Month: February 2020

C’est une petite fille courageuse et consciencieuse qui s’est frayé un chemin ce jeudi à travers l’East Room de la Maison Blanche pour interpeler Michelle Obama. Charlotte Bell, 10 ans, fille d’une employée administrative du président américain était reçue cette semaine par la First Lady pour le traditionnel Take Our Daughters and Sons to Work Day. La fillette a profité de cette séance de question-réponses, pour demander un emploi pour son père, au chômage depuis 2012, qui avait travaillé à la réélection de l’actuel locataire du bureau ovale. Une volonté qui a beaucoup touché Michelle Obama.

Elle accompagnait jeudi sa maman pour une rencontre entre la Première dame et les enfants des employés de la Maison Blanche, mais c’est bien pour défendre le cas de son papa chômeur que Charlotte Bell s’est adressé à Michelle Obama. Ce dernier avait participé à la réélection du président américain en 2012, et avait récemment postulé à un emploi dans l’administration, sans succès. Avec l’espoir de voir évoluer cette situation précaire, l’adolescente s’est donc frayé un chemin à travers la sécurité pour remettre en main propre un Curriculum Vitae à la femme de Barack Obama.

La première dame, d’abord un peu surprise par cette demande a ensuite expliqué aux autres enfants, qui pourraient ne pas avoir entendu la remarque de la jeune fille que sa question était «un peu privée» ajoutant que Charlotte «faisait quelque chose pour son père». Mme Obama a promis de traiter la question plus tard, avant de descendre de sa tribune pour embrasser la jeune fille.

Interrogée après l’incident, la mère de Charlotte Bell assure qu’elle ne savait rien des intentions de sa fille. Sa famille avait bien évoqué un scénario de ce genre, le week-end précédant ce rendez-vous, mais personne n’imaginait que l’héroïne de 10 ans mettrait en pratique ce plan pour intervenir en faveur de la carrière du chef de famille.

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Un peu plus d’un an après le terrible drame qui a coûté la vie à un candidat, Koh Lanta s’apprête à faire son grand retour. Le tournage aurait déjà commencé et, si peu d’informations filtrent sur le sujet, il semblerait que Moundir et Christina fassent partie de l’aventures.

Les fans de Koh Lanta peuvent se réjouir: une prochaine édition va avoir lieu, toujours présentée par Denis Brogniart. Les équipes du célèbre jeu se sont envolées pour l’Asie et une destination inconnue pour débuter le tournage d’une émission qui devrait être diffusée à la rentrée. Suite aux drames survenus en mars dernier, la production du jeu et TF1 vont se montrer très vigilantes sur les informations liées à ce nouveau Koh Lanta, mais Téléstar avance déjà le nom de deux candidats: Moundir et Christina. Pour chacun d’entre eux, il s’agit d’une troisième participation.

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Moundir était de l’aventure en 2003, où il a fini 5e, et en 2008, pour une édition Retour des héros qu’il avait quittée au bout de cinq jours seulement après un conseil mémorable. En appelant à nouveau Moundir, Koh Lanta fait revenir une forte personnalité, connue pour ses coups de gueules et ses expressions très personnelles. Un personnage haut en couleur que les téléspectateurs apprécient particulièrement dans ce genre de programme.

Plus discrète, Christina a déjà remporté l’édition 2009 et participé à un Choc des héros, quelques mois seulement après sa victoire. Leur participation confirme donc que Koh Lanta se relance avec une édition mettant au prise d’anciens participants. Manière rassurante de repartir du bon pied après les dècès de Gérald Babin et du médecin Thierry Costa qui avaient conduit la production à annuler l’émission l’an dernier. On craignait même ne jamais la revoir à l’antenne. Ce qui ne sera pas le cas.

Le festival de Cannes a révélé ce week-end le nom des jurés qui s’occuperont des sélections de la Caméra d’or et Un certain regard, autour de leurs présidents respectifs. Nicole Garcia et Pablo Trapero.

Le jury Un certain regard est présidé cette année par Pablo Trapero, metteur en scène, scénariste et producteur argentin. Il sera composé de l’actrice française Géraldine Pailhas, du président de The Criterion Collection Peter Becker, de l’actrice norvégienne Maria Bonnevie et du metteur en scène, scénariste et producteur sénégalais Moussa Touré. L’an dernier, la section Un certain regard, présidée par le Danois Thomas Vinterberg, a récompensé le film The Missing Picture, de Rithy Panh, et Alain Guiraudie pour L’Inconnu du lac. Pour cette édition, ils devront départager une sélection dans laquelle on retrouve notamment Ryan Gosling qui signe son premier film comme metteur en scène, Lost River, avec Christina Hendricks et Eva Mendes.

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Nicole Garcia a été choisie cette année pour présider le jury de la Caméra d’or. La réalisatrice et actrice française dirigera les débats entre Richard Anconina, le technicien Gilles Gaillard, les journalistes Sophie Grassin et Lisa Nesselson, la réalisatrice Héléna Klotz et le cinéaste Philippe Van Leeuw. L’an dernier, le jury de la Caméra d’or présidé par Agnès Varda avait primé Ilo Ilo d’Anthony Chen.

Pour rappel, le jury de la compétition officielle est présidé par Jane Campion. La réalisatrice néo-zélandaise sera entourée deSofia Coppola, Carole Bouquet, Leila Hatami, Jeon Do-yeon, Willem Dafoe, Gael Garcia Bernal, Nicolas Winding Refn et Jia Zhangke.

S’il a sorti son treizième disque en 2012, Vise le ciel n’était composé que de reprises de morceaux de Bob Dylan : Francis Cabrel n’a pas proposé à ses fans de nouvelles chansons originales depuis 2008, lors de l’arrivée dans les bacs de son album Des roses et des orties. Le chanteur n’a pas chômé toutefois : lors d’un atelier-séminaire d’écriture pour les jeunes auteurs-compositeurs-interprètes qui s’est tenu à Astaffort, il a en effet déclaré que son futur opus pourrait sortir en « mars 2015 ».

Est-ce la sortie imminente du second album de sa fille Aurélie qui le motive ? Francis Cabrel a annoncé que, de son côté aussi, un nouveau disque était prévu. « J’ai un album en gestation depuis longtemps, que je promets toujours de finir dans le prochain semestre, donc en ce moment je dis ‘ce sera prêt pour mars 2015’. » Le chanteur a néanmoins très vite refroidi les espoirs qui auraient pu se former : « Mais, en février 2015, je vous dirai ‘peut-être pas encore tout à fait’. »

Le chanteur, que l’on croyait occupé par le projet Génération Balavoine (finalement démenti), a déclaré avoir énormément de matériau pour ce futur album : « Beaucoup de chansons écrites, mais sont-elles bonnes ? Je ne sais pas, je ne suis pas sûr. Alors, comme rien ne presse, je vais commencer par les enregistrer, bien les étudier, les juger. » Le problème principal, pour Francis Cabrel, c’est désormais d’aller au-delà de ce qu’il a déjà fait. « L’écueil majeur, c’est que j’ai quand même déjà fait le tour de pas mal de mes préoccupations. Donc quoi raconter, ou alors, ce qu’on a déjà dit, comment le dire différemment ? Ce n’est pas si simple… Il faut trouver la formule, le petit angle de visée. Après, ça va vite. » Un savoir qu’il a transmis avec passion à sa fille Aurélie, comme elle l’a déjà prouvé avec Oserais-je ?, son premier album sorti en 2011.

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Invitée hier soir au talk-show Late Nightwith Seth Meyers, Jennifer Lawrence a fait quelques révélations sur la dernière soirée des Oscars. L’actrice a même avoué avoir vomi devant Miley Cyrus après la cérémonie – la chanteuse lui aurait alors fait une petite leçon de morale. Un comble !

Quand Miley Cyrus se charge de vous remonter les bretelles, c’est peut-être que vous avez touché le fond. C’est ce qui est arrivé à Jennifer Lawrence, la femme la plus sexy du monde, lors de la soirée de Madonna après les Oscars cette année. L’actrice a en effet vomi sous les yeux de Miley Cyrus, qui lui aurait intimé de « se ressaisir ». Une scène qui ressemble à la parfaite définition de l’expression « c’est l’hôpital qui se moque de la charité », tant la réputation de la chanteuse est sulfureuse.

Si Jennifer Lawrence s’est retrouvée dans cet état, c’est notamment à cause de sa meilleure amie, explique-t-elle. Présente ce soir-là à ses côtés, elle l’a poussée à boire légèrement plus que de raison. Une influence qui ne fut pas que négative : c’est notamment ainsi que l’actrice a trouvé le courage d’héler Brad Pitt pour qu’il vienne à leur rencontre.

Récemment de passage en France pour le tournage du prochain volet de Hunger Games, Jennifer Lawrence s’est arrêtée à Cannes, où elle s’est montrée beaucoup plus sage… ou presque. L’actrice a en effet déclenché une polémique à cause d’un commentaire adressé au réalisateur Alfonso Cuarón.

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Actuellement à l’affiche de La Liste de mes envies au côté de Mathilde Seigner, Marc Lavoine s’est dévoilé dans une interview donnée au magazine Femme actuelle. Le chanteur et acteur a raconté une enfance dure, pauvre et parfois violente.

Est-ce pour cela qu’il s’est souvent engagé, notamment auprès des Restos du cœur ? Marc Lavoine a confié qu’il avait connu la pauvreté dans sa jeunesse : « J’ai été très pauvre dans mon enfance, on a souvent été en danger à cause de la désinvolture de certains membres de ma famille », a-t-il raconté. L’acteur dit avoir grandi dans un milieu « très modeste », ce qui l’a poussé à commencer à travailler à l’âge de 16 ans.

Sur le tournage de La Liste de mes envies, une scène a réveillé de douloureux souvenirs : « Une scène en particulier m’a replongé dans une violence dont je me souviens. C’est une scène de dispute entre Mathilde Seigner et moi, alors que je suis sous l’influence de l’alcool. À ce moment-là, explique Marc Lavoine, je vois mon père et ma mère. »

Devenu père à son tour, Marc Lavoine se montre bien plus protecteur envers sa famille, l’opposé de ce qu’il a connu : « Les hommes de ma famille se comportaient comme des adolescents, ceux qui avaient du cran sont morts assez vite. Ce sont les femmes qui m’ont élevé », précise-t-il. À sa fille Yasmine qui « souhaite aller à Londres étudier le cinéma », il a su inculquer « de bonnes valeurs ». Celles-là même qui poussent ce fan du PSG de 51 ans à continuer dans la comédie et la chanson : « J’éprouve du bonheur à me mettre tous les jours à la tâche, à chercher des idées. Je crois vraiment que les choses arrivent parce qu’on se met en mouvement. »

Kate Winslet a montré la voie, en jouant dans le premier Divergente. Naomi Watts suit l’exemple et fait même mieux puisqu’elle jouera dans les trois prochains films de la saga.

Après l’échec du biopic Diana, Naomi Watts a eu besoin de trouver un projet qui lui permette de redorer son blason et de s’attirer à nouveau les faveurs du public, qui a peu goûté son interprétation de la princesse de Galles. La belle Australienne, qui elle non plus n’a pas beaucoup aimé le film, a donc eu le nez creux en acceptant de jouer dans la saga Divergente dont le premier film, plutôt réussi, a conquis les spectateurs.

Selon le site du Hollywood Reporter, Naomi Watts incarnera Evelyn, un personnage phare des deux romans imaginés par Veronica Roth. Comme pour Hunger Games, trois films sont encore prévus puisque le dernier tome sera décliné en deux parties. C’est dans ces deux-là que le personnage de Naomi Watts prendra le plus d’importance.

L’annonce de l’arrivée de l’actrice de Perfect Mothers et King Kong au casting de Divergente arrive au moment où le tournage du deuxième volet a commencé du côté d’Atlanta. Baptisé Insurgent, on y retrouve les héros du premier film, la révélation Shailene Woodley, Theo James, Zoë Kravitz, Maggie Q…

D’ici la sortie de cette suite de Divergente, courant 2015, on pourra voir Naomi Watts dans le nouveau Iñarritu, Birdman, avec Emma Stone et Edward Norton, dans St Vincent de Theodore Melfi avec Bill Murray, dans While We’re Young de Noah Baumbach avec Amanda Seydried et Ben Stiller. Elle enchaînera avec le prochain Gus Van Sant, Sea of trees, dans lequel elle donnera la réplique à Matthew McConaughey, puis sur les deux autres Divergente. Un planning qui la mènera jusqu’en 2017.

Rencontre avec le sulfureux cinéaste autrichien Ulrich Seidl autour de son “Paradis : amour”, présenté en compétition du dernier Festival de Cannes.

AlloCiné : Beaucoup de gens voient en vous un cinéaste provocateur. Quelle réponse apportez-vous à ce jugement ?

Ulrich Seidl : Je ne me vois absolument pas comme un cinéaste provocateur. Je ne me dis jamais, lorsque je prépare un film, que je dois à provoquer les gens. Ce n’est absolument pas du tout mon but. En revanche, je me vois davantage comme un observateur. Je cherche à évoquer des tabous sociaux dans notre monde. Je cherche également à dépeindre des relations, des rapports intimes dans nos vies quotidiennes qui, elles, sont provocatrices.

Il y a beaucoup de ces relations intimes dans “Paradis : amour”, un film sur le manque d’amour, sur la détresse amoureuse et sexuelle…

Paradis : amour est un film sur la quête d’amour, la quête de tendresse, la quête de sexualité. Il s’intéresse à des femmes d’un certain âge qui sont, pour des raisons sociales, obligées d’aller chercher ailleurs l’assouvissement de leurs désirs. Elle partent à la recherche de jeunes hommes noirs, car notre société ne leur offre pas la possibilité de trouver ce qu’il leur faut chez nous. Le fait de dépeindre cette quête, en soi, n’est pas triste. D’ailleurs, je pense qu’il y a beaucoup d’humour dans le film.

Paradis : amour / © Happiness Distribution

Un mot sur le casting, qui n’a pas du être aisé à mettre en place.

Le processus de casting de Paradis : amour a été très long et difficile. Il était important que les actrices sachent de quoi il s’agissait, qu’elles voient tout de suite dans quoi on s’embarquait. Il aurait été impensable de faire un casting, d’être prêt à faire, par exemple, des scènes de sexe entre une femme blanche et un jeune homme noir, sans savoir vraiment si la comédienne était prête, disponible pour jouer de telles scènes. C’est pour cela que, bien longtemps avant le tournage, je suis allé en Afrique avec plusieurs des comédiennes possibles pour travailler avec elles, voir comment elles réagissaient sur place, comment elles se laissaient aller avec les jeunes comédiens noirs. C’était très important. Les scènes du films étaient très souvent crues, il s’agissait de scènes intimes, il fallait voir qui était vraiment à l’aise pour jouer ce que je recherchais.

Le film est le premier d’une trilogie. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Au départ, il ne devait s’agir que d’un seul et même film, qui raconterait en parallèle trois histoires différentes. Trois histoires qui porteraient sur deux femmes autour de la cinquantaine et la fille de la première. Cela dit, j’ai tourné environ 80 heures de rushs pour Paradis : amour, et à la table de montage, il s’est avéré que le meilleur résultat artistique était de faire trois film plutôt qu’essayer de tout tisser dans un seul et même film-fleuve de six heures. Mon approche cinématographique est surtout de ne pas exécuter le scénario tel qu’il existe. Ce n’est pas l’idée. Je me laisse influencer par le tournage, par ce que je vis. L’histoire se développe, évolue, s’oriente selon ce qui se passe durant le tournage. Des choses fonctionnent, d’autres non, et cela détermine la suite du tournage. Une fois en salle de montage, j’essaie de réécrire le film, d’en faire quelques chose d’encore différent de ce que j’avais écrit au début.

Entretien réalisé par Clément Cuyer durant le Festival de Cannes 2012

La bande-annonce de “Paradis : amour” :

Paradis : amour

La fin de la saison approche, et avec elle l’heure des bilans. Laurent Ruquier dresse celui de la saison écoulée et se permet d’évoquer ses anciens chroniqueurs d’On n’est pas couché. Certains ne lui ont pas laissé un souvenir impérissable.

Depuis qu’il anime On n’est pas couché, huit saisons en comptant celle qui débutera en septembre prochain, Laurent Ruquier n’a jamais rien dit de mal sur ses chroniqueurs. Il les a toujours défendus même s’il ne partageait pas leurs opinions et quelle que soit la violence des polémiques qu’ils provoquaient. Ce qui ne l’empêchait pas d’avoir son propre avis, qu’il exprime aujourd’hui dans les colonnes du Point.

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que Laurent Ruquier a la dent dure avec certains. Notamment Eric Zemmour, celui qui a peut-être été le plus critiqué lorsqu’il a été chroniqueur entre 2006 et 2011. «Je n’ai jamais partagé la moindre demi-ligne de ce que racontait Eric Zemmour, affirme Laurent Ruquier. Je pense qu’il est tombé dans sa propre caricature. C’est l’engrenage médiatique qui le rend fou». Même s’il concède qu’il a «beaucoup de sympathie» pour lui, la charge est sévère. En revanche, on le savait mais il le répète, l’animateur de France 2 n’a aucune estime pour Eric Naulleau qu’il a déjà qualifié d’«inélégant». «J’aimerais qu’il soit plus fair-play vis-à-vis d’une émission qui lui a beaucoup apporté» confie Laurent Ruquier.

S’il ne la critique pas, il n’éprouve aucun regret à voir partir Natacha Polony trop étiquetée à droite. «Je voulais deux bons intervieweurs. Je n’ai plus besoin d’avoir des éditorialistes de gauche ou de droite, mais un vrai couple de journalistes» explique Laurent Ruquier. Aymeric Caron n’étant pas réputé pour ses sympathies de droite, Léa Salamé qui officiera à la rentrée à ses côtés, devra apporter un certain équilibre à l’émission.

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“Die Hard : belle journée pour mourir” ne sera donc pas la dernière aventure ciné de John McLane ! Bruce Willis a en effet confirmé qu’un sixième épisode verrait bel et bien le jour.

Et dire qu’il avait fallu patienter 12 ans entre Die Hard 3 et 4 ! Alors que l’épisode 5 s’apprête à sortir dans les salles mondiales, Bruce Willis a laissé entendre qu’il n’était toujours pas vieux pour ces c… Interrogé par la BBC quant à un retour de John McLane sur grand écran, l’acteur n’y est pas allé par 4 chemins en répondant : “Oui.” Dans un sens ça a le mérite d’être clair, même s’il va falloir patienter un peu avant d’en savoir plus. On imagine cependant bien Jai Courtney rempiler dans la peau de Jack McLane, voire carrément devenir le nouveau leader de la franchise. Des éléments de réponse après la sortie de l’opus de John Moore ?

Maximilien Pierrette avec Bleeding Cool

La bande-annonce de “Die Hard : belle journée pour mourir”