Les Seigneurs de la table

Cinq illustres représentants de la gastronomie vous offrent un banquet dans la plus pure tradition française. De quoi mettre en joie vos papilles même après le réveillon! Découvrez les photos du festin grâce à notre diaporama

A la table de Vatel, il n’y aurait pas eu chair plus alléchante, mets plus raffinés, composition plus exubérante. Les plus fameux représentants des métiers de bouche français nous proposent un pantagruélique dîner pour commencer de façon festive cette année 2010. Au menu: des produits d’exception –délices de saveurs et de gourmandise– que seuls ces artisans du goût savent mitonner.

«Notre travail et notre combat, c’est d’être vigilant sur la qualité et la transformation de nos préparations, c’est de donner envie au-delà des idées reçues, on peut mettre en scène nos produits de manière noble», souligne l’un deux, le charcutier Gilles Vérot.

Ce Stéphanois collectionne les prix, comme la médaille d’or du jambon de Paris 2009, dont sont friandes

et Charlotte, deux ans et demi, l’aînée de ses filles adoptives. «Dis-moi ce que tu manges, je te dirai qui tu es», affirmait avec justesse le plus célèbre des gastronomes Anthelme Brillat-Savarin. On aurait pu s’en douter, ces princes de la gastronomie fournissent les plus grands noms de la restauration française et attirent le gratin du gotha et du show-biz.

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et sa femme, Sylviane Agacinski, ou encore Christine Bravo ne résistent pas au boudin blanc du charcutier préparé avec des infusions de lait parfumé aux légumes, à l’orange, au porto et au jus de truffe. Sandrine Kiberlain fond pour son foie gras de canard, Alexandra Lamy pour ses terrines. Le journaliste Pierre Benichou se damnerait pour son gargantuesque Cochon de la tête aux pieds, un détonant mélange de fromage de tête, d’andouille, de jambonneau, de saucisson, de boudin noir, de fruits et d’oignons montés en mosaïque… De quoi réveiller les palais!

Avant de partir vendanger chez lui en Touraine, Michel Denisot remplit ses valises chez Gilles Vérot, chez qui il vient en voisin et client fidèle depuis l’ouverture de son échoppe, rue Notre-Dame-des-Champs en 1987. L’animateur emporte dix kilogrammes de fromage de tête – champion de France et trophée Jean-Carmet en 1997 –, saucisses, saucissons, terrines, compote de lapin et autres viandes en gelée. C’est à New York que Monica Belluci a, elle, goûté son boudin noir lorsqu’elle était en visite chez sa belle-mère, Monique Cassel. Cette dernière réside au-dessus du Bar Boulud, un resto branché de Broadway qu’approvisionne le frenchy ! Le «nec plus ultra», «l’excellence» sont aussi les maîtres mots de Jean-Pierre Lopez. Après dix-huit ans sur les marchés de Sarcelles, ce spécialiste des produits de la mer a ouvert sa poissonnerie dans le 14e arrondissement de Paris: «j’ai pris le contre-pied de tout ce qui existait en choisissant le créneau du luxe, je voulais devenir le Fauchon du poisson.»

Pari gagné. Ses turbots éclatants de fraîcheur, ses soles, rougets, homards, langoustes et saint-pierre frétillent chaque semaine dans les assiettes étoilées du Georges V, de l’Astrance et de l’Ambroisie. Pierre Arditi boirait la tasse pour ses langoustines, ses exceptionnels bouquets, ses chipirons, couteaux, palourdes, sans oublier son sauvage saumon de l’Adour. Claude Allègre y « pêche » colin et bar de ligne. Dans son filet, Catherine Frot ramène cabillaud et merlan, des poissons blancs qui sied à cette petite mangeuse. Bernadette Chirac y commande tous ses plateaux de fruits de mer.

Jean-Pierre Coffe, grand amateur de poissons, y vient en ami. Le pourfendeur de la bonne bouffe se rend aussi à deux pas de là, chez Dominique Saibron, « le temple du pain », dixit l’historien Steven Kaplan. Ce chef pâtissier a connu le succès avec Le boulanger de Monge, l’une de ses premières enseignes en 1999. Aujourd’hui, il règne sur la place d’Alésia et sur Tokyo où il a ouvert quatre boulangeries.

Sa botte secrète : un levain à base de miel et d’épices qui offre des arômes sucrés et une mie acidulée à ses pâtes et ses baguettes… Magique! «Un bon pain doit réveiller les papilles et son goût rester longtemps en bouche», explique-t-il. Exigent, il n’utilise que des farines 100 % naturelles qu’il contrôle lui-même. Le talentueux pâtissier Pierre Hermé himself craque pour sa boule bio, c’est dire… Tout comme Jacky Jakubowicz – du club Dorothée -, Henri Guaino, le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, ou encore le journaliste Benoît Duquesne qui lui disputent aussi sa baguette Alésiane.

Dans le 14e arrondissement, un autre artiste de la scène culinaire a élu domicile. Jeune, pas très attiré par l’école, il choisit de suivre la filière boucherie parce « qu’il aimait les bêtes ». Aujourd’hui, avec ses limousines, Hugo Desnoyer est devenu le must des bouchers. Ses groupies font deux heures de route pour ses côtes de bœuf et ses carrés d’agneau.

Son credo : des produits de qualité qu’il va lui-même acheter chez l’éleveur. Surnommé « le boucher des grands », il fournit la cuisine du Sénat, de l’Elysée, de nombreux chefs étoilés, Pierre Gagnaire, Senderens, Le Plaza Athénée, l’Arpège. Parmi ses fidèles, on compte Jeanne Moreau qui se délecte de son veau de lait, Catherine Deneuve, Laetitia Casta, Shirley & Dino, Jacques Gamblin, Franz-Olivier Giesbert…

Les jours où la file d’attente est trop longue, les impatients se connectent sur lehautdupanier.com, que fournit aussi le roi du billot. Le site de Gilles Lopez, un gourmand patenté, offre sur le Web un service de livraison à domicile de produits issus des meilleurs producteurs et artisans.

Outre les viandes fondantes d’Hugo Desnoyer, les paniers contiennent les pittoresques – et bio – légumes de Joël Thiébault, lui-même fournisseur de tous les chefs étoilés parisiens, les pains de Jean-Luc Poujauran, les fromages de Philippe Alléosse, les huîtres de David Hervé, sans oublier les truffes des truculents frères Hugou.

Quand ces paniers garnis arrivent chez Elsa Zylberstein ou Khad Merad, le vendredi matin, le pain est encore chaud… Crise ou pas crise, une chose est sûre, ces stars de la gastronomie ne sont pas prêtes de rendre leur tablier!

Delphine Germain

Gala, janvier 2010

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Catherine Zeta-Jones, priée de s’habiller

Habituée à déambuler en tenue d’Eve, ne croque pas la vie dans la Grosse Pomme.

Pendant cinq années, Catherine Zeta-Jones a flâné en maillot triangle sous les Bermudes. Mais voilà, la Galloise et sa famille ont quitté ce paradis (fiscal) ensoleillé pour s’installer à New York City, le temps que la comédienne aux yeux noirs se produise à Broadway (dans la pièce A Little Night Music), et que

tourne Wall Street 2 (Money Never Sleeps) à Manhattan.

Si Big Apple fourmille d’activités, la piquante brunette regrette ses cocotiers. Impossible d’arpenter les avenues grises de NYC dans le plus simple appareil. Invitée de David Letterman, l’animateur de l’émission culte The Late Show, l’héroïne de Zorro a révélé sa passion du naturisme et la difficile adaptation de ses bambins Dylan et Carys, passés des tropiques aux frimas et à l’effervescence de la ville: «Mes enfants étaient nus dès qu’ils franchissaient la porte du jardin. Moi aussi je m’y baladais nue. Ça me parait difficile de faire la même chose à Central Park! Mais relativisons: si le fait de ne plus aller à la plage nous manque, il y a beaucoup de choses à faire ici aussi…».

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Emmitouflée dans ses cols fourrés et ses doudounes en moumoute, «Cat» l’est aussi dans son cafard. Amie des animaux, mère de ménagerie nombreuse, elle a dû laisser derrière elle tous ses quadrupèdes. Un déchirement. C’est pourquoi Michael, époux attentionné, a eu l’idée (non seulement de faire chanter Susan Boyle, qui a refusé, mais aussi) de lui offrir un chiot pour ses 40 ans. Pour l’actrice frigorifiée, rien de mieux que cette boule de poil blanche.

?Star de Traffic, Ocean’s Eleven, High Fidelity, Haute Voltige, et Chicago, la belle confie: «J’ai un petit zoo à moi aux Bermudes. J’ai laissé mes quatre Labradors là-bas. Mais mon mari, pour mon anniversaire, avait vu que j’avais très envie d’un animal de compagnie, et m’a offert un Coton De Tulear. C’est la chose la plus adorable que j’ai jamais eue!».

Nudiste repentie, la miss Zeta-Jones bichonne un chien de neige et ne sort plus sans laisse.

J.B

Mardi 26 janvier 2010

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Le grand-père de Nicolas Sarkozy et l’identité nationale

L’histoire, à lire cette semaine dans les colonnes du Nouvel Observateur, ne manque pas de piquant. Le grand-père maternel de , Aron Benedict Mallah, arrivé en France en 1905, s’est vu refuser une première fois sa naturalisation en 1924… Des révélations croustillantes en plein débat -polémique- sur l’identité nationale.

C’est l’histoire, somme toute banale, d’une famille… moins banale, puisque c’est celle de Nicolas Sarkozy. Le Nouvel Observateur a retrouvé des documents relatifs au dossier de naturalisation du grand-père maternel de Nicolas Sarkozy.

Originaire de Salonique, Aron Benedict Mallah arrive en France en 1905: il a 14 ans et vient étudier. Il sert comme médecin militaire sous le drapeau tricolore pendant la première guerre mondiale et demande la nationalité française en 1924. Sauf que le préfet de police de l’époque ajourne cette demande, avec les «motivations» suivantes, révélées dans un document exhumé par Le Nouvel Obs: « Bien que les renseignements recueillis sur M. Mallah ne soient pas défavorables, j’estime qu’en l’absence de titres sérieux à la faveur sollicitée, il convient d’ajourner l’examen de sa demande et celle de sa femme » – sa femme, Adèle Bouvier, avait perdu sa nationalité en devenant M. Mallah et demandé sa «réintégration dans la nationalité française»!

L’hebdo explique le refus de la préfecture par la volonté de l’époque, de choisir les immigrés en fonction de leur profession….

A l’heure où Nicolas Sarkozy vient d’effectuer, par la voix de son ministre

Besson, un grand débat sur l’identité nationale, l’information fera rigoler en coin ceux qui le trouvent hors de propos. Dans les pages de l’hebdo du jeudi qui fait sa couverture sur «La vraie histoire de la famille Sarkozy», Andrée, la maman du Président, raconte aussi que lorsqu’elle a souhaité épouser Pal Sarkozy, son père, le même Benedict, donc, devenu français sur décision du ministère de la Justice, aurait préféré que ce fils d’une «bonne famille hongroise» devienne également citoyen du pays des droits de l’homme. Mais pour l’immigré fuyant le stalinisme, c’était faire une croix sur l’idée de rentrer un jour sur la terre de ses ancêtres. Ce n’est qu’en 1975 que Pal Sarkozy a finalement adopté la nationalité française, car tous ses enfants étaient français.

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Jeudi 18 février 2010

Rob Reiner revient au thriller avec “You belong to me”

Rob Reiner réalisera le thriller psychologique “You belong to me”. Un film angoissant, se voulant dans la lignée d’un film comme “Les Nerfs à vif”. L’histoire d’un psychiatre qui a la mauvaise idée de parler de sa vie avec ses patients…

Il nous avait fait frissonner dans les années 90 avec Misery, adaptation culte du livre de Stephen King… Bonne nouvelle, Rob Reiner revient enfin au thriller! Il va réaliser le film d’angoisse You belong to me, dans lequel un psychiatre fait ce qui est interdit dans sa profession : raconter sa vie à ses patients…

Le réalisateur, qui a beaucoup varié les genres tout au long de sa carrière (de Stand by Me à Sans plus attendre, en passant par Princess Bride), a été séduit par cette histoire, comme il l’a expliqué au Hollywood Reporter. “Les thrillers sont difficiles à réussir, mais celui-ci à une profonde trame psychologique et un bon twist à la fin qu’on ne soupçonne à aucun moment“, a-t-il confié dans les colonnes du magazine. “C’est la raison qui m’a décidé à le faire“. Le scénario sera signé David Murray.

Le tournage devrait commencer cet automne. D’ici là, un casting, avec 4 rôles principaux (le psychiatre, sa femme, leur fille et le frère d’un patient), sera constitué. Rappelons que Rob Reiner devrait prochainement participer en tant qu’acteur au tournage du nouveau film de Martin Scorsese, The Wolf of Wall Street.

BB avec The Hollywood Reporter

The marine corps

The marine corps

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Pierre-Yves Cousteau appointed as a special adviser on fisheries and protected marine areas

Twelve years ago, the European Commission found itself in deep water, because some departments had been using ‘submarines’ – staff who were not employed on the official payroll. So Entre Nous was delighted to see that Commission President José Manuel Barroso had announced last week  that ocean explorer Pierre-Yves Cousteau had been appointed as a special adviser on fisheries and protected marine areas. He may not be paid anything, but he will know more about the bottom of the ocean than previous Commission submarines. 

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Entre Nous trusts that he will think profound but not unfathomable thoughts and not find himself out of his depth. There is no limit to how low Entre Nous will sink in trawling for such puns.

In a cold seat

In a cold seat

Why the EU’s bid for observer status in the Arctic Council is proving tricky.

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For the European Union to gain a place at the table on Arctic issues means – at this point – one very specific thing: to gain permanent observer status at the Arctic Council, the leading forum for the region. 

In practice, this might not seem to change much. The EU already has ad hoc observer status, and the fundamental change – an obligation, rather than option, to make contributions to working groups – would not be an onerous adjustment. Given that the Council’s remit is technocratic – it does not include hard-power issues such as security and borders – there might not appear to be major cause for geopolitical anxiety in upgrading the EU’s status.

Nor would it seem to be a challenge to lobby for membership. The European Commission is a member of the Barents Euro-Arctic Council, whose composition is broadly the same as the Arctic Council’s (minus Canada and the US); and in recent years the EU – as a bloc – has gained recognition as a member or observer at, for instance, the United Nations. Three of the Arctic Council’s eight members are member states of the EU (Denmark, Finland and Sweden), one has applied for membership (Iceland) and another is a member of the European Economic Area (Norway). A further six member states of the EU have permanent observer status: France, Germany, the Netherlands, Poland, Spain and the UK.

Yet the EU’s bid has become complicated and uncertain. That membership – a largely symbolic step, in many observers’ eyes – is not already agreed says something about the tensions of 2008. The EU was denied a seat in 2009. There had at one stage been a possibility that deputy foreign ministers of the Arctic Council’s states would recommend admission when they met last week (15 May); that did not happen. A decision will now be made in May 2013.

In effect, the forthcoming communication on the Arctic from the European Commission and the European External Action Service will, therefore, double as an informal application form. In the opinion of Gustaf Lind, Sweden’s ambassador on Arctic issues and the current chairman of the Council, what is important is for the communication “to show how much the EU can bring to the Arctic”.

American ambitions

The US is “quite keen” for the EU to become a member, says Andreas Østhagen of the Arctic Institute. Its Arctic policy, unveiled in the dying days of George W. Bush’s US presidency, is strong on multilateralism. Those who need convincing are therefore Canada, which has been angered by an EU ban on seal products, and Russia, which, Østhagen says, has been “sceptical from the start”. Vladimir Putin’s tough stance towards the West in the two weeks since he became president again – he has, for instance, refused to attend either a G8 summit or the NATO summit – does not augur well.

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But the EU’s difficulty in upgrading its status also says something about the growing pressure for membership, a pressure that demonstrates the diversity of interests in the region. In 2009, there were five applicants – all rejected – for permanent observer status (Italy, China, Japan and South Korea in addition to the EU); in 2013, one more country (Singapore) will be bidding for membership. Beyond that, there are other countries and organisations that may seek membership – among them, rumour suggests, Brazil and India. Given the pressures, the Council has drawn up specific rules of entry. Each applicant will be judged individually based on the rules, ministers say.

But each decision will ultimately also be political – and, Østhagen argues, it would be politically hard to admit the EU and not China. If so, that is a difficult twinning for the EU. Like the EU, China has big trading interests in the region (most immediately, Russia’s Arctic east) and big investments (in Canadian energy projects) and it is contributing substantially to research.

But China’s size, the uncertainty about its ambitions (China’s deputy foreign minister said in 2009 that “China does not have an Arctic strategy” and none has emerged since), its decision to equip its researchers with more icebreakers than the entire US fleet has, and its willingness to cold-shoulder Norway for the award of the Nobel peace prize to the Chinese dissident Liu Xiaobo in 2010 have left other countries wary.

The EU will also be aware that Canada may again invoke the EU’s ban on the sale of seal products as a reason for excluding it (the ban is now subject to a World Trade Organization challenge).

Everything points in the direction of the EEAS’s communication-cum-application providing a comfort blanket, emphasising the contributions that the EU can make, including in areas that the Arctic Council covers, such as transport, fisheries, the environment and energy. In all of these areas, research will feature strongly.

Authors:
Andrew Gardner 

Isabelle Adjani porte plainte contre Stéphane Delajoux!

met en demeure son ex-compagnon, Stéphane Delajoux, de lui restituer 150 000 euros qu’elle lui aurait prêtés pour le site internet d’une société d’information médicale…

Le docteur Stéphane Delajoux n’a pas de remède contre les ennuis. Après avoir été mis en cause dans les médias pour sa responsabilité supposée dans les problèmes de santé de

, voilà que son ex, Isabelle Adjani, l’attaque pour lui réclamer une grosse somme d’argent. Il ne s’agit pas d’une indemnité quelconque, mais, selon l’avocat de la star, d’un prêt qu’elle aurait accordé au neurochiurgien.

L’affaire vient d’éclater dans Le Point. Un magazine auquel Isabelle Adjani a glissé: « La confiance que j’avais accordée a perdu toute raison d’être. » Car l’actrice de La Journée De La Jupe aurait perdu gros, en confiant 150 000 euros, l’année dernière, à Stéphane Delajoux. Objet de ce gros chèque: investir dans un site internet baptisé fondationdocteurplus.org.

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Un site qui présentait ainsi ses objectifs: « Cette fondation soutenue par de nombreuses personnalités, a pour but de promouvoir l’accès à l’information médicale et aux conseils médicaux gratuits pour tous et dans tous les pays en voie de développement. » Et, en fait de personnalités, la seule qui était mentionnée n’était autre qu’Isabelle Adjani, comme en atteste le document ci-dessous retrouvé par Gala.fr.

« La fondation docteur plus, c’est un pas de plus vers les autres », est censée y déclarer Isabelle Adjani. Mais, pour peu que l’on aille sur fondationdocteurplus.org, il apparaît très vite que le site est… inactif, comme Gala.fr a pu le constater. Les liens renvoient sur des publicités sans rapport. Cliquez sur l’onglet non profit et vous tomberez sur une société de crédit! Pire, une annonce indique que le site pourrait-être à vendre…

Or, selon Le Point, Me Jérémie Assous, avocat d’Isabelle Adjani, sa cliente avait accepté de verser cette somme à celui « qui était alors toujours son concubin, M. Stéphane Delajoux (…) au vu de l’exposé de la vocation humanitaire du projet tel qu’il lui avait été présenté, et conformément à ses convictions personnelles connues et reconnues en la matière. »

La Fondation aurait dû assurer « l’exploitation, en France et à l’étranger, d’un site Internet d’informations et de conseil dans le domaine médical ». Mais rien de ce qui aurait été promis ne semble avoir été tenu, jusqu’alors. Séparée de Stéphane Delajoux depuis le mois de décembre, Isabelle Adjani serait sur le point de « saisir la justice » alors qu’elle a « adressé une mise en demeure à la société Docteur Plus France » pour que ses 150 000 euros lui soient restitués.

Un rapide coup d’oeil sur société.com promet une autre surprise. Le site internet y apparaît mais pas au nom de Stéphane Delajoux. Une certaine Monique D., âgée de près de 69 ans et demeurant dans les Hauts-de-Seine est en revanche censée en être la gérante. Le téléphone de l’entreprise, sise à Levallois-Perret, dans le 92 encore, était hors service ce mardi…

Quant à Stéphane Delajoux, il était très occupé ce matin. Joint sur son portable par Gala.fr, il remerciait du coup de fil mais préférait que l’on s’adresse à son avocat parisien, Me Hervé Témime pour en savoir plus sur l’étrange fondation et son site Internet dormant…

Jean-Frédéric Tronche

Mardi 19 janvier 2010

Solal Sarkozy ou le récit d’une circoncision

Disert et détendu, Patrick Balkany a raconté en long et en large la circoncision du petit Solal Sarkozy.

Interrogé dimanche sur Radio J, le sulfureux député-maire de Levallois-Perret s’est étendu sur l’intimité du petit-fils de

, né le 13 janvier et circoncis le 20 du même mois, selon le rite juif.

La circoncision consiste, dans sa forme la plus répandue, en l’ablation totale ou partielle du prépuce, laissant ainsi le gland du pénis à découvert. Dans la religion juive, l’acte est pratiqué le huitième jour de la naissance, sauf avis médical contraire. C’est au père qu’il incombe de préparer la cérémonie, qui doit se dérouler tôt le matin. Appelée en hébreu milah (coupure), cette excision rappelle l’alliance promise par Dieu à Abraham et après lui, à tout le peuple d’Israël.

Jean et Jessica Sarkozy aurait sacrifié au rituel au lendemain de la sortie de la maman et du bébé de l’hôpital Foch à Suresnes.

Alors qu’on lui demandait s’il était présent, Pierre Balkany a répondu «effectivement, je ne vais pas vous dire le contraire, je vous le confirme». «Ça s’est passé comme toutes les circoncisions avec un rabbin et un mohel», (pour l’aspect médical), a ajouté l’élu des Hauts-de-Seine.

«a épousé une séfarade très pratiquante» et Nicolas Sarkozy «n’y voit aucun problème», a affirmé ce proche du chef de l’Etat. Il a indiqué que le locataire de l’Elysée «retenu par les obligations dues à sa charge» n’était pas présent, mais qu’«il y avait toute sa famille»: Dadu l’arrière grand-mère, Pal l’arrière-grand-père, Marie-Dominique Culioli la grand-mère, Pierre l’oncle, ainsi que toute la famille Sebaoun-Darty.

Celui que certains surnomment avec son épouse Isabelle «les Ceaucescu de Levallois», a rappelé qu’il partageait avec le Premier des Français des origines hongroises. Et a relaté que lorsqu’il avait rencontré pour la première fois Nicolas, alors âgé de 29 ans, la première chose dont ils avaient parlé était «leurs origines juives».

Le président de la République «a une famille catholique, un grand-père juif et évidemment il a été marqué par cette double culture», a conclu Patrick Balkany.

Beaucoup de bruit et de publicité pour une célébration du ressort de la vie privée, dites-vous?Rappelons que ce membre éminent de l’UMP est actuellement en promo d’Une Autre Vérité, La Mienne, un ouvrage dans lequel il raconte avec élégance et courtoisie comment il a couché avec

, Shirley MacLaine, Gina Lollobrigida… Un brûlot dans lequel il envoie aussi quelques piques assassines à l’attention de la «perfide» Cécilia Attias.

Car si Patrick Balkany n’est pas prophète en son pays, nul doute que le culte qu’il voue à la Sarkozie en fait le roi des médias.

Lundi 1er février 2010

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Blake Lively nue dans Playboy?

La très sexy va se dévoiler pour le magazine Playboy… peut-être le mois prochain. Ô, doux suspense!

Blake Lively est au casting de la série Gossip Girl mais occupe de plus en plus les fantasmes des garçons de(s) salles obscures… Son apparition troublante dans Les Vies Privées De Pippa Lee face à

, sa prochaine prestation dans Green Lantern aux côtés de

et The Town, avec Ben Affleck, signent sa lumineuse entrée dans les cinémas. Mais la jeune beauté pourrait nous montrer des aspects plus hot de sa personnalité sur papier glacé.

Déjà, dans Esquire, ses formes appétissantes avaient été sublimées (notre photo ci-dessous). Mais elle pourrait s’exposer entièrement nue dans la revue de croupes créée par Hugh Hefner. La couverture du magazine Playboy (sous laquelle les filles n’ont pas froid) devrait être en effet consacrée à Blake Lively le mois prochain, selon certains de nos confrères américains.

Lesquels croient même savoir que la maman actrice de Blake, Elaine, lui aurait conseillé de se livrer à l’oeil coquin des photographes de Playboy. Mais sans se brader pour autant. Car la belle actrice aurait demandé la bagatelle de 2,5 millions de dollars, soit près de 2 millions de nos euros. Ce qui fait cher le centimètre carré de peau « offert » aux regards masculins.

J.-F.T.

Mardi 16 février 2010

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Rihanna: elle se remet

nous a fait peur, alors qu’elle terminait un concert à Zurich. Brièvement hospitalisée pour une mystérieuse douleur à la cage thoracique, elle a quitté l’établissement de soins sur ses deux pieds… et rassurée!

Rihanna nous a encore fait peur… Ce lundi, en Suisse, elle se sentait mal et avait été contrainte de filer en urgence à l’hôpital après son concert à Zurich. Jusque là, son malaise avait été l’objet d’un petit mystère et de grosses angoisses chez les fans absolus. Mais aujourd’hui, on en sait plus… et Rihanna va mieux. Ouf.

C’est dans le confort de la clinique privée Hirslanden que l’Umbrella Girl a été placée en observation. Après un suspense soigneusement entretenu, Alenka Ambroz, porte-parole de Rihanna, a finalement livré un diagnostic à nos confrère américains de People.com: Rihanna « est allée à l’hôpital parce qu’elle souffrait d’une côte. Elle a donc voulu vérifier s’il n’y avait rien de grave. C’est chose faite ».

The Last Girl On Earth World Tour (c’est à dire la tournée mondiale de La Dernière Fille Sur Terre: si c’est elle l’élue, ça pourrait être pire, non?!) échappe donc à l’apocalypse. Ce qui signifie que l’on pourra encore tirer quelque chose de la côte de Rihanna. Opération qui avait été une relative réussite, pour Adam. Mais revenons sur terre. Quant à Rihanna, elle poursuivra sa tournée, côté français, à Marseille, et, en fin de mois, au Palais Omnisports de Paris-Bercy. Et là, pour les fans, ce sera le paradis.

J.-F.T.

Jeudi 22 avril 2010

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