Commission blocks Ryanair’s takeover of Aer Lingus
Ryanair says it will appeal against the decision, which it describes as “political”.
The European Commission has today (27 February) announced that it is blocking Ryanair’s buy-out of its rival Irish airline Aer Lingus.
The decision confirms a statement made by Ryanair earlier this month on the likely outcome of the Commission’s deliberations. The ruling marks the second time that the Commission has prohibited Ryanair’s advances for the Irish flag carrier.
Joaquìn Almunia, the European commissioner for competition, said that the move would have “directly harmed passengers” who would have had to pay higher fares. The two airlines currently compete head to head.
He said that Ryanair’s proposed remedies, including giving capital and some of Aer Lingus’s flights to British airline Flybe, were not sufficient to allay competition concerns.
Ryanair said that it would appeal the ruling, alleging that it was a decision “motivated by narrow political interests” made “to pander to the vested interests of the Irish government” which owns a minority 25% stake in Aer Lingus.
“At a time when airlines in Europe and further afield are merging to form bigger competition champions… the Commission has yet again set back competition and choice in Europe,” spokesman Robin Kiely said.
The Commission blocked Ryanair’s first planned takeover of Aer Lingus in 2007. Ryanair abandoned a second attempt two years later after Ireland’s government came out against it. It made a third bid in June.
Michela Persico says that the Italian centre-back is no longer exhibiting symptoms of the illness which is spreading across the globe
Daniele Rugani’s girlfriend Michela Persico has offered an insight into the Juventus defender’s battle against coronavirus, as he continues to self-isolate following his positive diagnosis.
Juventus confirmed that Rugani has contracted Covid-19 in an official statement on Wednesday, shortly after the Serie A season was put on hold due to the outbreak.
The 25-year-old sent a message to supporters on social media to allay fears over his health, stating: “You will have read the news and that’s why I want to reassure all those who are worrying about me, I’m fine.
“I urge everyone to respect the rules, because this virus makes no distinctions!”
Persico has now opened up on Rugani’s symptoms and quarantine experience, telling Italian publication Corriere Della Sera: “Four days ago Daniele recorded three mild fever lines, he was at a temperature of 37.5.
“He asked to be checked and, the next day, the test was positive, but he already had no fever, nor did he have or had a cough or something else.
“So we didn’t expect it. We don’t have a clue how the infection happened.
“From the moment he saw the fever, he decided, with a great sense of responsibility, to remain in isolation to protect me, the team and the people with whom he could have come in contact.
“We often speak and video call him, I feel quite calm. He is well and without symptoms. His other colleagues, without symptoms and who have not done the swab, have chosen to be at Continassa, to avoid contact with families.”
Rugani’s partner went on to reveal that she had also self-isolated in compliance with the government measures which have been put in place in Italy, with the country currently in the middle of a 15-day lockdown period.
“Both Daniele and I had been in voluntary isolation for a week, although we were doing very well, going out only for his work needs or for necessary commissions,” she added.
“He played his games, even on Sunday, as scheduled, but he followed all the precautions prescribed.
“Even in this difficult moment, our love gives us great strength.”
Serie A is not the only major European league to have been affected by the coronavirus, with La Liga, Ligue 1 and Bundesliga cancelling all scheduled matches until further notice.
In England, the Premier League and EFL have shut up shop until April 3, after an emergency meeting was held by officials on Friday morning following positive tests for Chelsea’s Calum Hudson-Odoi and Arsenal boss Mikel Arteta.
Le livre Mais Qu’est-ce Qu’on Va Faire De Toi? de devient un téléfilm qui devrait retracer l’itinéraire de l’animateur… jusqu’à son arrivée à la télé!
Michel Drucker à la télé, quoi de plus banal. Mais en héros de téléfilm, ça l’est beaucoup moins. Son livre autobiographique Mais Qu’est-ce Qu’on Va Faire De Toi? devrait en effet être adapté au petit écran. Une fiction écrite par Joëlle Goron qui sera réalisée par Jean-Daniel Verhaeghe et diffusée sur France 2… Même si l’on ne sait pas encore qui incarnera « Gentil Mimi » à l’écran.
Mais Qu’est-ce Qu’on Va Faire De Toi? a été un grand succès de librairie de Michel Drucker. Editée chez Robert Laffont, cette autobiographie relate le parcours de l’animateur adoré des Français, depuis son enfance à Vire (Calvados) où il regardait avec envie les trains venus de Granville filer vers Paris. Même si la famille est essentielle, comme ce papa médecin de campagne « marqué à vie par ce qu’il a vécu en captivité dans les camps de Compiègne et Drancy ». Mais ce père persécuté en tant que Juif était déterminé à réussir son parcours de scientifique au service de la communauté. « Michel, lui, ne pourra pas, explique le résumé. Cancre dans une famille où l’excellence scolaire est un devoir sacré, il s’en va très jeune, à dix-sept ans, avec pour seul bagage la rage d’échapper au reproche paternel qui a hanté son enfance, et bien au-delà : »Mais qu’est-ce qu’on va faire de toi?”
C’est avec la ténacité d’un grimpeur que Michel Drucker fera ce qu’il est, de lui-même. Et c’est ce que veut nous raconter, aussi, le téléfilm qui devrait lui être consacré. Un téléfilm où il sera question de ses relations avec son frère Jean, qui devrait s’arrêter au moment où la carrière TV de l’animateur débute… Sans doute par pudeur vis-à-vis de son public.
Un projet de la Société Septembre Productions, présidée par Jean Nainchrik. On lui doit, entre autre, Je Hais Les Acteurs, Charlie Dingo ou encore Les Hauts Murs, au cinéma. Mais cette boîte de prod’ a aussi signé une centaine de films TV ( Léon Morin Prêtre, Jules Et Jim, Le Diable Au Corps, Madame De, Les Disparus De Saint-Agil…), de nombreux Louis Page et des mini-séries (Les Thibaut, Le clan Pasquier, L’Abolition), des films unitaires (Galilée, Charlotte Corday, Désiré Landru, L’affaire Ranucci), ou encore le docu-fiction Livrez-Nous Grynszpan !
Annoncé par le site de Septembre Productions, ce téléfilm devrait être la concrétisation d’un projet en gestation depuis deux ans. En 2008, en effet, on parlait déjà de l’adaptation du livre à succès de Michel Drucker. Mais à l’époque, Olivier Dahan, le réalisateur de La Môme, était le seul sur le coup et l’on parlait même de
Vous en rêviez? Il l’a fait! a tourné une petite vidéo où il dévoile ses jolies gambettes musclées à l’occasion de la promotion des MTV Movie Awards, le 6 juin prochain. L’acteur n’a pas hésité à se grimer, puis à se montrer en slip. Enjoy!
En pleine promotion de son dernier film, Knight and Day, dont il tient l’affiche avec
, Tom Cruise multiplie les apparitions publiques, plus surprenantes et hilarantes les unes que les autres. Après avoir dansé avec sa femme Katie Holmes lors d’un show torride donné à l’occasion d’un dîner organisé par
, puis être monté sur scène lors d’un concert des Black Eyed Peas à Londres, l’acteur a tourné un clip promotionnel vraiment… poilant!
Afin de promouvoir les MTV Movie Awards, le héros de Top Gun a tourné deux publicités, dans lesquelles il renoue avec Les Grossman, personnage imbuvable mais hilarant qu’il campait il y a deux ans dans le film de Ben Stiller, Tonnerre Sous Les Tropiques, et qui a marqué toute une génération.
Si la première vidéo montre un Tom Cruise grimé en producteur qui donne une bonne leçon à Robert Pattinson (héros de la saga Twilight), la seconde vidéo dévoile un acteur à la plastique aussi impeccable que son jeu d’acteur.
Et une fois de plus, le comédien démontre qu’il a vraiment un grand sens de l’autodérision.
Reprenant une scène devenue culte de Risky Business, pendant laquelle il dansait sur Old Time Rock’n’Roll, (rôle pour lequel il avait été nommé aux Golden Globes) le sexy Tom n’a pas hésité à se montrer en slip, balbutiant quelques pas de danse, sous les ordres d’un Les Grossman (qu’il campe aussi). Décidément, à tous les niveaux, Tom Cruise ne fait aucun faux pas!
Lors d’une vente aux enchères, un gant de est parti pour 157 400 euros. Même divisé par le nombre de doigts d’une main, ça fait la phalange…
Chaque doigt de la main de Michael Jackson vaut 31 400 euros. C’est la conclusion d’une vente aux enchères ce week-end à Las Vegas (Nevada), organisée à l’occasion du premier anniversaire de la mort du King of Pop. Plus précisément, il s’agissait d’un gant constellé de brillants, accessoire de la star lors de sa tournée mondiale de 1984…
Le gant de Michael Jackson a en effet été acheté pour 192 000 dollars, soit 157 400 euros. Divisé par cinq, cela nous fait donc plus de 31 000 euros le doigt! Il faut dire que cette pièce vestimentaire est, avec ses chapeaux, l’un des symboles forts du mythe Bambi. Du coup, le gant était l’objet le plus convoité de cette vente, parmi des centaines de reliques ayant appartenu à Michael Jackson durant ces enchères qui se sont étalées sur l’ensemble de ce week-end à l’hôtel Planet Hollywood, sous la houlette de Julien’s.
On s’y est arraché vêtements, photos, posters, disques et autographes pour un montant total de 820 000 euros, soit un million de dollars! Et ce avec un opportunisme frôlant le sacrilège, alors que l’on célébrait plus ou moins tristement, selon que l’on soit fan ou businessman, le premier anniversaire de la mort par surdose médicamenteuse de Michael Jackson, le 25 juin 2009. Et si, parmi les acheteurs, quelqu’un s’est pris une veste, il l’a payée 132 000 dollars, c’est-à-dire 108 000 euros. Pour certains, cette braderie de luxe avait peut-être de quoi donner envie de pleurer.
Alors que le tournage de “The Wolverine” approche, le casting vient de se renforcer de plusieurs acteurs japonais. Autour d’eux, Hugh Jackman reprend son rôle de mutant.
Alors que le tournage de The Wolverine approche, le casting vient de se renforcer de plusieurs acteurs japonais. Viennent ainsi de rejoindre la distribution : Hiroyuki Sanada (Rush Hour 3, Le Dernier samouraï), Hal Yamanouchi et les jeunes Tao Okamoto et Rila Fukushima. Le tournage du long métrage, réalisé par James Mangold (Walk the Line, Night and Day) et qui est le second à s’intéresser au personnage de Wolverine après X-Men Origins: Wolverine en 2009, se déroulera en partie au Japon pour une sortie le 24 juillet 2013. Wolverine/Logan, à nouveau incarné par Hugh Jackman, y côtoiera ninjas et des samouraïs.
Il s’est fait connaître par le biais de la télé, et pourrait bien y retrouver une place de choix: pourrait animer une émission sur Jimmy à la rentrée, selon Télécâblesat.fr.
Ses sketches avec
sont devenus cultes et ont bercé tout une génération, fan de la grande époque de Canal +, et il va remettre ça: José Garcia devrait faire son retour sur petit écran à la rentrée.
Le comique pourrait, selon le site Télécâblesat.fr, animer une nouvelle émission de divertissement sur Jimmy, la chaîne du câble et du satellite.
Après une carrière florissante et couronnée de succès au cinéma, notamment grâce à ses prestations dans Le Mac, Le Couperet, Rire Et Châtiment, ou encore Quatre Etoiles, le trublion de Nulle Part Ailleurs revient donc sur petit écran, animer une émission à tendance humoristique, appelée A Moi Jimmy.
Une jolie histoire entre l’acteur et la chaîne, qui rediffusait en 2008 et 2009 la compilation des meilleurs sketches du duo d’humoristes, appelée De Caunes-Garcia. Produit par Puzzle Productions, le programme devrait voir le jour en septembre. Et même si l’on en ignore encore le déroulé exact, on se délecte d’avance de retrouver José Garcia animateur sur petit écran, mais aussi ailleurs!
pourrait jouer un rôle-clé, celui de Sharon Tate, dans un biopic consacré à Charles Manson, commanditaire du meurtre de la compagne de à la fin des 60’s.
Eyes Of A Dreamer: c’est le film par lequel Lindsay Lohan pourrait revenir, voire tout simplement venir, au cinéma. Elle y tiendrait un rôle qui, si la rumeur hollywoodienne est fondée, sera lourd à porter: celui de Sharon Tate… Un nom devenu symbole d’une abominable tragédie depuis le 9 août 1969.
Ce jour-là, la Maison de L’Amour était maculée de sang. Celui de Sharon Tate, entre autres, compagne de l’époque de Roman Polanski. Son assassinat- ainsi que ceux de William Garretson, gardien de la demeure du 10050 Cielo Drive, Benedict Canyon, Los Angeles et de tous les invités de Sharon.
Une boucherie qui devrait être au scénario d’un film consacré à Charles Manson, gourou commanditaire de ces meurtres, et à ses disciples monstrueux- sa « famille »- qui inscriront le mot « Pig » (« Porc ») sur un mur avec le sang de la malheureuse Sharon, satanistes dingues sans doute excités par le film Rosemary’s baby, tourné à l’époque par Polanski. Sharon Tate y avait un petit rôle. Et lorsqu’elle a été massacrée dans une bien sale réalité, elle était enceinte de huit mois…
Pour l’instant, aucune réaction officielle de Roman Polanski. Au-delà d’une pénible reconstitution de l’affaire, comment le réalisateur appréciera-t-il le choix de l’instable Lilo (également pressentie pour figurer à l’affiche du bien plus léger Superman) pour tenir le rôle de Sharon Tate?
Un nom devenu plus qu’un symbole aux Etats-Unis, puisque la mère de la jeune actrice massacrée avait à l’époque obtenu que les victimes d’un acte criminel puissent témoigner lors de l’examen d’une demande de remise en liberté du coupable. Charles Manson l’a réclamée onze fois. A 76 ans, il croupit toujours en prison.
Clarification required on financial transaction tax
Member states concerned about the effect tax could have on their overall costs of borrowing.
The 11 eurozone member states that want to introduce a tax on financial transactions have asked the European Commission to clarify the expected consequences, including the effect it could have on their overall costs of borrowing.
The countries have agreed in principle to levy the tax, despite opposition from some eurozone and European Union member states. It could become law next year, and bring in an estimated €30 billion per year. But the participating countries have themselves now highlighted some concerns about the project. “The impact assessment… is not fully clear on how the taxation on government bonds would interact with the cost of national debt,” they say in a document they have sent to the Commission. They also raise questions about tax collection and exchange of cross-border information.
Algirdas Šemeta, the European commissioner for taxation, did “not see any cause for alarm in this document”, his spokeswoman said yesterday (24 April). “It is totally normal that member states would want to make sure they had all ground covered before agreeing on such important legislation,” she added. She said that Commission officials would reply in detail at the next technical meeting on the issue on 22 May, and expect to “be able to allay many of their concerns”.
The plan has also raised fears among countries not taking part. The UK said on Friday (19 April) that it was challenging the decision to authorise the legislation before the European Court of Justice. “While we will not participate in a Europe-only tax, we have also said we will not stand in the way of other countries, but only if the rights of countries not taking part are respected,” a spokesman for the British finance ministry said. “The proposal currently on the table from the European Commission does not meet these requirements, which is why we have lodged the legal challenge.”
The financial rescue for Cyprus agreed by eurozone finance ministers in the early hours of Monday morning (25 March) represents the first time in eurozone bail-out history that ordinary depositors have been punished.
Crucially, however, and in a change to the original deal agreed on 18 March and overwhelmingly rejected by Cyprus’s parliament, those with deposits up to €100,000 will not lose money.
The initial plan would have imposed a one-off levy of 6.75% on deposits below €100,000 and 9.9% on deposits greater than that. Under the revised agreement, the size of levies on deposits above €100,000 remains to be worked out. However, they are likely to be far greater than under the original scheme, possibly even as high as 40%, Cypriot Finance Minister Michael Sarris said yesterday (26 March).
This is the first time since the euro crisis began that ordinary deposit-holders have been forced to accept losses as a condition of a sovereign bail-out. However, it is evidently not the first time that private deposit-holders have lost money in the course of the crisis, since in several countries the collapse of individual banks has resulted in customers losing money.
In the rescues of the Irish and Spanish banking sectors in 2011 and 2012, only junior bondholders – those whose investments have the lowest level of protection – were affected by the terms of the rescue. In those bail-outs, the eurozone’s leadership was reluctant to hit senior bondholders and other private creditors for fear of scaring investors away from the eurozone.
With the Cyprus rescue, the philosophy has changed. In this case, it is partly because Cyprus’s financial sector is small, albeit huge relative to its own economy. Mainly, however, it is because of a determination to reduce the build-up of government debt and burden on the taxpayer resulting from bailing out banks.
It follows that Cyprus’s banking sector will undergo a complete overhaul and will be reduced in size significantly. Laiki, also known as the Popular Bank of Cyprus, will be shut down immediately. Its ‘good’ assets, including insured deposits below €100,000, will be folded into the Bank of Cyprus.
Deposits above €100,000 in Laiki, estimated to total about €4.2 billion, will be frozen and placed in a ‘bad bank’. Part of this sum will be taken by the government, which will also impose losses on bondholders. Deposits above €100,000 in the Bank of Cyprus will also be frozen. A proportion of these will be used to recapitalise the banking sector.
The European Central Bank on Monday agreed to continue to give emergency support to Cypriot banks but said that it would “continue to monitor the situation closely”. It had last week threatened to withdraw funding if a suitable rescue plan had not been agreed.
The agreement with Cyprus means that eurozone countries, through the European Stability Mechanism (ESM), and the International Monetary Fund (IMF), will contribute €10bn to the country’s financial rescue.
Since the deal no longer includes levies on deposits of less that €100,000, it will not have to be endorsed by the Cypriot parliament. It will have to be formally approved by the national parliaments of the Netherlands, Germany and Finland but is unlikely to run into significant opposition.
With a banking sector eight times the size of its gross domestic product, Cyprus has been under suspicion for several years of over-reaching itself. Cypriot banks’ exposure to Greek debt and Greek sovereign bonds, whose value has plummeted since the start of the eurozone crisis, only exacerbated the fragile situation. As a deep recession hit, the Cypriot government struggled to provide financial support to the financial industry. Cyprus received a €2.5bn loan from Russia in 2012 that helped it inject €1.8bn into Laiki, but this proved insufficient.