Month: March 2020

C’est un début d’année chargé pour Karin Viard. À l’affiche du film Parlez-moi de vous avec Nicolas Duvauchelle, l’actrice sera aussi sur les planches du théâtre Marigny à partir du 25 janvier dans la pièce Lucide. Pour assurer la promotion de ces deux événements, la comédienne a accordé une interview vérité à Télérama.

Discrète, Karin Viard se fait très rare dans les médias et autres soirées mondaines. Chacune de ses interviews regorge donc d’informations sur cette actrice à la filmographie déjà bien complète (une cinquantaine de films avec les réalisateurs français les plus en vue : Etienne Chatiliez, , Cédric Klapisch, François Ozon, Maiwenn, Danièle Thompson).

Dans son entretien accordé à Télérama, Karin s’est notamment confiée sur ses premières années. « J’ai eu enfance très drôle parce que très triste, si je me souviens bien, raconte la comédienne. J’étais très bonne élève, adorée par les profs, mais pas du tout cadrée. Excessive. J’explosais, je sortais, je riais trop ! (…) Mes parents, avec qui j’ai vécu à Oran jusqu’à mes 4 ans, ont divorcé. Ils sont partis vivre ce qu’ils devaient. Ma soeur et moi, on s’est retrouvées chez mes grands-parents maternels. À Rouen ». Mariée depuis bientôt 20 ans et mère de deux enfants (Marguerite, 14 ans et Simone, 12 ans), Karine, a très vite su qu’elle voulait devenir comédienne. : « À 12 ans, j’étais sûre que j’allais être comédienne, je le devais, il le fallait, c’était ça ou mourir… Prête à tout, j’étais, pour ne pas mener la vie des autres. Et pour être autre chose que moi. » Après plus de 20 ans de carrière, celle qui était très convaincante en agent de police dans le dernier film de Maïwenn, Polisse, avoue avoir fait quelques erreurs. « Il y a quelques années, j’ai accepté des films, comment dire (…) pas vraiment mauvais, rien que passables, qui n’intéressaient personne. Des rôles principaux où je me suis trouvée mauvaise. Puis je me suis réveillée. (…) J’ai décidé de ne plus tourner qu’avec de bons cinéastes, même s’ils ne me proposaient que de petits rôles. » À bientôt 46 ans (elle les fêtera le 24 janvier), Karin a revu ses priorités !

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Nommée aux Oscars comme actrice dans un second rôle, Bérénice Béjo savoure cette première victoire et s’offre une nouvelle coupe.

La classe américaine. Bérénice Béjo peut enfin sortir de l’ombre de Jean Dujardin. Une nomination aux Oscars et une nouvelle couleur de cheveux font de l’actrice française la nouvelle coqueluche de l’Amérique.

Tout juste informée de son statut de concurrente dans la course à la petite statuette, Bérénice Béjo et l’équipe de The Artist ont reçu la presse dans un hôtel parisien. L’occasion de découvrir, encore une fois, les mines réjouies de Jean Dujardin, Michel Hazanavicius et Thomas Langmann et d’apprécier la crinière cuivrée de Miss Béjo.

La belle Argentine a mis un peu de bronze dans ses cheveux naturellement ébène. Un éclaircissement qui offre à l’actrice un visage plus tendre. Plus doux mais également plus mûr. Ironie de l’histoire, dans la catégorie meilleure actrice dans un second rôle, Bérénice Béjo est opposée à une adorable rousse, Jessica Chastain. Mais la french touch et les tâches de rousseur de la Française jouent peut-être en sa faveur.

Qu’elle reçoive ou pas l’Oscar, l’Amérique est déjà séduit par cette «charmante actrice française» comme l’appelle le magazine People. Qui adore aussi la simplicité de Bérénice Béjo: elle leur a confié vivre cette période «comme si c’était Noël». D’une part, «les critiques du monde entier» veulent lui parler et de l’autre, la jeune femme doit penser à acheter «des couches et du lait» pour sa toute petite fille.

Quant à Lucien, le fils aîné de trois et demi de Michel Hazanavicius et Bérénice Béjo, il pense que son papa passe son temps à dire «Action!» et que le travail de maman est de «courir». Un Oscar ou plusieurs à la maison lui permettront de mettre un peu d’animation au milieu de ses petits soldats!

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Après avoir soutenu son Jean Dujardin jusqu’à Hollywood, Alexandra Lamy continue de conquérir la France. L’actrice était rayonnante à Paris samedi soir pour présenter Possessions, le dernier film d’Eric Guidaro inspiré d’un tragique fait divers. La blonde pétillante signe ainsi son retour au cinéma dans un rôle principal après 3 ans d’absence.

Madame Dujardin oui, mais Alexandra Lamy avant tout! Même si ces derniers temps, elle se cantonnait plutôt au rôle de soutien du Frenchy à la mode depuis le succès aux Etats-Unis de The Artist, l’actrice mène toujours sa carrière d’une main de maître. Après une longue absence, Alexandra Lamy fera son retour dans les salles obscures dans Possessions, film présenté hier à Paris.

La star n’avait cette fois pas osé la robe sexy qu’elle portait à Los Angeles lors de la cérémonie des Golden Globes et pour cause… L’épouse de Jean Dujardin a plutôt bravé le froid avec simplicité et réchauffé l’atmosphère avec son sourire rayonnant.

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Avant d’assister à la projection du long-métrage, inspiré du quintuple meurtre des époux Flactif par David Hotyat dans un chalet du Grand-Bornand en avril 2003, l’actrice de 40 ans a pris la pause avec le réalisateur Eric Guirado et l’équipe du film. Julie Depardieu qui campe elle aussi l’un des rôles principaux n’était pas présente sur le tapis rouge.

Mais avant Possessions, Alexandra Lamy sera au cinéma dès le 29 février aux côtés de son Loulou dans Les Infidèles, dont les affiches mettant en scène Jean Dujardin et Gilles Lelouche dans des positions tendancieuses ont créé la polémique.

En plus de briller devant la caméra, Alexandra Lamy s’essaye à la réalisation. L’actrice révélée au public dans la série Un gars, une fille en 1999 préparerait son premier film avec comme acteur principal… Jean Dujardin! Etonnant, non?

Plus de cinq mois après ses débuts dans On n’est pas couché, Audrey Pulvar dresse un bilan de sa participation à l’émission et confie que Laurent Ruquier les « engueule régulièrement », elle et sa collègue Natacha Polony.

Au cœur de la tempête après le début de leur participation à On n’est pas couché, en septembre, où elles étaient souvent comparées à leurs prédécesseurs Eric Naulleau et Eric Zemmour, puis impliquées dans des clashs qui ont fait le buzz, notamment ceux avec Christophe Hondelatte et Stéphane Guillon, Audrey Pulvar et Natacha Polony ont aujourd’hui le recul nécessaire pour dresser un premier bilan.

Invitées mardi de C à vous, l’émission d’Alessandra Sublet, elles se sont confiées sur leurs rôles, les confrontations avec leurs invités et leur travail avec le boss, Laurent Ruquier. Audrey Pulvar a ainsi expliqué: «Il nous engueule régulièrement, parce qu’on fait des questions trop longues, qu’on veut absolument prendre la parole. Nous sommes toujours frustrées à la fin de ne pas avoir pu poser les questions prévues». Un sentiment partagé par Natacha Polony même si la journaliste tempère: «Et pourtant, on a la chance d’avoir un temps démesuré par rapport à d’autres journalistes politiques et cela ne nous suffit jamais».

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Du temps, elles vont en avoir jeudi lors de l’enregistrement de cette émission tant attendue au cours de laquelle Marine Le Pen sera l’invitée politique. Tout le monde sait que la présidente du FN est invitée par respect de l’équité politique, mais que personne ne souhaitait la recevoir. Pour le coup, Laurent Ruquier et ses chroniqueuses seront sur la même longueur d’onde. L’animateur sera peut-être même un peu plus vigilant que d’habitude à l’égard d’Audrey Pulvar qui, en raison de sa proximité avec Arnaud Montebourg, a été mise en garde par l’entourage de Marine Le Pen si elle allait trop loin dans ses questions.

Selon le New-York Post, Anne Sinclair et Dominique Strauss Khan sont redevables de plus de 12000 euros à la ville de Washington pour leur maison actuellement en vente dans la capitale américaine.

« L’obsédé français ne trompe pas seulement sa femme, il essaie de tromper aussi l’oncle Sam ». Le New-York Post ne s’est pas privé pour une nouvelle fois égratigner DSK. Le quotidien révèle que l’ancien patron du FMI et son épouse ne réglaient plus leurs impôts fonciers depuis début 2011 pour la somptueuse propriété qu’ils avait achetée en octobre 2007 sur Dumbarton Street, dans le quartier chic de Georgetown.

Selon les informations du Post, Dominique Strauss-Kahn et Anne Sinclair, la propriétaire de la maison, doivent s’acquitter de 18746,38 dollars, incluant les pénalités de retard. En vente (pour la somme de 5, 2 millions de dollars) depuis octobre dernier, cette demeure d’exception (située sur deux niveaux, elle se compose de trois salles de bains, de trois chambres, d’un jacuzzi et d’une piscine extérieure) n’a toujours pas trouvé preneur si bien que son prix a été revu à la baisse (elle vaut aujourd’hui 4,7 millions de dollars). Contacté par l’AFP, un porte-parole de Washington a indiqué que les fonctionnaires municipaux ne faisaient aucun commentaire sur les cas fiscaux individuels. Moins d’une semaine après sa garde à vue pour l’affaire du Carlton et après avoir été considéré persona non grata par les étudiants de l’université de Cambridge, DSK, qui aurait du jouer les premiers rôles dans l’élection présidentielle, continue de broyer du noir…

Demi Moore a certes traversé une période de crise après sa séparation d’avec Asthon Kutcher, mais elle privilégie aujourd’hui la voie de la beauté. Choisie par la marque américaine Helena Rubinstein pour être son égérie, la quadra n’a jamais «semblé» aussi lumineuse…

Serait-ce la magie de l’industrie cosmétique, ou tout simplement un secret de jouvence détenu par Demi Moore? Au vu des images diffusées par la griffe Helena Rubinstein, l’actrice de 49 ans peut faire pâlir d’envie les starlettes d’Hollywood. Tour à tour fatale, les cheveux tirés en arrière, regard vert perçant de rigueur, reine de Saba -la peau dorée que l’on devine derrière un voile-, ou ultraglamour -la bouche rouge laquée d’inspiration Dita Von Teese-, la mère de famille est méconnaissable. Et c’est bien le hic…

Car difficile pour qui ne sait pas que Lady Moore est la nouvelle égérie d’Helena Rubinstein de reconnaître au premier coup d’œil l’héroïne de Ghost. A presque cinquante ans, on se doute que même avec la meilleure volonté du monde, les régimes d’ascètes macrobiotiques ou les nouvelles plantes inconnues qui régénèrent les cellules de l’intérieur et nous font gagner quinze ans en une nuit, Demi Moore ne peut décemment pas ressembler à une jeune première au visage ultralisse.

La brune, qui n’essuie pas ici son premier scandale au photoshop –on se souvient de la polémique autour de cette couverture shootée dans une robe Balmain dont le corps avait tout simplement été « emprunté » à un mannequin!- semble avoir du mal à sortir de cette spirale infernale. Bien qu’elle soit sortie de rehab, et après avoir été rejetée par ses filles, Demi n’est que l’ombre d’elle-même et regrette encore sa véritable cure de jouvence: Ashton Kutcher, de quinze ans son cadet…

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Séparés depuis juillet dernier, Jennifer Lopez et Marc Anthony sont sur le point de divorcer officiellement. Le chanteur vient de remplir les papiers et de les déposer au tribunal de Los Angeles.

La procédure officielle est donc lancée. Le divorce entre Jennifer Lopez et Marc Anthony est inéluctable, seule sa date reste indéterminée, tout comme les modalités précises que les deux anciens époux devront suivre. TMZ révèle en effet que Marc Anthony vient de remplir les papiers du divorce et de les déposer dans la foulée au tribunal de Los Angeles qui sera chargé de statuer.

Jennifer Lopez et le chanteur de 42 ans ont annoncé leur séparation en juillet dernier après sept ans de mariage, «une décision très difficile à prendre» avaient-ils alors déclaré à People tout en précisant «Nous sommes parvenus à un accord à l’amiable» malgré des «différends irréconciliables». Les deux ex demandent la garde conjointe légale et physique de leurs enfants, les jumeaux Max et Emme aujourd’hui âgés de 4 ans. En revanche, Marc Anthony refuse de verser une pension alimentaire à Jennifer Lopez, ce qui serait quand même un comble au regard de ce que gagne JLo.

Malgré leur séparation, les deux stars restent très proches. Pour leurs enfants bien évidemment, mais aussi professionnellement puisqu’ils sont producteurs et jurés de Q Viva, une émission de télé-crochet de musique et de danse latine. Chacun a refait sa vie depuis. Jennifer Lopez avec l’un de ses danseurs, Capser Smart, qui évolue d’ailleurs avec elle sur la vidéo torride du dernier titre de la bomba latina Dance again, Marc Anthony avec une certaine Shannon de Lima, un top model vénézuélien de 24 ans.

Le coiffeur britannique Vidal Sassoon est décédé mercredi à l’âge de 84 ans. De nombreuses têtes de stars sont passées entre les mains de ce précurseur que certains considèrent comme le père de la coiffure moderne.

En 2012 cela n’a l’air de rien, mais lorsque Vidal Sassoon a sorti de ses coups de ciseaux et de peigne la première coupe au carré dans les années 60, l’histoire de la coiffure a quitté le monde de la permanente et du brushing pour basculer dans une nouvelle ère, moderne et révolutionnaire. Ce créateur visionnaire vient de s’éteindre à l’âge de 84 ans, dans sa maison située dans le quartier de Bel Air, à Los Angeles.

Né à Londres, Vidal Sassoon a d’abord vécu sept ans dans un orphelinat juif. A 14 ans, il quitte l’école et fait ses premiers petits boulots, notamment shampouineur dans un petit salon de coiffure anglais. Il s’engage en 1948 dans le conflit qui permettra la création de l’état d’Israël. A son retour, il ouvre son premier salon, à Londres. Sa carrière décolle dans les années 60 avec la création de cette fameuse coupe au carré. Il commence alors à coiffer des stars et compte parmi ses clientes Mia Farrow, Glenda Jakcson puis Catherine Deneuve. Avec la célèbre Mary Quant, couturière à qui l’on doit la création de la mini-jupe, Vidal Sassoon révolutionne la mode.

Malgré les critiques qui lui reprochent précisément sa nouvelle manière de couper les cheveux, le coiffeur tient bon et reste fidèle à sa ligne de conduite rappelée au Times: «Je me suis toujours promis de ne jamais crêper ou laquer des cheveux jusqu’à ma mort». Il s’est ensuite installé aux Etats-Unis dans les années 80, a multiplié les filiales et créé une gamme de produits capillaires.

Vidal Sassoon laisse derrière lui sa quatrième épouse Rhonda et quatre enfants de ses précédents mariages.

Ce dimanche, au festival rock “We love green”, le groupe folk français Herman Dune interprètera la bande originale de “Mariage à Mendoza”, un premier long métrage qui sortira l’an prochain.

Il n’est pas si fréquent qu’un groupe joue une BO de film lors d’un de leurs concerts. Encore moins lorsque le film n’est pas encore sorti ! C’est pourtant ce qui va se produire dimanche lors du festival rock “We love green”, au Parc de Bagatelle. Invité de la manifestation (tout comme James Blake, Camille, Beirut, Electric Guest ou encore Django Django), le groupe folk français Herman Dune interprètera en effet la bande originale du film Mariage à Mendoza, qui devrait sortir au premier semestre 2013. Ce premier long métrage d’Edouard Deluc raconte la virée de deux frères (Nicolas Duvauchelle et Philippe Rebbot) partis en Argentine à l’occasion du mariage de leur cousin (Benjamin Biolay). Faut-il s’attendre à des sonorités sud-américaines dans la partition composée par Herman Dune ? Réponse ce dimanche…

Toutes les infos sur We love green

Les membres de Herman Dune sont-ils aussi fans de séries ? L’an dernier, ils ont en tout cas demandé à Jon Hamm, le héros de Mad Men, de jouer dans le clip de leur single Tell me something I don’t know.

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36 ans après sa mère Anne qui avait participé aux épreuves de concours complet aux JO de Montréal en 1976, Zara Phillips a été sélectionnée dans l’équipe de Grande-Bretagne pour la même épreuve aux JO de Londres.

La fédération britannique d’équitation a confirmé la nouvelle lundi soir. La petite fille de la reine Elizabeth, Zara Phillips, va participer à ses premiers jeux olympiques dans le parc de Greenwich.

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Après avoir joué de malchance lors des dernières olympiades (à Athènes en 2004 et Pékin en 2008, Zara avait du renoncer en raison d’une blessure de son cheval de l’époque, Toytown), cette cavalière émérite a conjuré le mauvais sort en obtenant une troisième place avec ses quatre partenaires (William Fox-Pitt, Kristina Cook, Mary King et Georgina French) dans la dernière épreuve qualificative pour Londres, les Equi-Trek Bramham International Horse Trials. « C’est génial », s’est enthousiasmée l’aînée des petites-filles de la reine Elisabeth II devant la presse. « Cette fois, j’espère qu’on va y arriver ». Désignée personnalité sportive de l’année 2006 par la BBC (après ses titres de championne du monde et vice-championne du monde par équipes à Aix-la-Chapelle en 2006), Zara tentera de faire aussi bien que ses parents qui avaient aussi brillé dans la discipline en leur temps. Sa mère Anne avait participé aux épreuves de concours complet des JO de Montréal en 1976 alors que son père, le capitaine Mark Phillips, avait été sacré champion olympique par équipes en 1972 à Munich puis vice-champion olympique à Séoul seize ans plus tard. Preuve que chez les Windsor, on est aussi à cheval sur le succès.