Alessandra Sublet, la mal-aimée

Nouvelle vedette de TF1, Alessandra Sublet a du mal à convaincre en interne, en dépit des bons scores de sa première émission.

Son arrivée n’a pas fait que des heureux. Quelques jours après son premier prime sur l’antenne de TF1, Alessandra Sublet serait au centre de nombreuses animosités au siège de la chaîne comme le révèle le magazine Closer. Malgré des audiences plus que satisfaisantes – 4,3 millions de téléspectateurs – et une première place nationale le 4 décembre, la maman de deux enfants n’a pas atteint les objectifs des dirigeants avec son émission Bercy fête ses 30 ans. Non seulement sur les réseaux sociaux, les internautes n’ont pas été tendres avec les prestations, souvent enregistrées, des artistes invités mais Alessandra Sublet a dû faire face à l’attitude étrange de certains e ses invités. Notamment Patrick Bruel qui n’a pas hésité à lui lancer des piques par deux fois. Avec Johnny Hallyday, l’ambiance n’était pas non plus à fête pour cause d’une ancienne querelle entre eux. En 2013, alors à la présentation de C à vous sur France 5, elle avait critiqué l’autobiographie du rockeur préféré des français.

Dans les couloirs de TF1, l’animatrice de 39 ans ne fait pas l’unanimité. Elle serait accusée de se la jouer “très perso, très star”, faisant des pieds et des mains pour “se voir confier des grosses émissions prestigieuses”.

Du côté de ses anciens collaborateurs de la boîte de productions Troisième Oeil (C à vous, Un Soir à la Tour Eiffel), elle n’a pas laissé le meilleur des souvenirs. “Elle nous a tourné le dos sans prévenir personne ! C’est ingrat, un jour, cela se paiera”, affirme l’un d’eux. Un autre ajoute : “Elle a pris la grosse tête mais c’est une coquille vide. Elle a besoin d’être encadrée pour être bonne à l’antenne. Sinon, ses lacunes se voient trop.” Une impopularité dont la jolie brune, mère de deux enfants, ne se doutait certainement pas…

Difficile fin d’année pour Janet Jackson

Janet Jackson a dû interrompre sa tournée mondiale pour des raisons médicales. Elle subira bientôt une opération importante.

Sale temps pour Janet Jackson. Alors qu’elle se trouvait sur les routes pour son retour musical avec un nouvel album et la tournée du même nom Unbreakable, elle a dû la suspendre jusqu’au printemps prochain pour des raisons médicales. “Je veux que vous sachiez, mes docteurs m’ont appris aujourd’hui que je devais devoir être opérée bientôt”, a t-elle annoncé directement à ses fans sur ses réseaux sociaux, sans en dire plus sur le mal qui la mine.

Auréolée d’un brillant comeback, grâce à un opus applaudi par la critique, classé n°1 aux États-Unis et très intimiste (où elle rend hommage à son grand frère Michael Jackson), Janet avait déjà annulé quatre concerts en octobre pour reposer ses cordes vocales. “S’il vous plaît, priez pour moi, ma famille et notre entourage durant cette période difficile. Il n’y aura pas d’autre déclaration. Je vous aime tous tellement et suis reconnaissante éternellement de votre compréhension et de votre amour”, a t-elle ajouté. Mais que ses admirateurs se rassurent : tous les shows seront reprogrammés.

Mariée à l’homme d’affaires qatari Wissam Al Mana, Janet Jackson, 49 ans, fait partie des grandes figures de la musique pop américaine et mondiale avec des hits tels que All For You, Scream ou encore Together Again.

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Bonnes feuilles – Bernadette et Jacques Chirac: dans l’intimité d’un couple

Dans le livre Bernadette et Jacques, aux éditions Stock, à paraître en poche (Points Documents) en février, notre collaboratrice Candice Nedelec nous fait revivre, témoignages inédits à l’appui, cette histoire d’amour hors norme. Drôle, tendre et émouvant, il est le premier à se pencher vraiment sur le duo. Il démontre, avec de nombreuses anecdotes inédites, la manière dont se sont installés, puis inversés les rapports de force entre ces deux puissantes personnalités.

Un couple en gestation

(…) A Sciences-Po, dix ans après la guerre, la jeune femme savoure sa liberté nouvelle. Elle se laisse griser par les emballements de celui qui lui mène, à coups d’assauts têtus, une cour assidue. S’acoquine avec lui autour d’une menthe à l’eau, chez Basile, un troquet de coin de rue prisé par les étudiants. (…) Il la cerne de ses ardeurs, glisse dans son sac d’étudiante, avec des airs de conspirateur, des petits mots tendres, taillés comme autant de flèches acérées. (…) Il conservera au fil des années sa manie des billets glissés à la dérobade, comme autant de petites amarres dont il aurait besoin.

(…) Le 16 mars 1956, les deux jeunes gens s’unissent pour le meilleur et sans soupir, en l’église Sainte-Clotilde. Jacques porte fièrement son uniforme de sous-lieutenant de cavalerie. Bernadette exulte et triomphe. Un sourire, immense, éclaire son visage voilé de tulle. Son regard, à l’éclat insolent, prend ce quartier paisible de Paris à témoin : « Regardez-le bien. Il est à moi. » La joie sera de courte durée. Dès le lendemain de leur mariage, alors que Bernadette reproche à Jacques d’avoir joué les jolis cœurs avec l’une des convives, il la soufflette d’une phrase acérée : « Si vous n’êtes pas contente, demandez le divorce ! » Une menace guillotine qui reviendra régulièrement dans les escarmouches entre les deux époux. Quand son agacement ou sa passion pour une autre sera sur le point de tout emporter, Jacques pointera du doigt cette possible condamnation à mort de leur couple. Comme elle, lorsque la douleur l’envahira, lorsqu’elle sera reléguée au second plan et sentimentalement trahie. Pour l’heure, en ces premiers pas de deux, la querelle d’amoureux s’estompe. (…)

S’il trace seul sa trajectoire, libido et appétit de pouvoir pour seuls guides, Jacques Chirac n’en couvre pas moins Bernadette, comme sa famille, de délicates attentions, mâtinées de réelle tendresse. Il ne l’appelle pas « Ma chérie » ni « Mon cœur », petits noms réservés à ses conquêtes éclairs, mais son vouvoiement est un gage d’affection et de respect. Le ministre surmené est capable de remuer ciel et terre pour trouver à son épouse une couverture chauffante lorsqu’ils sont en voyage, dans un pays au climat un peu trop rude. Lorsqu’il n’est pas en terres corréziennes, il déjeune chaque dimanche avec femme et… beaux-parents. L’occasion de régaler les Courcel des grands crus offerts par les producteurs au temps où il régnait sur le ministère de l’Agriculture. Comme il aura le tact, lorsqu’il fera de grands déplacements à l’étranger en qualité de Premier ministre, de demander à sa belle-mère de faire partie de la délégation. Ses jeunes conseillers auront alors pour consigne de prendre le plus grand soin d’elle. (…)

Un homme et des femmes

1974: Jacques Chirac devient Premier ministre (ndlr).

(…) Bernadette s’inquiète. Elle juge le Premier ministre absent, distrait depuis quelques semaines. Ailleurs. Lorsqu’elle l’interroge ou s’agace de son manque d’attention, il lui lâche un brutal : « Vous m’emmerdez ! J’ai mal à la tête. » En fait, malgré ses lourdes responsabilités et la terrible concentration qu’elles exigent, l’homme virevolte, s’égaye, comme toujours. Il n’hésite pas à se joindre à la jeunesse de son parti dans les caves de Saint-Germain pour partager quelques bribes de fête et écorner son agenda. Bernadette Chirac s’inquiète pourtant plus que d’habitude. (…)

Jacques Chirac s’embrase, prend des risques pour la journaliste (Jacqueline Chabridon, NDLR), s’installe dans un univers parallèle. Il est capable d’écrire sur un coup de tête une déclaration d’amour sur un coin de serviette, au vu et au su de tous. (…)

Bernadette brandit alors la menace ultime, celle du divorce. C’en est trop. Malgré sa foi taillée dans la pierre des cathédrales, sa volonté atavique de préserver la famille, son appétit de vivre une existence hors norme dans le sillage de son mari, l’épouse bafouée n’a plus ni la force ni le goût de subir cette énième avanie. (…)

Lorsque, quelques années plus tard, Alain Juppé lui annoncera son propre divorce, l’un de ses collaborateurs retrouvera le maire de Paris, dans son grand bureau de l’Hôtel de Ville, la tête dans les mains, livide. « Il est fou ! », lâchera-t-il, alors, à propos du « meilleur d’entre nous », qui aura fait ce que lui n’aura jamais osé faire. (…)

Vigilante, elle tente parfois de le prendre sur le fait, lassée de devoir fermer les yeux. Un jour, elle engage la poursuite, dans les rues de Paris, d’une voiture immatriculée 19 (le numéro de la Corrèze), qu’elle suspecte d’être requise pour récupérer son mari après un rendez-vous galant. L’épouse méfiante a vu juste, puisque le véhicule est conduit par leur chauffeur, Jean-Claude Laumond. « Où est- il ?, peste-t-elle. Je vais l’attendre. » (…)

Le couple entreprend alors de grands voyages, autant de moments de retrouvailles privilégiées. Les quelques jours de septembre 1978, passés en Chine, restent comme l’un de leurs meilleurs souvenirs. Konica en main, Jacques Chirac a consacré de longs moments à photographier son épouse sur la Grande Muraille. Une parenthèse où la complicité l’emporte. Où le couple se laisse aller à quelques heures de détente. Ils déambulent main dans la main dans les rues de Pékin, choisissent du tissu pour faire tailler des costumes à monsieur, s’astreignent à l’apprentissage du maniement des baguettes, en compagnie du maire de la mégapole. Sur les images prises lors de ce déplacement officiel du maire de Paris par le photographe Christian Vioujard, les Chirac ressemblent à de jeunes mariés. (…)

Qu’importe ses manquements conjugaux, le président jure que l’essentiel réside dans la tendresse et le respect qu’il porte à son épouse et qui ne se sont pas démentis au fil des années. Ainsi lui envoie-t-il des fleurs, le jour de la fête des Mères, au nom de sa fille cadette, lorsqu’il sait que cette dernière oubliera ce devoir filial. La Première dame n’est pas dupe. Elle voit bien que la carte qui accompagne le bouquet n’a pas été écrite de la main de Claude. Mais elle apprécie le geste de son époux. (…)

Bernadette mène la danse

A l’Elysée

Bernadette est, elle, reléguée à la sphère intime et ne dispose que de la parenthèse du dîner pour profiter de son époux. Président ou pas, l’homme n’a pas changé ses habitudes, il n’est pas du soir et trépigne dès que 20 heures approche et que la première dame ne rejoint pas la table de la salle à manger. « Que fait-elle ? », demande-t-il, affamé, au maître d’hôtel, le pied battant le sol en cadence. Quand elle le retrouve enfin, sa femme a généralement droit à un repas au son des informations, suivi du visionnage d’une cassette sur le raku, cet art potier japonais, quand le chef de l’État ne lui inflige pas un western, un film de cape et d’épée ou un combat de sumo. (…) Le couple passe donc de longues soirées devant ces combattants nippons. Mais l’essentiel aux yeux de la Première dame est que son époux insiste pour qu’elle soit à ses côtés dans ces moments-là. Leur complicité se nourrit de ces apartés. (…)

L’après-Elysée

Loin des joutes politiques désormais, le président s’étiole dans cet appartement sans âme, où trois salles de réception immenses, qui paraissent presque vides, se présentent en enfilade face à la Seine. Comme pour se raccrocher à un passé qui s’estompe, il répète à l’envi ces expressions imagées qui ont toujours été sa marque de fabrique dans l’intimité. Au moment d’aller au lit, il lance à la cantonade : « Allez, je vais me coucher bouboule panier. » À chacun de ses visiteurs qui lui trouve une mine radieuse, dans ses bureaux de la rue de Lille où il se concentre sur la création de sa fondation, il répond immanquablement : « La mine ça va, c’est le crayon qui ne marche plus. » Lorsqu’il arrive à joindre Bernadette, il radote toujours la même pique : « Qu’est-ce que vous faites ? » avant d’ajouter, taquin : « Rien, comme d’habitude. » (…) À chaque élu de la capitale qui lui rend visite, l’ex-chef de l’État fait part de la grande impression que lui a faite Anne Hidalgo. L’édile parisienne lui a rendu une visite de courtoisie au lendemain de son élection. Un geste qu’il a apprécié autant que la fière allure de cette Andalouse aux yeux de velours. « Il me parle d’elle à chacun de mes passages rue de Lille », s’amuse un élu du conseil de Paris. La précédente élue parisienne à avoir séduit l’ancien maire de la capitale était Rachida Dati. Il ne tarissait pas d’éloges à son égard, « à tel point que son épouse lui a plusieurs fois lancé : “Jacques, vous ne seriez pas, par hasard, le père de sa fille ?” » raconte un intime. Impossible de relever les draps sur une vie de joli cœur (…)

Le regard ailleurs, il s’extrait du jeu lorsque cela l’arrange. Respectant à la lettre l’un de ses adages fétiches : « Ça m’en touche l’une sans faire bouger l’autre » ! Une attitude qui agace son épouse autant qu’elle la désarçonne. Cette absence de résistance a de quoi la dérouter. Son couple s’est construit sur un rapport de force. En sa défaveur, d’abord, ce bras de fer constant a fini par tourner à son avantage, mais le combat a cessé faute de combattant. (…)

Elle se sent encore prête à mordre à pleines dents dans l’existence. L’urgence du quotidien la dope. Elle veut vivre et le fera pour deux s’il le faut. Quitte à prendre des directions contraires aux vœux de plus en plus estompés de son époux. (…)

Les Chirac reçoivent peu. « Des années après leur emménagement, il reste des cartons non ouverts, à croire que Bernadette se fiche que son époux ait un cadre de vie chaleureux, peste l’un des amis de l’ex-président. Elle qui est toujours sortie, ne s’en préoccupe jamais. Elle le laisse seul avec le maître d’hôtel. C’est généralement un de ses officiers de sécurité qui l’aide à monter jusqu’à l’appartement…» (…) « La vieillesse est un naufrage », se contente-t-elle de soupirer, gaullienne, lorsqu’on l’interroge sur l’état de santé de son mari. « Elle veille à ne pas rester plus d’une nuit loin de son époux, la défend pourtant l’une de ses amies. Elle s’occupe aussi beaucoup de Laurence. Lorsque sa fille a perdu son chat, ce qui l’a bouleversée, Bernadette s’est dès le lendemain rendue dans les Hauts-de-Seine pour lui en acheter un autre. Mais elle ne se plaint jamais… »

(…)

Bernadette et Jacques,Candice Nedelec (Stock): parution en Points Docuemnts en février 2016

Crédits photos : HADJ/HOUNSFIELD/SIPA

“Jersey Boys” : une comédie musicale pour Clint Eastwood !

On attendait “A Star is Born”, mais la première comédie musicale réalisée par Clint Eastwood pourrait finalement être “Jersey Boys”, d’après le show du même nom, avec Christopher Walken au casting.

Vu d’ici, Clint Eastwood et la comédie musciale semblent faire deux. Mais ce serait oublier qu’il a joué dans La Kermesse de l’Ouest en 1969 (voir aussi la définition de “Casserole”), et qu’il devrait bientôt s’attaquer au genre en tant que réalisateur. Pas avec le serpent de mer A Star is Born, mais plutôt Jersey Boys. Adapté du show du même nom par John Logan (Skyfall), le long métrage reviendra lui aussi sur l’histoire du groupe Four Seasons, devenu l’une des plus grandes sensations pop de tous les temps, pendant les années 60.

Walken on sunshine

Côté casting, le metteur en scène compte faire appel à des acteurs de théâtre, puisqu’il se murmure qu’il serait sur le point de confier les rôles principaux à John Lloyd Young, Erich Bergen, Michael Lomenda et Vincent Piazza, vu dans Boardwalk Empire. Un quatuor qui croisera la route de Christopher Walken, engagé pour prêter ses traits au gangster Angelo ‘Gyp’ DeCarlo, et qui replongera dans le genre 6 ans après l’expérience Hairspray.

Maximilien Pierrette avec Deadline

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Hillary Clinton: Bill sera-t-il son « First Gentleman »?

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Si sa femme est élue, l’ancien Président Bill Clinton sera le premier «First Gentleman» de l’Amérique. Et Hillary a déjà une petite idée de son rôle.

Avec leur pragmatisme habituel, les Américains avaient vu en Valérie Trierweiler la «First girlfriend» de François Hollande, une formulation pleine d’humour reprise par la presse du monde entier. Mais quand il s’agit d’imaginer un titre pour l’ancien président Bill Clinton, dans le cas où Hillary, son épouse, serait la première femme élue à la Maison Blanche, c’est une autre paire de manche ! First ex-President ? Non, trop ambigu. First Dude (mec) ? Déjà utilisé par l’ancienne gouverneure conservatrice de l’Alaska, Sarah Palin, pour désigner son conjoint, le terme manque assurément d’envergure. Reste alors le très élégant « First gentleman », qui semble avoir les faveurs des medias et de la candidate.

Interrogée récemment sur la manière dont elle envisage les différentes missions que son First Gentleman pourrait accomplir durant sa mandature, celle-ci a répondu avec humour : « Je pense garder la main mise sur la décoration florale, qui n’est vraiment pas son truc. En revanche, pour accueillir nos hôtes et leur faire visiter la Maison Blanche, il sera un guide parfait. Je peux également lui confier la tâche de veiller sur les menus de nos invités qui, comme lui, suivent un régime végétarien… »

Plus sérieusement, loin d’Hillary l’idée d’avoir un mari popote à ses côtés. Mettant à profit son aura internationale et son expérience politique et économique, elle ferait de Bill une sorte de super conseiller de l’ombre. «Au vu des bons résultats de sa politique économique et sociale durant ses deux mandats, vous pensez bien que je n’hésiterai pas à lui demander quelques idées dans ce domaine, a-t-elle récemment précisé à l’issue d’un déplacement en Caroline du Sud. Je l’utiliserai également comme émissaire dans tout le pays, à l’écoute des problèmes et de leurs solutions.»

Et Bill, qu’en pense-t-il ? S’il met toute son énergie à soutenir la candidature de sa femme et à lever des fonds pour sa campagne, en privé, ce serait une tout autre chanson. Le futur «premier monsieur» aurait des états d’âme. Selon certaines sources, Bill envisagerait son retour à Washington comme une sorte de piège qui l’emprisonnerait pendant quatre ans. Au vu de ses addictions sexuelles passées, il sera placé sous haute surveillance. Ni Hillary, ni l’Amérique ne lui pardonneraient, en effet, de nouvelles frasques. Terminé aussi les voyages dans des contrées exotiques pour donner des conférences tarifées entre 500 000 et 750 000 dollars.

Si Bill a le blues en 2016, c’est peut-être parce que contrairement à Hillary, qui a tout à gagner cette année, lui, en revanche, pourrait bien tout perdre…

Crédits photos : Charlie Neibergall/AP/SIPA

Penelope Cruz se lance dans la réalisation avec une pub très “caliente” ! [VIDEO]

Penelope Cruz réalisatrice ! Elle vient de signer son premier court métrage, une pub de 6 minutes, chic et charme, avec un caméo de Javier Bardem !

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Penélope Cruz fait ses premiers pas de réalisatrice et scénariste pour les besoins d’une pub très “caliente” pour la marque de lingerie “Agent Provocateur” ! Elle met en scène Miguel Ángel Silvestre (Les Amants passagers) déambulant dans un hôtel peuplé de créatures de rêve ! Figurent au casting la mannequin russe Irina Shayk, Mónica Cruz et Javier Bardem pour un petit caméo surprise !

C’est parti pour 6 minutes de pub chic et charme !

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BB

Véronique Genest: l’art d’être grand-mère

Une petite-fille, Alex, une nouvelle pièce, Portrait craché, au Palais des Glaces, à Paris… L’année 2016 commence bien pour celle qui, dans le cœur des Français, reste Julie Lescaut!

Avant même de la voir, on sait que c’est elle. Une gouaille, une énergie, Véronique Genest ne lâche rien aux années qui passent. Et pas question de lui donner du « mamy » ou du « mémé », sa petite-fille devra trouver un surnom approprié à cette grand-mère boute-en-train qui, depuis longtemps déjà, a décidé d’opter pour le côté lumineux de la vie.

Gala : Gabou, la fille de votre mari Meyer, votre belle-fille donc, vient de mettre au monde son premier enfant. Est-ce que cela donne un petit coup de vieux d’être grand-mère ?
Véronique Genest : Non, je n’ai pas ce sentiment, au contraire. En revanche, cela m’a fait drôle – et évidemment très plaisir – de voir Gabou, sa maman que je connais depuis qu’elle a quatre ou cinq ans, enceinte.

Gala : Vous êtes restée en bons termes avec la mère de Gabou ?
V. G. : Bien sûr, on se voit très souvent, on partage des repas de famille tous ensemble. On a acheté un appartement pour eux à côté de chez nous, pour que l’on puisse tous se réunir plus facilement.

Gala : Avez-vous fait des vœux pour cette nouvelle année ?
V. G. : J’aimerais un retour au calme pour tout le monde. Et, pour moi, que ça continue : que les enfants aillent bien, de beaux films, de belles pièces – j’aime toujours mon métier. Je me contente de peu. Pourvu qu’il y ait ma famille, un bon feu, la maison et de quoi manger, ça me suffit amplement.

Gala : Vingt-quatre ans de mariage avec Meyer. Est-ce de mieux en mieux ?
Click Here: mochila fjallravenV. G. : Tout dépend si on vit dans la nostalgie ou si on préfère le présent. Moi, j’ai pris le parti de voir ce qu’il y a de meilleur en chaque chose, à chaque moment. La relation avec un homme évolue, si on veut qu’elle dure, cela exige des concessions, beaucoup d’amour et, surtout, ne pas avoir à l’esprit cette idée que l’herbe est toujours plus verte ailleurs. Je n’ai pas rencontré Meyer à vingt ans, du coup, j’ai eu le temps de faire un peu le tour, de vivre ce que j’avais à vivre. Quand j’ai décidé de me marier et de faire un enfant, il était donc évident que c’était pour que ça dure. Après, il faut savoir s’en donner les moyens. Le bonheur, c’est une quête qui n’est pas toujours facile.

Gala : Etes-vous plutôt douée pour le bonheur justement ?
V. G. : Oui, je pense que je suis même née dans une marmite de bonheur ! Je vois, ou en tout cas j’essaie, de toujours privilégier le côté positif. Même quand tout n’est pas rose. On n’est pas des Bisounours avec Meyer, on n’est pas toujours d’accord, mais il y a assez d’amou pour que l’on passe ces caps-là. En tout cas, je ne vois pas avec qui je pourrais vivre mieux qu’avec lui…

Gala : Sam, votre fils, va avoir vingt ans cette année…
V. G. : Je ne l’ai pas vu grandir… Il a eu des petits soucis de santé il y a deux ans, mais c’est réglé. Là, il va repasser son bac. J’admire les mères parfois très directives qui punissent, moi, je suis carrément lamentable à ce niveau-là. Et Meyer n’est pas mieux.

Gala : Sam a donc grandi un peu en free style ?
V. G. : Oui, selon nos valeurs. Mais finalement ça donne un être extraordinairement généreux, gentil et plein d’empathie. Il n’est pas comme tout le monde, mais il me plaît tel qu’il est. Par exemple, il ne va jamais sur les réseaux sociaux. Il est très à part dans la vie. Il se moque de ce que pensent les autres.

Gala : Comment étiez-vous à vingt ans ?
V. G. : Une révoltée. Je vivais toute seule, je n’ai jamais supporté l’autorité. Mon parcours est très différent de celui de Sam. J’ai perdu mon père à neuf ans et demi, ma mère s’est remariée avec un monsieur absolument adorable, j’ai eu des petits frères de treize et quinze ans plus jeunes, avec lesquels j’ai un côté très maternel. J’ai toujours eu beaucoup d’enfants autour de moi, je me suis beaucoup occupée des bébés, je peux en avoir plein, ça ne me gêne pas.

Toute l’interview de Véronique Genest, les photos de la comédienne avec Alex, sa petite-fille, dans Gala, mercredi en kiosques

Crédits photos : Benjamin Decoin

1ères séances : Jeune, jolie et numéro 1 !

Le film de François Ozon se place en tête des premières séances parisiennes cette semaine avec 1788 entrées, devant “Kick-Ass 2” (1078 spectateurs) et “Conjuring – Les dossiers Warren” (744).

1 – Jeune & jolie – 1788 entrées (28 copies)

2 – Kick-Ass 2 – 1078 entrées (18 copies)

3 – Conjuring : Les dossiers Warren – 744 entrées (17 copies)

4 – Jobs – 718 entrées (20 copies)

5 – Les Flingueuses – 619 entrées (18 copies)

6 – Le Prochain Film – 161 entrées (8 copies)

7 – Fedora – 97 entrées (3 copies)

8 – Mon bel oranger – 31 entrées (4 copies)

9 – Mort à vendre – 24 entrées (2 copies)

10 – L’Homme qui en savait trop – 22 entrées (une copie)

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11 – Irma la douce – 20 entrées (une copie)

12 – Un Monde fou, fou, fou, fou – 13 entrées (une copie)

AG avec CBO Box-Office

Les projets professionnels de Nathalie Péchalat

Maman de Jeanne, trois mois, et compagne de Jean Dujardin, Nathalie Péchalat est d’abord une patineuse accomplie aux ambitions claires sur la suite de sa carrière.

Déjà trois mois que sa petite fille Jeanne illumine sa vie et celle de son compagnon, Jean Dujardin. L’heure est désormais venue de retourner au patinage. La passion du sport appelle. L’athlète aux multiples médailles, cinq fois championne de France, deux fois pour l’Europe et lauréate par deux fois d’une médaille de bronze aux championnats du monde, a annoncé à Téléstar sa participation au nouveau spectacle de Philippe Candeloro, Holiday On Ice : Believe. Mais petite précision à ses admirateurs : pour l’instant, elle ne chaussera pas de patins. Pas cette année en tout cas. Elle sera uniquement narratrice de cette mise en scène qui racontera “une histoire moderne de Roméo et Juliette avec une fin heureuse”.

Enfant, elle venait assister “tous les ans” à ce spectacle qu’elle a l’opportunité de présenter aujourd’hui à 32 ans. Un compromis intéressant pour elle qui lui permet de “rester dans le patinage mais avec de nouvelles compétences”. Nathalie Péchalat apprécie en parallèle chaque instant de sa nouvelle vie de maman sans oublier son avenir professionnel. Également consultante pour la chaîne Eurosport, elle envisage de commencer “fin mars un séminaire pour devenir juge”. Une nouvelle facette de sa discipline qu’il lui tarde d’appréhender.

Céline Dion: « Je vais être une bonne vieille actrice »

Céline Dion au cinéma ? L’idée peut sembler saugrenue, et pourtant : dans son interview accordée à TVA au Canada, la chanteuse a dévoilé qu’elle pensait à l’avenir se reconvertir et devenir actrice.

« Ça fait très longtemps qu’on parle de cinéma. » Oui, Céline Dion veut devenir actrice. Au milieu d’une interview riche en émotions, la première depuis la mort de son époux René Angélil, la chanteuse a évoqué son futur. Le deuil ne lui fait pas oublier que sa carrière peut être encore longue – ni qu’elle peut par la suite se reconvertir. Et c’est bien devant les caméras que Céline Dion s’imagine continuer à aller à la rencontre de son public et de ses fans.

« Là ce n’est pas le moment, mais je pense que je vais être une bonne vieille actrice, assure-t-elle. Je pense que je vais être mieux plus tard. Je n’ai pas le visage cinématographique mignon français. Je veux faire du cinéma dans 15 ans. » Céline Dion s’imagine donc plutôt dans des rôles de femme âgée – elle aura alors 63 ans. Une forme agréable de retraite, pour celle qui a commencé sa carrière en 1980, à l’âge de 12 ans seulement.

Avant d’arriver sur les grands écrans, Céline Dion s’invitera toutefois plusieurs fois dans les bacs. Un nouvel album, en français, doit sortir cette année. Il comprendra notamment un morceau écrit par Jean-Jacques Goldman, pour la première fois en treize ans. La chanteuse a confié qu’elle enregistrerait par la suite un nouvel opus entièrement en anglais. Ses fans n’ont donc pas fini de l’entendre chanter.

Crédits photos : Jordan Strauss/AP/SIPA