Chelsea's Emerson urged to return to Serie A and fight for Italy place by Mancini

The Azzurri coach says the Blues’ full-back hasn’t seen enough game time in the Premier League, and should return to Italy

Italy manager Roberto Mancini says he would like to see Chelsea’s Emerson Palmieri return to Serie A as he considers his selection for the delayed European Championship.

Emerson left Roma for Stamford Bridge in 2018, and has been in and out of the Blues’ side ever since.

After Euro 2020 was pushed back until the summer of 2021 due to the coronavirus crisis, players will have more time to work their way into Mancini’s thoughts – but Emerson isn’t the only defender in the mix.

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“As for the full-backs, we knew Adam Masina, although he disappeared from the radar a bit after his move to Watford,” Mancini told the Gazzetta dello Sport.

“Luca Pellegrini already spent time with the senior squad and can improve.

“It would be nice if Emerson Palmieri, who hasn’t played much for Chelsea, could come and play in Italy.”

Mancini knows football is not the priority right now. He has lost friends during the Covid-19 outbreak, and described seeing a military convoy transporting coffins out of Bergamo as “like a punch in the face”.

However, he remains optimistic about the ability of football to bring joy back to the people once it is safe to play.

“I expect a European Championship of a very high level, of great quality. We will try to win a top tournament,” he said.

“I can’t wait to stand in front of the bench and listen to the national anthem play out. After everything the country is going through, it’s going to be an immense sensation.”

Italy have a number of young players vying for places in their tournament squad, all of whom will have another year to develop – though it remains to be seen how much football will be played before the Euros.

Roma’s young star Nicolo Zaniolo’s participation in the tournament was in doubt after suffering a cruciate ligament rupture, but he now has time to recover his fitness.

“Clearly, recovering a player with unique characteristics like Zaniolo is important and the many young players we have already in the squad will be more experienced next summer,” Mancini added.

“If the likes of Federico Chiesa were to move to a bigger club and play international club football, that could also speed up the maturation process.

“As I told his father, Federico has to play with the utmost enthusiasm. Others like Domenico Berardi ought to be a star already with his capabilities, but he’s still 25 and can grow a great deal in future.”

Congo : des tapis de plastique dans les rivières

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Dans le centre de Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo, les rivières sont chargées de déchets. Leur quantité est si importante que les déchets forment un tapis de plastique. “Ça a commencé en 2003-2004, l’entassement des déchets plastiques et les gens qui jettent les déchets plastiques, explique un habitant. Surtout lorsqu’il pleut, tout le monde profite de jeter les ordures sous la pluie, dans la rivière de Kalamu“.Le plastique termine dans l’océanÀ Kinshasa, la gestion des déchets est un cauchemar depuis plusieurs années. “Il faut choisir des endroits pour aller jeter les immondices, et ne pas les jeter dans les rivières et les caniveaux“, détaille un autre habitant. Cette pollution pose un grave problème de santé publique, mais aussi d’environnement. Le plastique se déverse dans le fleuve Congo avant de terminer dans l’océan.

Brice Hortefeux respire: la Licra étouffe le Buzz

Pas de quoi en faire en plat. Reçue à sa demande place Beauvau dimanche, la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA) a estimé que la polémique née des propos jugés racistes de Brice Hortefeux était «close».

C’est une vidéo tournée le 5 septembre sur le campus d’été des Jeunes UMP, à Seignosse, dans les Landes, qui fait scandale. Alors que Brice Hortefeux est en train de poser pour une photo avec un jeune militant d’origine maghrébine, M. Copé le taquine sur son côté BCBG auvergnat. Des personnes commentent: «c’est l’intégration», «lui, il parle arabe» ou encore «il mange du cochon, il boit de la bière». Un peu follet, Hortefeux remarque: «Il ne correspond pas du tout au prototype alors».?Tandis qu’une femme lui dit: «C’est notre petit Arabe», le ministre s’enlise: «Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes…». (Revoir le reportage qui dérange)

Est-ce le soleil de l’Aquitaine, l’effervescence de cette jeunesse tout acquise à la Majorité, ou quelques toasts trop bien portés, les bons mots de Brice de Clermont semblent difficiles à goûter.

L’humour noir du grand blond reste en travers de la gorge de l’Opposition. Si la plupart des associations rit jaune, la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme digère plutôt bien cette réflexion équivoque sur un jeune Beur. La Licra mâche ses mots et met sa serviette sur la controverse.

«Pour nous, l’affaire est close. Le ministre nous a affirmé que, pour qu’il présente des excuses, il fallait qu’il y ait culpabilité ou faute. Or, il dit n’avoir à aucun moment mentionné une quelconque origine», a expliqué Patrick Gaubert après avoir été reçu par Brice Hortefeux place Beauvau.

«Le ministre a également déclaré à la délégation: si mes propos ont été inexactement reçus et interprétés, je suis sensible à l’émotion suscitée. Il a par ailleurs assuré de son implication dans la lutte contre toutes les formes de discrimination et pour l’intégration. Cela nous satisfait», a ajouté le président de la Licra, ex-député européen UMP, qui était accompagné de quatre membres de son association.

La Licra affirme dans ce communiqué qu’elle «ne participera pas à la polémique politico-médiatique qui détourne l’attention des personnes en souffrance dans la société française». Elle a par ailleurs indiqué au ministre «qu’elle proposerait à l’ensemble des partis politiques républicains des modules de formation des militants portant sur le respect de l’autre et la tolérance».

Trois jours après la diffusion des images, le gouvernement est resté solidaire dimanche du Premier Flic de France. Eric Besson, successeur de Brice Hortefeux à l’Immigration, a ainsi estimé que «le procès» fait à son collègue était «excessif, injuste, et pour tout dire très déplacé». «C’est quelqu’un qui est humaniste, qui est pétri à titre personnel de catholicisme social, qui n’a rien de raciste», a-t-il affirmé lors du Grand Rendez-vous Europe-1/Le Parisien/Aujourd’hui en France.

La secrétaire d’Etat à la Ville Fadela Amara a, elle, regretté l’agitation médiatique. «Je peux comprendre que certains s’agitent mais quand ça fait un buzz comme ça, je me pose des question sur la manière dont on pense les choses et dont on reçoit les messages», a-t-elle déclaré sur France-2.

Quant au ministre de la Relance Patrick Devedjian, il a estimé que «les hommes politiques sont devenus des cibles». «La frontière entre la vie publique et la vie privée s’efface de plus en plus. On cherche dans leurs propos les moyens de les accuser», a-t-il déploré sur Radio J.

Plus offensif, le secrétaire général de l’UMP Xavier Bertrand a estimé que cette polémique n’était «pas le fruit du hasard», la vidéo controversée ayant été diffusée le jour où le président Nicolas Sarkozy présentait sa taxe carbone et où sortait le livre-brûlot sur les élections internes au PS. «Nous ne tomberons pas dans le piège de la diversion et nous apportons notre soutien à Brice Hortefeux», a-t-il lancé.

A l’opposé, Marine Le Pen a jugé «la défense» de Brice Hortefeux «assez piteuse». «M. Hortefeux se serait grandi à assumer ses propos et à lutter contre la police de la pensée. Mais il ne peut pas le faire (…) puisqu’il a lui-même appliqué la police de la pensée au préfet (Paul Girot de Langlade, NDLR) qui n’a même pas eu d’ailleurs la possibilité de se défendre et qui a été mis à la retraite anticipée immédiatement», a-t-elle souligné sur Canal+. «C’est l’arroseur arrosé.»

«La meilleure des solutions eut consisté pour le ministre à s’excuser, tout simplement», a regretté le député socialiste François Hollande sur LCI. Selon lui, «s’il ne met pas lui-même un terme à la polémique, il lui sera de demandé de démissionner à chaque fois qu’il s’exprimera».

Le président du MoDem François Bayrou aurait lui aussi apprécié que le chansonnier de l’UMP fasse amende honorable. «Il arrive assez souvent dans ces métiers exposés qu’on dise des bêtises, mais quand on a dit des bêtises au moins ne faut-il pas les défendre», a-t-il déploré sur Itélé.

Regarder la vidéo du buzz

Lundi 14 septembre 2009

“Le Maroc est un ami important et un allié des Etats-Unis”, selon un conseiller de Donald Trump

Première étape d’une tournée diplomatique destinée à faire la promotion du plan de paix israélo-palestinien concocté par Donald Trump, Jared Kushner était le 28 mai 2019 à Rabat pour rencontrer le roi Mohamed VI.L’adhésion de tous au “deal du siècle”Gendre et conseiller du président américain, qui doit se rendre dans la foulée en Jordanie puis en Israël jusqu’au 31 mai, il a pour tâche de convaincre les alliés arabes des Etats-Unis qu’il s’agit là de “l’accord ultime” pour réussir là où républicains et démocrates ont échoué. Jared Kushner a l’intention de susciter l’adhésion de tous au plan dit “deal du siècle” (accord du siècle), y compris des Palestiniens en rupture avec Washington, avec la promesse d’un véritable développement économique.Un argument auquel Mohamed VI, le roi du Maroc, ne peut qu’être sensible dans le contexte de crises économique et politique, de soulèvements et de changements que traverse l’Afrique du Nord.C’est ainsi que Jared Kushner a eu un premier entretien avec le souverain chérifien à la résidence royale de Salé. Les discussions ont porté sur “les évolutions et les développements que connaît la région de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient”, ainsi que sur le partenariat stratégique entre les Etats-Unis et le Maroc, a indiqué à l’AFP un porte-parole du palais. Elles se sont tenues en présence d’un autre conseiller de Donald Trump, Jason Greenblatt, ainsi que, côté marocain, du conseiller du roi Fouad Ali El Himma et du ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita.Dans la soirée, à l’issue du dîner de rupture du jeûne du ramadan, auquel s’est également joint le prince Moulay Hassan, le conseiller Greenblatt a résumé en quelques mots l’état des relations avec le royaume. Sur son compte Twitter, il s’est dit “honoré” d’avoir partagé ce repas “avec sa majesté le roi Mohammed VI”, dont il a loué la “sagesse”. “Le Maroc est un ami important et un allié des Etats-Unis”, a-t-il déclaré.

“Le rôle historique de Rabat et Amman” Un rappel rassurant pour le monarque marocain, qui est aussi commandeur des croyants et surtout président du comité Al-Qods (Jérusalem), notamment depuis la reconnaissance de la ville sainte par Washington, en décembre 2017, comme capitale de l’Etat hébreu. Selon le site marocain le 1.ma, le “très influent” Jared Kushner a choisi le Maroc et la Jordanie comme premières étapes de sa tournée promotionnelle en raison de la position commune et intransigeante des deux monarchies sur le statut d’Al-Qods. “Cette position des deux souverains, leur a valu une guerre économique sourde de la part des Emirats arabes unis et de l’Arabie saoudite, sponsors du deal”, rappelle ce site, estimant que la visite de Kushner “remet sur le devant de la scène le rôle historique de Rabat et Amman dans le processus de paix palestinien”.De son côté, le site algérien TSA souligne qu’en janvier 2019 des membres de la Republican Jewish Coalition (RJC) accompagnés d’autres lobbyistes américains pro-israéliens, s’étaient rendus discrètement à Rabat et Marrakech.“Ils avaient rencontré, selon nos sources, outre Nasser Bourita, Habib El Malki et Hakim Benchamach”, écrit TSA.Un déminage du terrain sans doute, à l’initiative de Serge Berdugo, ambassadeur itinérant du roi Mohammed VI et secrétaire général de la communauté israélite du Maroc.

Sexe, mariage et homosexualité dans un Maghreb “traditionaliste”

Au Maghreb, le corps de la femme appartient encore à la société. C’est ce que soutient Michaëlle Gagnet qui publie le livre L’amour interdit, sexe et tabous au Maghreb. Elle décrit des pays dans lesquels on ne parle pas de sexualité, ni dans les familles ni dans les collèges. Ces interdits ont parfois des conséquences gravissimes, souvent impunies : l’inceste ou le viol.Afin d’échapper à la pression des proches, des collègues et même des voisins, les jeunes filles placent tous leurs espoirs dans le mariage. “C’est le sésame d’une vie sexuelle et amoureuse libre. À partir du moment où on est marié, on ne nous embête plus”, décrit l’auteure.L’homosexualité, la pire des situationsEnfin, ces mariées doivent se présenter vierges devant leur époux. Au Maghreb, les opérations d’hyménoplastie sont très courantes. Les gynécologues qui pratiquent ces reconstructions d’hymen ont, d’un côté, l’impression de sauver les jeunes filles “d’une mort sociale”, mais de l’autre, la sensation d’entretenir une tradition archaïque.L’homosexualité au Maghreb “est la pire des situations”, selon Michaëlle Gagnet. Le Maroc, l’Algérie et la Tunisie prévoient une sanction de trois ans de prison pour les personnes concernées. Par ailleurs, un examen anal peut être pratiqué sur les homosexuels. “Ce sont des examens qui ne sont absolument pas scientifiques, qui ne révèlent rien. C’est vécu par les homosexuels comme un viol”, poursuit la journaliste française. Bien que des réformes soient engagées, notamment en Tunisie, le Maghreb fait face à un combat permanent entre modernité et tradition. 

Décharges sauvages dans le Var : “Il y aura d’autres drames”, alerte une députée LREM

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !“On peut clairement parler d’un business parallèle” à propos des dépôts illégaux de déchets dans le Var, a assuré jeudi 8 août sur franceinfo Valérie Gomez-Bassac, député La République en marche (LREM) du Var. L’élue de la majorité travaille depuis plusieurs années sur le sujet et dénonce “un certain filon autour des déchets”. Alors que le maire de Signes est mort en voulant empêcher un dépôt illégal de gravats, “on sent une pression autour de l’organisation du traitement de ces déchets”, prévient-elle.franceinfo : Pourquoi la question des décharges sauvages dérange-t-elle autant dans le Var ?Valérie Gomez-Bassac : Il y a différents acteurs économiques qui ont pignon sur rue et qui travaillent tant en matière de traitement que de transport des déchets. Il y a tout un contexte économique autour de cela. Certains élus n’aiment pas en parler. Il y a quand même des pratiques vertueuses : certaines personnes travaillent bien. La Fédération du bâtiment, par exemple, essaie de tout faire pour qu’il y ait une traçabilité des déchets. À côté de ça, des acteurs profitent du système et vivent dessus. Il y a donc un certain filon autour des déchets. Cela fait deux ans que j’en parle et je reçois des mails menaçants : “Faites attention à vous. Vous savez qu’on n’aime pas trop que vous parliez des déchets dans le Var”, par exemple. On sent une pression autour de l’organisation du traitement de ces déchets.Soyons clairs. Quand une décharge illégale existe depuis plus de trente ans avec 1 million de tonnes de déchets au prix de 70 euros la tonne, on peut clairement parler d’un business parallèle.Valérie Gomez-Bassacà franceinfoVous êtes une élue de la République et pourtant on ressent votre impuissance. Comment l’expliquer ?Oui, je suis impuissante. Parmi les élus varois, vous entendez d’ailleurs très peu de personnes parler des déchets alors que ce cas n’est pas une incivilité classique. Elle va se reproduire, il risque d’y avoir d’autres drames et personne ne parle de cela. Ce n’est peut-être pas le moment, mais j’en parlerai jusqu’à la fin de mon mandat. Il faut vraiment le faire parce qu’on n’a plus le temps. Il y aura d’autres drames, aussi parce que les riverains n’en peuvent plus de voir tous ces camions, cette pollution de la nature. C’est vraiment dramatique.Je compte sur ma majorité : j’ai eu Brune Poirson, [la secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire,] au téléphone hier. Elle m’a assurée de tout son soutien. Elle prend déjà des dispositions qui vont dans le bon sens avec la loi anti-gaspillage, qui comporte par exemple le suivi des déchets de chantier. Cependant, il faut aller loin et plus vite. Je compte donc sur ma majorité pour essayer d’avancer encore plus rapidement. Heureusement, la mobilisation des riverains existe au niveau du Castellet. Je suis seule au niveau des institutionnels et politiques, mais je ne suis pas seule au niveau des citoyens et des acteurs économiques.Click Here: cheap sydney roosters jersey

Barnier presents overhaul of intellectual property rights

Barnier presents overhaul of intellectual property rights

Commission wants to rein in piracy, but expand access to cultural content for consumers.

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The European Commission has published plans for wide-ranging reforms of the EU’s intellectual-property system.

The blueprint announced today (Tuesday) aims to make copyright licensing fit for the digital age and includes initiatives to improve enforcement against piracy.

Launching the intellectual property rights (IPR) strategy, Michel Barnier, the European commissioner for the internal market, said it was important to balance copyright protection with the need to allow consumers to access online content.

“Ensuring the right level of protection of intellectual property rights in the single market is essential for Europe’s economy. Progress depends on new ideas and new knowledge,” he said.

No investment without protection

Barnier added that there could be no investment in innovation in the EU unless rights were protected.

He recognised, however, that the balance needed to ensure that consumers have access to cultural content, for example online music, in order for new business models and cultural diversity to thrive.

“Our aim today is to get the balance between these two objectives right for IPR across the board,” Barnier said.

The strategy includes policy initiatives on patents, trademarks, copyright licensing, IPR enforcement (including illegal downloads), customs control, and orphan works (where books or articles are in copyright but the author cannot be traced).

Collective copyright management

The strategy signals a legislative proposal to simplify the collective management of copyright. It foresees the creation of a “clear and well-functioning legal framework for the multi-territorial licensing” of musical works online.

Common rules will be established for collecting societies, which license the rights of creators and collect and distribute royalties. They have been criticised in the past for a lack of transparency.

The strategy also says that “all options are on the table” regarding tackling illegal downloading.

The Commission’s work will not “focus on service providers who either infringe copyright themselves or who systematically and knowingly facilitate or sustain the piracy activities of others and profit there from”.
All service providers have to respect “an appropriate level of care in their commercial operations”, says the strategy.

Service providers have long argued that they should not be held responsible for ‘policing’ the internet, and are likely to lobby hard over the coming months.

All the initiatives outlined in the strategy are intended to be taken by the Commission by 2014.

Authors:
Ian Wishart 

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Agreement struck on short-selling

Agreement struck on short-selling

Compromise deal aims to improve transparency.

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Finance ministers have reached a compromise deal to limit and improve the transparency of two of the trading practices that have been most criticised in the wake of the financial crisis of 2007-08.

Ministers agreed a common approach to rules covering short-selling – a practice in which traders borrow a stock and sell it at a high price in the expectation of then buying it back at a lower price – and on the trade in credit-default swaps, a form of insurance that guarantees the creditworthiness of a loan.

Under the compromise reached on Tuesday (17 May), short-selling will be banned when a trader has not arranged to borrow the underlying stock at the time of sale, a practice known as naked short-selling.

This will not apply to the short-selling of government debt if the deal is made for the purposes of hedging.

Debt suspension

The ban on naked short-selling of sovereign debt can also be suspended if the liquidity of sovereign debt falls below a certain threshold.

Short trades will have to be notified either to the market regulator or, when a trade is more significant, to the markets themselves.

The legislation was proposed by the European Commission in 2010 to establish common rules on short-selling and credit-default swaps.

Several member states, including the UK and Germany, introduced bans on short-selling in 2008 at the height of the financial crisis, to prevent instability in financial markets.

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The common position agreed by finance ministers will form the basis for negotiations with the European Parliament, which has already taken a much tougher line, including proposing a ban on naked sales of credit-default swaps.

Authors:
Simon Taylor 

Deux pétroliers attaqués en mer d’Oman

Une vidéo a été publiée par l’armée américaine, elle serait la preuve de la responsabilité de l’Iran dans l’attaque de deux pétroliers en mer d’Oman, jeudi 13 juin. Sur les images, on y verrait, selon elle, des militaires iraniens retirer une mine ventouse qui n’avait pas explosé sur l’un des deux navires. Des accusations formellement démenties par Téhéran à l’ONU, qui redoute un conflit. Détroit géostratégique Hier, vers 6 heures du matin, deux pétroliers sont attaqués dans le golfe d’Oman, entre les Émirats arabes unis et l’Iran. Trois explosions ont lieu sur ce tanker norvégien et des tirs, cette fois, sur l’autre navire japonais. Les membres d’équipage sont indemnes, ils ont été sauvés à temps. En mai, quatre navires avaient déjà été sabotés dans le golfe d’Oman. Un cinquième de la demande mondiale de pétrole transite par le détroit d’Ormuz, ce qui fait du passage un espace géostratégique à forts enjeux.Le JT

  • JT de 8h du vendredi 14 juin 2019 L’intégrale

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Inde : 118 enfants meurent d’encéphalite mortelle, des litchis probablement en cause

Une odeur d’urine, de chlore, de vomi et de mort a envahi le principal hôpital de Muzaffarpur, dans le nord de l’Inde, épicentre d’une épidémie d’encéphalite aiguë. Les autorités ont ainsi annoncé mercredi 19 juin avoir dénombré 118 décès d’enfants depuis début juin.Les études scientifiques suggèrent que ces décès sont dus à une toxine présente dans les graines de litchis, qui altérerait la production de glucose de l’organisme et provoquerait des hypoglycémies. Les jeunes victimes souffrent très vite d’une forte fièvre, de convulsions et de crises de vomissement. Dans la plupart des cas, sans traitement immédiat, l’issue est fatale.L’Etat du Bihar, où vivent environ 100 millions de personnes, connaît une période de canicule avec des températures de 45 degrés, qui ont provoqué la mort de 184 personnes, dont 78 depuis samedi. Le même phénomène d’encéphalites mortelles se produit dans des régions productrices de litchis au Vietnam et au Bangladesh. En 2014, la maladie avait tué 355 enfants mais seulement 33 décès ont été à déplorer l’an dernier, selon le Hindustan Times.