Month: February 2020

Un livre choc s’apprête à paraître au sujet de la relation tumultueuse entre Bertrand Cantat et Marie Trintignant. Mais les deux auteurs, Stéphane Bouchet et Frédéric Vézard, revienent aussi sur le suicide de Krisztina Rady, la dernière épouse du chanteur.

«Bertrand est fou» «il m’a frappé» « un cauchemar qu’il appelle amour». Autant de messages comme un appel à l’aide d’une femme en détresse. Ces phrases chocs ont été prononcés par Krisztina Rady. La dernière compagne de Bertrand Cantat dans un dernier effort a laissé ce message sur le répondeur de ses parents, quelques mois avant de se donner la mort. La jolie hongroise fut l’épouse de Bertrand Cantat et peut-être sa dernière victime. Stéphane Bouchet et Frédéric Vézard laissent en tout cas la question en suspens dans leur enquête, Bertrand Cantat-Marie Trintignant, l’amour à mort.

Aujourd’hui le site internet de L’Express publie un extrait poignant de ce livre qui risque de remettre en question de nouveaux aspects de la personnalité de Bertrant Cantat. Les deux journalistes ont retranscris le message téléphonique qu’a laissé Krisztina Rady à ses parents alors qu’elle semblait essuyer les coups du chanteur. Dans sa langue maternelle, traduite par les auteurs, la maman de deux enfants raconte dans un message de plus de sept minutes, avec quelques confusions, l’enfer qu’elle vit. «Hier j’ai failli y laisser une dent, tellement cette chose que je ne sais comment nommer ne va pas du tout [mot inaudible], mon téléphone, mes lunettes, il m’a jeté quelque chose, de telle façon que mon coude est complètement tuméfié et malheureusement un cartilage s’est même cassé, mais ça n’a pas d’importance tant que je pourrai encore en parler» confie Krisztina sur le répondeur. Elle qui fut décrit comme une femme forte et indépendante, laisse paraître dans cet appel au secours toute sa détresse face un homme aussi envoutant que nocif.

Lors du procès de Bertrand Cantat en Lituanie, suite au décès brutal de sa compagne de l’époque, Marie Trintignant, Krisztina Rady est la. Elle épaule et soutient le père de ses enfants sans jamais douter. Elle déclare même à la cour «n’avoir jamais subi de violence de la part de Bertrand Cantat. Au contraire, dans ses rapports privés comme publics, il privilégiait la discussion». À sa sortie de prison ils se retrouvent. Krisztina laisse la porte ouverte à l’homme qu’elle aime et lui propose même de retenter l’aventure du couple. Une relation qui s’avéra plus destructrice que jamais. Après avoir tout supporté de la part de son grand amour, la brillante jeune femme craque et se donne la mort dans leur domicile de Bordeaux, le 10 janvier 2010.

Si Bertrand Cantat n’a pas été jugé pour la mort de Krisztina Rady, décédé suite à une pendaison, les parents de la défunte ont toujours accusé leur ancien beau-fils de «violences» sur leur fille.

L’ex leader de Noir Désir travaille toujours sur un album solo pour lequel il devra une nouvelle fois se confronter aux critiques et pas seulement musicales. Reste dans toute cette histoire, Alice et Milo, les deux enfants du couple qu’il formait avec Krisztina.

Bientôt en tournage avec les frères Dardenne, Marion Cotillard continue son formidable parcours cinématographique. Elle n’en oublie pas pour autant d’être une citoyenne engagée, notamment dans la cause écologique, pour laquelle elle milite avec ferveur.

Tout le monde connaît la Marion Cotillard glamour, celle des films et des tapis rouge, égérie Dior, compagne de Guillaume Canet et maman d’un petit Marcel. En revanche, la Marion engagée, citoyenne avisée, les pieds sur terre et militante écologiste est plus discrète aux yeux du grand public. L’actrice est pourtant très active en la matière comme elle le rappelle dans le Figaro madame cette semaine.

Un militantisme qui a débuté bien avant que La Môme soit connue et qui s’exprime par son soutien à la fondation Maud Fontenoy et l’association Alter Eco de Tristan Lecomte, par son engagement auprès de Greenpeace ou par ses échanges et ses actions avec le penseur et écrivain Pierre Rabhi. Mais son combat pour l’écologie et la préservation de la planète, Marion Cotillard le réalise au quotidien, dans le cadre de sa vie privée. «Ce qui est sûr, c’est que je suis une vraie militante dans ma vie de tous les jours, une très bonne élève» affirme-t-elle.

En revanche, la star regrette de ne pouvoir s’engager davantage, sur le terrain notamment. Après un voyage au Congo pour Greenpeace, elle explique qu’elle doit bientôt se rendre au pôle Nord et qu’elle souhaite se rendre en forêt amazonienne avec Tristan Lecomte. Marion Cotillard tient à montrer qu’elle sait de quoi elle parle, et que son militantisme écolo n’est pas qu’une vitrine, mais qu’elle est sincère. «Je me suis passionnée pour Pierre Rabhi, Théodore Monod, Albert Jacquard, Jean-Marie Pelt, Wangari Maathai ou Hubert Reeves: leurs livres m’ont nourrie et éduquée. J’ai acquis un bagage de connaissances que je souhaite partager» déclare-t-elle avant de nuancer, avec modestie: «Mais je ne suis pas aussi militante que j’aimerais l’être, je n’ai rien à voir avec les gens qui ont voué leur vie à la cause». En revanche, l’interprète du dernier film de James Gray, The Immigrant, ne se fait pas prier pour taper sur ses petits camarades, sans citer de nom. «Tout le monde a récupéré le mouvement, et certaines célébrités se sont parfois exprimées sans rien connaître au sujet, s’en sont servies pour l’abandonner peu après» déplore Marion Cotillard. Elle lâche ensuite un cinglant: «Les convictions de façade et les donneurs de leçons ne servent à rien».

L’actrice déplore également une certaine inertier du côté de la politique qui «n’insuffle aucun élan et ne délivre aucun message clair», ciblant les promesses qui sont faites avant d’être complètement oubliées. Mais elle veut rester confiante en l’avenir et c’est pourquoi elle tire le signal d’alarme: «Il est urgent de parler, de mettre en garde, d’alerter, et surtout d’éduquer. La perte de grandes richesses naturelles, l’uniformisation des goûts est terrible. S’éloigner de la Nature, c’est s’éloigner de nous et c’est vraiment dommageable…»

Quelques jours après le limogeage de Delphine Batho du ministère de l’Ecologie, le discours de Marion Cotillard tombe à point nommé. Ces deux-là devraient se rencontrer.

Click Here: South Africa Rugby Shop

Dimanche, le prince William a abandonné son épouse et future mère de son enfant l’espace de quelques heures afin de se rendre à un match de polo. Avec son frère Harry, William a joué la rencontre, comme si de rien n’était. Heureusement pour lui, il n’a rien raté, Kate n’a toujours pas accouché.

Il l’avait promis, il l’a fait. Comme convenu, dimanche, alors que son épouse Kate Middleton est sur le point de donner naissance à leur premier enfant, le prince William a quitté le foyer familial pour se rendre à un match de polo caritatif, à quelque 150 kilomètres à l’ouest de Londres.

Accompagné de son frère Harry, le prince William a passé une partie de la journée du côté de Cirencester et n’a pas boudé son plaisir. Visiblement détendu, il a joué une rencontre de polo, appliqué et concentré. Il faut dire que taper dans la balle et monter à cheval lui aura peut-être permis de se défouler un peu dans ces derniers jours d’attente forcément un peu stressants. Le match de polo terminé, il est vite retourné dans la capitale britannique, auprès de Kate Middleton qui, déjouant tous les pronostics qui annonçaient un accouchement samedi ou dimanche, n’a toujours pas donné naissance à cet enfant qui se fait attendre.

Ce week-end, le prince William était de retour à Londres après avoir quitté la base de la Royal Air Force à laquelle il était affecté, à Anglesey, au Pays de Galles. Il est désormais près de son épouse et ne devrait plus bouger jusqu’à ce que survienne l’heureux événement.

La fièvre monte du côté de la Grande-Bretagne où la plupart des sujets de sa gracieuse majesté attendent cette naissance avec grande impatience. Devant l’hôpital St Mary, situé à Paddington, à l’ouest de Londres, celui-là même où Diana a accouché de William et Harry, en 1982 et 1984, de nombreux journalistes venus du monde entier patientent pour être sûrs de ne rien rater de l’arrivée de ce royal baby. Une histoire de quelques heures. Ou de quelques jours…

Tout jeune marié, le capitaine de l’équipe de France de rugby a conduit sa belle, Sofia, au Touessrok, paradis à l’est de l’île Maurice…

Mariés civilement le 29 juin et religieusement le 6 juillet, Thierry et Sofia se sont envolés pour l’île Maurice. «Après le stress des préparatifs du mariage, c’est bon de se retrouver en amoureux dans un cadre aussi paradisiaque ! », s’exclament-ils.

Gala : Comment avez-vous rencontré Sofia ?

Thierry Dusautoir : En Argentine, en 2008. J’étais en vacances avec des amis et sa famille nous a gentiment invités à dîner pour Noël. Pendant quelques années, elle a fait des allers-retours entre Buenos Aires et Toulouse, car elle finissait des études de médecine. C’était un peu compliqué.

Gala : L’avez-vous initié aux règles complexes du rugby ?

T. D. : Je n’ai pas eu besoin car son frère, qui est également médecin, jouait au rugby à Agen et était international argentin.

Gala : Un voyage de noce à l’île Maurice… êtes-vous un amoureux romantique, à l’ancienne ?

T. D. : (Il rit, comme pour cacher son embarras, parler de lui n’est pas son fort !) J’ai tout fait dans les règles, cependant j’avoue ne pas être un grand romantique. Mais j’y travaille !

Gala : Il y a quelques années, vous aviez dit : « Quand je voyais mes parents (ils se sont séparés quand vous aviez quatorze ans, ndlr), je me disais que moi, je serais heureux plus tard. » L’êtes-vous ?

T. D. : Oui. D’autant que j’ai trouvé la femme avec laquelle je viens de m’engager pour la vie. C’est quelque chose qui donne le vertige quand on y pense, mais c’est un défi que l’on a envie de relever.

Gala : Etes-vous aussi carré dans la vie que sur le terrain ?

T. D. : Je le suis même parfois un peu trop ! Je peux manquer de spontanéité – même si cela va mieux aujourd’hui. En cela, je tiens de mon père, je pense. En tant que professeur de physique-chimie, c’était quelqu’un de très cartésien. Ma mère aussi l’est à sa façon. Son parcours de vie m’inspire énormément.

Gala : En quoi ?

T. D. : Dans sa combativité. C’est une personne admirable. Aujourd’hui aide-soignante, elle est arrivée en France sans le bac (elle est ivoirienne, ndlr), a fait une capacité en droit et, petit à petit a réussi ses études tout en faisant des boulots difficiles et en nous élevant.

Gala : C’est pour elle que vous êtes ingénieur, diplômé de l’Ecole nationale de physique, biologie et chimie de Bordeaux ?

T. D. : C’est vrai que c’était aussi une façon de la remercier pour m’avoir soutenu dans des moments qui n’étaient pas toujours faciles à gérer. Le rugby a toujours été secondaire pour ma mère. Ce qui importait, c’était les études, alors je me suis accroché. Cela n’a pas toujours été simple. Comme je faisais ma formation par alternance, à 7 heures, j’étais déjà au boulot. Mais j’ai tenu bon.

Gala : Elle a dû être très émue…

T. D. : Très heureuse, oui, mais ce n’est pas quelqu’un qui se laisse déborder par les émotions, elle est pudique et réservée. J’ai hérité d’elle, je suis quelqu’un d’assez discret, qui parle difficilement de choses personnelles, même si être capitaine de l’équipe de France m’a aidé à communiquer davantage.

Gala : Vous aurez trente-deux ans en novembre. Avez-vous peur de faire, comme on dit, le match de trop ?

T. D. : Je ferai tout pour l’éviter, c’est sûr. J’ai signé pour deux ans encore avec le Stade Toulousain et j’espère avoir les capacités physiques et mentales pour jouer la prochaine Coupe du Monde. C’est l’objectif que je me suis fixé. Après…

Gala : Dans dix ans, vous vous rêvez comment ?

T. D. : Avant tout heureux dans ma vie de famille – mon épouse aimerait avoir trois enfants – aussi épanoui professionnellement que je le suis aujourd’hui… Ayant beaucoup voyagé, je ne me sens pas particulièrement de racines, même si c’est à Toulouse que j’ai vécu les moments les plus importants de mon existence, alors je ne m’interdis pas de vivre un temps en Argentine. Ou ailleurs dans le monde.

Remerciements à l’hôtel Le Touessrok, à l’île Maurice.

Click Here: Australia Rugby Shop

Voilà des années que les fans n’entendaient plus parler d’elle. Joan Jett, première femme à avoir eu le cran de se lancer dans le rock, revient sur le devant de la scène après une longue retraite de sept ans. En octobre prochain, elle sort Unvarnished, son « projet le plus autobiographique » et chantera son premier single le 8 août prochain, à la télévision américaine.

Elle s’était offerte une célébrité mondiale dans les années 80 en reprenant avec les Blackhearts l’hymne I Love Rock ‘n’ Roll. Joan Jett a fini par retrouver le chemin des studios pour concocter enfin un nouvel album avec ses anciens partenaires. Il y a sept ans, ils sortaient ensemble Sinner, version américaine et remasterisée de Naked (sorti deux ans plus tôt). Cette fois, tous les titres qu’elle compte présenter en octobre prochain sont inédits. Pour l’enregistrement, la rockeuse a fait appel à d’autres artistes emblématiques. Ainsi, elle a recruté Dave Grohl des Foo Fighters (ex-NIrvana) et la jeune punk Laura Jane Grace (du groupe Against Me!) pour participer à son come-back. Et le résultat lui plaît : « C’est un vrai album de groupe. Tout le monde a participé » a-t-elle expliqué.

Pour Unvarnished, l’ex-meneuse des Runaways parie sur 14 chansons aux titres inspirés. Cette dernière explique « cet album a probablement beaucoup de mes impressions sur ce qui se passe dans la société ». Et d’ajouter : « Il y a une chanson qui s’appelle Reality Mentality, qui s’explique à elle seule, avec l’explosion de la télé réalité et (…) qui parle du fait que les gens veulent devenir stars à tout prix ». Outre ce titre, Joan Jett s’attaque également aux médias de masse dans TMI (Too much informations) pour parler de la « façon dont tout le monde est connecté et partage tout sur tout le monde ».

Avec ces morceaux, l’artiste aux 40 ans de carrière glisse aussi d’autres petites bombes avec Bad as we can be (Mauvais comme non peut l’être), Everybody needs a hero (Tout le monde a besoin d’un héros) ou encore Soulmates to strangers (D’une âme soeur à des étrangers). L’artiste de 54 ans, qui avait débuté en 1975 avec ses girls Sandy, Jackie, Lita et Cherie, assure que ce nouveau disque est l’occasion d’en savoir plus sur elle. Il s’agit du « projet le plus autobiographique » qu’elle ait jamais écrit au cours de sa longue carrière. Dans Unvarnished, elle traite de la mort de ses parents ou encore des victimes de l’ouragan Sandy, qui avait détruit entre autres une partie de New York. Elle interprétera le premier extrait de ce 12e album – Any Weather – dans l’émission populaire de Jimmy Kimmel, le 8 août prochain.

Brillant sur un terrain de football ces derniers mois, Franck Ribéry est en revanche un peu moins à son aise quand il doit s’exprimer devant les journalistes. Preuve en a une nouvelle fois été faite lors de son dernier point-presse. Les caméras du Petit Journal de canal + ne sont pas privés pour immortaliser la scène.

Canal + aime décidément bien Franck Ribéry. Non content de diffuser régulièrement les matches du joueur du Bayern Munich, la chaîne cryptée se plait à se moquer de ses problèmes avec la langue de Molière. Sa marionnette dans les Guignols de l’Info s’en amuse déjà depuis de nombreuses années et hier Yann Barthès et son Petit journal en ont remis une couche en décryptant sa conférence de presse. Sa nouvelle pépite « J’espère que la routourne va vite tourner pour nous et surtout pour nous » a été passée aux cribles par le poil-à gratter du PAF.

Il faut dire que Kaiser Franck comme il est surnommé outre-rhin n’en est pas à son coup d’essai. Pêle-mêle voici quelques unes de ses plus célèbres fautes de français ces dernières années : «J’ai couru jusqu’à quand ce que je pouvais», «Moi personnellement, je me critique moi tout seul.», «J’ai couru jusqu’à quand ce que je pouvais», «Il fait attention pour qu’on a du peps», «C’est vrai qu’on vient de jouer contre une équipe qui sont vraiment très forte», «Inconsciemment, il faut pas s’endormir», «Je pense qu’on espère qu’on va gagner!», «Au niveau des sensations, je n’ai rien ressenti.», «Le Touquet c’est une ville que j’aime bien venir.», «C’est beau ce stade Vélodrome qui est toujours plein, à domicile comme à l’extérieur.», «C’est vrai qu’on vient de jouer contre une équipe qui sont vraiment très forte.», «On est des joueurs qu’on va vite avec le ballon!»

Conscient de ses lacunes, Franck Ribéry avait avoué qu’il s’accommodait de sa marionnette aux Guignols dans une interview à France Football. « Ça fait plaisir, ça prouve que les gens m’aiment bien, et j’espère qu’ils seront contents de me voir dans les Guignols, même si ça chambre de temps en temps et que ça n’est pas toujours facile, avait-t-il déclaré. Mais je ne me prends pas la tête avec ça. J’ai toujours le sourire et je garde les pieds sur terre ».

Click Here: cheap penrith panthers jersey

Un remake américain du thriller français “A bout portant” sera prochainement mis en scène. A la production, on retrouvera notamment Mark Wahlberg.

Mark Wahlberg / © Universal Pictures International France

Le thriller français A bout portant, réalisé par Fred Cavayé et qui mettait en scène Gilles Lellouche, bénéficiera prochainement d’un remake américain. Intitulé Point Blank, le film sera notamment produit par le comédien Mark Wahlberg, actuellement à l’affiche de la comédie Ted, qui se laisse donc l’opportunité d’en être l’acteur principal. Ce qui ne semblerait pas complètement farfelu. Dans A bout portant, sorti en 2010, Samuel, un infirmier, était amené à devoir libérer un bandit pour ne pas mettre en danger la vie de sa femme enceinte, kidnappée…

Clément Cuyer avec Variety

La bande-annonce d'”A bout portant” :

Click Here: cheap wests tigers jersey

A bout portant

Gala vous a concocté un nouveau rendez-vous très “connecté” et recense pour vous les meilleurs posts de stars sur Facebook, Twitter, WhoSay Google+ et Instagram. Pour ne rien manquer de la vie de vos personnalités préférées, c’est ici.

. Aïe pour Emmanuel Philibert de Savoie qui a posté dans la soirée une photo de sa main blessée sur WhoSay. «Morsure de lion (ou presque)» s’amuse le prince amoché…

. Bienveillante @DanielaLumbroso qui aimerait qu’on arrête le lynchage médiatique autour de Sophia Aram et ses débuts dans Jusqu’ici tout va bien. Espérons que les esprits vils de Twitter l’entendent…

. Les Inconnus seront bientôt de retour sur nos écrans, mais en attendant ils distillent sur Facebook de nombreux aperçu du tournage de leur long métrage. Didier Bourdon, Pacale Légitimus et Bernard Campan vont revivre la célèbre réplique des « 100 patates! »

. Une bonne étoile veille sur @Sylvie Tellier qui a «abandonnée sur une place de livraison hier soir à 20h en désespoir» sa voiture et l’a retrouvée intact ce matin!

. Les Miss ont la côte sur les réseaux sociaux. L’échange de tweets entre @LauryThilleman qui se lance dans l’aventure Danse avec les stars, et @MarineLorphelin elle en pleine préparation du concours de Miss Monde, est adorable. Des bisous et des encouragements échangés sous nos yeux.

. De plus en plus actif sur Twitter @GuillaumeCanet apporte son soutien à Christophe Offenstein, réalisateur de En solitaire qui sort mercredi. Le directeur photo de nombreux films, dont Blood Ties, n’est autre que le parrain du petit Marcel Canet-Cotillard.

Click Here: cheap warriors rugby jersey

. Un brin de jalousie face à la garde de robe spéciale Fashion Week parisienne d’ @AlexandraGolovanoff. Sur Instagram, la journaliste nous fait saliver d’envie devant une rangée de chaussures et de sacs de vêtements qu’elle portera, évidemment, avec style lors de la semaine de la mode qui débute aujourd’hui.

. À Los Angeles, Reese Witherspoon à elle laissé ses talons aiguilles au vestiaire pour obtenir un moulage de ses pieds. «Dingue» commente-elle sur WhoSay, photo, les pieds dans le plâtre, à l’appui!

. Célibataire @MileyCyrus a trouvé du réconfort auprès d’un Elmo (une célèbre peluche rouge) grandeur nature. Agrippée autour de sa taille, la jeune fille semble fière de sa prise puisqu’elle a publié un cliché de cette rencontre au poil.

. Alors que le tout-Hollywood des séries se pressait dimanche soir à la cérémonie des Emmy Awards, Liv Tyler a préférée, elle, regarder la soirée devant la télé avec un gros bol de pop-corn. Glamour toujours.

. La plus sympa des tatas c’est Eva Longoria. L’actrice a passé la soirée avec ses petits neveux en prévision d’un Halloween d’enfer cette année.

En couple avec David Furnish depuis vingt ans, Elton John s’apprête à dire oui à l’homme de sa vie. En mai prochain ils devraient être unis par les liens du mariage.

À Hollywood les relations longues sont rares et enviables. Après une série de divorces et de séparations fracassantes, Elton John vient enfin nous annoncer une bonne nouvelle.

Invité sur le plateau du célèbre Jimmy Kimmel, le chanteur a confirmé son désir d’union. Elton John donne même quelques détails de ce qui sera surement l’un des plus beau jour de sa vie. L’interprète de Canddle in the wind et son compagnon souhaitent attendre «que la loi (qui autorise le mariage dans un couples homosexuel) soit appliquée en Angleterre» pour se dire oui. En mai 2014, Elton et David seront donc mari et mari.

Pour la star, l’arrivée de cette loi revêt une importance toute particulière. «Si la loi nous permet de nous marier, alors, en tant que couples gay célèbre, nous allons le faire» affirme Elton John. Il prend même ce projet d’union comme un «devoir». Avant d’assumer pleinement son homosexualité, il fut marié à une femme. Quatre années de mensonge avant que le chanteur ne se décidé finalement à accepter son attirance pour les garçons. Avec David, Elton John est devenu l’homme qu’il a toujours été.

En 2005 déjà, les parents de deux enfants sont devenus des «Civils Partership» comme l’autorise déjà la Grande-Bretagne. Une union célébrée le jour même de l’officialisation de cette loi. Côté symbole, Elton John et son compagnon avaient choisi la même salle où le prince Charles et Camilla se sont dit oui. Victoria Beckham, Claudia Schiffer, George Michael, Ringo Starr et tant d’autres personnalités furent conviées à cette union restée dans l’Histoire.

Avec Zachary et Elijah (qui ont pour marraine Lady Gaga), il ne manque plus qu’à Elton et David la joie d’être unis par les liens d’un vrai mariage.

Les frères Weinstein viennent de porter plainte contre la Warner pour récupérer une plus grosse part des profits obtenus par les deux premiers films du Hobbit. Les producteurs américains exigent même 75 millions de dollars de dommages et intérêts.

Qui aurait pu penser qu’un si petit homme attirerait autant les convoitises. Sorti en France cette semaine, le deuxième volet du Hobbit, réalisé par Peter Jackson, cartonne déjà au box-office. Salué par la critique, Le Hobbit: la désolation de Smaug continue d’enchanter le public et peut compter cette année sur le retour d’un personnage mythique, Legolas, incarné par Orlando Bloom.

Mais derrière ce succès se cache une véritable guerre de tranchées. Un combat non pas pour la Terre du milieu mais bien pour de l’argent. En effet, les frères Weinstein ont décidé de porter plainte contre Warner Bros. Les deux producteurs américains demandent pas moins de 75 millions de dollars de dommages et intérêts. La raison? Les Weinstein estiment qu’ils ont le droit à une part des bénéfices engendrés par le Hobbit et reprochent au célèbre studio de production de ne pas leur avoir versé leur part pour les deux premiers volets de la trilogie. Dans cette plainte, les Weinstein parlent d’une affaire de «cupidité et d’ingratitude» comme le rapporte le magasine Variety.

Propriétaires des droits jusqu’en 1998, les deux producteurs hollywoodiens cèdent à l’époque leurs droits sur l’ouvrage de Tolkien à la société New Line (filiale de Warner). Cette dernière accepte en contrepartie de leur verser 5% des profits du premier volet Le Hobbit: un voyage inattendu. Aujourd’hui, la mythique maison de production n’entend pas revenir sur les termes de ce contrat. «C’est l’une des plus grosses gaffes de l’histoire du cinéma. Il y a 15 ans, Miramax, alors dirigé par les frères Weinstein, a vendu ses droits sur Le Hobbit à New Line. C’est un fait et ils ont accepté d’être payés pour le premier film adapté du Hobbit. C’est tout ce qui leur revient de droit» estime d’ailleurs Paul McGuire, porte-parole de Warner, dans un communiqué envoyé à l’AFP. Pour rappel, le premier opus du Hobbit avait rapporté plus d’un milliard de dollars. On comprend mieux pourquoi les Weinstein lorgnent sur ce précieux butin.

Click Here: Golf Equipment Online