein la tête car j’étais différente. Moi aussi j’ai été victime d’intolérance. Plus jeune, j’ai trop souffert des intolérants. J’ai eu des profs racistes qui faisaient tout pour me déstabiliser. Je suis intolérante avec les gens qui manquent d’ouverture d’esprit. » Aujourd’hui, loin de ces professeurs racistes, Chimène Badi veut « pleinement profiter de sa vie » – notamment au côté de son nouveau compagnon, un « maître nageur passionné par le théâtre ».

Crédits photos : STEPH / VISUAL Press Agency

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David LaChapelle, la couleur au service du vert

Longtemps enfant terrible de la photographie, portraitiste de star, et artiste Blingbling, David LaChapelle est de retour avec une exposition à Paris. Bien loin de ses anciennes préoccupations, il apparait désormais comme un artiste environnementaliste.

On connaissait de lui des clichés de mode très conceptuels, avec les plus grandes stars mondiales telles que Uma Thurman, Leonardo DiCaprio ou encore Paris Hilton… On savait aussi son amour pour les couleurs, mais David LaChapelle n’a pas fini de nous désorienter!

Après un moment d’absence, du à un burn out de son propre aveu, le photographe repéré par Andy Warhol, revient avec une exposition, Land scape, à la galerie Daniel Templon, à Paris. Si le thème, l’environnement, est très éloigné de ses anciennes préoccupations, le style est toujours intact.

Les couleurs flamboyantes, très Pop-Art, prennent place désormais sur des cheminées d’usines, des raffineries de pétrole, et autres stations essences shoutées dans le désert californien. Chaque décor semble plus vrai que nature, bien qu’il s’agisse de maquettes fabriquées par l’artiste avec des produits de la vie quotidienne (canettes, paille, boîtes de conserve, fers à friser, etc…). On est tout de suite captivé par ces ambiances, entre nature et civilisation. Les constructions apparaissent entourées d’eau ou de végétation, des stations essences au milieu de la jungle, comme issues d’un rêve.

A quelques jours de l’ouverture de la conférence sur le climat, à Paris, le regard coloré de David LaChapelle sur les excès des activités humaines semble inscrire cette exposition dans le militantisme, ce dont se défend l’artiste. Il y voit plutôt un « regard sarcastique » sur le monde qui l’entoure.

L’exposition Land scape, à la galerie Daniel Templon, est à voir jusqu’au 3 janvier 2016.

Vidéo – Cara Delevingne à Paris avec Karl Lagerfeld

Cette semaine Cara Delevingne est Parisienne. Elle a rejoint ce mardi son ami Karl Lagerfeld à son studio.

Entre deux tournages, Cara Delevingne revient à ses premières amours. C’est en total look noir, slim, lunettes, perfecto et bonnet vissé sur la tête que le top britannique a quitté mardi son hôtel parisien. Avec toute la nonchalance dont elle est capable, elle est ainsi allée retrouver Karl Lagerfeld à son atelier.

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Mike Horn : « J’aimerais être une femme »

Le métier de Mike Horn consiste à survivre en milieu hostile. Rien à voir avec les affres de l’entreprise : son terrain de jeu va du Pôle nord à l’Amazonie, en passant par les déserts et les sommets les plus hauts du monde. Ce qui lui donne une peau burinée, un regard franc et une étincelle subtile au fond des yeux s’accordant parfaitement avec un corps sec et musclé qui, pour un homme de 49 ans, mérite des applaudissements. Malgré cette virilité mêlant sauvagerie et douceur, alliance parfaite s’il en est, si Mike Horn pouvait changer quelque chose chez lui, « ce serait devenir une femme, parce qu’elles sont plus clairvoyantes ». Sans doute, la réflexion de l’explorateur provient de son expérience familiale. Et du décès récent de son épouse adorée, Cathy, mère de ses deux filles. Son ancre.

Mike Horn nous attend en jean et pull outdoor dans les bureaux de son éditeur XO pour la sortie de son livre Vouloir toucher les étoiles. Comme s’il revenait d’expédition. De fait : « Je rentre à peine du Pakistan et je pars la semaine prochaine au Panama pour le tournage de la deuxième saison de The Island hommes et la première saison de The Island femmes » déclare doucement et dans un fort accent suisso-anglophone, l’aventurier des temps modernes. Son passage en ville le déprime : « Je n’étais pas venu depuis quelques années, Paris et les parisiens sont tristes ». Mais il retrouve le sourire assez vite.

En guise de salutation, il nous broie la main : « C’est ma marque de fabrique ! » dit-il, puis il nous embrasse, en souvenir de notre première rencontre il y a trois ans à Rio de Janeiro lors des Laureus Awards : « C’est un des rares événements auquel je me rends. Je n’aime pas trop être un personnage public, j’ai d’ailleurs arrêté de donner des conférences parce que les gens me demandaient trop de choses personnelles. Je laisse peu de personnes entrer dans ma vie. Et je n’ai pas besoin de jeux. Ma vie est un jeu » affirme-t-il.

Un jeu pas toujours drôle. En témoigne ses récits d’expédition au sommet du K2 (deuxième sommet le plus haut du monde) qu’il n’a jamais atteint malgré quatre tentatives sans assistance et sans oxygène, au cours desquelles il a vu de nombreux alpinistes perdre la tête, être emportés par une avalanche, glisser et mourir. La montagne est un cimetière rempli d’hommes « qui ont besoin de faire des choses uniques à partager au bar. Aujourd’hui elle est accessible avec 50 000 ou 100 000 euros, mais quelque soit le prix que tu payes, c’est elle qui choisi celui qui passe » affirme l’aventurier. Lui en est toujours revenu. Comme de toutes ses expéditions. Organisé, l’ex soldats des Forces Spéciales sud-africaines ne laisse rien au hasard, rien au risque, même s’il doit affronter des crocodiles, des serpents ou des scorpions. Face à lui, seul le crabe a toujours gagné.

Le cancer a emporté son père alors que le jeune Mike n’avait que dix huit ans. En février dernier, la même maladie a tué son épouse Cathy, « après vingt cinq de vie formidable ». « J’ai perdu un match, j’ai perdu une vie. Maintenant tout a changé. Cathy est partie. Je n’ai plus de raison de rentrer à la maison. Mes filles, Annika (née en 1993) et Jessika (née en 1995), ont pris le relais. Elles s’occupent de l’administratif à ma place, parce que je suis perdu là-dedans. Les banquiers ne me prennent pas au sérieux, je ne sais rien de mon compte en banque, ni de mes assurances. Cathy faisait tout, elle était la tête et moi les jambes, le blaireau qui courait partout » raconte le beau brun en baissant la voix.

« Vraiment, la seule chose que je changerais chez moi, ce serait être une femme, vous êtes plus vivantes que nous les hommes ». En attendant, c’est Sylvester Stallone qui aimerait bien devenir un peu Mike Horn. Il l’a même approché pour lui demander de jouer dans un de ses films. Mike devait l’entraîner dans la jungle. L’explorateur a refusé : « J’ai trop de choses à faire ». Quant à la proposition d’un studio américain pour un film sur sa vie, c’est « non » : « Je ne veux pas perdre qui je suis. Et je ne suis personne » se félicite-t-il.

Humble et discret, le Suisse nous accompagne jusqu’à la porte et dans un grand sourire nous propose de nous retrouver prochainement quelque part au Maroc pour faire de la moto avec le champion Cyril Despres (cinq fois vainqueur du rallye Dakar moto). Ce type est peut-être un peu fou. Il est surtout follement marrant.

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La recette

Bien manger quand vous êtes perdu.

« Quand tu n’as rien a manger et que tu es perdu, tu écrases des fourmis dans un bol. Tu verses un peu d’eau pour lier et tu ajoutes des plantes aromatiques que tu trouves sur ton chemin, comme de la menthe ou de la citronnelle. Ça donne l’aspect d’une mousse au chocolat avec un parfum délicat. Si tu n’as pas d’eau, tu mets quelques gouttes d’urine. Mais il ne faut pas en abuser : il ne faut pas ingérer ce que ton corps rejette ».

Mylène Farmer: «  La peur n’est pas un moteur chez moi  »

C’est une nouvelle odyssée qu’elle s’apprête à débuter avec Interstellaires, dans les bacs ce 6 novembre. Un dixième album conçu comme un défi à la gravité et le manifeste de ses nouvelles attractions. Suivez l’étoile…

Plus profonde, mais, paradoxalement, plus légère. Telle est l’artiste que le public va redécouvrir avec Interstellaires, son dixième album studio, composé dans sa quasi-totalité par l’Américain Martin Kierszenbaum et voulu comme une envolée vers des cieux aussi dégagés qu’immenses. Telle semble aussi la femme, plus apaisée, moins braque, sans doute la première intriguée par la possibilité de devenir qui elle est. Mylène Farmer, le chevalier d’Eon et de néons de la variété française, en a fini avec le travestissement, les effets de style. Musicalement, guitares, basses, piano et batterie se distinguent, mais sans la sonorité martiale de ses dernières productions, plutôt comme une rampe de lancement à sa voix aujourd’hui parfaitement maîtrisée. Plus directs, souvent portés par d’imparables ballades, ses textes, eux, reflètent son envie d’authenticité. Elle n’a jamais triché, mais elle s’est souvent soustraite au principe de réalité, laissant la légende et les fantasmes embuer son miroir. Elle s’y voit mieux et elle ne s’y voit plus seule (…).

(…)

Gala : Votre dixième album studio, Interstellaires, est un autre point de rupture. Nouveau son, nouveaux collaborateurs. Certains de vos fans appréhendent le changement. Plus que vous, semble-t-il…
M.F. : C’était déjà le cas pour Anamorphosée que l’on avait placé sous le ciel de Californie, ou Bleu Noir écrit avec Moby, Archive ou RedOne. Je n’ai pas le sentiment de changer, mais celui d’avancer, de découvrir… L’appréhension est compréhensible. Lorsqu’on aime une personne, on a envie de la retrouver intacte, telle que dans ses souvenirs. Mais je ne ne conçois pas un nouvel album sans une dose d’aventure.

(…)

Gala : En sautant dans l’inconnu avec Interstellaires, ne vous êtes-vous pas rapprochée de vous-même, en fin de compte ? De quoi aviez-vous peur avant cette ouverture artistique à l’autre ?
M.F. : La peur n’est pas un moteur chez moi. Par contre, l’ennui, ou la crainte de l’ennui, est bien souvent ce qui me fait évoluer vers d’autres mondes. J’ai aussi besoin de nourritures. Apprendre des autres est important.

(…)

Gala : Accorder votre confiance, vous y parvenez spontanément ? Ou est-ce un élan que vous réfrénez ?
M.F. : C’est, comme pour la plupart des gens, s’engager dans un chemin long et périlleux. Il ne suffit pas d’exiger la confiance de l’autre, il faut également s’en montrer digne. Si je ne sais pas faire confiance spontanément, en revanche, mon instinct m’indique immédiatement les personnes qu’il faut fuir ! (Rires)

(…)

Gala : Aujourd’hui, images, mots, tout se bouscule et se chasse. La rareté devient un risque d’extinction. Vous l’assumez ?
M.F. : Permettez que j’exprime mon désaccord. Depuis l’origine des temps, la rareté est un indice de valeur et de référence. Les hommes n’ont cessé de se mettre en danger pour s’emparer de ce qui est rare, le protéger. La « confusion » à laquelle vous faites référence est un épiphénomène médiatique. On lance des trajectoires éphémères pour le seul profit immédiat. Cela entretient le quotidien mais, quel que soit le domaine, les grands rendez-vous sont toujours rares. Les étoiles filantes ne font pas la voie lactée.

(…)

Gala : Dans plusieurs titres de l’album Interstellaires, les mots « aimer » et « dissonance » reviennent. Comme si ce n’était plus l’altérité, mais la séparation, la déchirure, qui vous inquiétait. Pour vous, elle est là l’horreur du temps qui passe ?
M.F. : Le temps qui passe est un maître despotique. On a beau aimer, pleurer, rire, partager, vivre … Nous sommes les héros d’un film et nous n’ignorons pas que nous allons mourir à la fin. Nus et, je l’espère, dignes.

Gala : Le thème de la délivrance court également tout le long de l’album. A l’inverse de Sartre qui disait « l’enfer, c’est les autres », diriez-vous que l’autre, c’est la providence ?

M.F. : Nous sommes notre propre enfer ou notre propre délivrance. Certes, je ne suis pas optimiste, mais je ne suis pas pessimiste non plus, plutôt tragique… L’optimiste s’attache au meilleur autour de lui. A l’inverse, le pessimiste n’envisage que le pire. Le tragique, lui, tâche de voir le réel tel qu’il est. J’essaie de voir le réel tel qu’il est. L’autre en fait partie.

(…)

Propos recueillis par Thomas Durand

Retrouvez l’intégralité de notre sujet « Mylène Farmer: Intime », notre interview et notre shooting exclusif réalisé par Sylvie Lancrenon, dans le magazine en kiosque ce mercredi 4 novembre.

(Crédit photo ouverture: Sylvie Lancrenon / robe BCBG Max Azria, chauffe-épaules La Perla, sandales Giuseppe Zanotti, bagues personnelles)

(Crédits photo avec Sting: Bruno Aveillan / pochette et livret album Interstellaires: Ralph Wenig)

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Découvrez l’équipe de Francis Coppola à Marrakech

Après une saison chargée en festivals, le festival du film international de Marrakech s’apprête à clore l’année 2015. Ses organisateurs viennent de dévoiler le jury de la 15e édition.

Lancé en 2001, le festival international du film de Marrakech attire chaque année son lot de célébrités dans le royaume de Mohamed VI. Cette 15e édition ne dérogera pas à la règle. Après Martin Scorsese (Les Affranchis) en 2013 et Isabelle Huppert (La Pianiste) en 2014, la présidence du jury du festival sera cette année confiée au réalisateur américain Francis Ford Coppola (Le Parrain). Le metteur en scène sera entouré de huit professionnels du 7e art pour l’aider à juger la qualité des films en compétition. Parmi les membres du jury (que vous pouvez découvrir en intégralité dans le diaporama ci-dessus), le public retrouvera le réalisateur français Jean-Pierre Jeunet (Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain). Seront également présents Olga Kurylenko (Oblivion), Anton Corbijn (Un homme très recherché) ou encore Thomas Vinterberg (La Chasse). Le jury décidera donc lequel des films entrés en compétition méritera le Grand Prix de l’Etoile d’Or.

Le festival international du film de Marrakech ne s’intéresse pas qu’aux longs-métrages. Les courts ont également leur place. Comme chaque année, le festival a donc mis en place le jury Cinécoles, qui leur est dédié. Présidé par le réalisateur belge Joachim Lafosse, ce jury est composé de cinq acteurs du monde du cinéma. Parmi eux, la Franco-italienne Valeria Bruni-Tedeschi, la Française Anaïs Demoustier ou encore l’Italienne Valeria Golino. Toutes seront réunies du 4 au 12 décembre prochain pour départager les courts-métrages en compétition. Le grand vainqueur se verra remettre le Grand Prix du court métrage Cinécoles. Notons qu’après le Maroc, l’Espagne, l’Italie, l’Egypte, la Grande Bretagne ou encore la France, ce sera cette fois-ci au Canada de voir son cinéma à l’honneur par le festival de Marrakech.

Crédits photos : Carlos R. Alvarez/Getty

“Capitaine Planète” débarque sur grand écran ! [+ SONDAGE]

Crée en 1990, la série animée environnementale “Capitaine Planète” va être adaptée sur grand écran, en prises de vues réelles.

“Cap’taine Planète ! Cap’taine Planète ! Cap’taine Planète !…” (air connu) : des génériques à texte de notre enfance, celui-ci n’est vraiment pas le plus compliqué à retenir, mais il y a de fortes chances pour qu’on ne le retrouve pas sur grand écran. Car oui : la série animée environnementale crée en 1990 va débarquer dans les salles obscures, en prises de vues réelles. Si l’histoire ne change pas, on y suivra donc les aventures du Capitaine Planète, qui va s’allier avec un groupe de jeunes doté de pouvoirs, afin de protéger la Terre de divers dangers écologiques.

Avec ou sans nuque longue ?

Produit par Sony Pictures, le projet n’en est qu’à ses balbutiements, puisque ni scénariste, ni réalisateur n’y sont attachés pour le moment. Impossible, donc, de savoir si le héros arborera toujours ce look qui réussirait l’exploit d’être kitsch dans Batman & Robin, et s’il sera interprété par un acteur de chair et d’os, ou crée en performance capture, à l’image du Surfer d’Argent chez les 4 Fantastiques. Si la première solution est choisie par le studio, nul doute que trouver celui à qui la nuque longue et verte ira comme un gant ne sera pas une mince affaire.

Maximilien Pierrette avec The Hollywood Reporter



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Où est passée la bague de Madame Clooney?

D’après des sources qui se sont confiées au journal britannique The Mirror, Amal Clooney ne voudrait plus porter la bague que George Clooney lui a offerte en signe d’engagement.

Sept carats. Sept carats montés sur un métal précieux pour lesquels Georges Clooney a dû débourser plus de 600000 euros en avril 2014 quand il l’a demandée en mariage. Ces sept carrats censés représenter l’amour du comédien pour sa belle Amal sont devenus indésirables. Pas question de désamour, non! La jeune avocate de 37 ans spécialisée dans les droits de l’Homme est juste gênée dans son travail par l’imposant solitaire.

“Les gens l’interrompent régulièrement pour l’admirer. Il faut dire que c’est une pierre massive, difficile à cacher.” confie une source au tabloïd anglais. Amal Clooney trouverait donc compliqué de travailler avec pareil caillou au doigt, cela la décrédibilise, et apparaît indécent au regard des sujets sensibles qu’elle est amenée à traiter. Elle chercherait donc quelque chose de plus simple, discret et en accord avec ce qu’elle est. D’aucuns l’auraient d’ailleurs aperçue en train de faire du repérage chez Cartier à Londres et précisent qu’elle viserait un classique anneau de platine.

N’allez pas imaginer pour autant que Madame Clooney envisage de se débarrasser de ce précieux bijou, symbole d’amour par excellence. Ses proches confient qu’elle continuera de le porter, mais seulement pour les grandes occasions.

Crédits photos : SAV

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