Month: January 2020

Après 23 ans, la troupe de la Comédie-Française fait son grand retour dans la Cour d’Honneur du Palais des Papes, pour la 70e édition du Festival d’Avignon. En ouverture : Les Damnés, mis en scène par Ivo Van Hove, avec notamment Guillaume Gallienne. Révélé au grand public grâce à Guillaume et les garçons, à table !, l’acteur est bien décidé à tourner la page des rôles de travestis !

Ok, il préfère le dire dans la langue de Shakespeare, mais le message est clair : « I want my balls back ! ». C’est en ces termes, dit-il dans Théâtral magazine, qu’il s’est expliqué auprès d’Eric Ruf, le nouvel administrateur du Français. Et la raison pour laquelle il campe le personnage de Friedrich Bruckmann et non celui beaucoup plus ambigu sexuellement de Martin Von Essenbeck, dans Les damnés, pièce adaptée du chef-d’œuvre de Luchino Visconti. « J’ai rapidement prévenu Eric Ruf que j’angoissais beaucoup à l’idée de jouer Martin, dit-il. Je voyais la chose venir grosse comme une maison car ce personnage se travestit dans l’une des premières scènes du film. Mais pour tout vous dire, je n’en peux plus du travestissement. « I want my balls back » ai-je dit à Eric Ruf. Aujourd’hui, je veux jouer dans la peau d’un homme. Car aujourd’hui je m’aime en homme. »

Il avoue que Lucrèce Borgia, qu’il joua trois ans au Français, fut « l’une des expériences les plus douloureuses de [sa] vie ». En partie parce que « jouer dans la peau d’une femme n’est pas une mince affaire […] Il faut apprendre à recevoir, à encaisser, à assumer. Au théâtre, une femme impose un style de jeu concave et non convexe. C’est tout à fait autre chose. Et c’est épuisant. J’ai eu honte d’abandonner ce rôle avant la fin des représentations vis-à-vis du reste de la troupe. J’avais l’impression de passer pour un enfant gâté. ».

Ce 6 juillet, Guillaume Gallienne a donc ouvert les festivités à Avignon, dirigé par le Belge Ivo Van Hove, après quoi, il commencera le tournage de son second long-métrage Maryline, mettra en scène La Cenerentola de Rossini, à l’Opéra de Paris. Puis filera six mois en Grande-Bretagne pour enfiler le costume d’enseignant. Il donnera en effet des cours de théâtre à l’Université de Princeton. « Une façon de prendre du recul et de me ressourcer », résume-t-il.

Crédits photos : Abaca

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Encore un biopic pour Forest Whitaker ! Après “Le Majordome”, actuellement à l’affiche, l’acteur se glissera dans la peau de Colin Powell !

© Prokino Filmverleih

Forest Whitaker incarnera Colin Powell, selon une information de Variety. Un biopic est actuellement en préparation sur l’ancien secrétaire d’Etat américain. Sur un scénario d’Ed Whitworth, le film racontera plus précisément les coulisses du célèbre plaidoyer de Colin Powell en faveur de la guerre en Irak, en 2003.

Une histoire tragique, selon les termes du scénariste, qui considère que Powell “a fait ce choix qu’il regrette semble-t-il et était clairement une grosse erreur“

Un biopic de plus pour Forest Whitaker donc, qu’on a pu voir entre autres dans Le Dernier roi d’Ecosse ou plus récemment dans Le Majordome.

Le réalisateur de Powell n’est pas encore connu. Forest Whitaker, en plus de tenir le rôle principal, produira le film.

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BB avec AFP

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Marcus Thuram vient d’être sacré champion d’Europe des moins de 19 ans. Le fils de Lilian Thuram semble bien parti pour suivre les traces de son père.

Il est en train de se faire un prénom. Marcus Thuram, fils de Lilian Thuram, vient de remporter l’Euro des moins de 19 ans avec l’équipe de France. Son père était plutôt défense, lui s’est réservé le poste d’attaquant : Marcus Thuram brille à l’international mais aussi en France, où il a signé au FC Sochaux-Montélibard. Il y a remporté en 2015 la coupe Gambardella, nom donné à la coupe de France des moins de 19 ans.

Si Marcus Thuram fait fi de la pression sur le terrain pour réussir à marquer des buts, c’est qu’il ne ressent notamment pas de poids sur ses épaules concernant l’héritage qu’il doit porter. « Pour moi, ça n’a rien de difficile, ni de facile, de porter ce nom, a-t-il confié au journal Les Dernières Nouvelles d’Alsace. Les gens extérieurs peuvent penser que c’est un fardeau, mais pas du tout, ça ne change rien pour moi. » Est-ce que Lilian Thuram le coache, pour lui faire profiter de son passé de footballeur ? “C’est un papa avant tout, un papa qui n’est pas différent de tous les autres”, assure le jeune sportif. Mais un père qui connaît les arcanes du milieu. « Mon père m’a dit de fuir le bling-bling », confiait ainsi Marcus Thuram à L’Équipe en février dernier. De quoi se protéger d’éventuelles dérives.

À 18 ans, Marcus Thuram voit donc une belle carrière se profiler devant lui. Et il pourrait ne pas être le seul enfant Thuram à suivre dans les prochaines années : son petit frère Képhren, 15 ans, est déjà en formation à Clairefontaine.

Crédits photos : PATTIER MATHIEU/SIPA

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En 2007, le réalisateur de la trilogie “Mad Max” avait écrit un script pour les super-héros de DC Comics. Baptisé “Justice League: Mortal”, il est visible intégralement en ligne…

© Cartoon Network

Un film Justice League live sous la supervision de George “Mad Max” Miller, tel était le projet de Warner Bros. et DC Comics… en 2007. Malheureusement le projet n’a pas vu le jour (la stratégie mise en place depuis par le studio devrait logiquement, et enfin, mener vers le film mais avec un autre scénario).

Tous ceux qui avaient pu lire le scénario développé par Miller en avaient parlé en termes élogieux… et aujourd’hui ce script est disponible, en intégralité et gratuitement, en ligne. Bonne lecture !

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Thomas Destouches avec Blastr

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Les Jeux Olympiques de Rio ont cette année une équipe d’athlètes réfugiés. Leur portrait en images.

Ils n’auront ni bannière ni hymne officiel. Cela reste une immense chance pour ces dix athlètes choisis par le Comité internationale olympique (CIO) pour former une équipes de réfugiés. Sélectionnés sur leurs capacités sportives, leurs situations personnelles et la validité de leur statut de réfugié, vérifié par l’ONU. Parmi eux, cinq viennent du Soudan du Sud, en proie à une terrible guerre civile depuis 2013, et sont réfugiés depuis l’enfance dans des camps au Kenya. On compte également deux Syriens qui vivent en Belgique et en Allemagne, tous deux nageurs, et deux judokas originaires de République du Congo qui ont eux trouvé l’asile au Brésil.

La plus jeune s’appelle Yusra Mardini. Nageuse de 18 ans originaire de Damas, elle a déjà participé aux Championnats du monde de 2012 pour son pays. Pays qu’elle a fui par la suite pour l’Europe. Son histoire avait été médiatisée, car sa sœur et elle avait remorqué à la nage leur bateau qui prenait l’eau jusqu’aux côtes turques, sauvant ainsi des dizaines de personnes. Elle vit désormais en Allemagne.

Autre Syrien âgé de 25 ans, Anis Rami est lui réfugié en Belgique. Originaire d’Alep, il déclarait à la presse être “très fier” de participer aux Jeux Olympiques de Rio, sous les couleurs du CIO. “Mais je ressens un peu de tristesse de ne pas concourir en tant que Syrien. Nous représentons des personnes qui ont perdu leurs droits fondamentaux et font face à des injustices.”

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Les deux judokas originaires de République démocratique du Congo ont exactement le même parcours. Popole Misenga et Yolanda Mabika ont perdu leurs familles respectives au cours d’affrontement. C’est dans un centre pour enfants qu’ils ont découvert le judo. Maltraité par leur entraîneur qui confisquait leurs passeports, les privait de nourriture, et qui est allé jusqu’à enfermer Yolanda dans une cage lorsqu’elle subissait une défaite en tournoi, il ont profité du Championnat du Monde à Rio pour s’enfuir et demander l’asile au Brésil. “Peut-être que ma famille me verra et que nous serons réunis”, espérait la jeune femme de 28 ans dans son témoignage au CIO.

Crédits photos : Felipe Dana/AP/SIPA

Dans un pays où l’homosexualité est perçue comme une “maladie mentale” par une grande partie de la population, la ministre nouvellement nommée Ana Brnabic a décidé d’affirmer son homosexualité.

Elle s’appelle Ana Brnabic et a été nommée le 8 août ministre serbe de l’Autonomie locale. Dans un pays où il ne fait pas forcément bon être homosexuel, où les actes homophobes sont quotidiens et souvent violents, elle s’est ouvertement déclarée lesbienne. “Ses orientations personnelles ne m’intéressent pas, a déclaré le Premier ministre Aleksandar Vusic. Seuls les résultats de son travail comptent.” Ce qui est certain, c’est que c’est une première dans les pays des Balkans. Les organisations LGBT telles que Gay Straight Alliance ont même salué “un moment historique en Serbie, un grand pas dans la construction d’une société d’égalité des chances”.

Ana Brnabic a été éduquée aux Etats-Unis et en Angleterre et a 40 ans. Dans un pays où le clergé qualifie la Gay Pride de “parade tragicomique de la honte”, où le défilé a fait 150 blessés en 2010, majoritairement des policiers chargés de protéger la parade des militants anti-LGBT, le geste est évidemment très fort. Le gouvernement, qui se dit progressiste, met actuellement toutes les chances de son côté pour faire entrer la Serbie, où l’homosexualité a été dépénalisée en 1994, dans l’Union Européenne.

L’association Gay Straight Alliance a ajouté : “La participation politique des personnes LGBT est cruciale pour accroître la tolérance, réduire la discrimination et la violence contre la population LGBT.” En Serbie, l’homosexualité est encore bien trop souvent perçue comme une “maladie mentale” venue des pays de l’Ouest. Selon une enquête d’Euractiv, 63% des serbes homosexuels seraient en proie à des idées suicidaires. Espérons que Ana Brnabic servent d’exemple.

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Tout juste bombardé interprète du chanteur dans le biopic qui va être consacré à ce dernier, Tom Hardy a rencontré Sir Elton John à l’occasion d’une présentation du projet…

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Tom Hardy a l’habitude des métamorphoses, et celle qu’il devra accomplir pour se glisser dans l’habit de lumière du Rocketman Elton John promet d’ores et déjà d’être spectaculaire. En attendant le tournage, programmé pour l’automne 2014, les deux hommes se sont croisés, histoire que le chanteur adoube son double de cinéma… qu’on verra entretemps dans la peau de Mad Max. Métamorphose, toujours.

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Tom Hardy aime “La Haine” :

La Haine

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AG avec Coming Soon

Dans le JDD ce week-end, Sonia Rolland a tenu à mettre les points sur les “i” suite à la polémique autour de ses photos seins nus.

A la fin du mois d’août, Sonia Rolland profitait des derniers jours de vacances avec ses deux filles, Tess et Kahina sous le soleil d’Italie. Son mari, le cinéaste Jalil Lespert, n’a pas résisté à prendre quelques clichés de sa belle épouse, tranquillement installée sur bain de soleil. La sublime Miss France 2000 n’a sur elle qu’un borsalino et un bas de maillot de bain. Seins nus donc. Un problème pour certains, certainement pas pour Sonia Rolland qui a tenu à dire ce qu’elle en pensait à nos confrères du JDD.

“À 35 ans, j’ai la chance de pouvoir encore montrer mon corps.” on confirme, la plastique de la jeune femme est absolument irréprochable. Et quand bien même elle ne le serait pas, on devine à ses propos que la comédienne ne se serait pas privée de se montrer. “À travers cette photo, j’ai voulu envoyer un message aux femmes: soyez fières de ce que vous êtes.”

Elle va plus loin encore, et en faisant remarquer combien ces quelques clichés sont bien plus chics que vulgaires, Sonia Rolland évoque à mots couverts les dernières polémiques à propos des corps des femmes. “Dans le contexte actuel, il me semble important de rappeler que ce n’est pas mal d’avoir un corps, ni d’être sexy. Même si malheureusement, ce n’est pas le point de vue de tout le monde, la fierté d’une femme passe par là. On peut s’afficher sans vulgarité.”

Un coup de gueule tout en délicatesse qui devrait faire bonne pub à la jeune actrice, à retrouver bientôt dans Madame, d’Amanda Sthers.

Crédits photos : Non renseigné

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Accusée d’avoir fermé les yeux sur les abus sexuels subis par sa fille, la mère de Flavie Flament, Catherine, donne sa version des faits au magazine Closer.

L’autobiographie de Flavie Flament est sortie hier aux éditions JC Lattès. Son titre: La consolation. Dans ses pages, l’animatrice raconte avec horreur comment elle a été violée à l’âge de 13 ans par un homme adulte. Un homme que sa mère a laissé s’approcher d’elle, aveuglée, dit-elle, par sa célébrité. Devant ces terribles déclarations, Catherine, 64 ans, la mère de Flavie, a tenu à adresser un message au grand public par le biais du magazine Closer: « J’espère que ma fille trouvera un bon médecin qui lui donnera le bon traitement. Ma famille, mes amis pensent tous la même chose ». Sous-entend-elle par cette phrase énigmatique que sa fille a imaginé son agression?

Catherine ne prononce en tout cas pas un mot de plus dans les colonnes du magazine. La mère de famille n’a pas souhaité que l’intégralité de sa discussion avec le média soit divulguée. Tout juste a-t-elle confirmé ne pas avoir lu le livre de sa fille mais s’être contentée de jeter un œil à ses interviews. Une bien faible réaction face à d’aussi terribles accusations. Car si ce qu’avance Flavie Flament est vrai, sa mère a joué un rôle clé dans le viol sa fille mineur, décidant de fermer les yeux sur les préférences sexuelles d’un célèbre photographe. Quoi qu’il en soit, Flavie Flament a depuis bien longtemps coupé les ponts avec cette partie de sa famille. L’animatrice sait qu’elle peut compter sur le soutien sans faille de ses amis, de ses enfants, de son ex-époux, Benjamin Castaldi et, maintenant que son autobiographie a été publiée, d’une grande partie de l’opinion publique.

Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE

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Birtney Spears vient de dévoiler Make Me, le premier single de son prochain album. Un concentré de sensualité, autant dans les paroles que dans les premières images du clip révélées par la star.

Elle est de retour. Britney a enfin dévoilé son nouveau single, jeudi 14 juillet. Le sulfureux Make Me valait bien quelques semaines d’attente. Ce titre inédit, co-signé avec le rappeur américain G-Easy est le premier extrait du neuvième album studio de la chanteuse. La reine de la pop avait créé l’événement le mois dernier en partageant une photo d’elle en compagnie de l’artiste californien.

Sur la couverture du single, publiée par la chanteuse sur son compte Twitter, Britney apparaît très dénudée, ses formes simplement couvertes par un ensemble en voiles blancs. Lors du tournage du clip, qui n’est pas encore disponible, la jeune femme, maman de deux adorables bambins, avait rendu les fans hystériques en postant une photo d’elle en tenue sexy, entourée de danseurs torse-nus. La vidéo promet d’être très sensuelle, en accord avec les paroles de la chanson Make me.

«Fais-moi ooh, fais-moi ooh» chante la célèbre blonde dans cette nouvelle création. «Je veux que tu me fasses bouger, comme si tu avais un devoir à accomplir…» renchérit-elle de sa voix suave, multipliant les propos provocateurs comme à son habitude. A propos de ce nouveau single, Britney Spears a récemment déclaré à V Magazine: «J’estime que c’est ce que j’ai fait de mieux depuis longtemps. J’en suis vraiment fière, parce que c’est différent. Ce n’est pas du tout ce à quoi on s’attend.»

Make Me marque le grand retour musical de la starlette, depuis sa collaboration avec la rappeuse Iggy Azalea en 2015, sur le titre Pretty Girls. Un retour réussi puisque ce nouveau titre a de grandes chances de figurer en bonne place parmi les tubes de l’été 2016.