Month: February 2020

ST. PAUL, Minn. — Unlike a lot of coaches, David Quinn doesn’t deny his Rangers play differently on the road. And as he preaches that simpler, more straightforward game, the schedule might be in his favor.

Quinn and his squad started a stretch of eight out of 10 games away from the Garden with Tuesday night’s 4-1 win at Winnipeg. That took them to the NHL’s version of being over .500 on the road for the season (12-11-2), and their faint postseason hopes rest on continued improvement.

“This isn’t like when we go on the road we go, ‘Oh, no,’ ” Quinn said as his team got the day off Wednesday before the road trip continues against the Wild on Thursday night. “We’re a confident group, and I don’t think the venue matters to us right now. We think we can win hockey games regardless of if we’re at home or on the road.”

This particular trip will end with a seemingly important game, at Columbus in the second leg of a back-to-back Friday night.

With John Tortorella’s team managing to hold a wild-card spot despite a rash of injuries, the Rangers certainly would benefit from making up some ground.

After Sunday’s Garden matinee against the Bruins, the Rangers go back out for games at Chicago and Carolina. Then, after a stop back at the Garden against the Sharks — followed by the all-important Feb. 24 trade deadline — the Blueshirts travel to face the Islanders, Canadiens and Flyers to finish off the month.

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Kaapo Kakko didn’t have a great game on Tuesday, and after he was denied on a scoring chance at the right post midway through the second period, he barely stopped himself from smacking his stick against the boards. The 18-year-old didn’t seem too interested in being consoled by coaches on the bench.

He then took a hooking penalty in the third period that led to the Jets’ only goal. Kakko finished the game with 11:21 of ice time, his least since Dec. 28.

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After Tuesday, when Jacob Trouba and Brendan Lemieux returned to play their former team and Brett Howden returned to his childhood home, Thursday will be a homecoming for two Minnesota boys — defensemen Brady Skjei, from Lakeville, and Ryan Lindgren, from Burnsville.

Lindgren elebrated his 22nd birthday on Tuesday.

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ST. PAUL, Minn. — A simple question turned into coach David Quinn gushing about how important defenseman Marc Staal is to his Rangers.

Staal missed the team’s 4-3 shootout win over the Wild on Thursday night with the flu, and Quinn extended his explanation of how Staal felt worse and worse as the day went on into a testament of how good the veteran defenseman has been of late.

“We missed him,” Quinn said. “Since I’ve been here, he’s [recently] been playing very good hockey. We don’t have guys that do what he does consistently, with his size and his physicality. His puck movement has been really good. He’s been really good for us and we missed him.”

Coming in for Staal was Brendan Smith, who had been a healthy scratch for the past four games and played his first full game at defense all season. Smith had morphed into a fourth-line winger, and he had killed penalties as a defenseman before he lost that role to rookie Ryan Lindgren.

Going directly into Staal’s place next to Tony DeAngelo, Smith played a season-high 17:55, including 2:19 while a man down, earning himself the Broadway Hat.

“Smitty did a good job,” Quinn said. “I really liked Smitty’s game. I was happy for him.”

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Artemi Panarin had a goal and an assist, giving him a team-leading 76 points in his historic first season on Broadway. The Russian winger became the first Ranger to reach the 75-point mark in a season since Marian Gaborik in 2011-12. He also joined Mark Messier (1995-96) and Jaromir Jagr (2005-06) as the only Rangers in the past 40 years to reach 75 or more points in the team’s first 56 games.

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Quinn challenged a Matt Dumba goal at 7:38 of the second period because of goalie interference on Ryan Hartman and won, getting the goal overturned and keeping the deficit at 2-1.

“Originally I wasn’t [going to challenge],” Quinn said. “Then I watched it one more [time], and [thought], ‘This has to be goalie interference.’”

Quinn is now 2-for-4 on challenges this season, including 1-for-2 on goalie interference calls. He was 1-for-4 on challenges last season, his first behind the Rangers bench.

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Rangers winger Kaapo Kakko turned 19 years old on Thursday.

Après des affiches provocantes, dont une classée X, une photo tirée de Love, le prochain film de Gaspard Noé, vient d’être dévoilée. Le cliché confirme que la température risque de monter de plusieurs degrés pendant le festival de Cannes où le film sera projeté en séance de minuit.

Sexe. Le festival de Cannes sera définitivement sexe lors de la projection hors compétition du nouveau film de Gaspar Noé Love. Comme à son habitude, le sulfureux réalisateur a droit à une séance de minuit. Cela avait déjà été le cas pour Irréversible en 2002, film qui avait fait un véritable scandale. Cela pourrait donc être une nouvelle fois le cas si l’on en croit le ton donné par les premiers visuels de Love.

Les premières affiches ont déjà choqué, dont une a même été classée X, et la première photo tirée du film conforte le sentiment: on y voit un couple, nu, en plein ébat amoureux, dans un lit aux draps rouges, l’homme derrière la femme, la serrant dans ses bras. Selon Cineuropa, «le scénario débuterait un matin avec un téléphone qui sonne. Murphy, 25 ans, se réveille entouré de sa jeune femme et de son enfant de trois ans. Il écoute son répondeur. Sur le message, la mère d’Electra lui demande, très inquiète, s’il n’a pas eu de nouvelles de sa fille disparue depuis longtemps. Elle craint qu’il lui soit arrivé un accident grave. Au cours d’une longue journée grise, Murphy va se retrouver seul dans son appartement à se remémorer sa plus grande histoire d’amour d’une durée de deux ans avec Electra: une passion amoureuse contenant toutes sortes de promesses, de jeux et d’excès…».

Peu d’infos sur le casting si ce n’est que le premier rôle masculin sera tenu par Karl Glusman. Love sera projeté en 3D, histoire de plonger encore davantage le spectateur au cœur des (d)ébats.

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Elle quitte la Toile temporairement, pour mieux revenir quand « le tourbillon sera passé ». Une semaine après la sortie de son deuxième livre, Mélanie, Française et musulmane, la chanteuse de rap Diam’s coupe une nouvelle fois les ponts avec ses fans et ses détracteurs. Dans une lettre publiée sur Facebook, elle regrette la méchanceté de certains commentaires, et choisit le silence pour protéger « (sa) vie, (ses) enfants et (leur) bonheur ».

« J’ai volontairement pris du recul avec les réseaux sociaux ces derniers temps et reviendrai quand le « tourbillon » sera passé » (…) pour « tranquillement poster quelques messages sans pression ni enjeux ». C’est ce qu’a annoncé cette semaine l’interprète de « la Boulette », Diam’s, qui vient de sortir un nouveau livre où elle raconte sans détour sa nouvelle vie. A la suite d’une interview donnée à Sept à Huit, sur TF1, celle qui se dit voilée et féministe regrette les polémiques « sur tout » et l’agressivité des internautes, assez habituelle sur réseaux sociaux.

« Je sais à quel point les gens peuvent être durs, planqués derrière leurs écrans, on les voit polémiquer sur tout et n’importe quoi, parfois même insulter les morts ou insulter tout le monde d’ailleurs… ». Des critiques qui ne datent pas d’hier, ni de sa conversion à l’Islam, explique-t-elle. Ainsi, elle rapporte : « J’en ai fait les frais dès mes tout premiers pas dans la lumière il y a plus de 15 ans de cela et jamais ça n’a cessé, même une fois retournée dans l’ombre ».

Pour le moment, Diam’s n’a qu’une priorité : « Protéger ma petite vie, mes enfants et notre bonheur est primordial. Je pense que vous me comprendrez ». Et d’ajouter : « C’est pourquoi j’ai voulu me protéger dès la sortie du livre et ne pas laisser le virtuel empiéter sur le réel ».

« Comblée », la trentenaire n’a pas trouvé que du mauvais dans les nombreux messages qui lui sont adressés depuis son retour sur le devant de la scène. Elle remercie d’ailleurs ceux qui ont été « si gentils » avec elle et les encourage au dialogue : « je me fais une joie de lire vos lettres envoyées chez mon éditeur ou de vous rencontrer ici et là… C’est toujours des moments très forts pour moi ». Et de conclure : « J’espère juste que ce nouveau livre nous permettra d’échanger et d’apprendre à nous connaître ».

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En dépit des rumeurs qui les veulent séparés, Charlotte Casiraghi et Gad Elmaleh affichent leur belle complicité lors du jumping de Ramatuelle.

Il la fait toujours autant rire. Dans leur couple, c’est précisément l’humour qui l’emporte. Entre Gad Elmaleh et Charlotte Casiraghi, la bonne humeur est en tout cas toujours de la partie.

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La fille de la princesse Caroline de Monaco, invitée à participer au jumping organisé par Atina Onassis à Ramatuelle, n’est pas venue seule. Quoi qu’on en dise, la jeune femme semble toujours sous le charme de son compagnon humoriste. Entre deux sauts d’obstacles, Charlotte Casiraghi rejoint Gad Elmaleh dans les tribunes. Sous une paire de lunettes et une casquette, le comédien affiche un large sourire qui ensoleille son visage. Un bon mot ou une blague ont également dû mettre le coeur de sa compagne en joie.

Les parents du petit Raphaël, 2 ans, offrent sous le soleil de Ramatuelle la plus belle réponse aux rumeurs. En apparaissant unis et amoureux sous l’oeil des photographes, le couple ne laisse plus de place au doute.

Gad Elmaleh pourrait passer le week-end dans le sud de la France afin d’admirer les talents équestres de Charlotte Casiraghi. Raphaël, pendant ce temps, se repose à l’ombre et sous le regard protecteur de ses célèbres parents.

Crédits photos : Philippe Farjon / VISUAL Press Agency

Après Mark Zuckerberg, c’est elle. A 45 ans, Sheryl Sandberg est la numéro 2 du plus grand réseau social mondial, Facebook. Considérée comme l’un des femmes les plus puissantes du numérique, elle émeut depuis quelque jours les internautes en diffusant sur son compte un véritable carnet de bord de sa vie après la mort de son mari, Dave Goldberg, fin mai.

Son nom était quasiment inconnu, caché sous celui de Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook. Mais aujourd’hui, c’est bien d’elle dont on parle le plus. Avec ses 900 000 j’aime, ses 400 000 partages et ses dizaines de milliers de commentaires, le statut Facebook de Sheryl Sandberg a profondément touché les internautes. La femme d’affaires de 45 ans s’exprime sur son mur Facebook trente jours après la mort accidentelle de son mari. Veuve et mère de deux enfants, elle a suivi le rite juif appelé “sheloshim”, une période de deuil de trente jours.

Déjà considérée comme le modèle féminin de la réussite aux Etats-Unis, Sheryl Sandberg a démontré sa capacité à surmonter les épreuves. En exposant ses peines mais aussi sa volonté d’aller de l’avant, Sheryl Sandberg a permis à des milliers de veuves de se retrouver dans son expérience et de reprendre confiance en l’avenir. Entre tomber dans le vide et se relever, Sheryl Sandberg a choisi la deuxième option.

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“J’ai compris de façon très profonde ce que voulais dire être une mère, à la fois en traversant la douleur et l’agonie que je ressens quand j’entends mes enfants pleurer et crier et aussi en ressentant les échos que ma douleur suscite chez ma mère.” En se dévoilant à la Toile comme elle l’aurait fait à son journal intime, Sheryl Sandberg s’est emparé d’un sujet tabou, celui du deuil. Elle s’est exprimée avec calme en soignant le choix de ses mots, libérée de l’emprise de la colère et du chagrin. Sa sincérité est bouleversante: “J’ai appris qu’on ne savait jamais quoi dire aux gens qui en ont besoin et que j’avais eu tout faux avant. J’essayais d’assurer aux gens que tout irait bien (…) La vrai empathie, c’est parfois de dire aux gens que tout ne pas aller bien. Jusqu’à présent, j’ai été la grande soeur, la directrice d’exploitation, celle qui fait et planifie. Je n’avais pas planifié ça et quand c’est arrivé, j’étais incapable de faire quoi que ce soit,” écrit-elle.

De nombreuses personnalités, comme le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg ou encore Ariana Huffington, directrice du Huffington Post, ont salué le courage de la femme d’affaires. Mais c’est avant tout à son mari que Sheryl voulait s’adresser une dernière fois: “ Il n’y a pas de fin au chagrin, il n’y a pas de fin à l’amour. Je t’aime, Dave,” conclut-elle dans sa tribune.

Crédits photos : Jun Sato

Mercredi, l’œuvre d’Anish Kapoor baptisée Dirty Corner mais plus connue sous le nom de «vagin de la reine» a été vandalisée dans les jardins de Versailles où elle est exposée. L’artiste a réagi en manifestant sa tristesse et en déplorant la montée d’une certaine intolérance en France.

La polémique était pourtant retombée depuis l’inauguration et l’ouverture de l’exposition début juin. Mais les œuvres d’Anish Kapoor présentées dans les jardins du château de Versailles continuent de déranger. Notamment une, celle par laquelle le scandale était arrivé, le fameux Dirty Corner rebaptisé en quelques jours «vagin de la reine». Cette sculpture qui représente une gigantesque trompe d’acier a été vandalisée mercredi, recouverte partiellement de peinture jaune envoyée par jets. Rien de définitif fort heureusement, «l’œuvre est en train d’être nettoyée» a fait savoir la direction du domaine de Versailles, mais l’acte, qui n’a pas été revendiqué, est choquant.

Anish Kapoor a réagi. Plus que de la colère, c’est de la tristesse qu’il ressent. Dans Le Figaro, il a déclaré: «Il faut remettre cela dans une certaine perspective. Si cet acte de vandalisme dit quelque chose, cela parle plus d’une certaine intolérance qui apparaît en France que d’art quel qu’il soit (…) J’espère qu’il ne s’agit que d’un groupuscule dont la voix recouvre celle de la plupart des autres. Je trouve ce phénomène de nuisance triste». L’artiste réfute le surnom de «vagin de la reine» pour son œuvre et affirme qu’il n’a jamais évoqué ce mot de «reine». Il estime que ce raccourci «est une façon de rabaisser mon travail, de mettre l’art au niveau des injures, de salir mon œuvre et de l’associer par des mots offensants à un rejet facile et immédiat».

Et lorsqu’on rapproche le vandalisme dont été victime sa sculpture du sort similaire réservé au fameux sapin de McCarthy installé place Vendôme pendant la FIAC, Anish Kapoor se défend. «Je ne cherche pas la provocation, s’emporte-t-il. Je refuse donc catégoriquement que l’on associe Dirty Corner à l’œuvre de l’artiste américain Paul McCarthy, sexuellement explicite et revendiquée comme telle. Cette association de deux mondes qui n’ont rien à voir est absurde, ridicule et malveillante. C’est faire de la pauvre psychologie que de nous marier par le scandale».

Une fois le Dirty Corner rétabli, se posera la question de sa protection. Anish Kapoor réfléchit à l’utilisation qu’il pourrait faire de cet acte odieux.

Dégradation lamentable de l'œuvre d'Anish Kapoor au @CVersailles, atteinte à la liberté de création. Tout mon soutien à l'artiste.

Click Here: new zealand rugby team jerseys— Fleur Pellerin (@fleurpellerin) June 17, 2015

Crédits photos : Jean-Claude Cohen / VISUAL Press Agency

Le rappeur P. Diddy a été arrêté hier sur la campus de l’université de Los Angeles, où étudie son fils. Il aurait frappé le coach de ce dernier avec une boule de fonte. Il a depuis été relâché.

P. Diddy, alias Puff Daddy, alias Diddy et de son vrai nom Sean Comb, a été arrêté hier avant sur le campus de l’université de Los Angeles (UCLA) Le rappeur, âgé de 45 ans, a été retenu par les forces de l’ordre plusieurs heures avant d’être relâché en payant sa caution. Le chef d’accusation: agression à main armée. Il aurait frappé quelqu’un à l’aide d’une kettlebell, une boule de fonte munie d’une large poignée utilisée pour la musculation.

Selon le site américain TMZ, premier média à donner l’information, la victime serait le coach de l’équipe de football américain de l’université qui entraîne son fils. Il aurait fait les frais de sa violence après que Puff Daddy ait été pris d’un accès de colère. Il aurait perdu son sang froid à la vue du comportement de l’entraîneur. Ce dernier criait sur le fils de P. Diddy, ce que le papa de cinq enfants, dont Justin, 21 ans, n’aurait pas du tout apprécié. Diddy, connu pour ses coups de nerfs avait déjà sommé par la justice de suivre un stage pour apprendre à maîtriser sa colère – après avoir agressé Steve South en 1999, un ancien cadre de la maison de disque Interscope.

Selon un communiqué de presse publié sur le site de l’université, hier à 12h30 (heure locale) Sean Combs a été arrêté par la police du campus. Malgré l’utilisation de l’arme considérée comme “mortelle”, personne n’aurait été grièvement blessé. Il a été écroué par le shérif du comté de Los Angeles. Une arrestation qui vient s’ajouter dans le casier judiciaire déjà bien rempli du chanteur de Last Night.

Ironie du sort, la veille de l’incident Puff Daddy postait sur sa page Facebook une photo avec son fils et d’amis à eux, surmonté de la mention : “Match pères contre fils. Nous avons gagné! Joyeuse fête des pères.” Le football chez les Combs semble être une affaire de famille.

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Father son football game! WE WON! Happy Father's Day

Posted by Diddy onMonday, June 22, 2015

Crédits photos : Shareif Ziyadat

Même si vous ne faites partie des journalistes et professionnels accrédités, vous pouvez tout de même vivre le Festival de Cannes grâce à différentes astuces et initiatives… Suivez le guide !

Toutes les news de Cannes 2013

“On se voit à Cannes ?” Si vous en avez assez d’entendre vos amis frimer en se donnant rendez-vous sur la Croisette alors que vous n’avez pas la chance d’être accrédité, AlloCiné a pensé à vous ! Il existe en effet quelques astuces qui permettent aux cinéphiles de profiter eux aussi du Festival de Cannes sans se rendre sur la Côte d’Azur…

1) Allez voir les films cannois dans les salles !

Comme chaque année, plusieurs longs métrages sortent en salles dans toute la France simultanément à leur présentation cannoise. C’est ainsi que vous pourrez voir cette année le film d’ouverture Gatsby le Magnifique (mercredi 15), mais aussi, parmi les films en compétition, Le Passé d’Asghar Farhadi (vendredi 17), Only God Forgives de Nicolas Winding Refn (mercredi 22) et La Grande Bellezza de Paolo Sorrentino (mercredi 22). A noter que mercredi 15 à 19h15, la cérémonie d’ouverture du Festival de Cannes sera retransmise en direct dans des dizaines de salles de cinéma dans toute la France.

 

2) Découvrez les sélections en mode marathon

Avis aux gourmands : durant le week-end du 24 au 26 mai, le cinéma Gaumont Opéra proposera pas moins de 15 longs métrages de la Sélection Officielle. Pour 90 euros, vous pouvez assister à toutes les séances -mais il est bien sûr possible d’assister aussi à une seule projection.

Et dès le Festival terminé, ce sont les sélections parallèles qui s’offrent au public parisien : Un Certain Regard (du 29 mai au 4 juin au Reflet Médicis), la Quinzaine des Réalisateurs (du 30 mai au 9 juin au Forum des images) et la Semaine de la Criique (du 6 au 10 juin à la Cinémathèque).

Il faudra être un peu plus patient pour découvrir la cuvée des indés de l’ACID puisque leur sélection ne sera reprise qu’à la rentrée, au nouveau Latina (du 27 au 29 septembre) et dans une trentaine de salles de l’Hexagone.

3) Mais encore…

En attendant de juger les adaptations qui en ont été tirées, et qui sont en lice pour la Palme d’or, prenez une longueur d’avance en lisant la BD Le Bleu est une couleur chaude de Julie Maroh (Glénat), portée à l’écran par Abdel Kechiche (La Vie d’Adèle), l’ouvrage de l’ethnopsychiatre Georges Devereux Psychothérapie d’un indien des plaines (Fayard), qui a inspiré Arnaud Desplechin (Jimmy P), ou encore Michael Kohlhaas de Kleist (disponible en poche, par exemple chez Garnier Flammarion), qui est à l’origine du film d’Arnaud des Pallières avec Mads Mikkelsen.

Jacques Demy sera célébré à travers la projection des Parapluies de Cherbourg en version restaurée dans la section Cannes Classics. Mais sans attendre la reprise film le 19 juin (dans cette belle copie), vous pouvez vous joindre à l’hommage cannois à vous rendant à la Cinémathèque où une grande exposition, assortie d’une rétrospective est actuellement consacrée au cinéaste.

Suivre TV FESTIVAL, la chaîne officielle du Festival, diffusée en continu pour les abonnés Canal Plus / Canalsat / Orange.

Le 29 mai ressortira en salles Le Joli Mai, co-réalisé par Chris Marker et Pierre Lhomme en 1963. Le film est lui aussi projeté cette année à Cannes dans la section Cannes Classics.

Dès le 28 mai, la chaine Arte diffuse Un Voyageur, le documentaire de Marcel Ophuls présenté à la Quinzaine des Réalisateurs, qui marque le grand retour de l’auteur du “Chagrin et la pitié”.

4) Et bien sûr…

Restez connecté sur AlloCiné, qui vous dire tout sur les films, les événements et les stars du 66e Festival de Cannes sur le site (plusieurs vidéos sont déjà en ligne) et sur son compte Twitter.

JD

VIDEO : La bande-annonce du “Passé”, en compétition le 17 mai, jour de sa sortie en salles

Le Passé