Month: February 2020

Alors que nous venons à peine d’en découvrir les premières images, la nouvelle émission de France 5, présentée par Alessandra Sublet, Fais-moi une place, est déjà au coeur d’une polémique. Une journaliste indépendante accuse la société productrice du programme de lui avoir volé son concept. Ça commence mal…

La diffusion de Fais-moi une place, la nouvelle émission de la pétillante Alessandra Sublet, est prévue pour le 27 octobre prochain, en prime time, sur France 5. Mais la justice pourrait bien en décider autrement. Une journaliste indépendante, Céline Alonzo, accuse la société de production 3ème Oeil d’avoir plagié l’un de ses concepts, et de l’en avoir évincée. Par voie d’avocat, elle réclame de «cesser toute exploitation de ce programme» et d’en suspendre la diffusion.

Au micro d’Europe 1, la journaliste a précisé que ce genre de pratiques était courante dans le milieu de la production, et qu’elle allait se «battre pour obtenir réparation». Dans une lettre, publiée par Europe 1, envoyée au directeur de la société de production, mais aussi au directeur des programmes de France 5, et à Alessandra Sublet (qui, selon la plaignante, «ne doit même pas être au courant du comportement de 3ème oeil» à son égard), Céline Alonzo démontre point par point que le concept de Fais-moi une place est largement inspiré de celui qu’elle développe depuis 2012.

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Elle avait choisi non pas Fais-moi une place pour titre, mais Passions de star, et proposait qu’une personnalité «nous (ouvre) les portes de sa maison ou de son refuge et nous (fasse) visiter son jardin secret»: «Elle nous emmènera à la rencontre de personnages qu’elle affectionne tout particulièrement», «Nous fera découvrir ses activités préférées, ses adresses favorites, ses lieux de prédilection». Il est vrai que le concept présenté par la direction des programmes de France 5 ressemble (étrangement?) à celui développé par Céline Alonzo: «Alessandra Sublet partira à la rencontre de personnalités du monde artistique dans leur région, dans leur maison pour qu’ils nous fassent découvrir leur région, leur amis, tout ce qui compte pour eux dans le lieu où ils habitent».

Dans son courrier, Céline Alonzo explique qu’avec la directrice du développement de 3ème Oeil, elle avait déjà démarché des chaines, et avait même obtenu une réponse positive, en bref, un achat de son programme. Mais dévoile-t-elle, «le 14 juin, (cette personne) nous as reçu,Pierre Quatrefages (le réalisateur) et moi-même, dans vos locaux (3ème Oeil) pour parler de la mise en scène de cette émission. Lors de cette réunion, elle nous a alors annoncé, froidement qu’elle développait avec Alessandra Sublet une émission identique à mon concept et qu’il faudrait donc, pour laisser le champ libre à 3ème Œil, que je renonce à la présentation de cette émission et que si je souhaitais en poursuivre son exploitation, j’en supprime des séquences notamment celles chez la star. J’en ai été extrêmement choquée».

Si la société de production accusée de plagiat dit à Europe 1 n’«avoir reçu un quelconque référé de la part de Céline Alonzo», toujours selon la radio, «une procédure de référé et une instance de fond ont été engagées». La journaliste, très en colère, a fait adresser par son avocate à France 5 une mise en demeure «de cesser toute exploitation de ce programme» et «de suspendre la diffusion de ce programme», prévue le 27 octobre prochain, et dont les premières images ont été dévoilées il ya quelques jours. Si Alessandra Sublet revient sur nos écrans, ce sera-malheureusement pour elle- comme elle est partie, dans l’agitation cathodique.

Cinq mois avant l’élection de la Mairie de Paris, la candidate UMP Nathalie Kosciusko-Morizet s’est rendue sur le plateau du Grand Journal pour parler de sa campagne et de son programme. Mais aussi de sa coupe de cheveux qui a beaucoup intrigué les journalistes politiques.

Ce n’est pas parce que l’on dit que les femmes se crêpent le chignon qu’il faut systématiser les discussions de salon de coiffure. Surtout sur un plateau télévisé d’une émission qui tente d’élever le débat. Nathalie Kosciusko-Morizet, qui brigue le siège de maire de Paris, s’est vue limitée par ses interlocuteurs à un pur produit de l’industrie féminine. Interrogée sur sa stratégie de campagne par Jean-Michel Aphatie et Hélène Jouan, ce ne sont pas ses dossiers prioritaires qui ont été mis en exergue mais bien sa nouvelle coiffure. «Il y a un effort que vous faites là sur la com, vos cheveux?», s’interroge Hélène Jouan, aussitôt suivie par Aphatie. «C’est de la com’ vos cheveux? Tout le monde a remarqué!»

Face à une telle insistance, NKM choisit l’humour. «Je comprends Monsieur Aphatie que ça vous fasse quelque chose, s’amuse-t-elle. Mais vous allez sur Google, vous allez voir qu’environ tous les deux ans j’ai la même coupe de cheveux.» La même, à quelques détails près. Puisque la femme politique confie. «J’y suis allée un peu plus fort, allez je vous dit tout. J’ai rencontré un coiffeur. C’est mon amie Muriel Mayette (la femme de Gérard Holtz ndlr), secrétaire générale de la Comédie Française, qui m’a présentée son coiffeur durant un diner. Il m’a parlée de tout sauf de cheveux, je l’ai trouvé formidable. Il s’appelle Hervé Boudon», et de finir en donnant son adresse. Un bon coup de pub.

Le choix capillaire de Nathalie Kosciusko-Morizet se transforme en un débat de fond, Antoine de Caunes demandant même au candidat PS à la Mairie de Marseille, Patrick Mennucci, son avis sur la question. Agacée, NKM entreprend de recadrer le débat. «Sans vouloir offenser personne, je n’ai pas prévu de faire un sondage sur le sujet, je m’en moque, je me coiffe comme j’ai envie de me coiffer, j’aimerais bien qu’on parle de mes propositions si vous le voulez bien.» Une discrétion partagée avec son nouveau coiffeur fétiche, dont le salon n’a pas souhaité s’exprimer.

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Les intervieweurs politiques du Grand Journal, à défaut de déflorer une actualité chaude – le Canard Enchaîné en septembre dernier déjà parlait de la nouvelle coupe de la candidate UMP – nous ont permis un petit focus sur ladite coiffure. Une coupe mi-longue wavy, subtilement rehaussée de reflets dorés pour illuminer son roux cuivré. Et qui change résolument de son sempiternel combo chignon-tresses. A quand un petit précis des coiffures des politiques Monsieur Aphatie, tous sexes confondus?

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Il était le créateur des romans d’espionnage à succès SAS, l’écrivain Gérard de Villiers est mort à 83 ans, hier, à Paris. Son héro, le prince Malko Linge, s’éteint avec lui.

«Il avait souhaité que son décès soit annoncé comme cela», par un tweet de son avocat Me Eric Morain: «#SAS le Prince Malko Linge est orphelin: l’écrivain #Gérard de Villiers est décédé hier à Paris à 83 ans des suites d’une longue maladie» écrit-t-il ce matin sur son compte Twitter. Depuis 1965, et la publication de SAS à Istanbul, l’auteur sortait chaque année quatre ou cinq exemplaires de ses romans d’espionnage. Il va laisser un grand vide chez ses fans.

À travers le monde, grâce à des traductions en italien, allemand, grec, russe, japonais et même coréen, il en avait «sans doute» vendu «entre 120 et 150 millions tous pays confondus», disait-il. Une réussite qu’il devait à un concept simple, mais efficace. Un SAS, c’est le prix d’un paquet de cigarettes, sauf qu’au lieu d’y trouver des poumons abîmés par le goudron, les lecteurs pouvaient profiter d’une femme à la poitrine généreuse en couverture.

Quant à l’histoire, celle de son altesse sérénissime (SAS) le prince Malko Linge, aristocrate autrichien désargenté et agent contractuel de la CIA pour payer les réparations du château de famille qui va traquer tous les méchants de la terre, communistes entre 1970 et 1980, puis djihadistes à partir des années 1990, si elle plait autant, c’est parce que les livres de Gérard de Villiers mélangent, tous scènes de sexe hard, violence, exotisme et beaucoup de géopolitique. Un cocktail détonant.

Alors que les associations féministes et anti-racistes l’épinglaient régulièrement pour machisme et racisme, en début d’année, le New York Times l’a consacré «auteur de romans d’espionnage qui en savait trop». Gérard de Villiers expliquait «faire un genre de feuilleton géopolitique», allant sur place rencontrer «des journalistes, des diplomates, des gens des services qu'(il) connaît pour certains depuis vingt ou trente ans».

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Bien documenté, à tel point que ces romans en devenaient parfois prémonitoires… Par exemple, il avait révélé l’existence d’un centre de commandement secret de la CIA dans la ville de Benghazi, berceau de la révolte libyenne, dans son SAS, Les Fous de Benghazi. Pas «devin» assurait-il, juste un faiseur d’«hypothèses à partir de pays que je connais bien». Ses deux SAS à venir, les 198èmes et 199èmes, seront consacrés à l’Afghanistan. Un sujet concernant pour la France dont des militaires opèrent encore sur le terrain.

Invité à s’exprimer sur le climat nauséabond qui règne en France en ce moment et sur la une que Minute a consacrée à Christiane Taubira, Jamel Debbouze n’y est pas allé par quatre chemins. Il traite les gens du journal d’extrême droite de «débiles mentaux» et donne son avis sur le racisme qui règne dans le pays.

Après s’être moqué d’Alain Delon sur ses positions pro FN, Jamel Debbouze ne pouvait pas rester muet sur la polémique autour de la une scandaleuse de Minute sur Christiane Taubira. Invité de Thomas Sotto dans la matinale d’Europe 1, l’humoriste a réagi au titre du journal d’extrême droite «Maline comme un singe, Christiane Taubira retrouve la banane». «Ça me conforte dans l’idée que ce sont des débiles mentaux. Je n’ai même pas d’avis tant j’estime que ça ne mérite pas qu’on en parle» s’est-il emporté, sans aucun humour cette fois. Jamel n’a pas envie de rigoler, le sujet est trop grave.

En revanche, il n’est pas pour interdire la publication du journal. «Ce serait dommage, on pourrait pas se rendre compte qu’ils sont cons, débiles, et ça viendrait discuter la liberté d’expression, explique-t-il. Non, franchement, laissons les imbéciles dire tout et n’importe quoi et ne leur accordons pas d’importance. Non, que ce soit Minute ou Jean-Marine Le Pen, juste le fait de les citer, ça m’énerve ! J’ai l’impression de leur rendre service».

Quant au climat ambiant, de plus en plus pesant, Jamel affirme: «Je sais que la France n’est pas raciste, même s’il y a du racisme. Il y a une vraie nuance». Un constat qu’il fait alors qu’il se produit un peu dans le pays avec son spectacle. «Evidemment, dans les campagnes, il y a du racisme parce qu’ils n’ont jamais eu affaire à des étrangers, analyse-t-il. Parce qu’une fois qu’ils font connaissance, la question ne se pose plus. La France doit faire connaissance avec elle-même et les choses s’atténueront».

Jamel Debbouze lance alors un appel aux politiques: «je supplie le gouvernement de trouver des solutions pour le chômage, parce que ça aussi ça réglera des choses». Décidément, l’heure n’était pas à la rigolade ce matin.

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David Guetta a du coeur, et l’ONU l’en remercie. Le DJ Français vient de s’engager auprès de l’organisation internationale pour venir en aide aux personnes les plus démunis. Vendredi soir, il était au siège de l’Organisation des Nations Unis à New York pour lancer son projet de hashtag militant.

«Si nous pouvons faire une différence en disant simplement ce dont le monde a besoin et aider à collecter des fonds pour l’ONU, je suis partant», s’enthousiasme David Guetta dans un communiqué de l’ONU publié vendredi. David Guetta n’est pas seulement un artiste à succès, c’est aussi un militant prêt à s’engager auprès des Nations Unies pour financer une campagne d’aide humanitaire. Avec The World needs More, le DJ espère venir en aide aux sinistrés du typhon aux Philippines et aux victimes de la guerre en Syrie.

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Le principe est simple, David Guetta va verser 1 dollar à l’ONU à chaque fois que, sur Twitter, le mot #love sera tweeté après #theworlneedsmore. En bref, il sponsorise un mot. Un système auquel vont adhérer de nombreuses entreprises et banques. La marque de vêtement de luxe, Gucci, a par exemple choisi de soutenir le mot #strenght (force en VF). Une action que David Guetta a présentée vendredi soir, à New York, au siège de l’ONU, où pour l’occasion était projeté sur le mur de l’édifice le clip de son single One Voice, sur lequel chante Mikky Ekko.

Ban Ki-Moon, le secrétaire général de l’ONU, avec qui le DJ a pris la pose, semblait ravi de cette initiative, et a salué «l’humanité» et «la solidarité» de l’artiste. Ensemble, les deux hommes avaient déjà visité le siège de l’organisation internationale. Espérons que l’engagement de David Guetta fasse des émules dans la planète people. Déjà en Angleterre, les membres du groupe One Direction se sont mobilisés pour recueillir les dons en faveur des sinistrés du typhon Hayian qui a fait plus de 5 200 morts aux Philippines.

Pour son deuxième film en tant que réalisatrice, après Quand la mer monte, Yolande Moreau signe un film sensible et poétique qu’elle a présenté à la Quinzaine des réalisateurs lors du dernier festival de Cannes.

Henri, c’est le patron d’un petit restaurant d’une bourgade belge qu’il tient avec sa femme Rita (jouée par Lio). Mutique et alcoolique, il se réfugie dans l’observation des pigeons et vit dans l’ombre de sa charmante épouse qui attire tous les regards. Jusqu’au jour où Rita meurt subitement. Pour l’aider à tenir son troquet, sa fille a l’idée de faire appel à un «papillon blanc», surnom donné aux jeunes handicapés qui vivent dans un foyer spécialisé. Avec l’arrivée de Rosette, la vie d’Henri va se rallumer. Il va progressivement découvrir de nouveaux horizons et connaître une sorte de renaissance.

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Neuf après Quand la mer monte, qui a reçu le César du premier film, Yolande Moreau passe à nouveau derrière la caméra. On savait que l’actrice avait un monde dans sa tête, elle en apporte la brillante démonstration une nouvelle fois. Henri fait preuve d’une belle finesse, de sensibilité et d’une véritable poésie. Son observation des petits gestes du quotidien et de la rencontre de ses deux paumés de la vie fait mouche. Yolande Moreau est bien aidée en cela par ses deux formidables interprètes: Pippo Delbono, un acteur italien méconnu mais qui ne devrait pas le rester très longtemps avec ce rôle tout en silences et retenue, et Candy Ming, jeune actrice dont l’innocence apporte une belle fraîcheur au film.

De et avec Yolande Moreau, et avec Pippo Delbono, Candy Ming, Lio, Jackie Berroyer. 1h45.

Deux ans après son divorce de Manu Payet, Géraldine Nakache vit une belle histoire d’amour comme elle l’a confié de manière sybilline au quotidien Libération.

«Non, il n’est pas dans le cinéma ; oui, je suis très contente mais là, j’ai pour projet d’un petit peu dormir». Quand il s’agit de parler de sa vie privée, Géraldine Nakache est avare en confidences comme ont pu le constater les lecteurs du quotidien Libération qui consacrait sa sacro-sainte dernière page à l’actrice hier.

Volubile quand elle est questionnée sur son métier, l’actrice actuellement à l’affiche du film Je fais le mort de Jean-Paul Salomé, se montre très réservée pour préserver son jardin secret. On en saura donc pas d’avantage pour l’instant sur celui qui partage aujourd’hui sa vie.

En novembre 2012, la meilleure amie de Leïla Bekhti avait cependant livré quelques confidences croustillantes sur les qualités requises pour être son prince charmant. À la question «Comment un homme doit se comporter pour vous séduire?», la pétillante brune avait lancé: «C’est assez impalpable ces choses-là… Je crois que j’aime voir tout ce qu’il ne me montre pas.» Qu’est-ce qui l’attire chez un homme? «Je ne sais pas trop… Si je fais le bilan, je constate que tous les hommes avec qui j’étais ne se ressemblaient pas! Évidemment, j’aime les hommes qui ont de l’humour, qui sont généreux envers les autres mais aussi envers eux-mêmes. Les hommes qui se prennent au sérieux, et le premier degré en général, me glacent. Enfin j’avoue, ça me fascine aussi mais… ça me glace!».

Le nouvel amoureux de la belle brune répond-t-il à ses critères? Il faudra attendre ses prochaines confidences pour le savoir…

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Les fêtes ne sont pas seulement familiales, elles sont aussi romantiques parfois. Inséparables et bien décidés à s’engager davantage, Ashton Kutcher et Mila Kunis passent ensemble le réveillon chez les parents du beau brun, dans l’Iowa, aux Etats-Unis.

Tandis que certains déballeront leurs cadeaux chacun de leur côté, d’autres ont prévu de profiter des vacances pour ne pas se lâcher d’une semelle. Ashton Kutcher et Mila Kunis, difficilement visibles l’un sans l’autre après un peu plus d’un an de relation, passeront Noël main dans la main, affirme le magazine Life and Style. Selon leurs sources, le couple serait déjà à Cedar Rapids, dans l’Iowa, où il a retrouvé les parents, les tantes, les neveux et nièces d’Ashton Kutcher.

« Ils ont pris l’avion le 14 décembre et resteront sur place jusqu’au lendemain de Noël, comme ils l’ont fait l’an dernier » aurait confié un proche au journal. Leur emploi du temps pourrait même être retracé dans le détail puisque d’après les informations qu’ils ont laissé filtré, les tourtereaux seraient attendus pour le réveillon chez la maman d’Ashton et chez monsieur Kutcher le lendemain, jour de Noël. « Ils adorent sortir avec cette grande famille, et ils adorent passer du temps avec les enfants pendant les vacances (…) Ashton adore jouer l’oncle sympa et maladroit. Il aime rentrer à la maison et être un mec normal », a ajouté cette même source.

Mila Kunis et son homme auraient été aperçus dans les magasins de la ville en train de faire des courses de dernière minute. Un témoin cité par Life and Style les dit ainsi « toujours calmes et décontractés quand ils sont ici ». « On voit qu’Ashton aime être à la maison et avoir Mila avec lui ». Pantouflards les deux sex-symbols? Les rumeurs les disent en tout cas prêts à s’installer et à officialiser leur relation par un mariage… si ce n’est par une naissance. 2014, l’année de la famille Kunis-Kutcher?

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Pour avoir insinué, dans un trait d’humour lors d’un entretien au journal Le Progrès, que le commissaire Michel Neyret avait peut-être volé une partie du butin de Toni Musulin, François Cluzet est aujourd’hui assigné en justice, selon RTL.

Comme dirait le chanteur Bénabar, c’est l’effet papillon. En mars 2013, pendant la promotion du film 11.6 de Philippe Godeau, François Cluzet s’était laissé aller à une petite blague qui a aujourd’hui de grosses conséquences. Alors que dans 11.6 il campe le rôle de Toni Musulin, ce convoyeur de fonds qui, en 2009, fit le casse de la décennie en détournant 11,6 millions d’euros, l’acteur a plaisanté au sujet d’une partie de la somme totale (2,5 millions précisément), volée et jamais retrouvée : «Si [Toni Musulin] n’a plus rien à sa sortie, c’est que Michel Neyret aura piqué son butin…».

Une boutade qui avait fait la une du journal, mais qui n’avait pas du tout amusé le principal intéressé. Celui-ci, ancien n°2 de la police lyonnaise, avait été soupçonné de corruption en 2011, ce qui lui a valu d’être radié de la police nationale. Et de susciter la méfiance de François Cluzet. Scandalisé, il avait alors démenti les propos de l’acteur en expliquant qu’il n’était pas présent à Lyon, lieu du casse, au moment de l’interpellation de Toni Musulin. Avant de porter plainte, le 19 mars, contre le l’acteur d’Intouchables (qui, judiciairement, ne l’est en fait pas tant que cela) et contre le journal qui avait publié ses propos, qu’il dénonçait comme étant une «une attaque scandaleuse, à caractère diffamatoire» qui, «quel que soit le ton employé, [allait] nourrir l’imaginaire collectif».

Ainsi, environ dix mois après ce dépôt de plainte, François Cluzet a, cet après-midi, été convoqué par un juge lyonnais qui l’a brièvement entendu. Il sera prochainement renvoyé devant le tribunal correctionnel pour qui il « garde ses explications », précise son avocat, Maître Pascal Garbarini.

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Bref, les blagues c’est comme les tweets, il faut réfléchir à deux fois avant de les balancer.

Actuellement en Australie pour le tournage de son second film, Angelina Jolie s’est rendue hier à une fête avec son homme, Brad Pitt. L’occasion pour eux de côtoyer leurs adorateurs, comme de vraies stars.

C’est tout sourire que les Brangelina sont arrivés devant le Shipwrecked, un simple bar à fruits de mer sur Airlie Beach (côte sud-est de l’Australie) où se tenait une « wrap party » – traduisez une fête intimiste. Organisée en l’honneur du tournage du nouveau long-métrage d’Angelina Jolie en tant que réalisatrice, Unbroken, on pouvait, selon une source E!News, y croiser l’acteur australien Jail Courtney ainsi que l’interprète de l’aviateur Louis Zamperini, Jack O’Connell (24 ans) connu pour avoir joué dans la série Skins. Mais les plus attendus de la soirée étaient bien évidemment le coupe mythique d’Hollywood. Un parterre de fans était même là pour les accueillir, des étoiles dans les yeux et leurs Smartphones à la main. Touchés, Brad et Angie se sont alors mêlés aux badauds sans se faire prier, serrant des mains et adressant des coucous à tout va.

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Abordables et transpirant le bonheur, ceux que l’on soupçonne de s’être mariés en secret se tenaient amoureusement par la main. Brad Pitt semblait même très protecteur avec sa compagne, bientôt à l’affiche du Disney Maléfique, qui s’est récemment fait opérée des deux seins afin d’éviter le cancer dont est morte sa mère.La silhouette toujours aussi longiligne, celle qui fut distinguée en novembre 2013 pour son action humanitaire portait un pantalon cigarette noir et un débardeur assorti. Son chéri, lui, avec sa nouvelle coupe iroquoise –pour les besoin de son prochain film Fury– était vêtu d’un lourd pantalon beige, d’une chemise d’été blanche et de chaussures à mi-chemin entre les baskets et les rangers. On l’a connu plus glamour (mais c’était il y a longtemps)…

Arrivés vers 20h30, les deux tourtereaux ne sont pas restés très longtemps à cette « wrap party ». A peine plus de deux heures. Étonnant quand on sait que Brad Pitt, dans sa jeunesse, était un grand fêtard. Mais à 50 ans, le beau gosse d’Entretien avec un Vampire qui traumatisait la belle Kristen Dunsta changé pour l’amour de son Angie Jolie. Il faut dire aussi que leurs six enfants, qui ont eux aussi fait le déplacement au pays des kangourous, les attendaient patiemment à la maison. Quant aux convives, ils ont tous quitté les lieux vers une heure du matin.

Après Au pays du sang et du miel, Angelina Jolie reprend donc la casquette de réalisateur pour raconter, dans Unbroken, l’histoire de trois rescapés d’un crash d’avion en 1942 (dont Louis Zamperini), obligés de survivre 47 jours en pleine mer avant d’être faits prisonniers par la marine japonaise durant la Seconde Guerre Mondiale. Sa sortie prévue en salle le 21 janvier 2015 ravira donc les fans de celle qui a si bien su leur rendre leur affection hier soir.

Pour voir les photos de Brad et Angie, cliquez ici et là.