Qui est Abiy Ahmed, le “Gorbatchev éthiopien” sacré prix Nobel de la paix ?

Le comité a salué une personnalité qui n’a pas ménagé “ses efforts en faveur de la paix et de la coopération internationale”. Le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed s’est vu attribuer le prix Nobel de la paix, vendredi 11 octobre à Oslo (Norvège). Celui qui a mis fin à deux décennies de guerre avec l’Erythrée, qui a fait plus de 60 000 morts, figurait sur la liste des favoris pour la prestigieuse récompense.Dès sa nomination en avril 2018, Abiy Ahmed s’était dit prêt à remettre à l’Erythrée des territoires contestés, comme la ville frontalière de Badme, mettant fin au conflit entre ces deux pays frères de la Corne de l’Afrique. Le 9 juillet 2018, le tout nouveau Premier ministre éthiopien invite officiellement l’Erythrée au dialogue, se disant disposé à trouver une solution au conflit territorial qui empoisonne leur relation depuis des années. Renversement diplomatiqueCe revirement diplomatique débouche sur une visite à Asmara (capitale de l’Erythrée), les 8 et 9 juillet, à l’issue de laquelle il signe avec Issaias Afeworki, 71 ans, une déclaration stipulant que “l’état de guerre (…) est arrivé à sa fin”. Cinq jours après avoir tendu la main au frère ennemi érythréen, Abiy Ahmed crée à nouveau la surprise en se rendant au Caire afin de désamorcer la crise régionale provoquée par la construction, dans le nord de l’Ethiopie, du Grand Barrage de la Renaissance qui inquiète fortement l’Egypte. Le nouveau Premier ministre éthiopien se serait engagé à ne pas réduire le débit du Nil qui alimente l’Egypte, y compris durant le long remplissage du barrage. Les négociations sur le débit du Nil bleu restent toutefois très difficiles.Abiy est un homme de dialogue. Il a contribué à la réconciliation entre musulmans et chrétiens dans sa région (Oromiya) dans les années 2000 en tant que médiateur entre les deux communautés. Lui-même est de père Oromo musulman et de mère Amhara chrétienne orthodoxe. Apaiser les tensions ethniquesDans le même esprit audacieux, Abiy a engagé un dialogue avec de nombreux groupes d’opposition armés éthiopiens dans la région et a réussi à persuader le Front de libération d’Oromo de s’engager à participer pacifiquement au processus politique. La province d’Oromiya, qui entoure Addis-Abeba, est depuis 2015 en proie à des violences alimentées en grande partie par le sentiment de marginalisation de nombreux membres de l’ethnie Oromo.Ce nouveau Premier ministre a été choisi pour apaiser les tensions ethniques dans le pays. C’est la première fois dans l’histoire de l’Ethiopie qu’un Oromo, qui représente un tiers de la population, accède à la direction du pays.Le “Gorbatchev éthiopien”Le 16 octobre 2018, Abiy Ahmed a réduit d’un tiers la taille du gouvernement et présenté une équipe qui, pour la première fois, compte autant de femmes que d’hommes.”Nous, les Ethiopiens, méritons et nécessitons la démocratie… Nous devons respecter les droits humains et démocratiques, la liberté d’expression, de réunion et d’organisation… Construire un système démocratique exige de s’écouter.”  Ce premier discours d’Abiy Ahmed a fait sensation après des décennies de dictature et a lancé son image d’homme nouveau. Il parle de lutte contre la corruption, d’ouverture de l’économie, de réconciliation avec le voisin érythréen. Lui, l’ancien membre des services de renseignements, ancien ministre des Sciences et des Technologies dans le gouvernement précédent, promet d’accueillir les partis d’opposition longtemps réprimés.En quelques mois, un conflit de cinquante ans avec l’Erythrée prend fin, des centaines de prisonniers politiques sont libérés, un centre de torture est fermé, des partis sont retirés de la liste des organisations terroristes, leurs leaders rentrent sous les acclamations. La presse, qui le voit en sauveur du pays, le qualifie de “Gorbatchev éthiopien” pour l’ampleur des réformes amorcées.Pour autant, reste à savoir si ses promesses pourront se concrétiser à l’heure où les tensions ethniques sont de retour dans le pays et alors que les tensions avec l’Egypte sur la question du barrage sur le Nil demeurent.

Offensive turque en Syrie : des politiques français réclament l’annulation du match France-Turquie

Plusieurs responsables politiques ont réclamé l’annulation du match France-Turquie, qualificatif à l’Euro 2020, lundi 14 octobre, après le salut militaire des joueurs turcs lors de leur rencontre contre l’Albanie vendredi. Cette demande intervient alors qu’Ankara a lancé une offensive contre des positions kurdes dans le nord-est de la Syrie.Le président de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde, par ailleurs président du groupe d’études sur les Kurdes à l’Assemblée nationale, s’est opposé, dès dimanche soir, à ce que “ceux qui saluent le massacre de nos alliés kurdes” soient accueillis au Stade de France.

Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national, est aussi favorable à une annulation. Selon elle, “en servant de relai à la propagande d’Erdogan, dont les actions en Syrie préoccupent la communauté internationale, l’équipe de football turque a bafoué les valeurs du sport. Il est temps que l’UEFA sanctionne cette dérive politique de la fédération de football turque !”“Impensable que des joueurs turcs fassent le salut militaire sur notre sol, ou que La Marseillaise soit encore sifflée ce soir”, a insisté l’eurodéputé et vice-président du RN Jordan Bardella, alors que des supporters turcs l’avaient pour partie sifflée, en juin, à Konya, lors du match aller.”Une question de décence”, pour le PSDu côté de La France insoumise, le député Alexis Corbière a appelé à ce que le match soit “officiellement annulé”. Même son de cloche chez Jean-Luc Mélenchon.

Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a réclamé un “report sine die” du match. “Au moment où nos alliés kurdes se font massacrer, c’est à la fois une question de décence, de solidarité et de bon sens pour garantir l’ordre public”, a-t-il écrit sur Twitter.Chez Les Républicains, le député Eric Ciotti a appelé, sur LCI, le ministre de l’Intérieur à “suspendre” ce match, “pour des raisons de sécurité”, alors que de nombreux supporters turcs sont attendus au Stade de France.La FFF n’envisage pas d’annulation Alors que le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a annulé sa venue au Stade de France, la Fédération française de football affirme qu’“une possible annulation n’est absolument pas dans les tuyaux”“Il n’y a même pas le début d’un lancement d’une demande d’annulation”, assure-t-elle. Les ministres turcs des Sports et de la Justice ainsi que l’ambassadeur à Paris devraient, eux, assister au match, selon une source diplomatique turque.Philip Townsend, chef de presse de l’UEFA, a fait savoir, dimanche, que la confédération européenne de football allait “examiner” le salut militaire des joueurs turcs, en rappelant que le règlement “interdit les références à la politique et à la religion”.Un important dispositif de sécurité, de plusieurs centaines d’hommes et femmes, a été mis en place autour du Stade de France, un match classé à risque par le ministère de l’Intérieur. Click Here: cheap nrl jerseys

La Turquie annonce la suspension de son offensive pour que les forces kurdes évacuent le nord de la Syrie

Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, annonce, jeudi 17 octobre, la “suspension” de son opération militaire contre les forces kurdes dans le nord de la Syrie. Cette “pause” d’une durée de cinq jours doit permettre l’évacuation des forces kurdes du YPG, sommées par Ankara de quitter une “zone de sécurité” de 32 km de largeur le long de la frontière turque. Sur Twitter, le président des Etats-Unis s’est félicité que “des millions de vies soient sauvées”.

Cette annonce a été faite à la suite d’une rencontre de plus de quatre heures entre le président turc Recep Tayyip Erdogan et le vice-président américain Mike Pence. A l’issue de celle-ci, le bras droit de Donald Trump a affirmé que l’opération turque “s’arrêtera complètement” si les troupes kurdes acceptent de se retirer.Pour la Turquie, il ne s’agit pas d’un “cessez-le-feu”Pendant cette conférence de presse, Mike Pence a assuré avoir négocié avec la Turquie un accord de “cessez-le-feu”. Mais le terme a été immédiatement récusé par le ministre turc des Affaires étrangères, arguant qu’un cessez-le-feu ne peut être négocié qu’entre “deux parties légitimes”.Les pays occidentaux soutiennent en majorité les Kurdes pour leur rôle crucial dans la lutte contre les jihadistes du groupe Etat islamique. Mais Ankara les considère de son côté comme des “terroristes” en raison des liens du YPG avec le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qui mène une guérilla sanglante en Turquie depuis 1984.Click Here: pinko shop cheap

La Tunisie annonce avoir abattu sur son sol un dirigeant algérien d’Al-Qaïda

Considéré comme “l’un des dirigeants les plus dangereux” du groupe Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Mourad ben Hammadi Chayeb a été tué le 20 octobre 2019 par les forces de sécurité tunisiennes dans le centre-ouest du pays. Ce terroriste algérien aurait participé à plusieurs attaques contre des soldats et des membres des forces de sécurité en Tunisie, ces dernières années. “Un dirigeant terroriste du groupe Oqba ibn Nafaa a été tué, lors d’une opération antiterroriste menée par les forces militaires et de la garde nationale (gendarmerie) dans la zone montagneuse de Kasserine“, près de la frontière algérienne, a précisé à l’AFP le porte-parole du ministère de la Défense Mohamed Zekri.Katiba venue de l’Algérie voisineLes autorités tunisiennes ont précisé que ce dirigeant d’Aqmi était de nationalité algérienne et “frère du terroriste algérien Lokman Abou Sakhr tué en 2015“. La phalange Oqba ibn Nafaa (nom d’un des compagnons du prophète lors de la conquête arabe) est une branche locale d’Al-Qaïda au Maghreb islamique. Des opérations de ratissage sont régulièrement menées par les forces de l’ordre dans ces zones. La Tunisie a été confrontée, après sa révolution en 2011, à un essor de la mouvance jihadiste, responsable de la mort de plusieurs dizaines de soldats et de policiers, mais aussi de civils et de touristes étrangers.Coopération entre l’Algérie et la TunisieMême si la situation sécuritaire s’est nettement améliorée, la lutte contre le terrorisme n’en reste pas moins au cœur des préoccupations. Abderrazak el Mana’i, général à la retraite tunisien, a ainsi profité de cette attaque pour demander au nouveau président Kaïs Saïed d’élaborer une véritable stratégie qui éradique la menace jihadiste dans le pays.Alger et Tunis ont renforcé ces derniers mois leur coordination sécuritaire en matière de lutte antiterroriste. Le 2 septembre 2019, trois jihadistes algériens, cadres d’Aqmi, recherchés de longue date avaient été tués à la frontière algéro-tunisienne. Ils ont été identifiés par les autorités comme étant El Behi Akrouf, un quinquagénaire qui serait un haut dirigeant de la branche d’Aqmi en Tunisie, Tahar Jijli et El Mahi, présents dans les maquis algérien, puis tunisien, depuis les années 1990.Aqmi contre EILes massifs montagneux dans la région frontalière de Kasserine restent un repaire de groupes jihadistes concurrents, voire rivaux, dont Jund al-Khilafa (Les soldats du califat), affilié à l’organisation Etat islamique (EI), et Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) affilié à Al-Qaïda.Click Here: pinko shop cheap

Feuilleton : terres éternelles (2/5)

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Ce n’est pas parce qu’il y a les palmiers, le ciel bleu et les yachts de Miami Beach (Floride, États-Unis), que l’ambiance est à la fête. La mine recueillie, une famille embarque pour une croisière d’un genre particulier. Direction la pleine mer, au large des côtes de Floride. Ces Américains vont enterrer leur mère. Ses cendres sont là, solidifiées, en forme de cylindre. Il n’y a aucun cimetière à l’horizon, c’est au fond de l’eau qu’il faut regarder. Pedro Cinta est sans doute le seul officier funéraire sous-marin au monde. C’est lui qui va conduire la défunte pour son dernier voyage dans un incroyable cimetière, une petite Atlantide des tombeaux, à 15 m de profondeur.Faire renaître la vieLe Neptune Memorial Reef est unique au monde. On y trouve des colonnes dignes d’une ville antique engloutie, des catacombes bleu océan, des statues et des mausolées visités en silence par des milliers de poissons et de majestueuses raies. Quelque 700 personnes sont enterrées dans cette cité mortuaire sous-marine. Pendant que la famille endeuillée se met à l’eau, au fond, au milieu d’une faune abondante, le plongeur funéraire glisse l’urne funéraire dans le caveau. Équipés de masques et de tubas, les proches assistent à cette cérémonie hors norme. La construction de ce cimetière sous-marin, il y a douze ans, a permis au corail de se développer. Ces structures font renaître le corail et attirent toute une faune. Pour qu’après la mort sur Terre, la vie renaisse dans l’océan.Le JT

  • JT de 13h du mardi 29 octobre 2019 L’intégrale

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Marilyn Manson et Evan Rachel Wood: fiancés!

Quatre ans, deux ruptures et autant de réconciliations plus tard, le rockeur gothique aurait enfin demandé sa belle en mariage: et sont fiancés.

Il a 41 ans, elle en a 22, il chante et elle joue la comédie. En tous cas, Evan Rachel Wood a réussi à faire oublier la burlesque

à l’étrange Marilyn Manson, qui a profité de son passage à Paris, lundi, pour demander la main de sa chère et tendre. Ne dit-on pas que notre capitale est aussi celle de l’amour?

Ils se sont rencontrés en 2006 et depuis, leur idylle a connu des hauts et pas mal de bas: Manson et Wood se seront séparés au moins deux fois avant de se rabibocher, définitivement il faut croire.

L’an dernier, après l’une de leurs ruptures, le rockeur grimé avait confié être complètement paumée sans sa jeune muse, estimant qu’elle faisait de lui «un être meilleur». La «Belle» d’Hollywood, qui a conquis Mickey Rourke en tournant avec lui The Wrestler, et Woody Allen, qui a fait d’elle la star de sa dernière comédie, Whatever Works, ne peut plus imaginer vivre sans sa «Bête» du rock.

Vendredi 8 janvier 2009

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“Machete Kills” : Robert, Jessica et Danny sur le tournage ! [PHOTOS]

Et c’est parti pour le tournage de “Machete Kills” ! Les prises de vues du nouveau film de Robert Rodriguez ont en effet débuté la semaine dernière, et des photos du réalisateur avec Jessica Alba, puis de cette dernière ont fait leur apparition en ligne.

Vu le succès du premier opus et le casting de celui-ci (Mel Gibson et Amber Heard ayant notamment rejoint la distribution), Machete Kills sera forcément l’un des événements de 2013. Le tournage a d’ailleurs débuté la semaine dernière, et des photos sont déjà disponibles. Des clichés postés par Robert Rodriguez et Jessica Alba sur leurs comptes Twitter, où tous prennent la pose entre deux prises. N’espérez donc pas une révélation sur l’histoire ou le look des nouveaux-venus, mais dites-vous que ce sera sans doute pour la prochaine fois.

Maximilien Pierrette

Jessica Alba & Robert Rodriguez : Machete claps – © Robert Rodriguez

Elles ont changé les Drôles de dames (Jessica Alba & Danny Trejo) – © Jessica Alba

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EU seeks tougher rules in market for public contracts

EU seeks tougher rules in market for public contracts

Member states could get powers to bar firms from outside the EU from competing for public contracts.

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3/14/12, 11:19 PM CET

Updated 4/12/14, 10:55 PM CET

The European Union is preparing legislation that would allow member states to bar firms from outside the EU from competing for public contracts. The draft regulation is supposed to induce foreign governments, especially China’s, to open up their procurement markets to European bidders. 

The proposal, prepared by Michel Barnier, the European commissioner for internal market and services, and Karel De Gucht, the commissioner for trade, is expected to be adopted by the European Commission on Wednesday (21 March).

According to an official, the new rules would empower the Commission to take “targeted” measures – loosely modelled on anti-dumping measures – against foreign governments that routinely exclude EU companies from public tenders. Those measures would allow governments of EU member states to retaliate by barring firms from the country in question, and in the sector in question, from public procurement.

WTO agreement

China is not party to the Government Procurement Agreement (GPA) of the World Trade Organization (WTO), which sets down rules that governments have to follow in awarding public contracts. But China is not the only country to restrict access to government tenders, according to the Commission. It says that €352 billion of public procurement inside the EU is open to the other signatories of the GPA, whereas the corresponding figures for the United States and Japan are €178bn and €27bn, respectively. The EU’s €2 trillion public-procurement market represents 19% of EU gross domestic product.

Wu Hailong, China’s ambassador to the EU, has disputed the claims of major imbalances in access to public-procurement markets in the EU and China. “Despite all those complaints about market access, European companies are making profits in China and the profits are increasing,” he said.

Zhang Kening, a trade councillor in China’s EU mission, said that the Chinese government will “do its best” to meet EU requests, but that it is focusing its efforts on joining the GPA.

Zhang said that the “so-called reciprocity” demanded by the EU was meaningless given the vastly different levels of development in the EU and China.

Nicolas Sarkozy, France’s president, strongly backed the proposed legislation after a summit of EU leaders on 1-2 March. He said the new rules would create “reciprocity, not protectionism”. However, other member states fear that the proposal could lead to spiralling retaliation between the EU and China.

Authors:
Toby Vogel 

Unpredictable liberal

Unpredictable liberal

The British Europhile trying to salvage the Liberal Democrat brand.

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Nick Clegg has always been ready to start over and try something new: he has been a ski instructor, a fact-checker for the polemicist Christopher Hitchens, a Financial Times reporter in Hungary, an aide to a vice-president of the European Commission, and a member of the European Parliament. Nearly two years after becoming Britain’s deputy prime minister, he is again in search of a change of course.

The 45-year-old Clegg is a polyglot – he is fluent in Dutch, French, German and Spanish – and globetrotting is a family trait: his aristocratic paternal grandmother fled Russia after the revolution; his mother’s family were Dutch administrators in Indonesia. He is so cosmopolitan that the Daily Mail ran the headline: “His wife is Spanish, his mother Dutch, his father half-Russian and his spin-doctor German. Is there ANYTHING British about Lib Dem leader Nick Clegg?”

There is, in truth, quite a lot about Clegg that is British: he has the scrubbed look of a privately schooled English boy; a sheepish embarrassment when things are not going his way; and an adventurous spirit, unsullied by self-doubt or angst, which has helped him to lead his party into peacetime government for the first time since the 1920s.

But with he and his party faring extremely poorly in opinion polls, he may need to gamble again if he is to avoid having to pack his bags and resume his travels.

The polls have not always been so poor. Indeed, for a brief moment during the 2010 election campaign, the leader of the Liberal Democrats was the most popular man in Britain. His appearance in the first-ever televised election debates was the first time that most British voters had noticed him, and sparked what was dubbed ‘Cleggmania’.

Articulate, presentable and conspicuously not Gordon Brown, the gruff Labour prime minister, or the Conservative leader David Cameron, he soared in the polls. The election result that followed was slightly disappointing. Although he achieved his party’s (or its predecessors’) highest vote since 1983, it lost five seats, the first time its representation had shrunk since 1992. But, crucially, it held the balance of power.

It was a position his party had not been in since 1974 (when the Liberal Party, as it then was, flinched from coalition with the Conservatives), and many saw it as a once-in-a-generation chance to transform the Liberal Democrats into a serious, and regular, party of government, rather than a ‘dustbin for protest votes’, as opponents had called it.

Clegg’s decision to enter a coalition with the Conservatives, whose central objective was to reduce the deficit, and subsequent policy U-turns – such as agreement to raise university tuition fees – has cost his party the support of many left-leaning voters. Nor has Clegg delivered the transformation of British politics that he is aiming for. Electoral reform has long been the main objective of Britain’s third party. Obtaining power seems to have made it no more likely; indeed, defeat in a May 2011 referendum on electoral reform has made it less likely that ‘hung parliaments’, where the Liberal Democrat support would be required to form a government, will recur.

Fact File

Curriculum Vitae


1967: Born, Chalfont St Giles


1989: Graduated in social anthropology, Cambridge University


1989-90: Studied political philosophy, University of Minnesota


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1991-92: Master’s in European affairs, College of Europe, Bruges


1992-93: Political consultant with GJW Government Relations


1993-94: Journalist with the Financial Times


1994-96: Trade negotiator and manager of Tacis aid projects, European Commission


1996-99: Aide to Leon Brittan, European commissioner for trade and external affairs


1999-2004: Liberal Democrat MEP for the East Midlands


2004: Partner at Brussels-based political consultancy GPlus Europe


2004-05: Part-time university lecturer


2005-: Member of the UK parliament


2007-: Leader of the Liberal Democrats


2010-: Deputy prime minister

As the coalition approaches its second birthday, Clegg is changing strategy. Initially, his approach was to appear indivisible from Cameron and the Conservatives, establishing credibility for his party as tough administrators prepared to take difficult decisions, especially on spending cuts. Now, he is attempting to re-establish a separate identity, to make it clear where the parties disagree and what the Liberal Democrats would like to do differently.

This has been most apparent on tax. Clegg and his allies have begun talking about raising the income-tax threshold more quickly. There is also disagreement on reform of the House of Lords, Britain’s appointed upper chamber: if its members were elected by proportional representation, the party’s influence might be entrenched.

But perhaps the most significant divergence is on Europe. Were it not for the Conservative Party’s Euroscepticism, it is possible that Clegg and some of his allies would have ended up as liberal Tories. If they had been in the same generation, it is hard to think why Clegg would have ended up in a different party from Kenneth Clarke, the 71-year-old pro-European Conservative justice minister.

Although Clegg initially voiced support for Cameron’s decision to deploy the UK’s veto at December’s European Council, he later backtracked, saying he was “bitterly disappointed”, and that “what I think we can do, must do and will do is make sure that this setback does not become a permanent breach”. It emerged that, although he was aware of the general negotiating tactics, he was not consulted before the veto was used. From now on, a member of his staff will accompany the prime minister to European summits.

Clegg’s position rarely takes him to Brussels. He would be eminently equipped: a graduate of the College of Europe in Bruges (where he met his wife, Miriam, a lawyer and daughter of a Spanish senator, with whom he has three sons), he went on to be an aide to Leon Brittan when he was trade commissioner, and to be a member of the European Parliament, where he – along with Cecilia Malmstrom, now the European commissioner for home affairs, and Helle Thorning-Schmidt, now Denmark’s prime minister – founded a campaign for reform. (Reform-mindedness did not prevent him becoming a partner, for six months, at the political consultancy GPlus after leaving the Parliament.) Some believe that his future may also lie in Brussels: if he is unable to turn around his party’s position, he may head there as the UK’s commis-sioner in 2014, enabling him, if not his party, to escape the verdict of the voters.

Increasingly, however, the Conservatives worry that it will become tempting for Clegg to find an issue over which to bring the coalition down and attempt to rehabilitate himself and his party.

From being the young and little-noticed leader of the third party, Clegg has been catapulted into the national consciousness – and not always to his benefit: student protestors burnt an effigy of him following the increase in university fees. He has contributed with his endearing habit of answering questions perhaps too fully: telling one interviewer that he had slept with “no more than 30” women; another that he cries regularly when listening to music; and a third of how he dressed in drag in New York.

But Clegg has soldiered resolutely on. His decision to enter government in 2010 gave him five years to change the rules of British politics – or his political career would be finished, and perhaps his political party along with it. He is following a high-risk course, but Clegg has never seemed afraid of new horizons or of taking unpredictable directions.

Authors:
Rhodri Jones 

Jennifer Lopez remet Louboutins pour le réveillon

Après son dérapage lors des American Music Awards, a pris comme résolution de ne pas se laisser abattre. Elle chantera, en live, pour le réveillon du 31 décembre.

«The Bottom» avait déchainé les passions en chutant sur Louboutins le 22 novembre dernier. Qu’à cela ne tienne, elle remet ça!

Sa dernière prestation n’est pas restée dans les annales, alors pour réussir son come-back, J.Lo revient sur le devant de la scène avec son titre phare. Elle a décidé de se produire à Times Squares et de marquer les mémoires lors du passage à la nouvelle année.

La chanteuse sera à l’affiche de l’émission Rockin’ Eve de Dick Clark, à New York, pendant que les Black Eyed Peas mettront le feu à Las Vegas.

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Un pari risqué pour Jennifer Lopez?

et

qui participent également à l’événement ont préféré enregistrer leurs prestations. Jen, quant à elle, sera seule, en direct, face à des centaines de milliers de personnes. Confrontée au souvenir traumatisant de son accident… Rappelez-vous, lors des American Music Awards, son popotin, une fois n’est pas coutume, s’était écrasé sur le sol. Il faut dire que la pression était considérable pour la bombe latine.

Concours de performances exceptionnelles, divas et sublimes créatures se sont relayées sans faux-pas. Plus svelte que jamais, Janet Jackson a interprété un medley de ses succès. La louve Shakira et la sexy Kelly Clarkson ont assuré des chorégraphies torrides à souhait. Alicia Keys et Whitney Houston ont donné de la voix. ?Autre déesse callipyge, Beyoncé a tété sacrée ce soir-là «meilleure artiste féminine» Soul/R&B. Et la jolie Fergie a galvanisé le public avec Boom Boom Po. Sans compter la sculpturale Rihanna, qui, en combinaison de latex transparente, a enflammé la salle sur le titre Rated R.

?Bien décidé a prouvé qu’elle n’avait rien perdu de sa superbe, la caliente Lopez, 40 ans est montée sur le ring, en boxeuse sulfureuse. Séant moulé dans un short en dentelles, bustier doré et bretelles de cuir, «La Guitarra» a affiché d’emblée sa volonté de présenter un show bouillant.

?Entourée de danseurs tous aussi combattants, l’interprète à la plastique explosive, a entonné son single Louboutins. La rengaine, tirée de son nouvel baptisé Love, parle d’une femme qui tourne les talons et plaque son amant. Bref, elle le quitte, mais avec style, du haut des célèbres chaussures à semelles rouges… Seulement, perchée sur le dos d’un de ses toy-boys musculeux, la quadra à l’illustre fessier a raté son saut. Et s’est retrouvée, à la réception, assise sur son postérieur!

?Professionnel jusqu’au bout des ongles, la belle a rebondi et enchainé la suite des mouvements, comme si de rien n’était…? Aujourd’hui, notre Portoricaine a soigné ses hématomes et compte sur la ferveur de la Grosse Pomme pour oublier ses blessures d’ego. Vivement 2010!

Justine Boivin

Mardi 29 décembre 2009