Victime de son succès, l’arrière petite fille du fondateur de la chaîne d’hôtels Hilton a eu maille à partir avec un homme qui tentait de rentrer dans sa villa de Los Angeles.
Pauvre petite fille riche. En 2008, la douce Paris avait déjà été victime d’une rapine. Alors qu’elle s’était absentée, un voleur s’était emparé de biens d’une valeur totale de 2 millions de dollars.
Effraction, encore, en août dernier, notre Princesse au petit pois avait été arrachée à son sommeil par un déséquilibré qui tentait de briser les vitres de sa chambre. Armé de deux coûteux de cuisine, le dénommé Nathan Lee Parada avait été appréhendé en flagrant délit, alors qu’il s’était s’introduit aux aurores chez la starlette.
Violation de domicile, troisième. Cette fois, c’est en début d’après-midi qu’un affreux maraud, perché sur son vélo, a tambouriné chez la ravissante lolita qui fait la pluie et le beau temps de la planète People. L’amoureux de la petite reine a réussi à déjouer le système de sécurité du portail d’entrée, pourtant surveillé par des gardes. Selon le porte-parole de la police Bruce Borihanh, le cycliste malintentionné a fait irruption mardi aux alentours de midi sur la pelouse de la jet-setteuse et s’est mis à violemment frapper sa porte, tout en refusant de quitter les lieux quand il y a été invité par un agent de sécurité.
Après une altercation musclée avec un des gorilles de la résidence hollywoodienne, l’intrus, dont l’identité n’a pas été révélée, a été arrêté pour agression et placé en garde à vue au poste de Van Nuys.
?Pour une fois, la miss n’y est pour rien, dites vous?
Connue pour sa sex-tape et son sens inné de la fête, notre enfant gâtée (qui avait été condamnée en 2007 à de la prison ferme pour conduite en état d’ivresse et violation d’une suspension de permis) n’en peut plus de se faire remarquer.
Décidée à se mettre au vert, la turbulente jeune femme a déjà été prise, lors du Mondial, un joint au coin des lèvres, dans les gradins du stade Soccer City, pendant le match Brésil-Pays-Bas. En juillet, la donzelle a été interpellée par la gendarmerie des transports aériens de Figari, du cannabis plein son vanity. Relaxée en Corse, en répit aux Etats-Unis,
s’est fait du sushi au Japon.
En goguette en Asie, la it-girl a été bloquée à l’aéroport de Tokyo, puis refoulée du Pays du Soleil Levant. Condamnée pour une infraction liée aux stupéfiants, elle tombait sous le coup de la loi.
La veille, notre blonde héroïne (qui n’est pas accro qu’au shopping) avait plaidé coupable de deux chefs d’inculpation: possession de drogue et obstruction à la justice. Paris Hilton, dont les frasques alimentent depuis plusieurs années la chronique scandaleuse du showbiz, avait débronzé, à la rentrée, dans une prison du Nevada. La jolie poupée qui affirmait être blanche comme neige, se poudrait le nez au volant et trimballait quelques grammes de coco dans son sac siglé Chanel… Aux forces de l’ordre, elle avait affirmé que les bagages griffés n’étaient pas les siens…
Paris, 29 ans, a accepté l’accord suivant: deux peines de six mois avec sursis effectuées de manière consécutives, une amende de 2000 dollars, la participation à un programme pour personnes consommant des substances illicites, et 200 heures de travaux d’intérêt général qui pourront être accomplis au profit d’une organisation non gouvernementale de son choix, y compris une église.
Son Meteor Tour à peine terminé, Indochine annonce une nouvelle tournée de six dates, afin de promouvoir la sortie du DVD du concert géant donné au Stade de France en septembre dernier.
C’était l’apothéose de leur tournée Meteor Tour, l’événement le plus attendu par le groupe et par ses fans, programmé près d’un an à l’avance. Le concert qu’a donné Indochine en juin dernier au Stade de France a été à la hauteur des espérances de tous. A tel point que Nicola Sirkis et les siens ont décidé de l’immortaliser dans un double CD et triple DVD intitulé Putain de stade et qui doit sortir le 17 janvier prochain.
Et comme Indochine a décidé de faire dans la démesure pour ce concert et cette tournée, le groupe repart pour une mini-tournée de six dates courant janvier 2011. Ce Meteor Club Tour débutera le 19 janvier à l’Ancienne Belgique, à Bruxelles, passera en Suisse le 24 janvier, aux Docks à Lausanne, et s’arrêtera dans quatre villes françaises: le 20 à l’Autre Canal, à Nancy, le 23 à la Coopé, à Clermont-Ferrand, le 29 au Grand Rex, à Paris, et enfin le 31 au Bikini à Toulouse. Une manière pour Nicola Sirkis de prouver sa fidélité à son public et de démontrer que ce n’est pas parce que désormais Indochine parvient à remplir des stades qu’il oublie les endroits plus intimes, plus proches du public, qu’ils fréquentaient lorsque le succès n’était plus trop au rendez-vous.
Pour ceux qui souhaitent assister à ces concerts, il faudra se rendre dès le 16 décembre sur le site indo.fr afin d’acheter ses places. Comme à son habitude, le groupe pratique une politique des petits prix et proposera un tarif unique de 30 euros. Loin des 50 euros et plus, souvent bien plus, pratiqués par les poids lourds de la chanson.
Peut-être qu’après, Indochine prendra enfin un repos bien mérité.
L’adaptation de “Neuromancer” par Vincenzo Natali commence à prendre forme pour de bon, puisque Mark Wahlberg et Liam Neeson seraient en négociations pour en tenir les rôles principaux.
Que Neuromancer n’ait jamais été adapté sur grand écran peut paraître étrange, dans la mesure où le roman de science-fiction a aussi bien inspiré Ghost in the Shell que Matrix. Mais cet oubli devrait bientôt être réparé grâce à Vincenzo Natali. Annoncée depuis maintenant deux ans, après avoir été évoquée à maintes reprises, cette transposition de l’oeuvre de William Gibson semble de plus en plus proche de sa concrétisation, puisque Mark Wahlberg et Liam Neeson ont été approchés pour en tenir les rôles principaux, à savoir Case et Armitage. Centré autour d’un hacker qui déplace sa conscience dans le cyberespace, le roman avait fondé la génération cyberpunk au moment de sa parution, en 1984, et reste à savoir quel effet aura son adaptation prévue pour les trente ans du livre, en 2014.
Amoureuse, enceinte, rayonnante, c’est une femme épanouie qui a décroché le plus convoité des trophées. a confirmé devant le tout Hollywood qu’elle n’était plus sa gamine choyée, mais une femme, irrésistible et ultradouée.
Natalie Portman a reçu dimanche l’Oscar de la meilleure actrice pour son rôle extrême de ballerine schizophrène dans Black Swan.La sombre Nina avait déjà rapporté, à l’artiste, un Spirit Award la veille, mais aussi un Golden Globe, un BAFTA et une ribambelle de distinctions professionnelles, autant de «signes» d’une carrière exemplaire et d’une nouvelle maturité artistique.
Grossesse radieuse, courbes assumées et long baiser au père de son futur bébé, la lauréate de la plus prestigieuse des récompenses est montée sur scène en robe pourpre, et a laissé échapper quelques larmes. Durant son bref discours, celle qui a commencé dans Léon, à 12 ans, a remercié
de lui avoir donné «sa chance». Cette statuette est le couronnement d’une année chargée pour Natalie Portman, 29 ans, qui a enchaîné les tournages à un rythme effréné: le thriller de Darren Aronofsky, mais aussi la comédie Votre Majesté, le film d’action Thor et la comédie romantique Sex Friends. «Je suis désolée car je vais ennuyer le public avec ma tête pendant quelques temps», a confié, backstage, le plus charmant minois du moment.
Le plus difficile, pour cette menue interprète (au talent notoire mais à la silhouette délicate), aura été de convaincre le métier que la petite fille modèle était devenue une célébrité glamour et sexy.
Fruit d’un métissage entre un endocrinologue israélien (d’origines polonaise et roumaine) et une décoratrice juive américaine (d’origines autrichienne et russe), Natalie Hershlag (de son vrai nom) naît le 9 juin 1981 à Jérusalem. Lorsqu’elle a trois ans, sa famille émigre aux Etats-Unis, d’abord à Washington, puis dans le Connecticut et enfin à Long Island. Première bizarrerie dans un devenir people: cette fille unique adore l’école. Elle se voit médecin, comme papa, et ne quitte ses livres que pour des cours de claquettes. C’est justement à la sortie du conservatoire, alors qu’elle mange de bon cœur une pizza, qu’un agent de Revlon remarque ses yeux de faon et sa bouche pulpeuse. Ses parents concèdent une participation à une pub pour des cosmétiques… Lolita trash aux côtés de
, l’ado enchaîne les films (et rattrape toujours ses cours!): Heat de Michael Mann, Mars Attacks de Tim Burton, Tout Le Monde Dit I Love You de Woody Allen … Premier coup de théâtre en 1998: alors que son destin de movie star semble tout tracé, Natalie Portman refuse les propositions des plus grands pour interpréter le Journal d’Anne Franck sur les planches de Broadway. La famille de ses grands-parents paternels a péri à Auschwitz et elle y voit une façon de leur rendre hommage.
En 1999, quand George Lucas lui propose d’être la reine Amidala dans Star Wars, Natalie hésite… elle a «peur de perdre son anonymat». ?La Guerre de l’Etoile aura bien lieu… Mais à peine le tournage terminé, Padmé s’inscrit à la prestigieuse Université de Harvard. Elle en ressort avec une maîtrise de psychologie et une approche perfectionniste du métier.? Faire passer l’éducation avant le succès, avant l’argent, c’est le principal enseignement de sa jeunesse raisonnable et dorée. Artiste prude et cérébrale, elle se coltine cinquante références bibliographiques par personnage et refuse les scènes de nu, «une exploitation inadmissible». En 2005, louée pour sa prestation dans Closer, la belle érudite fuit le métier pendant un an pour étudier l’histoire de l’Islam à l’Université hébraïque de Jérusalem. Son diplôme en poche, elle tourne en Jordanie Free Zone d’Amos Gitaï. Puis enchaîne Retour à Cold Mountain, V For Vendetta, Garden State, Free Zone, My Blueberry Nights, A bord du Darjeeling Limited, Brothers…
Mais pas question pour Natalie Portman de briller dans les soirées ou en Une des magazines. Bobo écolo, ascète et végétarienne, elle ne porte jamais de cuir ni de peaux, fuit les strass du showbiz comme les pestes de Los Angeles (sauf sa copine Britney Spears) et constate, avec plaisir, qu’on ne la reconnaît pas dans les rues de Manhattan. Eternelle bonne élève, Natalie ne fume pas, ne boit pas d’alcool, fait du jogging quatre fois par semaine, peut tenir une conversation en allemand, japonais et espagnol … Pour la FINCA, une ONG qui octroie des crédits à des femmes du Tiers-monde, la belle téméraire part en solitaire (et sans caméra) au Guatemala, en Ouganda, en Equateur…
Bref, il n’y a chez elle aucune volonté de coller à une image publique, d’être identifiée comme une vedette. Magnifique, resplendissante, captivante dans ses films, Natalie Portman ne fait pas son cinéma, ni sa diva.
Pour Black Swan, cette stakhanoviste s’est astreinte à une discipline d’enfer. Petit rat besogneux, elle a passé huit heures par jour, pendant un an, à s’entraîner sur les mouvements classiques. Une composition éprouvante, psychologiquement et physiquement mais qui lui a permis de rencontrer l’homme de sa vie, Benjamin Millepied. Danseur principal au New York City Ballet et chorégraphe réputé, ce gracile Bordelais, né en 1977, a orchestré le moindre pas de la miss. Entrechats, enchaînements, pointes et pirouettes, la passion surgit.
Beau brun ténébreux, le Girondin a réussi là où Jake Gyllenhaal, Gael Garcia Bernal, Adam Levine, Moby, (et même un certain Sean Penn) ont échoué: apaiser, rassurer, conforter notre travailleuse acharnée. L’égérie Miss Dior Chérie a trouvé son alter ego: un esthète studieux, consciencieux, inspiré.
Eblouissante, visiblement en forme au bras de son fiancé, Natalie Portman a foulé hier le red carpet avec un enthousiasme non contenu.Ventre rond, sourire immense, notre étoile bientôt maman de son premier enfant, un garçon, va se marier. Une vraie star, scintillante, imposante, troublante, est née.
A Deauville, est apparue radieuse aux côtés des conjointes des grands chefs d’Etats. Son petit ventre s’arrondit à vue d’oeil.
Chabadabada… A Deauville on connaît bien la chanson d’Un Homme, Une femme, cette belle histoire d’amour de
. Désormais c’est l’histoire d’une douce maternité qui s’écrit. Carla Bruni-Sarkozy, l’épouse du Président de la République, a suivi son mari pour le G8, et leur(s) futur(s) enfant(s) aussi. Lors d’un rendez-vous au sommet entre compagnes de grands dirigeants, la chanteuse a laissé apparaître ses premières formes de femme enceinte dans une simple petite robe blanche. Si elle a dû décliner l’invitation de Cannes pour présenter Midnight In Paris, il était hors de question qu’elle laisse son mari partir seul sur la côte normande. Et au milieu de Maria Barroso, Lauren Harper (la femme du premier ministre canadien), Geetri Von Rompuy (l’épouse du Président du Conseil Européen) et Svetlana Medvedeva, notre First Lady irradie.
Pendant que ces messieurs se rencontraient à l’hôtel Royal Barrière, leurs dames déjeunaient, elles, dans les salons cossus de la villa Strassburger.
et Samantha Camerron n’ont pas pu se rendre avec leurs époux à ce sommet.
La femme du président américain et du premier ministre anglais ne pourront donc pas observer de près le petit ventre de Carla Bruni et n’assisteront pas non plus aux réunions que cette dernière a prévues à l’occasion du G8. Pas de point de croix ni de cours de cuisine, la team de First Ladies de choc et de charme débattront notamment de l’illettrisme, un sujet cher au cœur de Madame Sarkozy.
Vendredi midi, Carla et les autres dames descendront sur Les Planches qui bordent la plage deauvillaise pour le déjeuner (probablement au restaurant le Ciro’s). Un menu spécial femme enceinte sera-t-il concocté pour Carla Bruni-Sarkozy?
Carbon trading is the world’s fastest growing commodity market, but Interpol says it is still underregulated.
A report by international policing organisation Interpol has warned that global carbon trading markets remain highly vulnerable to being manipulated by criminals through securities fraud, insider trading, embezzlement, money laundering and cybercrime.
The report, released by the intergovernmental agency on Friday (2 August), pays particular focus to the EU’s Emissions Trading Scheme (ETS) – the first and largest carbon trading system in the world. Its findings echo previous conclusions of European policing agency Europol.
The expansion of ETS systems throughout the world, for instance Australia’s new scheme and China’s pilot projects, will increase the potential for fraud, the report concludes. Regulation of the sector is still developing, leaving the system vulnerable to those who want to maximise profit.
The report includes global case studies where greenhouse gas accounting firms, national authorities operating in under-regulated jurisdictions, and individuals or companies claiming to offset emissions in return for investment have cut corners, falsified information or received bribes. It also includes guidance for best practice.
The EU ETS has been plagued by fraudulent activity in the past. In early 2011 officials found that cyber-criminals had stolen around €30 million worth of carbon emissions permits, forcing the European Commission to suspend trading for two weeks. The scheme has also been plagued by VAT fraud since 2008. Many of the problems were solved by transferring the 27 national registries to a single union registry.
At the end of 2011 the Commission put forward a proposal to fully include emission allowances within the scope of revised rules governing financial markets. The new rules would prevent the use of inside information, increase transparency and put in place anti-money-laundering safeguards. Negotiations between the European Parliament and member states on the proposal began last month.
Eight companies operating in the ETS were recently shut down for malpractice.
“It is sad to see criminals using fraud and other crimes to make profit out of a commodity that was created to protect the environment,” said David Higgins, Manager of Interpol’s Environmental Crime Programme. “It is not just the financial harm it causes investors, but this criminal activity risks seriously undermining the environmental integrity of the carbon markets globally.”
Carbon trading is the world’s fastest growing commodities market, with its current value estimated by the World Bank at around $176 billion (€132 billion). Interpol warns that the fact that these are not physical commodities but rather credits make it an unquantifiable market with large amounts of money invested and a lack of oversight – a dangerous cocktail for criminal vulnerability.
Profile of the director of the International Monetary Fund’s European department
Three years on and €350 billion in aid later, it seems strange to remember that the first months of the eurozone’s debt crisis were marked by a debate over whether to involve the International Monetary Fund (IMF). In the end, the German government got its way and the ‘troika’ of the European Commission, the European Central Bank and the IMF was born. Yet today (10 October), as the EU’s economic policymakers head to Washington, DC for the annual meetings of the IMF and World Bank, some are questioning the need for the troika arrangement and whether the presence of the ‘third man’ in the eurozone is of real benefit.
That the IMF’s attitude towards Europe has hardened noticeably over the past 18 months. While some think this reflects a loss of patience by the fund’s executive board, others give a two-syllable reason: “Reza.”
Reza Moghadam, a 21-year IMF veteran and British national, was asked two years ago by IMF managing director Christine Lagarde to take over the fund’s European department. It came as no surprise to some that, given concerns about debt sustainability, the first eurozone programme agreed under the new director – for Cyprus – provided less aid and forced losses on large bank depositors.
On taking the job in November 2011, Moghadam was determined to emphasise “even-handedness” to counter a growing perception, especially in emerging markets, that Europe’s over-representation inside the IMF’s governance was translating into a capture of its resources. The Cypriot case sent a message: the IMF negotiators were the toughest in the room. Cyprus received IMF aid worth just six times its fund quota (Greece received 22 times its quota, and Ireland 16).
The fund’s role in the troika has been to act as an external monitor to reassure creditors that Greece, Ireland, Portugal and Cyprus would meet the conditions set in return for their soft loans. For EU creditors, the IMF has been a welcome contributor, lending €80bn and bringing technical experience of country rescues that helped strengthen the credibility of the adjustment programmes. It has also been prepared to think the unthinkable: in Greece, a restructuring of privately held debt, and in Cyprus, a contribution by large depositors to the island’s rescue.
Support for debt forgiveness by private creditors was one thing. But it was quite another when, this time last year, the IMF reportedly threatened to stop funding the Greek programme without an assurance that eurozone governments would consider a debt write-off. Formerly IMF-friendly EU officials were infuriated by an IMF report in June that claimed “debt restructuring had been considered” in 2010 but was overruled by eurozone authorities.
The change in mood may reflect the line adopted by Moghadam, renowned as a tough negotiator with a policymaking network developed over a decade at the top of the IMF. Born in Borujerd in western Iran and raised in Tehran, he was in the middle of his pre-university courses when revolution broke out in 1979. Worried that the new regime would close the universities, Moghadam’s parents sent him and his brother – with their English no more than competent – to finish their schooling in London, where, in addition to learning, he developed a passion for cycling and for Chelsea Football Club.
By 1982, he was studying mathematics at Oxford and developing a fascination for economics. Following a master’s degree at the London School of Economics and Political Science, he chose the University of Warwick for his PhD on the factors that determine wages. Not only was Warwick a developing hub for economics, but the university allowed Moghadam the flexibility to finance his studies by teaching there, as well as in London and Bristol. It was also at this time that he put his engineering skills to good use by working on the renovation of the LSE’s Phillips Machine, a 60-year-old hydraulic model of the British economy.
Curriculum Vitae
1962: Born, Borujerd
1985: Degree in mathematics, University of Oxford
1987: Master’s degree in economics, London School of Economics and Political Science
1990: PhD in economics, University of Warwick
1990-92: Consultant, Coopers, Lybrand & Deloitte
1992-97: Economist in the IMF’s European department
1999-2001: Chief of IMF mission to Thailand and Indonesia
2001-03: Adviser, office of IMF deputy managing director
2003-05: Assistant director and senior adviser in the IMF’s European
department
2005-08: Senior adviser, office of IMF managing director
2008-11: Director, IMF’s strategy, policy and review department
2011-: Director, IMF’s European department
A short career in the private sector was interrupted by a six-month secondment to the civil service, where Moghadam developed a taste for public policy. In 1992, he applied to join the IMF’s Economist Program, took a two-year sabbatical from work and never went back. Joining the European department, he was immediately immersed in the economic fall-out from the collapse of the communist states, German reunification, and the implosion of the exchange-rate mechanism. Showing a knack for arriving at IMF units just as crisis struck, Moghadam joined the Asia Pacific department in 1997, just as financial collapse in Thailand spread to Indonesia, South Korea and beyond. He was asked to become the fund’s representative in Bangkok, which provided on-the-ground experience of programme implementation in Thailand and later in Indonesia. It was in Thailand that the youngest of his three children was born.
Returning to IMF headquarters in Washington in 2000, Moghadam got his foot on the policy ladder as adviser to Anne Krueger, then the first deputy managing director, just as crisis hit the countries for which she was responsible: Argentina, Brazil and Turkey. His interest piqued, Moghadam applied in 2003 to become Turkey’s mission chief at a time when its programme was off track, inflation out of control and a newly-elected government trying to find its feet in the build-up to war in Iraq. Moghadam’s successful re-making of the programme laid the foundation for the country’s subsequent economic success and burnished his reputation.
In 2005, armed with experience in the field and under Krueger, who had since become the IMF’s acting chief, Moghadam applied to head the office of Rodrigo de Rato, the new managing director. When Rato quit the fund unexpectedly in 2007, incoming boss Dominique Strauss-Kahn sounded out Moghadam to see if they could work together, since he needed an insider to bolster morale and oversee internal changes. It turned out they could and, after serving as the managing director’s adviser, Moghadam was appointed head of the pivotal strategy, policy and review (SPR) department with a mandate to come up with ideas for Strauss-Kahn to execute.
Under Strauss-Kahn, SPR carried out a thorough review of the IMF’s lending and established precautionary credit lines and facilities for underdeveloped economies, as well as refining the conditions attached to loans.
It is fortunate that this re-engineering of the fund was carried out before the European crisis hit. On taking office in mid-2011, Lagarde took a step further with a landmark speech in which she advocated a bolder response to the crisis. Within three months she had moved Moghadam from SPR back to the European department – this time as its director – and the bolder approach has been palpable.
The Portugal star was involved in yet another goal on Sunday as his team moved into fifth in the Premier League standings
Manchester United captain Harry Maguire said that Bruno Fernandes had been instrumental in the club’s recent good form, citing his “aura” as a major reason for his success.
Fernandes is part of a starry cohort of recruits, including the world’s most expensive defender Maguire, under Ole Gunnar Solskjaer, and has begun repaying his manager’s faith straight away.
He set up the first goal in a 2-0 win for the Red Devils in the Manchester derby by chipping a free-kick behind the unsuspecting Man City defence for Anthony Martial to slide home, thanks in part to an error by Ederson in the City goal.
More teams
Fernandes now has three assists in his last four league games in addition to two goals, and Maguire says it is evident what an impact he has had on the team.
“You can see what Bruno has brought since he has come in.” the England international told Sky Sports.
“He has a big personality and he has an aura about him.”
United were under the cosh for long periods of the game, with City dominating possession, 72 per cent to 28.
They failed to create many clear cut opportunities, however, and Maguire thought felt was testament to United’s defensive solidity and new-found faith in themselves.
“Defensively we were solid and it should have been more than 1-0 in the first half,” the former Leicester City centre-back added.
“In the second half we dug in deep, defended well as a team and deserved the three points.
“Winning games brings belief. We believe we can push on from this. With the ball we can do better.
The win, part of United’s first league double over City in a decade, takes Maguire’s men to fifth-place in the Premier League table, and a potential Champions League spot.
They are undefeated in their last 10 matches in all competitions and are still in with a chance of winning two cups this year.
They face LASK of Austria in the Europa League last 16 starting on March 12 and will take on the Premier League’s bottom club Norwich City in the quarter-finals of the FA Cup later in the same month.
Liliane Bettencourt rend la monnaie de leur pièce à ceux qui mettaient en doute sa clairvoyance. Là où on attendait une vieille dame fragile surgit une personnalité combative, piquante et même insolente.
« Qu’est ce qu’elle a ma santé? Je vais bien dans la lutte. Quand c’est plat je m’emmerde. » C’est une Liliane Bettencourt offensive et un brin provocatrice qui a répondu aux questions de
, sur Europe 1, évoquant ses relations avec sa fille et François-Marie Banier.
Si elle accuse de « violences morales » sa fille, c’est, dit-elle, faute de ne pouvoir faire autrement. « Si je ne peux pas faire autrement, oui, je suis prête à la bagarre », confie la milliardaire… Parce qu’elle ne me ménage pas. Parce que je ne suis pas seule, il y a des gens qui travaillent avec moi, qui sont dans l’affaire, qui travaillent .. alors si elle met un coup de pied là-dedans…”
Décidément à l’aise avec les gros mots, la milliardaire explique ainsi ce qu’elle considère comme un harcèlement orchestré par sa fille: « parce qu’elle n’a rien d’autre de mieux à faire. Je ne sais pas si c’est son propre sentiment, ce n’est pas facile de harceler, moi je n’ai pas l’habitude, mais je veux dire harceler, c’est emmerdant ».
Et, alors qu’elle est elle-même surnommée Mamie Zinzin par les Guignols, Liliane Bettencourt renverse la situation en déclarant à propos de sa fille: « Il faut vraiment être très bien soutenu dans la vie… Je ne sais pas si elle est assez zinzin pour continuer. »
Mais d’autres propos de l’héritière de L’Oréal ne manquent pas de soulever de nouvelles questions. Notamment quand elle explique, à propos du photographe François-Marie Banier qu’elle a généreusement remercié de son amitié:”Il m’a fait comprendre aussi que le bien avait des limites… C’est un artiste qu’on n’a pas payé, servi sur un plateau.” Ce qui a étonné MOF. « Pas payé? »Et Liliane Bettencourt de lui répondre: « Pas plus que d’autres qui se taisent ». Une femme qui s’étonne d’ailleurs que les sommes évoquées dans cette affaire paraissent aussi importantes à son intervieweur. Tout le monde n’a pas les mêmes valeurs…
Un troisième disque, envoûtant, un rôle au cinéma, et une série de concerts, s’impose et s’expose, avec succès et gourmandise. Attention femme sensuelle.
La gagnante de la Star Ac 3 a gagné en assurance et en sex-appeal. Oublié la Blonde fragile et effacée. Dans son nouvel album La Fille de l’Après-Midi, Elodie se glisse sans gêne sous l’imperméable beige d’un sombre inconnu pour y «faire mieux que s’abriter».
Suggestive et fragile, mystérieuse et sulfureuse, la belle poursuit sa douce «décadanse» entreprise sous La Ceinture de
. A 28 ans, la miss voit aussi les choses sur grand écran et sera bientôt à l’affiche de Potiche, aux côtés de
et Gérard Depardieu.
Une double actualité, l’occasion d’une interview sans concessions au magazine Be.
Le son de son opus? «Rétro, ça c’est sûr. J’adore le dandysme des sixties, la désinvolture à la Jacques Dutronc. A cette époque, quand on disait « sale pute », ça avait une certaine classe. Maintenant on se sépare par sms».
Tchao de look de fille rangée: «Après être passée par plusieurs styles, métal, punk ou encore plouc, aujourd’hui, je me situe plutôt entre les années 40 et les années 60. Je dis « vous » aux gens, je fais un effort pour être toujours bien habillée et sexy».
Son style est torride, mais la poupée glam’«est-elle aussi est-elle une coquine dans la vie»? Du tac au tac, la pin-up délurée rétorque: «Je ne vais pas te dire « oui », comme ça, de « pute » en blanc. Je peux être coquine, mais je suis très exclusive, et je préfère suggérer… Je trouve ça plus chic, et sans doute plus bandant».
Sans tourner sa langue dans sa bouche, la séductrice à la verve crue ajoute: «J’aime l’amour noir et l’humour physique, comme les bonnes choses de la vie: le vin, le sexe, la bonne bouffe… Parce que si demain je me faisais renverser par un camion, je serais heureuse d’avoir mangé une bonne andouille la veille».
Jouissive et pas frigide pour deux sous, Elodie Frégé!