Cet été, la star des rings était sur les planches de cabarets américains pour présenter son premier one-man-show sous la direction de Spike Lee. L’expérience lui a visiblement beaucoup plu puisque le colosse a pour projet de jouer dans des comédies musicales.
« Je veux chanter et danser dans des comédies musicales ».
Mike Tyson a surpris son monde lors d’une conférence de presse à Hong-Kong. Le plus jeune champion du monde des poids lourds de l’histoire de la boxe (en 1986, il avait 20 ans), veut se débarrasser de son image de bad boy sur laquelle il surfait encore il y a peu dans la superproduction Very Bad Trip. « Je n’ai plus envie d’être ce type, a-t-il lancé. J’étais toujours le mauvais garçon qui voulait être un bon garçon, mais je ne savais pas comment m’y prendre ». L’ancien plus farouche adversaire d’Evander Holyfield (il lui avait arraché une oreille) a aussi profité de son passage à Hong-Kong pour rendre hommage à la célébrité locale: Bruce Lee. « La philosophie de Bruce est vraiment à part, a souligné Mike, 46 ans. Il est génial. C’était un combattant de la rue qui devait se battre jusqu’à la mort, je n’aurais pas combattu contre lui ». Redoutable sur les rings (58 victoires, dont 44 par KO), celui qui est surnommé Kid Dynamite ou Iron Mike espère à présent être la nouvelle sensation de Broadway!
Lona est sortie de l’hôpital psychiatrique où elle a été admise il y a quelques jours et donne des nouvelles rassurantes. Elle revient également sur cette soirée de cauchemar en septembre au cours de laquelle trois hommes ont profité d’elle.
«Je vais beaucoup mieux… J’ai profité de mon séjour à Saint-Anne pour me reposer et, aujourd’hui, ça va…». C’est par ces mots que Loana tente de donner des nouvelles rassurantes dans un entretien accordé à Oops! L’ex-lofteuse avait pris la décision d’entrer en hôpital psychiatrique début octobre suite à de nouveaux déboires qui avaient eu raison de son moral déjà bien bas.
Loana raconte aussi cette soirée de septembre à l’issue de laquelle elle a été retrouvée dans son appartement du XVIe arrondissement de Paris dans un état d’ébriété très avancé en compagnie de trois hommes qualifiés de malfrats et de squatteurs. «J’ai rencontré trois hommes dans un café. L’un d’eux s’est présenté comme l’ami d’un de mes ex, et je ne me suis pas méfiée. On est sortis en boîte, où nous avons pas mal bu. Quand on est rentrés chez moi, ils ont continué à me faire boire» confie-t-elle. Loana ajoute qu’elle ne se souvient pas bien des faits: «C’est le trou noir complet! On m’a expliqué qu’ils m’avaient fait tout payer en boîte -notamment une bouteille à 400 euros- et que pendant trois jours chez moi, ils m’avaient fait boire et fumer de la marijuana… Ils ont également utilisé ma carte bleue pour retirer de l’argent». Elle hésite à porter plainte par peur de représailles. Ellecraint «qu’ils reviennent» et a décidé de sortir désormais accompagnée d’un garde du corps.
Ses problèmes d’alcool continuent donc de poursuivre Loana même si elle affirme: «Je suis décidée à m’en sortir». La voix de la rédemption passe pour elle par la télévision, là où elle a été découverte il y a 11 ans et «le seul domaine où (elle) se sent bien».
Comme chaque année ce sont les jeunes comédiennes et comédiens qui ouvrent le bal des César. La liste des 32 pré-nommés est tombée en début de semaine. Coup d’œil sur cette sélection rafraîchissante.
Qui sera la nouvelle Leïla Bekthi ou le prochain Edgar Ramirez? Réponse en février prochain lors de la 38ème cérémonie des César. En attendant, l’Académie nous met l’eau à la bouche en révélant la liste de ses trente-deux pré-sélectionnés dans les catégories meilleur espoir féminin et masculin.
Chez les filles, seize prétendantes au titre qui méritent toutes leur place dans cette sélection. Dans l’ordre alphabétique on retrouve: Laurence Arné dans Bowling, Alice Belaïdi dans Les Kaïras, Agathe Bonitzer dans Une bouteille à la mer, Lola Créton dans Après mai, Alice de Lencquesaing dans Au galop, Lola Dewaere dans Mince alors!, Arta Dobroshi dans Trois mondes, Julia Faure dans Camille Redouble, India Hair dans Camille Redouble, Izia Higelin dans Mauvaise Fille, Sarah Le Picard dans Alyah, Sofiia Manousha dans Le noir (te) vous va si bien, Noémie Merlant dans L’orpheline avec en plus un bras en moins, Alice Pol dans Un plan parfait, Clara Ponsot dans Bye Bye Blondie, Camille Rutherford dans Low Life.
Dans cette liste, on note la présence d’Izia Higelin surtout connue pour ses poussées rock’n’roll sur scène plus que pour ses talents de comédienne. Pourtant, dans Mauvaise fille adapté du roman de Justine Levy, la fille de Jacques Higelin et soeur d’Arthur H est bluffante. Une prestation qui pourrait bien l’emmener des scènes de concert à celle du théâtre du Châtelet.
Égalité parfaite dans le nombre de nommés masculins, et là encore de grands talents en devenir. Les seize chanceux sont: Ben dans Superstar, Emile Berling dans Comme un homme, Jonathan Cohen dans Un plan parfait, Mehdi Dehbi dans Le fils de l’Autre, Vincent Lacoste dans Astérix et Obélix au service de sa Majesté, Benjamin Lavernhe dans Radiostars, Côme Levin dans Radiostars, Clément Metayer dans Après mai, Félix Moati dans Télé Gaucho, Grégory Montel dans L’air de rien, Kacey Mottet Klein dans L’enfant d’en haut, Pierre Niney dans Comme des frères, Matthias Schoenaerts dans De rouille et d’os, Mahmoud Shalaby dans Une bouteille à la mer, Stéphane Soo Mongo dans Rengaine, Ernst Umhauer dans Dans la maison.
Parmi les favoris se détachent deux noms: Pierre Niney, 23 ans et déjà pensionnaire de la Comédie-Française qui s’est fait remarquer pour son rôle dans J’aime regarder les filles et plus récemment auprès de François-Xavier Demaison et Nicolas Duvauchelle dans Comme des frères. Matthias Schoenaerts qui partage l’affiche avec Marion Cotillard dans De rouille et d’os est l’un des chouchous de la critique, mais pourrait bien être nommé également dans la catégorie César du meilleur acteur…
Découvrez une photo de tournage de “Horns”, thriller surnaturel d’Alexandre Aja pour lequel Daniel Radcliffe apparaît avec des cornes sur la tête…
Le tournage de Horns, nouveau film d’épouvante d’Alexandre Aja adapté d’un roman de Joe Hill, a débuté il y a quelques semaines. Pour preuve, ce premier visuel dévoilé par Entertainment Weekly et où Daniel Radcliffe apparaît avec des cornes sur la tête. Cette métamorphose serait liée à la mort de la petite amie de notre jeune héros, décès survenu un an auparavant…
Tout sur le film…
(Photo Credit: Doane Gregory / Red Granite Pictures)
La comédienne américaine doit rapidement trouver un moyen d’éponger ses dettes. Le Scores Strip Club, à New York, lui a proposé un job. Devra-t-elle se déshabiller?
100 000 euros, c’est la somme que doit -encore- Lindsay Lohan au fisc américain qui a bloqué ses comptes bancaires en attendant qu’elle rembourse sa dette. Sauf que sans accès à son compte, et sans argent, LiLo ne peut pas régler la facture qu’elle doit à une société de stockage. Si rien n’est fait avant Noël, l’actrice sera obligé de mettre aux enchères le contenu de son box. La belle dit y avoir entreposé des vêtements de designer et des objets personnels.
Le site TMZ rapporte que l’entourage de la star ne serait pas prêt à l’aider. Lindsay Lohan se retrouve donc seule sur ce coup-là. Pour s’en sortir, acceptera-t-elle la proposition du club new-yorkais?
En tout cas, l’offre est alléchante car Lindsay Lohan n’aura même pas besoin de se déshabiller. Selon US Weekly, le Scores Strip Club lui propose de devenir hôtesse de leur site de chat en ligne. En échange, son employeur l’aidera à rembourser sa dette et à payer les traites de sa maison à Beverly Hills. Alors LiLo?
L’Afrique du Sud se réveille sous le choc. Son champion, le sprinteur Oscar Pistorius a commis l’irréparable auprès de sa petite amie. Des coups de feu mortel a mis fin aux jours de la jeune fille.
D’une confusion peut naître un drame. Oscar Pistorius vient de connaître cette terrible dérive. Le sportif aux jambes d’acier, surnommé the Blade Runner est l’auteur d’un coup de feu mortel dont il risque bien de se jamais se remettre.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, aux alentours de 4 heures du matin, le héros sud-africain a été réveillé par des bruits autour de sa maison de Silver Lakes à Pretoria. Ne sachant quel intrus venait perturber son sommeil, Oscar Pistorius a préféré s’armer afin de ne rien risquer. Finalement convaincu qu’il s’agissait d’un cambrioleur, le champion a décidé de tirer. Selon le site d’information Die Beeld, l’un des coups mortels s’est directement logé dans le crâne de sa petite amie, le mannequin Reeva Steenkamp.
Oscar Pistorius a abattu sa petite amie de plusieurs coups de feu. L’un à la tête et l’autre bras. La jeune fille est morte sur place seulement quelques instant après l’incident.
Le médaillé d’or paralympique a immédiatement été arrêté par la police de Pretoria. Le capitaine Sarah Mcira a annoncé qu’Oscar Pistorius comparaîtrait devant le tribunal d’instance de local dès aujourd’hui.
Déjà maman de jumeux, Max et Emme, Jennifer Lopez aimerait leur donner des petits frères et sœurs. La bomba latina vient en effet de déclarer qu’elle souhaitait avoir des enfants avec Casper Smart, le danseur avec lequel elle est en couple depuis plus d’un an.
Depuis qu’elle sort avec Casper Smart, un danseur qu’elle a rencontré en travaillant pour l’un de ses chorégraphies, Jennifer Lopez a entendu toutes sortes de critiques sur sa relation. La cougar s’offre du bon temps avec son toy boy, dix-huit ans plus jeune qu’elle, le garçon la manipule, rien n’est sérieux entre eux… voilà le genre de réflexions qui accompagnaient chacune de leurs sorties. Il semble pourtant qu’entre J-Lo et Casper Smart, l’histoire soit plus sérieuse que ce que tout le monde pensait.
Au point de vouloir fonder une famille, comme l’a affirmé la bomba latina à l’émission Entertainment Tonight. «Je ne sais pas si cela est écrit mais, bien sûr, j’aimerais d’autres enfants, ce serait une bénédiction absolue» a déclaré Jennifer Lopez. A 43 ans, l’horloge biologique tourne chez la chanteuse. Déjà maman de jumeaux, Max et Emme aujourd’hui âgés de 5 ans, qu’elle a eu avec Marc Anthony, elle souhaite donc agrandir sa famille et donner des petits frères ou des petites sœurs à ses bambins.
D’autant qu’elle s’est rendue compte qu’avoir des enfants n’était pas un obstacle pour sa carrière et que cette travailleuse acharnée pouvait continuer à concilier vie de famille et vie professionnelle, continuer à sortir des disques, faire des tournées, jouer au cinéma, comme récemment dans Parker, face à Jason Statham. J-Lo a ainsi expliqué à propos de Max et Emme: «Ils m’ont accompagnée sur ma dernière tournée et ils ont été formidables».
Donc plutôt que d’officialiser sa relation avec Casper Smart avec un mariage, Jennifer Lopez, qui a quand même déjà divorcé trois fois, préfèrerait lui prouver son amour de la plus belle des manières qui soit. En lui faisant des enfants.
En couple avec David Furnish depuis vingt ans, Elton John s’apprête à dire oui à l’homme de sa vie. En mai prochain ils devraient être unis par les liens du mariage.
À Hollywood les relations longues sont rares et enviables. Après une série de divorces et de séparations fracassantes, Elton John vient enfin nous annoncer une bonne nouvelle.
Invité sur le plateau du célèbre Jimmy Kimmel, le chanteur a confirmé son désir d’union. Elton John donne même quelques détails de ce qui sera surement l’un des plus beau jour de sa vie. L’interprète de Canddle in the wind et son compagnon souhaitent attendre «que la loi (qui autorise le mariage dans un couples homosexuel) soit appliquée en Angleterre» pour se dire oui. En mai 2014, Elton et David seront donc mari et mari.
Pour la star, l’arrivée de cette loi revêt une importance toute particulière. «Si la loi nous permet de nous marier, alors, en tant que couples gay célèbre, nous allons le faire» affirme Elton John. Il prend même ce projet d’union comme un «devoir». Avant d’assumer pleinement son homosexualité, il fut marié à une femme. Quatre années de mensonge avant que le chanteur ne se décidé finalement à accepter son attirance pour les garçons. Avec David, Elton John est devenu l’homme qu’il a toujours été.
En 2005 déjà, les parents de deux enfants sont devenus des «Civils Partership» comme l’autorise déjà la Grande-Bretagne. Une union célébrée le jour même de l’officialisation de cette loi. Côté symbole, Elton John et son compagnon avaient choisi la même salle où le prince Charles et Camilla se sont dit oui. Victoria Beckham, Claudia Schiffer, George Michael, Ringo Starr et tant d’autres personnalités furent conviées à cette union restée dans l’Histoire.
Avec Zachary et Elijah (qui ont pour marraine Lady Gaga), il ne manque plus qu’à Elton et David la joie d’être unis par les liens d’un vrai mariage.
The referendum next Sunday will decide the direction Greeks want their country to go | EPA
Greece defaults
After five years of negotiations and arguments and chaos, the clock finally strikes midnight for Greece.
Greece’s five-year struggle to avoid default and preserve its membership in Europe’s single currency ended in shambles at the stroke of midnight, as the country missed a key payment to the International Monetary Fund.
The default caps months of harried talks with creditors to redefine the parameters of a rescue that Athens argued had placed unbearable strain on a populace in the throes of an economic depression.
The often vicious debate between the upstart leftist government in Athens and the EU establishment has resonated far beyond Greece, raising uncomfortable questions for the continent’s leadership over their commitment to Europe’s core principles of social cohesion and solidarity. Those debates are likely to intensify, as the EU confronts the UK’s desire to renegotiate the terms of its membership and struggles to find common ground on other fundamental questions from security to migration.
Whoever is to blame for the collapse of the Greek talks — a creditor group that includes the IMF and other eurozone governments — or Greece itself, the default marks the undisputed failure of the country’s €245 billion rescue, the largest the world has ever seen.
Greece is now firmly on a path to leave the eurozone, and possibly the European Union. While markets have so far weathered the immediate fallout, a Greek exit from the euro would show that membership is not irreversible, a reality that will have long-term implications for the currency’s stability.
Among those tainted by the failure is Europe’s most powerful leader, Angela Merkel. The German chancellor was one of the rescue’s key architects and its collapse raises doubts about her legacy. More immediately, she will have to explain to German voters why the tens of billions of euros they pledged to the bailout have evaporated.
IMF Managing Director Christine Lagarde issued an official notice of default just after midnight in a notice to the fund’s executive board. IMF Director of Communications Gerry Rice said in a statement that the “IMF received a request today from the Greek authorities for an extension of Greece’s repayment obligation that fell due today, which will go to the IMF’s executive board in due course.”
For Greeks, the immediate impact of the default might be limited, but the near-term consequences will be profound. The government was forced over the weekend to curb access to bank deposits, pending a Sunday referendum that many see as a vote on trying to remain in the euro. There was some doubt late Tuesday over whether the referendum would even be held. The ostensible purpose was to endorse a deal no longer on the table and even members of Prime Minister Alexis Tsipras’ Syriza movement, including his deputy prime minister, questioned the point of holding the vote.
If it is held, a ‘no’ vote would all but bury Greeks hopes to remain in the currency because the rest of the eurozone would view it as a rejection of the principles that govern membership.
Even if Greeks vote ‘yes,’ the default could make it difficult for them to stay. In addition to the default, Greece also lost any hope of tapping further funds from its bailout at midnight. That means that the government will have to negotiate a new bailout in the coming weeks to pay off other debts coming due.
Without fresh aid and a stabilization of Greece’s banking system, the government will also have difficulty paying pensions and government salaries in the coming weeks. Without access to cash, it may have to resort to issuing IOUs or begin printing its own currency.
Unless Greece can secure new funds in the coming weeks, the ECB will have no choice but to cut off its liquidity support for the banks, which would trigger their collapse. The ECB has already limited its support for the banks, a decision that forced Athens to close banks until next week to forestall a run on deposits.
As Greece approached the point of no return on Tuesday, Europe’s leaders engaged in a flurry of last-minute diplomacy.
In one of the most dramatic days in Greece’s seemingly endless struggle to overcome its debt crisis, leaders in Athens and Brussels retreated from the recriminations of recent days to exchange blueprints to break the impasse.
But in the end, their proposed remedies remained far apart, raising questions about whether the frantic wrangling was more about assigning blame for the failure than finding compromise.
The day started with a fresh proposal from European Commission President Jean-Claude Juncker, delivered to Athens late Monday.
The final-hour scramble put the chaos of Europe’s quixotic five-year rescue mission for Greece into sharp relief. After months of rollercoaster talks that failed to result in an agreement or a way forward, Juncker was attempting what he repeatedly said was impossible — to pull a rabbit out of a hat.
Juncker called Tsipras last Monday, saying that for a deal to happen before the deadline, the Greek government would have to move to accept the Commission’s proposal by midnight Monday. “This move was never made,” Juncker’s spokesman said on Tuesday.
Greek leaders, hunkered in Tsipras’ office, responded Tuesday afternoon with a long-shot request of their own, demanding debt relief and a new, two-year loan program.
What Tsipras asked for would amount to a third bailout, giving it enough money to make debt repayments through 2017. It owes creditors about €30 billion during that period. The country has already received two bailouts totaling more than €240 billion.
But in Berlin, Europe’s key power center, Merkel and her coterie had already written Greece off. As far as Germany’s leaders were concerned, Greece had sealed its face in the early hours of Saturday by calling the referendum. If that weren’t bad enough, Tsipras also pledged to campaign against a deal.
German Finance Minister Wolfgang Schäuble, who for weeks had argued that the Greek government couldn’t be trusted, vented his anger over the referendum in a letter to parliament on Monday.
“The Greek government’s latest maneuver was obviously aimed at getting more time and, in that meantime, taking further financing without having to trade any reforms,” he wrote.
The eurozone’s “financial solidarity has enabled Greece to maintain levels of wealth and power that they haven’t earned to a certain extent,” Schäuble’s letter continued. “The current Greek government has sadly wasted its chance to use additional time…to develop alternative proposals to what was already arranged before.”
Merkel told members of her parliamentary group on Tuesday that she wouldn’t entertain any new offers from Greece until after the referendum.
She wasn’t alone.
After months of tumultuous negotiations, Greece’s eurozone partners had had enough. By the time eurozone finance ministers held a call at 7 p.m. Brussels time to discuss the offer, their decision was clear. A formal rejection of Tsipras’ last-ditch salvo was a formality.
Dutch Finance Minister Jeroen Dijsselbloem, who chairs meetings of the eurozone’s finance ministers, offered a withering appraisal of Tsipras’ offer on CNN.
“The political circumstances and political stunts of the Greek government don’t seem to have changed,” he said. “The practical circumstance is that the old program expires” at midnight.
EU Trade Commissioner Cecilia Malmström. Photo by EPA.
European Parliament backs key TTIP compromise
Critics of a disputed investor court causes a delay in Parliament’s TTIP blessing.
After months of fighting, the European Parliament voted to back a compromise on the most controversial piece in Europe’s evolving free trade pact with the U.S., while also giving its blessing to the future of the talks.
The Parliament on Wednesday voted, 447-229, to green-light a proposal to revamp a disputed investor court, which would be part of the Transatlantic Trade and Investment Partnership, the giant trade deal still being negotiated.
A broader resolution on the trade pact also passed with 436 in favor and 241 against.
Parliament approval is not essential at this stage, but it is considered vital later, since it will eventually have to give final approval to the trade pact.
A key issue in the talks are arbitration courts common in some trade deals that allow foreign investors to sue national governments over losses, referred to as the Investor State Dispute Settlement provision.
Left-leaning critics have blasted the panels as a sop to corporations, and opposition from many MEPs led Parliament President Martin Schulz to pull a vote on the deal last month.
“The reasonable option has finally prevailed,” Daniel Caspary, a member of the European People’s Party and one of the rapporteurs, said in an interview. “I am happy that we have found a broad consensus.”
Several members of the Progressive Alliance of Socialists and Democrats, the second largest political group in the assembly, said they had voted against the text, including Belgian MEP Maria Arena.
“Despite all the amendments submitted to reinforce it, the resolution goes only half way because it doesn’t give any guarantee to the citizens and it sends a blurred message to the Commission,” she said.
The text approved proposes to “replace the ISDS system with a new system for resolving disputes between investors and states.”
The clause was promoted to get the possible largest consensus within S&D, since it explicitly rejects the older version of the scheme, as requested by hardliners, while keeping the door open to an international trade court.
It is similar to the one adopted by the Parliament’s International Trade Committee in May, moving towards the idea of an international tribunal as envisaged by the French and German governments. The idea is broadly in line with one pitched by EU Trade Commissioner Cecilia Malmström.
“What today’s vote signals is that the old system of investor-state dispute settlement should not and cannot be reproduced in TTIP — Parliament’s call today for a “new system” must be heard, and it will be,” said Malmström.
Efforts to reach a compromise were stalled in recent weeks because members of the assembly’s two largest political blocs, the S&D and the European People’s Party, struggled to keep together a fragile deal.
On Wednesday, Schulz paid tribute to a vote which he said “gives a much-needed renewed impetus to transatlantic negotiations.”
The next round of negotiations over TTIP is scheduled for July 13-17 in Brussels.