Initiales BB…ou Balkany-Bardot

Les confidences de Patrick Balkany sur ses copains stars. Mais aussi sur ses amours. Ici, apparaît …

On croyait ouvrir un livre de confidences politiques en débutant la lecture d’Une Autre Vérité, La Mienne (éd. Michel Lafon), l’autobiographie du maire de Levallois-Perret et ami de Sarkozy, Patrick Balkany. Et puis on est quasi tombé sur le bouquin people de l’année.

Ses amitiés avec Hanin, Hossein, Johnny,

etc. et un passif de playboy auprès d’une multitude de stars. Dont une nuit avec Shirley Mc Lain qui lui met, dit-il «le grappin dessus».

Ainsi qu’une liaison torride avec Brigitte Bardot illustrée par ce dialogue – Ecoute a-t-elle chuchoté […] je ne peux pas coucher si je ne suis pas amoureuse, avant d’ajouter: “Mais tu sais je peux tomber amoureuse trois fois par jour…”»

Une bonne fortune qui reste vive dans la mémoire de Patrick âgé de 18 ans à l’époque. On le comprend!

Dimanche 24 janvier 2010

Tunisie : pourquoi les résultats de la présidentielle s’annoncent très incertains

Journée décisive en Tunisie. Sept millions d’électeurs inscrits doivent choisir leur président au suffrage universel parmi 26 candidats, dimanche 15 septembre. Le scrutin a été anticipé par le décès du président Béji Caïd Essebsi, le 25 juillet. La date du second tour n’a pas encore été fixée. Ce scrutin sera suivi par les législatives, prévues le 6 octobre. Initialement, celles-ci auraient dû précéder la présidentielle. Mais le calendrier a été inversé par la disparition du chef de l’Etat sortant. Aux dires des observateurs, le scrutin est très ouvert. Il pourrait inaugurer un “grand chambardement politique”, comme l’explique l’association Nachaz Dissonances. Celle-ci n’hésite pas à dramatiser les enjeux en affirmant : “Les élections de 2019 sont à tous égards fatidiques. Seront-elles le tremplin vers le pire ou un tournant salutaire pour nos institutions et notre vie commune ?”

Affiche électorale du Premier ministre et candidat à la présidentielle, Youssef Chahed, dans une rue de Tunis Le 10 septembre 2019. (HASSENE DRIDI/AP/SIPA / SIPA)

Ces dernières années, Nabil Karoui a assis sa popularité sur des distributions d’aide alimentaire dans les régions défavorisées. Autant d’opérations relayées par… Nessma TV. “Il ne faut pas se leurrer. Ennahdha achetait les électeurs en 2011 (lors des premières élections libres du pays, NDLR), Karoui fait la même chose aujourd’hui. Même s’il marque beaucoup de points, il y a ce ras-le-bol, ce rejet de toute la classe politique”, analyse le politologue Hatem Mrad, cité par l’Agence France-Presse (AFP). “Je n’ai pas entendu beaucoup de discours pertinents sur la pauvreté pendant cette campagne”, ajoute-t-il. Alors que l’économie y a tenu une place importante.L’instabilité liée à la transition démocratique, suite de la révolution de 2011, a aggravé la situation socio-économique du pays et la déliquescence des services publics. Suivi de près par le FMI, le pays s’est considérablement endetté pour assurer le fonctionnement de l’Etat. Les régions de l’intérieur défavorisées sont particulièrement touchées. Notamment celle de Gafsa… qui possède pourtant l’une des principales richesses naturelles de la Tunisie, le phosphate, dont la production a presque doublé entre le premier trimestre 2018 et la période équivalente de 2019.Parce que le taux de chômage est élevéOfficiellement, le taux de chômage en Tunisie tourne autour de 15%. Mais celui des jeunes, notamment des jeunes diplômés, est encore plus élevé : il serait de 34,4%. Des éléments qui ne tiennent pas forcément compte du poids considérable de l’économie informelle (et de ses emplois précaires), qui représenterait 54% du PIB tunisien !Des infrastructures déficientes. Le chômage. Pas une seule maison culturelle. Des programmes en attente jamais réalisés. Il me faut des moyens, des moyens, des moyens.Le maire d’Ettadhamen, Ridha Chihi (élu sur une liste du parti d’inspiration islamiste Ennahdha)à l’AFPInterrogé en 2018 lors des municipales, un chauffeur de taxi tunisois expliquait à franceinfo Afrique : “Tous ces politiciens, c’est 0 ! Ils nous volent. Regardez les prix qui augmentent : l’eau, le gaz, l’électricité… La démocratie, c’est quoi ? En tous les cas, ce n’est pas ce que je vis. Regardez, j’ai deux fils, ils sont diplômés, professeurs de sport. Ils travaillent tous les deux chez Décathlon, de 9h du matin à 9h du soir pour 400 dinars (130 euros) par mois. Ils vivent chez moi, ils ne peuvent même pas se marier. Et pourtant, ils sont bien : ils ne fument pas, ils ne vont pas au café.” Une situation qui peut servir de carburant aux violentes manifestations comme à Kasserine (centre-ouest) en janvier 2016. Et a pu aider à grossir les rangs de l’organisation Etat islamique. Parce que de nombreux électeurs ne sont pas inscritsLa campagne électorale n’a pas forcément répondu aux attentes de l’électorat. “Je n’ai pas entendu de projets sur les moyens de réduire l’inégalité entre régions… Une inégalité qui a quand même été la cause de l’explosion en 2011” et a conduit à la chute de la dictature, observe l’universitaire Hatem Mrad. Certains ne manqueront pas de faire un rapprochement avec l’apparent désintérêt de nombre d’électeurs : 3,48 millions de personnes ne seraient pas inscrites sur les listes, soit près de 40% de l’électorat.Conséquence : la campagne de 2019 a été radicalement différente de celle de 2014, lors de la première élection présidentielle démocratique du pays. A l’époque, le clivage “islamiste-laïc” (à “laïc”, les Tunisiens préfèrent souvent le terme “séculaire”) occupait les esprits après le passage au pouvoir du parti Ennahdha entre 2011 et 2014. Une période marquée par la montée du salafisme, les meurtres politiques, la dégradation de la situation économique et sociale : autant d’éléments qui ont conduit le pays au bord du gouffre.Quatre organisations de la société civile, la Ligue tunisienne des droits de l’Homme, l’Ordre des avocats, le syndicat UGTT, l’union patronale UTICA, regroupées au sein d’un “quartet”, avaient alors lancé un “dialogue national de sortie de crise”. Initiative récompensée par un prix Nobel de la paix et qui avait amené Ennahdha à quitter le pouvoir. Le président élu en 2014, Béji Caïd Essebsi, avait par la suite gouverné en coalition avec la formation islamiste. Après avoir affirmé le contraire pendant la campagne…

Le candidat d’Ennahdha, Abdelfattah Mourou, lors d’une conférence de presse à Tunis, le 9 septembre 2019 (AFP – YASSINE GAIDI / ANADOLU AGENCY)

Parce qu’Ennahdha traverse une crise Depuis, le parti Ennahda a dit entamer une mue politique et entend se définir comme “musulman démocrate”. Résultat : aujourd’hui, il traverse une “crise d’identité” et craint la fuite d’une partie de ses électeurs vers un candidat comme Nabil Karoui. Pour autant, il reste puissant. Et présente un candidat, Abdelfattah Mourou, “figure atypique au sein des islamistes, portant l’habit traditionnel tout en prônant l’ouverture du parti” (AFP).Si Abdelfattah Mourou est au second tour, “il est possible que la question du terrorisme” réapparaisse “pour mettre Ennahdha en difficulté. Comme à chaque fois qu’il y a polarisation, les sujets sécuritaires reviennent”, pense Michaël Ayari, chercheur pour l’International Crisis Group (ICG). D’autant que l’état d’urgence, instauré suite aux attentats de 2015, est toujours en vigueur. Ennahdha a longtemps été accusé de laxisme face au jihadisme. Une accusation qu’il rejette.De son côté, Youssef Chahed, arrivé au pouvoir en 2015, a fait notamment campagne sur l’amélioration de la situation sécuritaire (tout en étant obligé de reconnaître l’augmentation de la criminalité quotidienne). Outre la lutte contre le jihadisme, on peut aussi mettre au compte du pouvoir sortant et du président Essebsi, aiguillonnés par une société civile restée très active, des mesures sociétales. Notamment un texte autorisant les Tunisiennes à épouser un non-musulman et une loi pour réprimer les violences contre les femmes. Ce n’est pas pour rien que l’ancien président, vieux compagnon de route de Habib Bourguiba, se targuait, paraît-il, d’avoir été élu grâce au vote de ces dernières… Click Here: cheap south sydney rabbitohs jersey

“Tapis rouge” : revivez l’avant-première de “Rock Forever” ! [VIDEO]

C’est ce dimanche 10 juin que s’est tenue, à Londres, l’avant-première européenne de “Rock Forever”. De Tom Cruise à Julianne Hough, en passant par Malin Akerman ou Russell Brand, l’équipe avait fait le déplacement, et vous pouvez maintenant revivre cet événement.

Une semaine après le jubilé de la Reine Elizabeth, c’est un tout autre événement qu’a accueilli Londres, ce dimanche 10 juin : l’avant-première européenne de Rock Forever ! Pour l’occasion, les fans s’étaient donnés rendez-vous à Leicester Square pour voir les membres de l’équipe du il, presqu’au grand complet, de Tom Cruise à Julianne Hough, en passant par Malin Akerman, Diego Boneta ou Russell Brand. Et grâce à notre nouveau numéro de Tapis rouge, vous pouvez revivre tout ça en images.

Maximilien Pierrette


Syrie : les Etats-Unis se disent prêts à activer de “très fortes sanctions” contre la Turquie

Les Etats-Unis haussent le ton. Donald Trump a autorisé, sans toutefois les activer pour l’instant, des sanctions très fermes contre la Turquie, vendredi 11 octobre. Ankara mène une offensive dans le nord de la Syrie contre une milice kurde depuis trois jours, provoquant le tollé de la communauté internationale.“Donald Trump a l’intention de signer un décret pour dissuader la Turquie de toute poursuite de son offensive militaire dans le nord-est de la Syrie”, a déclaré le secrétaire américain au Trésor dans une conférence de presse. “Ce sont de très fortes sanctions. Nous espérons que nous n’aurons pas à les utiliser mais nous pouvons neutraliser l’économie turque si nécessaire.”Incertitudes sur la nature des sanctionsLa ligne rouge que la Turquie ne doit pas franchir n’a cependant pas été clairement établie par Washington. Mais le ministre américain de la Défense Mark Esper a fait savoir qu’il avait “fortement encouragé” son homologue turque à interrompre l’opération militaire dans le Nord de la Syrie. Le ton tranche avec le début de la semaine.Dimanche soir, Donald Trump avait créé la stupéfaction et suscité un tollé lorsque la Maison Blanche avait annoncé, à la surprise générale, le retrait de troupes américaines des abords de la frontière turco-syrienne. Une décision largement perçue comme un feu vert de facto à la Turquie pour attaquer les Kurdes dans cette zone. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a lui-même dit vendredi qu’il n’arrêterait pas son offensive contre les forces kurdes, malgré les “menaces”.

Greece’s ‘invisible’ green crisis

Greece’s ‘invisible’ green crisis

EU environmental policy is one of the casualties of Greece’s austerity drive.

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Behind the depressingly familiar street demonstrations beamed almost nightly from Greece are other crises that are largely unreported and unnoticed.

One of these ‘invisible’ crises is environmental. Almost a quarter of a century of advances in environmental regulation made by Greece as a member of the EU are now being weakened and rolled back. Crisis-management policies are being adopted with intended short-term economic ‘wins’ but with little regard for sustainability and for environmental issues.

As a member of the troika overseeing Greece’s austerity-based reforms (together with the International Monetary Fund and the European Central Bank), can the European Commission simultaneously act as custodian of the EU treaties while at the same time advocating policies that seriously undermine their implementation?

A case in point is the pioneering ‘Green Fund’ established by the Greek government in 2010 with the aim of promoting nature conservation and investments related to climate change. The fund swiftly accumulated over €1 billion. But the fund was effectively dissolved only months after its creation; 95% of the fund can now freely be absorbed by the state budget in order to help cover the national debt.

This shifting of resources away from the environment also stifles the potential for green businesses and jobs.

Environmental protection regulations are now being axed – this, at a time when large-scale infrastructure investments are being promoted without being subject to transparent, legally unimpeachable screening and to proper environmental impact assessments. One example is a draft law currently being discussed in parliament that would exempt all waste-treatment infrastructure works from proper environmental-impact assessment procedures on grounds of “the general public interest”.

What have long been designated as ‘illegal’ constructions are now being retrospectively ‘legalised’ through payment of fines, again aimed at covering the soaring debt. With this measure, not only is immunity granted to illegal practices, but there is a clear risk of undermining important prot-ected areas. The island of Zakynthos, the Mesolonghi lagoon and even Mount Olympus are among the protected areas that are particularly at risk.

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This trajectory is economic folly. First, cutting back on environmental-protection regulations may bring some short-term relief but will ultimately deter new investment. One recent example of a project approved despite its obvious impact on the protected habitat of an EU priority species is a large tourist resort on the island of Milos.

Second, the huge natural capital of countries such as Greece is an important source of wealth that is not captured in conventional economic accounting. Sacrificing environmental regulations in the name of austerity is poor economics.

Since tourism accounts for 18% of Greece’s gross domestic product, it simply does not make business sense to put at risk one of the main competitive advantages and ‘products’ of this country – its stunning landscapes, and the wealth and diversity of nature spread across its peninsula, its islands and its marine environment.

Third, different economic development pathways based on ‘green economy’ principles and outcomes are rapidly becoming the new orthodoxy. Why send Greece back to the economic Dark Ages through imposed ‘environmental austerity’ at a time when investing in resource stewardship is increasingly seen as giving countries a competitive edge?

This is not to argue that Greece’s economy does not need adjustment. But those who prescribe the medicine of austerity must be accountable for the longer-term consequences of their actions on the environment – a policy area that few understand and even fewer recognise properly in their national accounts.

Demetres Karavellas is the director of WWF Greece.

Authors:
Demetres Karavellas 

Reding attacks Google’s privacy policy

Reding attacks Google’s privacy policy

European commissioner says new privacy rules violate EU data-protection provisions.

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Viviane Reding, the European commissioner for justice, has criticised Google over its new privacy policy, which took effect yesterday (1 March).

She said that the new rules were not transparent and called on the company to suspend their application, backing a call earlier this week by France’s data-protection.

Reding backed France’s national commission on information technology and liberties (CNIL) in its finding that Google’s new privacy policy “does not meet the requirements of the European directive on data protection”.

The CNIL wrote to Google on Monday (27 February) to convey its concerns, following a preliminary analysis that it had undertaken on behalf of the EU’s national data-protection authorities. It also announced that it would launch a full investigation.

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Google rejected the CNIL’s call to delay the introduction of the new policy, which replaces dozens of separate privacy policies for its various services with just two – one for YouTube, a video-sharing site, and one for all other services, including Gmail (an email service) and its search engine.

Google’s search engine is the subject of a separate anti-trust investigation by the European Commission, the results of which are expected later this month.

Authors:
Toby Vogel 

Manchester United’s Bailly aims dig at Mourinho with Solskjaer comments

The Ivorian centre-back is relishing the opportunity of working with the former striker who won six league titles with the Red Devils

Manchester United defender Eric Bailly has described Ole Gunnar Solskjaer as a manager who “communicates well” and can help the team go from “strength to strength” after the former striker replaced Jose Mourinho in the dugout.

Despite his recent struggles with injuries, 25-year-old Bailly is enjoying the leadership of the Norwegian manager with United sitting fifth in the Premier League table.

After his successful spell at Old Trafford as a player, Solskjaer returned to the famous ground as a manager in December 2018, succeeding Mourinho at the helm.

More teams

And Bailly, who has played four matches across all competitions this season, praised the 47-year-old for his man-management off the pitch – which has made him more like an “uncle” to the players.

“Yeah, it’s also important being able to work with someone who is a former player,” Bailly told ESPN FC.

“Someone who understands the players’ situations, understands all the things that can happen from time to time.

“Because football is not just played on the pitch, it’s also about all the things that go on around the game, the things that people don’t see… and he is someone that gets that and it helps the team a lot. Besides being a coach, he’s just a normal person, you know?

“I would say he’s like an uncle… and having someone like that in the club gives the players more strength.

“The truth is, he’s someone that will always talk to you. He always communicates well. He gives you so much confidence… because as a footballer, you go through moments where you feel low and he can read that and when he sees that he immediately comes over to you and talks to you.

“He offers advice so that you can regain confidence and for me that’s so important because, like I said, we have a very young team and if we have a coach like that then the team will go from strength to strength.”

Mourinho brought Bailly to Manchester from Villarreal in the summer of 2016 but injuries have restricted the Ivory Coast international to just 52 Premier League appearances in four seasons.

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VIDEO. “Vous avez volé mes rêves et mon enfance !” : le discours choc de Greta Thunberg à l’ouverture du sommet de l’ONU pour le climat

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Dans un discours furieux à l’ONU, la jeune Suédoise Greta Thunberg a réprimandé les dirigeants de la planète pour leur inaction contre le changement climatique, au début d’un sommet consacré à ce sujet à New York. “Je ne devrais pas être là, je devrais être à l’école, de l’autre côté de l’océan”, a lancé, lundi 23 septembre, Greta Thunberg, la voix tremblante mais forte, lisant un texte depuis sa chaise. “Comment osez-vous ? Vous avez volé mes rêves et mon enfance avec vos paroles creuses !”“Je fais pourtant partie de ceux qui ont de la chance. Les gens souffrent, ils meurent. Des écosystèmes entiers s’effondrent, nous sommes au début d’une extinction de masse, et tout ce dont vous parlez, c’est d’argent, et des contes de fées de croissance économique éternelle ? Comment osez-vous !” Ce court discours est l’un des plus percutants que l’adolescente de 16 ans ait prononcés depuis son arrivée aux Etats-Unis fin août.”Vous nous avez laissé tomber”Elle a, comme auparavant, répété les faits scientifiques confirmant le réchauffement accéléré de la planète, puis s’en est pris aux chefs d’Etat et de gouvernement présents au même sommet, auquel le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, l’avait invitée.“Vous nous avez laissé tomber. Mais les jeunes commencent à comprendre votre trahison”, a dit Greta Thunberg. “Si vous décidez de nous laisser tomber, je vous le dis : nous ne vous pardonnerons jamais. Nous ne vous laisserons pas vous en sortir comme ça”. “Le monde se réveille, et le changement arrive, que cela vous plaise ou non. Merci”, a-t-elle conclu, très applaudie dans la grande salle de l’Assemblée générale.Click Here: Cardiff Blues Store

Royaume-Uni : des appartements en kit au cœur de Bristol

Avec ses 430 000 habitants, Bristol est la 6e ville d’Angleterre (Royaume-Uni), l’une des plus prisées du pays. La ville est en pleine expansion. Mais quand le jour s’éteint, un étrange ballet nocturne se met en place : un emménagement au moyen d’une grue géante capable de soulever jusqu’à 200 tonnes, non pas pour déposer entre quatre murs des meubles ou des effets personnels, mais des appartements tout entiers, préfabriqués et glissés comme des boîtes qu’on empilerait dans un placard sur mesure.Dans un immeuble de 1950 dont seule la façade historique tient encore debout, neuf appartements de 23 à 62 m2 sur trois niveaux vont être entreposés. Pas de travaux d’électricité ou de plomberie dans l’immeuble : tout est déjà connecté, et même équipé, par le promoteur. Parmi ces appartements, l’un d’eux, 30 m², se louera environ 1 400 euros par mois, soit 30% de plus que dans un logement similaire dans l’ancien, car plus moderne et plus résistant à l’épreuve du temps, selon le constructeur.  Enrayer la pénurie de logements Le secret de ce gain de temps se trouve à 110 km de Bristol, dans une usine de Southampton, dans le sud de l’Angleterre, où les appartements sont assemblés par une vingtaine d’ouvriers, tous corps de métier confondus. Pour faire du sur-mesure, il faut d’abord modéliser par ordinateur les futurs appartements. Le coût de fabrication est 20% inférieur à une construction classique, alors que les matériaux et l’isolation sont les mêmes. Ce qui fait la différence, selon l’entreprise, c’est de tout bâtir dans un hangar, de la toiture à la tuyauterie, jusqu’aux moindres finitions sans avoir à affronter les imprévus de chantier. Des chantiers plus productifs, donc, et à moindre coût pour le constructeur, mais en bout de chaîne, des appartements plus chers.Alors, quel intérêt ? À Bristol, la mairie y voit une façon, au-delà du prix, d’enrayer la pénurie de logements qui frappe la ville, comme l’ensemble du pays. Ces appartements présentent un autre avantage : avec leur bonne isolation, ils pourraient dans les prochaines années aider à réduire les émissions de carbone dans la ville.Le JT

  • JT de 20h du lundi 30 septembre 2019 L’intégrale

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Afrique du Sud : un transport maritime d’animaux vivants provoque un scandale

Le cargo Al Shuwaikh vogue actuellement vers le port de Muscat à Oman. A bord, 60 000 têtes de bétail : chèvres, moutons et vaches, qui seront abattues au Koweit. Le bateau a quitté East London, en Afrique du Sud, le 4 octobre dernier et doit atteindre sa destination le 17 octobre. Deux semaines de navigation que ne supporteront pas de nombreuses bêtes, selon les défenseurs des animaux.Ces derniers, sous la bannière de l’ONG sud-africaine de défense des animaux NSPCA, n’ont pas pu empêcher le départ du cargo, ni son chargement. Ils ont toutefois assisté à l’opération qui a duré quatre jours. Ils ont pu accompagner une inspection du bétail à bord, menée par le directeur des services vétérinaires du ministère de l’Agriculture, le docteur Molefe.Les conditions à bord étaient horribles, selon le NSPCA. “Sur certains ponts, il y avait des taux dangereusement élevés d’ammoniaque. Des excréments souillaient la nourriture et l’eau des bacs. Les moutons devront supporter ces conditions durant tout le trajet.” Malgré leur insistance, les militants ont échoué à bloquer le chargement. Les fonctionnaires du gouvernement ont laissé se poursuivre le processus. Les militants de la NSPCA étaient les seuls à s’occuper des animaux, tant dans le corral, que sur le bateau, prétendent-ils.”Navire de la mort”“La NSPCA portera plainte contre le gouvernement sud-africain, y compris le gouvernement provincial, aux termes de la loi sur la protection des animaux, pour des chefs de cruauté envers les animaux, de voies de fait pour le personnel qui a manipulé les animaux inhumainement.”“Voir la souffrance de ces moutons avant même leur départ et regarder Al-Shuwaikh partir a été déchirant, mais cela a également confirmé notre détermination. Nous avons peut-être perdu cette bataille, mais nous n’avons pas perdu la guerre. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour nous assurer qu’aucun animal ne sera plus jamais embarqué à bord de ces navires de la mort”, a déclaré Meg Wilson de la NSPCA. “Les preuves rassemblées au cours des quatre derniers jours protégeront des millions d’animaux à bord de ces navires de la mort à l’avenir.”Service en AustraliePour les mêmes raisons, l’Al-Shuwaikh a également défrayé la chronique en Australie en 2018. Il transportait 60 000 moutons destinés au Moyen-Orient. “J’étais à Adélaïde quand l’Al-Shuwaikh a chargé sa cargaison dans des conditions extrêmement froides (mai 2018). Les moutons ne semblaient pas avoir été tondus de près”, explique une lectrice du Maritime Executive.

Des moutons stressés à bord de l'”Awassi Express”, le 9 mars 2018. Le transport de 50 000 moutons a été bloqué en Australie après la diffusion des images sur les conditions du voyage maritime entre l’Australie et le Moyen-Orient. (ANIMALS AUSTRALIA / ANIMALS AUSTRALIA)

Et c’est bien le problème. Car quittant l’hiver austral, ils vont durant la traversée subir les chaleurs de l’hémisphère nord. “L’Al-Shuwaikh fait route vers le Koweit où il fait actuellement 39 degrés”, poursuit la correspondante, dénonçant les conditions du transport.Une situation qui à l’époque a ému l’association des vétérinaires australiens (AVA). Celle-ci considérait qu’offrir plus de place aux animaux ne changerait rien à l’affaire. “Lorsque la température et l’humidité ambiantes extérieures dépassent le seuil de stress thermique d’un animal, celui-ci ne peut tout simplement pas se refroidir, quel que soit l’espace disponible”, précise Sue Foster, porte-parole de Vets Against Live Export.De l’avis de l’Australia’s Veterinary Institute for Animal Ethics, cette affaire a été pour le gouvernement une “occasion manquée d’empêcher la souffrance inutile et la mort des moutons australiens exportés au Moyen-Orient.” Et désormais, l’Al Shuwaikh poursuit son commerce en Afrique du Sud, à raison d’un voyage tous les deux mois, espère l’affréteur, et cela en toute légalité…Click Here: NRL Telstra Premiership