Tibor Navracsics of Hungary, who has been assigned the portfolio of education, culture, youth and citizenship in the next European Commission, has chosen Jonathan Hill to head his private office.
Hill is curently deputy head of the private office of the current commissioner for education and culture, Androulla Vassiliou. Confusingly, Jonathan Hill is also the name of the UK’s nominee for the Commission.
Jyrki Katainen, Finland’s European commissioner, who holds the portfolio of economic and monetary affairs and the euro in the current Commission and has been designated vice-president in charge of jobs, growth, investment and competitiveness in the next Commission, has recruited Hilde Hardeman to his private office, as deputy head.
Hardeman, who is Belgian, was head of the briefing unit for Commission President José Manuel Barroso in 2011-14. Before that she was a head of unit in the Commission’s external relations department dealing with Russia and Northern Dimension policy in 2008-10, and Ukraine, Moldova and Belarus in 2005-08.
The idea is that she will stay in the Katainen cabinet if he makes it through the confirmation hearings into the next term.
By trying to strike a deal with Google, the competition commissioner has laid himself and the Commission open to accusations of political interference.
In competition law, four years is a short time, Joaquín Almunia, the European commissioner for competition, seemed to be saying as he defended his handling of an investigation into Google on Tuesday (23 September).
The European Commission’s failure to strike a satisfactory settlement with Google after almost four years of investigation was justified by the “very complex”, nature of the case, he told members of the European Parliament’s committee on economic and monetary affairs.
The Commission’s competition department, which is principally concerned with how Google presents its search results, including links to its own services, and whether this puts rivals at a disadvantage, decided in May 2012 to explore a settlement deal with Google. It passed up the option of formally charging Google with breaching European Union antitrust rules, a step that can lead to a fine, a settlement or the charges being rebutted.
Progress has since been slow, argued Almunia, because competition law has never before been applied to the market for search, while Google’s services were changing “almost every month”, Almunia argued.
If four years seem a long time, consider that the Commission’s myriad antitrust dealings with Microsoft lasted 13 years, he continued. And yet “there are more problems with Google’s functioning” than with Microsoft. Consider also that the United States’ Federal Trade Commission (FTC) closed the case “without being able to do anything” to Google, said Almunia. “We want to do something”. More, he promised, was on its way, alluding to forthcoming inquiries into Google’s Android smartphone operating system and “distortion of traffic”.
It was a defence that was more than a little disingenuous. For example, the FTC was not constrained from acting against Google: it concluded that the core allegations being investigated by the Commission were unsubstantiated under US antitrust law. Nor are the two Microsoft cases really comparable with the Google case. In one case, the Commission adopted a prohibition decision after four years, in the other the Commission settled the charges after two years. It was Microsoft’s subsequent failure to comply with those decisions that led to years of legal wrangling, but cost the company some €1.5bn and served as a stark lesson to others. In sum, four years certainly seems a long time when one considers that the main objective of settling was to ensure a “quick resolution” in what Almunia described as “fast-moving markets”.
But Almunia was at his most disingenuous when making an impassioned defence of “the independence, impartiality and objectivity” of the Commission’s competition procedures in the face of intense lobbying. “We are the most respected competition authority in the world precisely because of the way we guarantee these principles.”
The lesson of the Google case is that, by seeking to strike a deal, Almunia invited all and sundry – from MEPs to national politicians – to proffer their opinion on what is meant to be a legal process. Almunia may protest that he was uninfluenced by it all. But is the same true of those other commissioners within the college who either actively or tacitly objected to the third settlement deal backed by Almunia, which he eventually rejected earlier this month?
The Commission is packed with excellent competition lawyers able to draft watertight advice and decisions. Almunia should have made greater use of them and relied less on his political advisers and negotiators. His readiness to cut a deal has backfired.
Ambassadrice d’Oxfam (organisation d’ONG luttant contre la famine) depuis 2004, Scarlett Johansson a visité le plus grand camp de réfugiés au monde, dont de nombreux sont Somaliens, situé au Kenya. Elle a publié une vidéo de son voyage afin de récolter des fonds.
C’est une Scarlett Johansson engagée que l’on découvre dans son message publié aujourd’hui sur le site américain The Huffington Post. Elle y explique son implication au sein d’Oxfam, organisation non gouvernementale qui vient en aide aux réfugiés dans le monde, et la situation que traverse actuellement le camp de Dadaab, au Kenya.
«Je savais qu’il y avait une crise alimentaire au niveau mondial, mais les chiffres révélés par cet article (lu dans le Wall Street Journal) étaient vraiment accablants. Dadaab, dont je n’avais jamais entendu parler auparavant, est le camp de réfugiés le plus vaste au monde. Il a atteint sa limite de capacité d’accueil en 2008, et pourtant, chaque jour il continue à accueillir entre 600 et 1500 réfugiés somaliens», explique l’actrice.
Touchée par cette situation plus que précaire, la star de Match Point a souhaité aller sur place, afin de rencontrer des réfugiés et prendre la mesure de la catastrophe. L’actrice décrit les conditions extrêmement difficiles dans lesquelles tentent de survivre les quelque 400 000 personnes présentes dans le camp, et qu’elle a elle-même pu constater. Elle lance ainsi un appel pour venir en aide à Oxfam, qui peine à améliorer la vie dans le camp, dont la taille grandit chaque jour en raison de la famine en Somalie, la plus grave depuis 60 ans.
La vidéo et le message de Scarlett Johnasson sont disponibles sur le site du Huffington Post.
Pour en savoir plus sur l’action d’Oxfam, il est possible de se rendre sur leur site Internet français.
M.C.
Mardi 27 septembre 2011
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Tony Parker a confessé dans l’émission 50 minutes Inside sur TF1 avoir souffert de son divorce avec Eva Longoria. Un an après la rupture, le jeune homme, toujours célibataire, se dit toujours proche de son ex.
Eva Longoria affirmait il y a un mois: «Le divorce me va bien». La Desperate Housewife semblait bien s’accommoder de sa nouvelle vie aux côtés d’Eduardo Cruz. Tony Parker semble avoir plus de difficultés à tourner la page. Le basketteur star a affirmé lors d’une interview pour l’émission 50 minutes Inside, sur TF1: «Eva, je l’aimerai toujours, j’aurai toujours du respect pour elle. Il faut aujourd’hui continuer à vivre.»
Tony Parker, auquel on ne prête aucune compagne actuelle, a précisé qu’Eva l’avait appelé pour le féliciter de sa médaille d’argent aux championnats d’Europe de basket. Étrange quand on sait qu’Eva Longoria a nié de son côté avoir gardé tout contact. Il faut dire que la belle est légitimement rancunière: après sept ans de relation et trois ans de mariage, son couple avait explosé à la suite des infidélités répétées de Tony.
Elle s’était alors consolée dans les bras d’Eduardo, le frère de Penelope Cruz. Toujours amis ou non, une chose est sûre, c’est bien fini entre les deux stars dont le mariage à Paris en 2007 avait pourtant fait rêver leurs fans.
Blake Lively et Ryan Reynolds filent le parfait amour et les parents de la jeune fille l’approuvent. Ils forment le nouveau couple en vue d’Hollywood.
Serait-ce le bon? Blake Lively donne en tout cas à sa relation avec Ryan Reynolds une dimension bien sérieuse. Quelques mois après leur rencontre sur le plateau de Green Lantern, les deux acteurs concrétisent leur union. C’est l’héroïne de Gossip Girl qui a mis un coup d’accélérateur à leur amour. La jolie blonde a présenté son nouveau petit ami à ses parents à l’occasion d’un voyage commun à Boston.
Plusieurs sources confirment que Ryan Reynolds et Blake Lively sont désormais inséparables. Tandis que l’acteur jouait la comédie sur le plateau du film R.I.P.D, sa douce le regardait amoureusement toute la journée depuis les coulisses. Ils se sont ensuite rendus dans l’appartement de l’ex de Scarlett Johansson, pour une soirée en amoureux. Le lendemain, Blake Lively a été aperçue avec sa sœur ainée, Robyn, pour une séance de shopping intensive dans les rues de Boston. Plus tard, ce sont donc Ernie et Elaine Lively qui ont fait la connaissance du charmant Ryan Reynolds.
L’intrépide Serena Van Der Woodsen et le pilote émérite de Green Lantern ont mis leur passé aux ordures. D’ailleurs, Leonardo di Caprio, l’ex de Blake Lively, n’a pas été le plus gentleman qui soit. A peine séparé de la jeune femme on l’a aperçu au bras de beaucoup d’autres jolies filles. De son côté, Ryan Reynolds a quitté sa très bonne copine Sandra Bullock, qui préfère se consacrer à l’éducation de son fils Louis.
Blake Lively et Ryan Reynolds, sont jeunes, beaux et plus que jamais prêts à s’engager. Affaire à suivre.
Condamné il y a trois jours pour homicide involontaire, le docteur Conrad Murray veut aujourd’hui faire entendre sa voix.
«Je regrette que Michael Jackson soit parti». Conrad Murray, médecin attitré de Michael Jackson et reconnu responsable de « négligences criminelles » ayant conduit à son décès, est un homme mystérieux. Lors de son procès, il a donné des versions différentes de la dernière nuit de Bambi, ce qui lui a valu d’être condamné pour homicide involontaire. Sur NBC, il revient encore une fois sur ce jour où tout a basculé et espère bien faire changer d’avis ses juges. Le docteur Conrad Murray reste persuadé de n’avoir, «rien fait de mal».
Contrairement à tout ce qui a été dit jusqu’à présent, l’accusé raconte que Michael Jackson «a finalement réussi à s’endormir après une longue insomnie» et pour ne pas réveiller son patient, le médecin a «quitté la pièce pour passer un appel». Le roi de la pop, soumis à un lourd traitement médical se serait donc simplement assoupi, pas de quoi affoler Conrad Murray.
A-t-il été trop distrait pour se rendre compte que Michael Jackson n’allait pas bien? Conrad Murray réplique très sûr de lui: «Aurais-je dû tourner en rond autour d’un homme qui arrivait enfin à s’endormir? Aurais-je dû lui toucher les pieds pour vérifier? Faire quoi que se soit qui l’aurait réveillé? Non».
Le 29 novembre prochain, Conrad Murray devrait être incarcéré et il risque jusqu’à quatre ans de prison. A moins que les jurés du procès qui l’oppose à la famille Jackson n’aient finalement pitié du docteur…
Comme prévu, Benjamin Castaldi et Vanessa Broussouloux se sont mariés. La cérémonie s’est déroulée dans la plus stricte intimité dans la charmante ville de Copenhague, au Danemark.
Nous vous l’annoncions en début de semaine, c’est bien Copenhague la ville du nord de l’Europe que Benjamin Castaldi et Vanessa Broussouloux ont choisi pour se dire oui. L’animateur a souhaité y emmener la sirène de son coeur afin de l’épouser. Selon Public, la cérémonie s’est déroulée jeudi dans la plus stricte intimité et a surtout été très rapide.
Pour permettre à l’événement de rester aussi discret que les mariés le souhaitaient, seulement une dizaine de personnes ont été conviées. Julien, Simon et Enzo, les trois enfants de Benjamin n’étaient pas du voyage, pas plus que son père, le comédien Jean-Pierre Castaldi. Il semblerait qu’une grosse fiesta avec les familles des époux et tous leurs amis soit prévue plus tard afin de célébrer comme il se doit ce mariage.
Le temps d’un week-end romantique dans la cité danoise, Benjamin Castaldi et Vanessa Broussouloux reviendront ensuite à Paris pour se replonger dans leurs activités professionnelles. Lui dans ses fonctions de producteur et d’animateur sur TF1, elle comme journaliste sur TPS Star. Dans les prochains mois, en attendant d’organiser la fameuse fête tant attendue, les jeunes époux vont peut-être pouvoir se pencher sur leur projet le plus important et le plus cher à leurs yeux: avoir un enfant ensemble.
Les manchots d’Happy Feet sont de retour dans des aventures trépidantes. Petits et grands y trouveront leur compte dans un film réjouissant qui réussit à faire passer quelques messages sans être trop moralisateur.
Vous avez aimé Happy Feet? Vous allez adorer sa suite. Les manchots nous reviennent plus en forme que jamais dans une belle histoire, divertissante et porteuse de nombreux messages.
Cette fois, la colonie des manchots empereurs se retrouve coincée dans une vallée encaissée entre des murs de glace infranchissables. Pour s’en sortir, ils vont devoir compter sur le courage de Mumble et de son fils Erik, et surtout sur la solidarité entre congénères. Une opération de sauvetage loin d’être évidente mais qui leur fera surmonter de nombreux dangers et au cours de laquelle ils rencontreront de nouveaux amis. Au casting des voix, on trouve dans la VF, Clovis Cornillac, Amel Bent, Anthony Kavanagh ou encore Max Boublil. En VO, les spectateurs reconnaîtront les voix de Brad Pitt, Matt Damon, Robin Williams, Elijah Wood, Pink, Sofia Vergara ou encore Hugo Weaving
La musique (surtout celle de Queen) et la danse sont omniprésentes dans le film. Pour rythmer les aventures mais aussi comme facteur d’entraide et de communion. Le monde serait un peu moins moche si les gens dansaient et chantaient un peu plus tous ensemble. Tel est l’un des messages véhiculé par Happy Feet 2. L’autre est celui de la solidarité et de l’adage l’union fait la force. Et que toutes les énergies, même les plus minuscules, si elles sont unies, peuvent permettre de renverser des montagnes (au sens propre).
Des poncifs ou des évidences mais qu’il n’est jamais inutile de rappeler ou tout simplement d’apprendre aux plus jeunes, la cible numéro 1 de ce long-métrage d’animation. Même les hommes ne sont pas vus ici comme des ennemis, décimeurs de pingouins. Bien au contraire… Happy Feet 2 est le spectacle idéal à voir en famille pendant les fêtes de Noël. Les enfants riront et les parents, en sortant, iront réécouter leurs vieux albums de Queen.
Depuis que le PSG a été racheté par des Qataris, le club est entré dans une nouvelle dimension. L’arrivée de David Beckham et le limogeage de l’entraîneur Antoine Kombouaré font couler beaucoup d’encre. Dernier à s’être exprimé, l’un des plus fervents supporters: Lorànt Deutsch.
Fidèle du PSG, Lorànt Deutsch est très attentif à l’évolution de son club de cœur. Dans un entretien accordé au quotidien Le Monde, l’acteur se lâche. « Je suis écoeuré par le PSG. Ils virent Kombouaré. On lâche le Parc. On casse les Kop. On a acheté Beckham. C’est plus Paris, c’est Disneyland ». Deustch qui connaît bien les arcanes du football professionnel et du PSG notamment grâce au film 3 Zéros où pour interpréter avec justesse le personnage de Tibor Kovacs, il avait passé un mois à s’entraîner avec le club de la capitale.
Depuis une semaine, les réactions se succèdent quant au fonctionnement de l’équipe de football parisienne. « Le PSG a inventé quelque chose de nouveau, à savoir limoger quelqu’un quand les résultats vont bien”, a déclaré Christophe Dugarry au micro d’Infosport. Pour Bernard Tapie, c’est »un risque énorme, incommensurable, qu’ils prennent”. La sphère politique y est aussi allée de ses commentaires en se polarisant sur l’arrivée de David Beckham. « Moi j’aime bien le foot, a commenté le député PS Manuel Vals. J’aime beaucoup ceux qui jouent sur le terrain et qui ont du talent. Ceux qui ne jouent plus, dont je ne suis pas sûr qu’ils aient eu un grand talent, qui deviennent des marques, avec ces sommes là, on est pas loin du scandale. Ce qui frappe c’est que nous sommes en train de perdre le PSG, il ne nous appartient plus et je crois que c’est un problème ». Pour la candidate écologiste Eva Joly: « C’est du business, ce n’est pas du sport. C’est nécessairement un investissement rentable, donc ce n’est pas le sport, en raison de son âge et de l’état de ses genoux. C’est parce qu’il va vendre des tee-shirts. Son salaire est choquant ». Le ministre de l’Industrie Eric Besson est plus nuancé: « Je comprends que le montant de son salaire puisse heurter et choquer » mais Beckham va payer globalement 50% d’impôts en France. Est-ce que c’est mieux qu’il les paie à Paris plutôt qu’à Londres? Moi, je préfère qu’il les paie à Paris. Attendons! Si ça se trouve, dans six ou huit mois, tout le monde sera d’accord pour dire que David Beckham a été pour le PSG, le football français et le fonds qatari qui en est propriétaire, un investissement rentable”. Actuellement en vacances avant de reprendre l’entraînement le 1er janvier, les joueurs du PSG peuvent s’attendre à une reprise sous le feu des projecteurs…
S’il existe des hommes qui n’aiment pas les femmes –à l’image de la saga suédoise Millenium-, il en existe d’autres qui les ont profondément aimées. Alors que François Truffaut, disparu le 6 février 1984 à l’âge de 52 ans aurait eu 80 ans aujourd’hui, revenons sur les temps forts de sa carrière, et sur l’héritage qu’il laisse encore aujourd’hui.
Même le géant américain Google célèbre François Truffaut. Alors que des doodles –soit les bannières du moteur de recherche- mettent à l’honneur sa carrière, on perçoit un peu mieux l’aura quasi sacrée qui entoure le cinéaste. Car François Truffaut est un chef de file, un précurseur et a donné au cinéma français cette impulsion qui résonne encore aujourd’hui chez nombre de réalisateurs. Enfant non désiré, partagé entre une mère peu aimante et un père volatilisé –Roland Truffaut, son beau-père, l’a reconnu et lui a donné son nom-, le jeune François trouvera refuge dans les salles obscures et la littérature de Balzac. Cette enfance difficile servira de tremplin à son premier long-métrage et son premier succès: Les Quatre Cent Coups en 1959, au récit largement autobiographique.
Passionné du 7e art, le jeune homme travaille en tant que critique pour les Cahiers du Cinéma, et souhaite ardemment insuffler un vent nouveau à cet univers qu’il aime tant, entouré de ses acolytes Claude Chabrol, Jacques Rivette, Eric Rohmer, Jacques Demy, Jean-Luc Godart. Conforté par sa rencontre avec l’écrivain et collectionneur Henri-Pierre Roché –dont il adaptera le roman Jules et Jim-, François Truffaut crée sa société de production, Les Films du Carrosse en 1957. Deux ans après, le jeune cinéaste rencontre un premier succès qui en annoncera de nombreux autres avec les Quatre Cent Coups, film qui ouvre la voie à la Nouvelle Vague du cinéma français.
Avec Mata Hari, agent H21 à Jules et Jim, sans oublier Farenheit 451, La Peau Douce, La Mariée était en noire, Baisers Volés, l’Homme qui aimait les femmes ou le Dernier métro (pour ne citer qu’eux), François Truffaut a réussi à transformer le cinéma français des années 1950 pour lui permettre d’atteindre le rayonnement international qu’on lui connaît encore aujourd’hui. Auteur de chefs-d’œuvre du cinéma hexagonal, séducteur invétéré, François Truffaut transforme ses longs-métrages en de véritables viviers d’actrices cultes en devenir, de Jeanne Moreau à Claude Jade, Jacqueline Bisset, Isabelle Adjani ou encore Brigitte Fossey, Fanny Ardant, sans oublier Catherine Deneuve.
Il succombe à une tumeur au cerveau à l’âge de 52 ans, et n’a pu constater son influence, que ce soit sur le cinéma, ou sur la mode, comme le montrait le dernier défilé Gala d’inspiration Nouvelle Vague en septembre 2011, voire le culte qu’on lui voue aujourd’hui. Avec son ton libre, son écriture sans concession, François Truffaut a fait glisser le cinéma français sur une nouvelle vague: celle de l’immuabilité.