A leading member of the European Parliament is calling for a full review of the EU’s counter-terrorism policy, to assess whether the measures introduced have been worth the cost – in money and in the loss of civil liberties.

Sophie in ’t Veld, a Dutch Liberal MEP, and a vice-chair of the Parliament’s civil liberties, justice and home affairs committee, is drafting a report urges “an in-depth and complete evaluation” of the counter-terrorism measures by a panel of independent experts.

According to in ’t Veld, the recommendation has wide support from members of the committee, who will discuss her draft during its meetings on 16-17 March.

In ’t Veld told European Voice that there was a “lack of coherence and a clear objective” in measures adopted since the terrorist attacks in the US in 2001, and in Spain and the UK in 2004 and 2005. She said her aim was “more efficient and effective policymaking” and more accountable EU’s anti-terror measures.

Justifying spending

MEPs have complained for years that the measures proposed by the Commission and adopted by member states lacked proper accountability and infringed civil liberties, notably on privacy and data protection. Claude Moraes, a UK centre-left MEP, said that the EU’s anti-terror policies had to face “much more justification” for the money spent on security measures. “We cannot be driven by fear anymore. What we want is effectiveness,” he said.

In ’t Veld said that the EU had to scrutinise the “costs and benefits” of the policies on a regular basis, as the European Court of Auditors does with other policy areas. “We do this with every policy area, so why not with counter-terrorism policies?” she asked.

Her draft report suggests a review panel should provide a “clear analysis”, exposing whether the policies resulted in improved security. The panel should also evaluate trends in terrorist activity and list the arrests and convictions and the attacks that were prevented. In ’t Veld argues that the panel should include not only EU counter-terrorism officials, but also independent security experts, human rights advocates and representatives from business groups.

Her draft also calls for the European Commission to draw up an exhaustive list of all counter-terrorism measures in the EU and to produce “before July 2011” a full report on all EU funds used for counter-terrorism measures.

The Dutch MEP hopes to have the report endorsed by the full Parliament by July.

Click Here: pinko shop cheap

The Eastern European country is the last on the continent not to have called a halt to sporting events amid the Covid-19 pandemic

Former Arsenal and Barcelona star Alexander Hleb has tried to make light of the chaotic coronavirus situation in Belarus, suggesting Lionel Messi and Cristiano Ronaldo might make a move for more playing time as the country’s president refuses to call off football.

Indeed, while the majority of governments around the world have called a halt to their sports in an effort to contain the spread of the deadly Covid-19 pandemic, the Belarusian top tier went ahead as planned on Thursday, with Energetyk-BGU taking on BATE Borisov in a half-full stadium.

Hleb himself understands the severity of the otherwise worldwide state of emergency and has kept his family well isolated, and at first could only joke about the highly questionable decisions being made by controversial president Alexander Lukashenko.

En 2017 et pour la première fois, un haut dignitaire africain est reconnu coupable en France de blanchiment, de détournement de fonds publics et de corruption. Le fils du chef de l’Etat guinéen Téodorin Obiang Nguema est notamment condamné à trois ans de prison avec sursis. Le tribunal correctionnel de Paris ordonne également la confiscation de son patrimoine estimé à plus de 150 millions d’euros. La défense a fait appel.Si la décision est confirmée, rien ne garantit que l’argent détourné soit rendu au pays et aux populations spoliées, comme le souligne Transparency International qui est à l’origine de la plainte. Selon le droit français, les avoirs confisqués en France reviennent à l’Etat français.Ces biens appartiennent à des populations auxquelles ils doivent être rendusAmélie de Montchalin, secrétaire d’Etat aux Affaires européennes devant le SénatUne nouvelle loiSi la France reconnaît explicitement que les avoirs appartiennent à la Guinée équatoriale, il est impossible de restituer l’argent à un pouvoir condamné pour détournement de fonds. Malgré ce casse-tête, les choses avancent. Le Sénat a adopté une proposition de loi, présentée par le sénateur Jean-Pierre Sueur, en vue de la restitution des sommes issues de la corruption transnationale dans un cadre bien défini en impliquant notamment la société civile et des organismes indépendants. Le projet est largement inspiré par l’association Transparency International, qui a initié l’affaire des “Biens mal acquis”.Des milliards de dollars détournés Dans la foulée, le gouvernement français lance de son côté une mission parlementaire sur le retour des fonds saisis et s’engage à mettre en place un dispositif législatif spécifique d’ici à la fin de l’année 2019. Les pays en développement perdent chaque année entre 20 et 40 milliards de dollars du fait de détournements de fonds publics et autres faits de corruption, selon Transparency International qui cite la Banque mondiale.Click Here: Cheap France Rugby Jersey

Une nouvelle maladie touchant les dromadaires du désert algérien a été détectée en 2018 : les Touaregs et autres nomades du désert pourraient-ils un jour se voir privés de leur animal fétiche qui leur sert à la fois de moyen de déplacement, de transport de marchandises et de source de nourriture ?La maladie en question a déjà sévi en Europe, et plus particulièrement au Royaume-Uni dans les années 1985-2010. Il s’agit de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), une maladie à prion plus connue sous le nom de “maladie de la vache folle”. Une autre maladie à prion a aussi été détectée récemment chez les cervidés dans les pays scandinaves depuis avril 2016. À lire aussi : La saga du prion : après la vache folle, les élans et les rennes fous ?

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Ils ne le savent pas, mais ils sont sous étroite surveillance. L’Œil du 20 heures a découvert que des centaines de scientifiques, politiques et journalistes ont été secrètement fichés par des agences de communication travaillant pour l’entreprise américaine Monsanto. Des données personnelles mais aussi leurs positions sur les pesticides ont été secrètement répertoriées.Depuis des années, le glyphosate, herbicide vedette de Monsanto, suspecté d’être cancérogène, est sous le feu des critiques. Les documents épluchés par l’Œil du 20 heures dévoilent la mise en place de stratégies de lobbying personnalisées pour influencer des leaders d’opinion dans le débat public sur cette molécule controversée.Des documents inédits de fichageUne fuite de documents confidentiels, qui portent la signature d’une agence de communication travaillant pour Monsanto, a permis aux journalistes de l’Œil du 20 heures de mettre la main sur des documents inédits.Le premier de ces documents est un graphique avec les logos de Monsanto et de l’agence Publicis, daté de 2016, qui cartographie des acteurs cruciaux dans le débat sur le glyphosate en France, classés en fonction de leur degré de soutien à Monsanto et de leur influence.

Le président exécutif de Publicis Consultants, Clément Léonarduzzi, qui n’était pas en place au moment des faits, affirme découvrir que sa société a participé à un fichage de personnalités se basant, selon lui, uniquement sur des données en libre accès. Il affirme condamner ces pratiques.Le deuxième fichier consulté par l’Œil du 20 heures va, lui, bien au-delà de données publiques. Adresse privées, téléphones sur liste rouge : un document, là encore daté de 2016 et qui aurait été utilisé par l’agence de communication Fleishman-Hillard, répertorie deux cents personnalités évaluées sur plusieurs thématiques, des OGM aux pesticides. Ces personnes y sont notées de zéro à cinq en fonction de leur crédibilité, de leur influence, et de leur degré de soutien à Monsanto.D’après la loi, tout citoyen fiché doit en être informé. Tenir un listing illégal est passible de cinq ans de prison et 300 000 euros d’amende. Sur la quarantaine de personnes listées qui ont accepté de répondre aux sollicitations de l’Œil du 20 heures, aucune n’était au courant d’avoir été fichée de la sorte.Le nouveau propriétaire de Monsanto, Bayer, nous a répondu ne pas avoir connaissance de ces fichiers, et a renvoyé les journalistes de l’Œil du 20h vers Fleishman-Hillard. L’agence, elle, assure ne pas avoir identifié les documents révélés, ni avoir connaissance d’un agissement non conforme d’un de ses collaborateurs.Des cibles prioritaires avec des stratégies de communication adaptéesLes personnalités fichées par Monsanto n’ont pas seulement été notées. Elles sont également ciblées par des stratégies de lobbying personnalisées. Parmi les documents reçus par l’Œil du 20 heures figure une liste appelée “Glyphosate target”. Elle recense 74 cibles prioritaires divisées en quatre groupes : les “alliés”, les “potentiels alliés à recruter”, les intervenants “à éduquer”, et ceux “à surveiller”.

Deux tiers des cibles listées dans ce fichier sont classées comme susceptibles de devenir pro-glyphosate. Pour les faire pencher du côté de Monsanto, ce tableau développe un plan d’action personnalisé pour chaque cible : rendez-vous en tête-à-tête, envoi d’outils pédagogiques… ainsi que des commentaires individualisés : “Il pourrait être un relais mais ne veut pas être directement associé à Monsanto, pour cause de perte en crédibilité”. Une annexe préconise même de se renseigner sur leurs centres d’intérêt : “Ont-elles des loisirs (Golf, tennis, chasse) ?”Quant aux personnalités classés “à surveiller”, des stratégies de marginalisation sont évoquées dans le document. Il est écrit noir sur blanc qu’il fallait par exemple “isoler” Ségolène Royal, qui était à l’époque ministre de l’Environnement, et qui est notoirement favorable à une interdiction du glyphosate. “C’est une découverte très importante, parce que ça prouve qu’il y a des stratégies objectives de démolition des voix fortes”, a-t-elle réagi.Des plaintes pour fichage illégal déposéesL’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), chargée de réglementer les pesticides, se dit “scandalisée” par ces révélations, alors même que deux de ses membres sont classés “à surveiller”. L’institut national de la recherche agronomique (Inra), dont quatre scientifiques sont classés “potentiels alliés à recruter”, s’étonne de son côté de ces pratiques, et les “condamne fermement”.  Le journal Le Monde, qui révèle ces documents en même temps que France 2, a pour sa part décidé de porter plainte pour fichage illégal de cinq de ses salariés.Click Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

Conséquence inattendue de la grippe A, le concert que Johnny Hallyday devait donner sur l’île de la Réunion vient d’être annulé. Les fans sont déçus, un organisateur enrage.

Pour cause de grippe A, Johnny Hallyday s’est fait dispenser de Réunion. Et sur l’île, la température monte. Mais pas en faveur du rocker qui vient en effet d’annuler son unique concert dans cette région dans le cadre de la tournée baptisée Tour 66, déjà compromise par une hospitalisation de la star. Programmé sur l’île de La Réunion, le 20 septembre, le show restera un fol espoir déçu…

Non pas que Johnny Hallyday souffre du virus de la grippe A/H1N1 mais ce serait par principe de précaution que notre Jojo national aurait renoncé à s’y donner en spectacle. Et ce au grand dam de ses fans locaux mais aussi d’Ivan Sudre, gérant de la société de production Hémisphère qui organisait l’événement.

Sur France Info, Ivan Sudre a expliqué son ire en ces termes:”On avait plus de 13 000 billets qui avaient été vendus et, à 15 jours de l’opération, on pouvait espérer en vendre encore 3 000 ou 4 000. Maintenant, on va forcément devoir rembourser les billets.”

Oui mais Jean-Claude Camus Production, qui organise la tournée de Johnny, « au regard des informations et des recommandations formulées par les pouvoirs publics français et les autorités sanitaires internationales, la production a dû se résoudre à faire le choix de ne pas exposer l’ensemble de l’équipe artistique et technique de l’artiste aux risques liés à la grippe A/H1N1 ».

Ces arguments n’ont pas convaincu un Ivan Sudre plus qu’agacé, d’autant qu’il constate que les probabilités de tomber malade de la la grippe A/H1N1 ne sont pas plus élevés à La Réunion qu’en métropole. Mais, dans l’univers de la musique, il faut savoir mettre un bémol, alors Ivan Sudre ajoute, au risque de frôler la contradiction, que: « la raison, on la comprend ».

Tout en ajoutant que « les Réunionnais ne peuvent pas l’intégrer ». Et de suggérer qu’il y a un certain fossé, déjà creusé en 2006 par Johnny qui avait déjà évité ce coin de France en raison du chikungunya. En tout cas, Johnny Hallyday aura créé l’évènement car, pour sa dernière tournée, il aura été le premier à annuler un concert en France pour cause de grippe A.

Samedi 5 septembre 2009

Au Maghreb, le corps de la femme appartient encore à la société. C’est ce que soutient Michaëlle Gagnet qui publie le livre L’amour interdit, sexe et tabous au Maghreb. Elle décrit des pays dans lesquels on ne parle pas de sexualité, ni dans les familles ni dans les collèges. Ces interdits ont parfois des conséquences gravissimes, souvent impunies : l’inceste ou le viol.Afin d’échapper à la pression des proches, des collègues et même des voisins, les jeunes filles placent tous leurs espoirs dans le mariage. “C’est le sésame d’une vie sexuelle et amoureuse libre. À partir du moment où on est marié, on ne nous embête plus”, décrit l’auteure.L’homosexualité, la pire des situationsEnfin, ces mariées doivent se présenter vierges devant leur époux. Au Maghreb, les opérations d’hyménoplastie sont très courantes. Les gynécologues qui pratiquent ces reconstructions d’hymen ont, d’un côté, l’impression de sauver les jeunes filles “d’une mort sociale”, mais de l’autre, la sensation d’entretenir une tradition archaïque.L’homosexualité au Maghreb “est la pire des situations”, selon Michaëlle Gagnet. Le Maroc, l’Algérie et la Tunisie prévoient une sanction de trois ans de prison pour les personnes concernées. Par ailleurs, un examen anal peut être pratiqué sur les homosexuels. “Ce sont des examens qui ne sont absolument pas scientifiques, qui ne révèlent rien. C’est vécu par les homosexuels comme un viol”, poursuit la journaliste française. Bien que des réformes soient engagées, notamment en Tunisie, le Maghreb fait face à un combat permanent entre modernité et tradition. Click Here: Golf special

Mario Bernard est un chef un peu particulier. Dans son restaurant du Cap (Afrique du Sud), la carte ne propose que des insectes. Dans les assiettes, des vers de farine, des larves de mouche et, en dessert, une glace chocolat/insectes.La clientèle séduiteEt les clients semblent conquis par ces plats inattendus. “J’étais un peu nerveuse, mais une fois qu’on a goûté c’est vraiment bon. J’étais agréablement surprise“, raconte Nadja Meyer. “Les insectes que nous utilisons sont beaucoup plus riches en zinc, en fer et en calcium que le bœuf. Ils ne sont pas riches qu’en minéraux, ils le sont aussi en protéines” détaille Leah Bessa, fondatrice de Gourmet Club. Les insectes sont directement livrés par deux fermes locales pour en assurer la fraicheur. Pour ces mets particuliers, l’addition pour le repas s’élève à 30 euros.Le JT

• JT de 8h du lundi 29 juillet 2019 L’intégrale

Les autres sujets du JT

• 1
  

  Tour de France : Julian Alaphilippe, nouveau chouchou des Français

• 2
  

  Tour de France : les supporters colombiens exultent

• 3
  

  29 juillet : à partir d’aujourd’hui, l’humanité vit à crédit

• 4
  

  États-Unis : plusieurs victimes dans une fusillade

• 5
  

  Var : trois morts dans une fusillade

Click Here: cheap sydney roosters jersey

Open-plan offices for the EEAS!

The European External Action Service (EEAS) has had a difficult start to life, and things are not about to get easier.

Staff unions are up in arms at suggestions that the diplomatic service’s employees will have to work in open-plan offices when they move to the Capital building on Rond-Point Schuman this summer. The staff unions say that open-plan would put the health and safety of EEAS staff at risk, although they do not explain how.

Nothing has yet been decided, according to an insider, and the rules on how much office space that officials get in the European Commission and the Council of Ministers – the source of most of the EEAS’s staff – will be “respected”. “This is not going to be a Bangalore call centre,” said the source. Though if the EU budget negotiations go badly, outsourcing to the Indian subcontinent is an idea that the European Council might take up.

EU leaders have told politicians in Portugal to implement austerity measures agreed by the country’s prime minister before his resignation.

A day after José Sócrates stepped down after losing a crucial parliamentary vote on proposals to cut Portugal’s deficit, he attended a two-day summit of EU leaders in Brussels.

However, at a press conference at the end of Thursday’s summit, José Manuel Barroso, the president of the European Commission, insisted that leaders had not discussed the prospect of an international bail-out for Portugal.

Barroso said: “The prime minister of Portugal presented the situation and he explained the vote in the Portuguese parliament. In the most likely case, whatever will be the next government, all commitments in terms of fiscal targets will be respected.”

Sócrates won praise for his austerity plans from fellow eurozone leaders when they last met in Brussels, on 11 March.

Barroso, a former Portuguese prime minister, said: “The prime minister gave assurances to colleagues that whatever the next government, this [the austerity targets] will be achieved. We expressed confidence [that Portugal would] overcome the current situation and find the funding needed.

“The European Commission reaffirmed that it is essential that fiscal targets made by Portugal are fully met.

“We have to respect democracy in Portugal. If there are elections we believe Portuguese democracy will resolve this political crisis as quickly as possible.”

All five Portuguese opposition parties voted in favour of a resolution rejecting the package put forward by the minority socialist government on Wednesday night. Sócrates tendered his resignation shortly afterwards. However, an election in Portugal will not be held until April or May.

Market analysts have believed for some time that rising borrowing costs and political instability may make a bail-out inevitable.

Mark Rutte, the Dutch prime minister, told reporters after the meeting that EU leaders agreed that all Portuguese political leaders had to commit themselves to carry out the austerity package put together by Sócrates.

“Despite the political crisis, all should be done to implement the package,” said Rutte.