Vincent Cassel et Léa Seydoux: un festival de belles sur le tapis rouge

Samedi soir, le cinéma Gaumont Opéra Capucines de Paris accueillait l’avant-première du film La Belle et la Bête, qui sera en salles dès mercredi. Une foule de célébrités avait fait le déplacement.

La Belle et la Bête, inspiré du conte de Madame de Villeneuve, a été réinterprété plusieurs fois à l’écran, au théâtre, en littérature et plus récemment en comédie musicale. La dernière en date est une adaptation au cinéma dirigée par Christophe Gans et dont les rôles sont portés par Léa Seydoux et Vincent Cassel. En salle mercredi, le film s’offrait une avant-première dont le red carpet était généreusement garni.

Bien entendu, les deux acteurs étaient présents. Léa Seydoux, dans une robe signée Elie Saab, et Vincent Cassel, bien loin d’être monstrueux, avaient à leurs côtés famille et amis, parmi lesquels la jeune Adèle Exarchopoulos qui semble inséparable de la comédienne depuis le carton de La vie d’Adèle. On les retrouvera d’ailleurs toutes les deux, d’ici quelques jours pour la cérémonie des Césars où elles sont nommées l’une et l’autre.

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Yoann Fréget, heureux gagnant de la deuxième saison de The Voice, était présent lui aussi : c’est lui qui interprète la chanson du générique, Sauras-tu m’aimer.

Peut-être lassés des survêtements, Laura Flessel, Muriel Hermine et Nelson Monfort ont préféré se rendre accompagnés de leurs enfants à l’événement plutôt que de suivre les JO de Sotchi à la télévision. Didier Bourdon, comme Bernard Campan, deux des célèbres trois frères, dont la suite, 15 ans après le premier volet, sortira également mercredi, se sont eux aussi déplacés en famille pour découvrir le film.

On note aussi la présence surprenante de Salma Hayek, venue avec son homme et sa fille, visiblement ravis, ainsi que celle de Roman Polanski et Jean-Pierre Marielle, en charmante compagnie. D’autres, tels qu’Audrey Lamy, Laurent Lafitte, Louis Chédid ou encore Sheila, étaient là, tout sourire, pour fêter la sortie du film. Découvrez dans notre diaporama les autres personnalités de ce tapis rouge de prestige.

Le père de Beyoncé doit de l’argent à son ex-maîtresse

Selon le site TMZ, le père de Beyoncé, Mathew Knowles, ne paierait plus la pension alimentaire qu’il doit à son ancienne maîtresse, la mère de Nixon, 3 ans.

Le père de Beyoncé, qui est aussi son ancien manager, semble avoir quelques soucis financiers. Matthew Knowles ne paierait plus la pension alimentaire de Nixon, le fils qu’il a eu d’une relation avec son ancienne maîtresse, Alexsandra Wright. C’était également le site TMZ qui avait révélé l’histoire: en mars 2010, un test ADN avait démontré que Mathew Knowles était en effet le père de Nixon, né en février 2010 d’une relation illégitime avec Alexsandra Wright. Cet adultère a alors causé le divorce des parents de Beyoncé après 33 années de mariage.

Mathew Knowles, qui serait redevable d’un peu plus de 32 000 dollars à son ancienne maîtresse, pourrait tenter d’obtenir une aide financière de sa fille, qui gagne plusieurs millions par an grâce à ses shows et ses albums.Mais il y a peu de chance que Queen B mette la main au portefeuille, elle qui avait boycotté le remariage de son père l’été dernier avec l’ancien mannequin Gena Charmaine Avery.

Et pendant ce temps, cette pauvre Alexsandra Wright serait contrainte de nourrir son enfant de trois ans avec des bons alimentaires…

Arielle Dombasle heureuse de ne pas avoir eu d’enfants

Dimanche, dans l’émission Fais-moi une place et face à Alessandra Sublet, Arielle Dombasle est revenue sur sa vie et les décisions qui l’ont jalonnée. Notamment celle de ne pas être mère.

Cela faisait dix-huit ans qu’Arielle Dombasle n’était pas retournée sur ses terres natales, dans la région de Vale de Bravo, à deux heures de Mexico. C’est là-bas que cette iconique militante des droits homosexuels a passé son enfance et qu’elle a accueilli l’animatrice Alessandra Sublet pour le troisième épisode de l’émission Fais-moi une place. Après Carole Bouquet en Sicile, et Pierre Peret en Irlande, Arielle Dombasle a livré ses souvenirs sans retenue, évoquant sa famille, son adolescence et le fait qu’elle n’ait jamais connu les joies de la maternité.

«Les enfants, c’est extrêmement compliqué, c’est une énigme à mes yeux. Mais j’ai toujours été farouchement heureuse de ne pas avoir d’enfants», confie la diva blonde de 55 ans. Balançant entre fascination pour ces petits adultes en devenir et crainte, celle qui reprenait Porque te vas en 2011 explique son absence d’envie de pouponner par un ardent désir d’indépendance: «J’aime cette liberté. J’ai l’impression que je suis l’éternelle fille […] ça me fait traverser le temps d’une manière spéciale. Et maintenait que je n’ai plus de parents, je suis un électron totalement libre». Dans GQ, en 2010, elle ajoutait même: «J’imagine toujours que je serais la seule de ma catégorie, qu’avec moi s’éteindrait quelque chose et que j’allais être quelque chose d’unique. J’aime cette idée de ne pas me reproduire».

Un avis qu’elle partage avec son mari depuis 1993, l’intellectuel français Bernard-Henri Lévy, puisque le couple n’a semble-t-il jamais souffert de ce manque. Au contraire, malgré des rumeurs de séparations il y a quelques années, ils s’aiment comme au premier jour. «BHL est mon dernier mari [Arielle Dombasle a été mariée une première fois en 1976 avec Paul Albou, ndlr], mais c’est en fait mon premier mari et le seul. Le plus beau jour de ma vie était mon mariage à Saint-Paul-de-Vence avec Bernard-Henri», ajoute-t-elle d’ailleurs au cours de son tête-à-tête avec Alessandra Sublet. «Je trouve que vivre avec quelqu’un tous les jours et cette surprise de l’amour où rien n’est jamais acquis, j’adore. C’est mon idéal».

Des révélations qui font écho à sa réflexion, en octobre dernier, sur cette phrase du poète et cinéaste Jean Cocteau: “Dans la vie on ne regrette que ce qu’on n’a pas fait”. Ce à quoi la belle Arielle avait répondu : «Je suis quelqu’un qui ne s’interdit pas grand-chose. Mais c’est très difficile à maintenir comme principe de vie – parfois il serait plus confortable de ne rien faire!».

Ashton Kutcher veut être le meilleur des papas

Bientôt papa! Ashton Kutcher va être père pour la première fois: Mila Kunis est enceinte. Et s’il a déjà été beau-père lorsqu’il était en couple avec Demi Moore, il n’a jamais eu à s’occuper d’enfants qui soient les siens – encore moins de nouveaux nés. C’est donc tout naturellement qu’il a demandé conseil à certains de ses plus proches amis.

La star de Mon Oncle Charlie commence à appréhender son futur statut de père. Selon une source citée par le webzine Female First, Ashton Kutcher aurait posé quelques questions à Danny Masterson, l’un des acteurs de la série That 70 Show qui l’a fait connaître. La femme de celui-ci a en effet accouché d’une petite fille le mois dernier.

« Ashton a demandé à Danny ce que ça faisait d’être papa, a expliqué l’informateur de Female First. Il lui a demandé s’il s’était vraiment senti prêt. Et ils ont même déjà prévu de faire jouer les enfants ensemble ! »

De son côté, Mila Kunis se prépare à sa future maternité: « elle ne pense qu’à ça, à devenir mère », a expliqué la source bien informée. Avant de s’épancher sur un autre sujet brûlant pour le couple: « Ils ne sont pas pressés de se marier. Ce sera un mariage très intime et privé ». Celle qui incarne l’autre Black Swan de Darren Aronovsky, ne semble pas avoir été refroidie en apprenant que le père de son futur enfant figurait sur la sex-list de Lindsay Lohan…

Shopping Ciné : le livre-coffret DVD “Marlon Brando, le monstre sacré”

A l’approche de Noël, la Fnac lance une série de quatre superbes ouvrages consacrés à des acteurs légendaires d’Hollywood. L’un d’entre eux porte sur Marlon Brando et est accompagné de quatre DVD sur lesquels figurent certains de ses films cultes : “Un tramway nommé désir”, “Sur les quais”, “L’Homme à la peau de serpent” et “Le Dernier tango à Paris”.

Rebelle, séducteur, dur à cuire, névrosé… Il a été tout ça à la fois, Marlon Brando. Un acteur qui, malgré son sérieux penchant à l’autodestruction, reste une référence de jeu incontournable pour toutes les générations de comédiens qui ont suivi, de De Niro à DiCaprio en passant par Sean Penn. La Fnac a décidé de lui rendre hommage en lui consacrant un très bel ouvrage en édition limitée à l’intérieur duquel se trouvent 4 dvd de ses plus célèbres chefs d’oeuvre : Un tramway nommé désir (1951), Sur les quais (1954), L’Homme à la peau de serpent (1959) et Le Dernier Tango à Paris (1972). Superbement illustré de photos rares ou inédites, ce livre aborde également, à travers 10 dates-clés, les moments forts de sa vie d’artiste : sa formation à l’Actors Studio, son accession au rang de star avec l’adaptation de la pièce de Tennessee Williams, ses collaborations répétées avec Elia Kazan, son comportement inacceptable sur certains tournages (Les Révoltés du Bounty notamment), sa composition légendaire du Parrain, ses choix artistiques hasardeux, sa déchéance… Autant d’exploits et de scandales qui, à eux seuls, justifient son statut de légende du cinéma.

“Marlon Brando, le monstre sacré” – édité par la Fnac, 80 pages, 40 €.

G.M.


La bande-annonce de “Un tramway nommé désir”

La bande-annonce de “Sur les quais”

Un extrait de “L’Homme à la peau de serpent”

La bande-annonce du “Dernier tango à Paris”

Frédéric Lopez: Place à l’humour

Récemment élu par le magazine Stratégies comme animateur préféré des Français, Frédéric Lopez va se lancer dans un nouveau programme. Interviewé ce mardi dans Le Parisien, le présentateur a livré quelques informations sur cette future émission basée sur l’humour.

Depuis plusieurs années, Frédéric Lopez s’est installé dans le costume du gendre idéal. Et ce n’est pas le récent classement des animateurs préférés des Français qui viendra dire le contraire. Jugé proche des gens, chaleureux, innovant et sympathique par nos concitoyens, le présentateur n’en finit plus de séduire. Interrogé dans Le Parisien, ce mardi, Frédéric Lopez est revenu sur cette popularité. «Je suis comblé. Imaginer que le regard que je pose sur le monde et sur les gens est apprécié est un immense cadeau. Je me sens compris» explique-t-il. Le succès de son émissionLa Parenthèse Inattendue – plus d’1,3 millions de téléspectateurs de moyenne depuis début avril – n’a fait que renforcer cette opinion. Malheureusement pour tous les fans, l’animateur confie que l’émission ne sera plus diffusée en hebdo à partir de la rentrée: «L’émission va s’arrêter à ce rythme hebdomadaire, très exigeant. Je rêve qu’elle continue, par exemple dans le cadre d’une collection ou de prime times». Ce dernier précise également qu’un nouveau programme devrait bientôt voir le jour sur France 2 : «J’ai présenté à la chaîne une nouvelle idée sur laquelle je travaille depuis deux ans. Il s’agira d’une émission profonde et légère avec des humoristes». Un domaine que connaît bien Frédéric Lopez pour avoir animé pendant quelques temps On va tous y passer sur France Inter. «J’ai adoré travailler avec eux sur France Inter. Mais je ne ferai pas une adaptation à la télé de ce que j’ai fait à la radio. Il y aura beaucoup de rire et de sens et cela ne ressemblera à rien de ce que l’on a déjà vu» précise le Palois. Un format inédit qui pourrait bien selon l’animateur «trouver sa place le samedi». Une chose est sûre: Frédéric Lopez n’a pas fini d’égayer nos soirées.

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Cannes 2014– Le bilan de Thierry Frémaux

Le festival de Cannes s’est achevé samedi et depuis, nombreux sont ceux qui critiquent le choix de Winter Sleep comme Palme d’Or. Thierry Frémaux s’explique et, en amoureux du cinéma, défend son Festival et le palmarès.

Un peu à l’image des averses qui rendent ce mois de mai bien gris, c’est une pluie de critiques qui s’abat sur le festival de Cannes au lendemain de son palmarès et de la palme d’or décernée à Winter Sleep. Un film turc de plus de trois heures promis à une diffusion confidentielle. «So Cannes» diront certains à propos d’une manifestation qui prime souvent des films jugés intellos ou élitistes. Un avis que ne partage bien évidemment pas Thierry Frémaux.

Dans un entretien accordé au Parisien, le délégué général du Festival défend le choix du jury. «C’est un film extraordinaire par sa durée, son ambition et son accomplissement. Quand le Nobel de littérature va à Orhan Pamuk, cela ne choque personne» déclare-t-il avant d’ajouter, quant à son avenir en salles: «Il y aura évidemment un effet Palme d’Or et il séduira beaucoup de gens qui n’y seraient pas allés sans cette reconnaissance. Et même s’il ne fait pas les entrées de Godzilla: il n’est pas conçu pour cela».

À propos des délibérations du jury de Jane Campion, Thierry Frémaux affirme qu’elles «furent animées mais Winter Sleep s’est vite imposé. Cette Palme d’or incarne bien la sélection 2014 pleine de films puissants, originaux qui disent que le cinéma dans notre monde d’images a une place unique». Et le délégué général de se satisfaire que huit films sur les dix-huit en compétition aient été primés, même si aucun français ne figure au palmarès. «On ne peut pas gagner chaque année» lance-t-il philosophe. Et Dieu sait s’il en faut, de la philosophie, lorsqu’on travaille sur le plus grand festival de cinéma au monde.

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Charlotte Casiraghi et Marion Cotillard, belles des paddocks

La 5e édition du jumping de Chantilly se tenait ce week-end aux alentours du célèbre château isarien. Un environnement idéal pour deux princesses des pistes, Charlotte Casiraghi, cavalière, et Marion Cotillard, l’amoureuse du cavalier Guillaume Canet.

L’équitation et particulièrement le saut d’obstacles sont devenus ces dernières années des activités mondaines, tant du côté des pistes que des gradins. À Chantilly ce week-end, le spectacle était donc partout.Guillaume Canet, qui se consacre plus que jamais à sa passion pour les sports hippiques, a chevauché avec brio Babeche et Ramesexy Z. Le tout sous le regard complice et parfois inquiet de Marion Cotillard. La comédienne, qui ne tourne pas ces jours-ci, est venue soutenir incognito mais sans lunettes noires le papa de son fils Marcel. Guillaume Canet nous a également prouvé ce week-end qu’il était aussi à l’aise à cheval qu’en segway, entre chacune de ses épreuves.

La jolie maman Charlotte Casiraghi s’est elle aussi élancée sur la pelouse de Chantilly. Un retour à la compétition puisqu’il s’agit de sa deuxième apparition à cheval depuis la naissance de son fils Raphaël en décembre. À Paris le mois dernier, la fille de la princesse Caroline de Monaco avait malheureusement chuté de son fidèle destrier. Mais elle était de nouveau en selle pour le plus grand bonheur des spectateurs. Gad Elmaleh, le compagnon de Charlotte qui assistait à son grand retour, n’a pas pu se rendre à Chantilly pour le week-end. C’est dans les arènes de Nimes -et jusqu’au 29 juillet- que l’humoriste fait lui ses tours de piste.

Autre cavalière de charme à s’avancer sur le gazon de Chantilly: Marina Hands. La comédienne a offert une belle prestation grâce à la jument Pradisha de Mars. En grande conversation avec Charlotte Casiraghi après sa course, Lady Chatterley affichait une mine ravie.

Le reste du casting de ce Longines global champions tour of Chantilly, CSI 5 étoiles recensait d’autres célèbres cavaliers. Athina, l’héritière du clan Onassis, a dominé l’épreuve, devant Jennifer Gates, la fille de Bill, et Jessica Rae, fille du Boss, Bruce Springsteen.

Netflix Threatens to Boycott Georgia if Abortion Law Goes into Effect

Netflix has become the first Hollywood studio to speak out against the recent spate of state laws putting restrictions on abortion, especially that from the State of Georgia where a burgeoning film industry resides.

A growing list of individuals and groups in and outside the film industry are agitating against Georgia, including director Reed Morano and actors Alyssa Milano, Elizabeth Perkins, and Mark Hamill. Organizations such as the Producers Guild of America and the ACLU have also called for boycotts of Georgia over the state’s new “heartbeat” abortion law that bans abortion after a fetal heartbeat can be detected (usually around the fifth or sixth week of pregnancy).

Despite the growing chorus of protesters in the film industry, no studios have taken up the cause until now. Netflix has become the first studio to speak out against the abortion laws. The company was the only studio to respond to a request for a statement by industry newspaper, Variety.

“We have many women working on productions in Georgia, whose rights, along with millions of others, will be severely restricted by this law,” Ted Sarandos, Netflix’s chief content officer, told Variety. “It’s why we will work with the ACLU and others to fight it in court. Given the legislation has not yet been implemented, we’ll continue to film there, while also supporting partners and artists who choose not to. Should it ever come into effect, we’d rethink our entire investment in Georgia.”

Cable TV network Starz has also made what might be considered a glancing response to the abortion law in Georgia by announcing a donation to pro-abortion groups while airing its series, P-Valley, which was filmed in the Peach State. However, Starz would not make any more specific comments in response to Variety’s questions.

The Motion Picture Association of America has also made a statement on the situation in Georgia but has only said it is monitoring events there. The MPAA has not announced any particular goals or issued any specific condemnations. The MPAA did note the human impact of the film industry in Georgia, noting that Georgia reported 92,000 film industry jobs and more than $9 billion in film production spending.

Follow Warner Todd Huston on Twitter @warnerthuston.

In the line of fire: Poland’s digital ambitions

As Poland went to war with the European Union this year — over the rule of law, the environment and refugees — the digital arena was one where the country could outshine its European neighbors and prove it belonged in the club.

In Brussels and beyond, Poland’s Digital Minister Anna Streżyńska is known as a pragmatic voice in a government dominated by fierce, Euroskeptic Law and Justice loyalists.

She’s also the face of a different Poland: a digitally savvy, modern country with a tech sector geared for growth that’s attracted tech titan Microsoft and a Google campus and thrived despite the government’s increasingly confrontational tactics.

Now, the possibility that she could lose her job in a widely expected government reshuffle could put the last of Poland’s leverage in Brussels at risk.

If its digital ministry gets the ax — or Streżyńska is replaced by a less ambitious minister — one of the last points of cooperation between Warsaw and Brussels could be severed. This would jeopardize not only Poland’s ability to influence the policy but its legitimacy in the EU capital.

“Digital changes all of society,” said Michał Boni, Poland’s former digital minister under the previous Civic Platform government and a European People’s Party MEP. “It’s a question of the economy, of education … of privacy, of cybersecurity. The destruction of the ministry would be a step back. We would fall out of the game.”

Poland, he added, needs someone “who can lead.”

Digital ambition

Even as Warsaw’s top brass has largely alienated the highest ranks of the European Commission, Council and Parliament, Poland’s digital policymakers have worked as part of a group of about a dozen “like-minded” liberal countries — including Sweden, Denmark, the U.K. and Estonia — leading the charge on digital issues.

With Britain preoccupied with its imminent departure from the bloc, Poland — known for its army of highly skilled coders and technical experts — has emerged as the group’s largest member country and a potential leader on major digital issues.

That’s where Streżyńska, who took over the portfolio in 2015, comes in.

In setting out to overhaul the country’s digital agenda, she looked to Estonia and the U.K. for blueprints on how to become competitive in the digital sphere and became a champion of digital public services, facilitating the rollout of 5G connectivity and broadband connections to schools. In a key move, she also set out to build up the country’s image as place of opportunity for digital entrepreneurs.

Despite recent strides, Poland still has a long way to go before becoming a European leader on tech. The country ranks 23 out of 28 on the EU’s digital economy and society index, lagging significantly on everything from the use of social media by enterprises (only 9 percent) to subscriptions to fast broadband across the country.

Streżyńska’s lack of partisanship — she refused to join a political group or align herself with Jarosław Kaczyński’s ruling Law and Justice party — was a welcome signal to consumers, stakeholders and policymakers in Brussels, but increasingly put her at odds with her bosses.

Streżyńska — who worked as a civil servant in telecoms and competition policy for much of her career — was seen by many as a remnant of a more progressive government. In staffing her ministry, she turned a blind eye to party politics and became known for working with Poles from across the political spectrum. “The digital ministry is a magnificent island,” she told POLITICO in an interview in the late summer. “It’s a place where everyone is warmly greeted — a luxury that I take advantage of.”

Most recently, Streżyńska refused deputy Prime Minister and Minister of Science and Higher Education Jarosław Gowin’s offer to join a newly formed “Christian Democratic” party titled “Porozumienie.” While he said he respected her decision, some speculate it has put her political future in jeopardy.

“It’s a plus and a minus,” said Michał Kanownik, the president of ZIPSEE Digital Poland, an industry employers’ association for consumer electronics and IT. “She doesn’t take part on political matters because she’s not a member of a political party, but also this weakens her position in the government itself.”

The government is tight-lipped about the future of the ministry. “Our work in the digital ministry is far too absorbing to occupy ourselves with rumors,” said Karol Manys, a spokesperson for the ministry, who declined to comment on any talk of the ministry’s dissolution or Streżyńska’s potential firing.

Legitimacy in Brussels

As the EU works to implement its sweeping data protection overhaul, the General Data Protection Regulation, the question of who would replace Streżyńska in the event of a reshuffle is a vexing one. Poland’s digital progress is still fragile and could be undone in the hands of a less ambitious minister, some say.

“Minister Streżyńska was the only one who was aware of the issues,” said Boni, the former Polish digital minister.

No other member of the Law and Justice government has the required expertise to advance Poland’s still developing digital agenda, he added. “They treat citizens in the digital world as individuals to be monitored.”

The timing is particularly bad, said Łukasz Olejnik, a Polish cybersecurity and privacy consultant. Splitting up or eliminating the digital ministry entirely at a time when the bloc gears up to implement landmark new regulation on data protection next spring “is very risky business.”

If Poland fails to pull its weight and properly implement the regulation on a national level, it’ll mean “chaos, paralysis and sadly, also humiliation,” he said.

Poland is already on the EU’s blacklist over disagreements on the rule of the law, migration and environmental protections. Adding digital policy to the list would dig Poland into an even deeper hole.

Replacing Streżyńska would also be a blow because it would likely also mean getting rid of the digital ministry’s secretary of state Krzysztof Szubert, who deals closely with EU affairs and whom many in Brussels see as a positive influence on the bloc’s digital agenda. He is credited in the EU capital with leading important lobbying efforts — including putting digital policy on the agenda at European Council summits this year, and pressuring the Commission to relax rules on the free movement of data across EU borders.

The worst-case scenario for Poland would be a decision to scrap the ministry entirely, a move that would put digital policy in the hands of other EU countries and leave Poland in the dust.

“It would be a real shame if this very active and engaged and ambitious profile Poland has on digital were to disappear,” an official from one of the like-minded liberal countries said.

Pushing ahead

Others are more relaxed about Poland’s digital future and argue the government has done too little to push the digital agenda forward, even under Streżyńska.

Much of her work was simply a continuation of what the previous Civic Platform government had already put in place, two individuals supporting the opposition said.

“I don’t think she has been a particularly exceptional minister,” said one Polish individual working on EU digital politics, who spoke on condition of anonymity because of their involvement in the sector. “I don’t think swapping her out would be bad for Poland.”

For Kanownik, the head of ZIPSEE Digital Poland, the best thing for Poland’s tech agenda is not ruffling any feathers. If that means putting a right-wing Law and Justice loyalist in charge, so be it.

“It’s important that digital is one of the top items on the Polish political agenda,” Kanownik said. “It doesn’t matter who is at the top — whether it’s Streżyńska or someone else.”

It’s true that the upper echelons of the Polish government, including Prime Minister Beata Szydło, seem to have bought into Poland’s digital sales pitch. Szydło signed a letter including 17 EU heads of state asking to make digital a priority on the political level. She also claimed responsibility for helping to bring about this year’s Digital Summit in Tallinn, one of the first meetings where EU heads of state dedicated their time to discussing digital.

But some fear the political buy-in — and any hopes of Poland becoming a digital leader in Europe — will fall apart if Streżyńska leaves. Szydło could lose her job in any potential reshuffle, according to Polish media.

Streżyńska “guarantees the continuation of projects, like the development of 5G, because she initiated them,” said Agata Kowalczyk, head of communications for Startup Poland. “This is the element that awakens doubts … She had the right experience to put pressure on these technological, structural and telecoms matters.

“It’s hard to say if someone else in [Law and Justice] has these same competencies.”