Les alimenta salés réveillent plus la faim que la soif

C’est en simulant une longue mission spatiale sur Mars qu’une équipe de chercheurs internationaux a constaté que manger salé augmentait la faim plus que la soif, sur le long terme en tout cas. En cause, un mécanisme de protection préservant l’eau dans les reins.

Une équipe de chercheurs internationaux a constaté que manger salé augmentait la faim plus que la soif.

Voilà une étude qui va à l’encontre de l’idée bien connue selon laquelle manger salé donne soif. Des chercheurs du centre aérospatial allemand Max Delbrûck Center for Molecular Medicine et de l’université Vanderbilt de Nashville (Etats-Unis) ont étudié le lien entre apport en sel et habitudes de consommation d’eau à partir d’un vol simulé sur Mars.Préserver l’eau est importantPas de rapport a priori entre l’espace et le sel si ce n’est que, lors d’un long voyage, préserver chaque goutte d’eau compte. Dans cet environnement, les scientifiques ont en effet pu contrôler et mesurer tous les aspects liés à la nutrition, la consommation d’eau et de sel.Trois niveaux d’apports en sel testésL’équipe a sélectionné et consigné dix volontaires masculins dans un vaisseau spatial hermétique le temps de deux vols simulés vers Mars. Elle a observé le premier groupe durant 105 jours et le second durant 205 jours. Tous étaient soumis au même régime alimentaire, mais ont eu droit à trois niveaux d’apports salés distincts de 6,9 et 12g.Leurs conclusions, publiées dans la revue The Journal of Clinical Investigation, montrent que, sans surprise, manger plus salé conduit à une urine plus salée et plus abondante. Mais cette augmentation en volume n’était pas due au fait que les volontaires buvaient plus. Plus on consomme du sel, moins on boitLes chercheurs ont au contraire constaté que les cobayes passant d’un apport de 6 à 12g de sel buvaient moins et qu’un mécanisme préservant l’eau dans leurs reins ou produisant plus d’eau se mettait en place. Une hypothèse avancéeLeur hypothèse de départ – les ions chlorures et chargés en sodium contenus dans le sel s’emparaient des molécules d’eau pour les entrainer vers l’urine – s’en est trouvée chamboulée. Leur expérience montrant que le sel restait dans l’urine tandis que l’eau se déplaçait vers les reins et le reste de l’organisme.L’urée joue un rôle en préservant l’eau dans le corpsC’est en fait toute la fonction de l’

urée, un déchet azoté issu de la dégradation des protéines par le foie, que les chercheurs ont dû revoir. Les expériences chez la souris montrent que l’urée s’accumule dans les reins où elle neutralise la force d’étirage du sodium et des ions chlorures. Mais fabriquer de l’urée demande de l’énergie. C’est ce qui explique pourquoi les rongeurs soumis à un régime riche en sel ont plus d’appétit. Manger salé n’a pas augmenté leur sensation de soif, mais les a rendus plus voraces.L’urée n’est donc pas un simple déchet, expliquent les chercheurs dans cette étude, mais un composé qui se lie à l’eau et l’aide à la préserver dans le corps quand ce dernier se débarrasse du sel. Dame Nature a ainsi trouvé une façon de conserver l’eau qui serait sinon emportée avec l’urine par le sel.

Grossesse : un manque de glucides peut conduire à des malformations chez le bébé

Une nouvelle

étudeaméricaine suggère aux femmes enceintes de ne pas réduire ou éliminer les glucides de leur alimentation pendant la grossesse. Ce type de régime devenu très à la mode pourrait augmenter le risque de malformations congénitales chez le bébé de 30%.

Les femmes enceintes ayant consommé peu de glucides ont 30% de risques en plus d'avoir des bébés avec des malformations du système nerveux comme le spina bifida.

Pour la première fois, une étude scientifique évalue les effets d’un régime très pauvres en glucides –  en vogue partout dans le monde – pendant la grossesse sur le risque de malformations chez les enfants à naître.Dans un contexte de mise en garde contre une consommation excessive de sucre de la part des autorités de santé, les résultats de ces nouveaux travaux invitent les futures mères à ne pas faire la chasse aux glucides pendant leur grossesse sous prétexte d’éviter une prise de poids trop importante.En règle générale, des carences alimentaires pendant la grossesse peuvent occasionner diverses complications (

pré-éclampsie,

retard de croissance intra-utérin, anomalies du tube neural chez le foetus, etc.).L’étude conduite par des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord auprès de 11.385 participantes montrent en effet que les femmes enceintes ayant consommé peu de glucides ont 30% de risques en plus d’avoir des bébés avec des malformations du système nerveux comme le

spina bifida (développement incomplet de la colonne vertébrale et de la moelle épinière) et l’anencéphalie, une absence de parties importantes du cerveau et du crâne.Ces deux malformations peuvent conduire à un handicap de longue durée ou au décès de l’enfant, alerte l’étude.Les chercheurs ont par ailleurs constaté que l’apport alimentaire moyen en

acide folique (vitamine B9) chez les femmes ayant un apport limité en glucides était inférieur à la moitié de celui des autres femmes.

Or, cette vitamine est souvent conseillée aux femmes enceintes pour prévenir les malformations congénitales, notamment le spina-bifida. Elle est apportée naturellement par des aliments parmi lesquels les légumes verts et feuillus, les haricots, les œufs, les céréales et les poissons.Bien manger, avant et pendant la grossesse, est essentiel pour la santé de la mère et de son bébé à naître rappellent les spécialistes qui conseillent d’adopter un régime équilibré et de prendre de l’acide folique (vitamine B9) et de la vitamine D.

'Maybe Mommy Didn't Mean to Hurt Me': DCFS Reports Released

CRYSTAL LAKE, IL — The Illinois Department of Children and Family Services caseworker and supervisor responsible for investigating complaints of neglect and abuse against Andrew “AJ” Freund and his younger brother have been placed on administrative duty. The employees will not be able to handle any casework while DCFS completes a thorough review of all cases handled by them and addresses any possible shortcomings, according to a statement from DCFS.

DCFS also has released a timeline of visits and interactions with Andrew Freund’s family prior to his death as well as investigators’ rulings regarding those cases.

The agency has been called on to provide answers into their work with AJ’s family after Freund, 5, was first reported missing on April 18. His body was found on Wednesday and his parents, JoAnn Cunningham, 36, and Andrew Freund Sr., 60, face murder charges in connection with his death.

DCFS was called to the 5-year-old boy’s home at 94 Dole Avenue in Crystal Lake on the day his father called 911 to report he and Cunningham woke up to find the boy gone. Caseworkers observed ripped floors, food lying around and clothes and garbage everywhere, according to the DCFS report. A DCFS investigator spoke with police and took AJ’s 4-year-old brother into protective custody. AJ’s younger brother was initially placed with a licensed foster parent and is now staying with a relative.

“The younger brother was examined by a medical professional, appeared healthy and showed no obvious visible signs of abuse or neglect,” according to DCFS.

Prior to that visit, DCFS made contact with the family in December 2018, when Cunningham was arrested on a driving while license suspended charge and authorities noticed a large bruise on AJ and the home in disrepair. While in the emergency room, AJ told the physician, “maybe someone hit me with a belt. Maybe mommy didn’t mean to hurt me,” according to a DCFS timeline of interactions with AJ’s family that was released to Patch over the weekend.

In the timeline, which spans back before AJ Freund was born, DCFS details its findings during several visits in recent years. DCFS was first called to 94 Dole Avenue on June 7, 2012, regarding inadequate supervision. Cunningham accused of abusing prescription drugs and neglecting her foster child, according to DCFS. The report was found to be unfounded and was expunged.

Later that year, the DCFS hotline received a call regarding environmental neglect and injurious environment for Cunningham’s oldest son, who is now 18 years old. In that call, Cunningham was accused of abusing prescription drugs and reportedly had mental health issues. That report was unfounded and expunged, according to DCFS.

Shortly after that, the older son’s grandmother filed a petition with McHenry County to gain custody of the child.

On Oct. 14, 2013, Andrew “AJ” Freund was born. Both the AJ and Cunningham tested positive for opiates and benzodiazepines. DCFS was called and Andrew was removed from his mother’s care during the investigation, according to DCFS.

A month later, DCFS took protective custody of Andrew and was granted temporary custody of the infant in juvenile court. The Youth Service Bureau of Illinois was assigned to provide services to Cunningham and Andrew Freund Sr. while AJ Freund remained in foster care with a relative for the next 18 months.

During this time, DCFS reported that Cunningham and Andrew Freund Sr. participated in parenting classes, drug treatment and continued to participate in methadone maintenance and individual counseling through a drug treatment program, according to DCFS. In June 2015, Andrew was returned to his mother’s custody.

In between June 2015 and April 2016, Youth Services Bureau workers made 26 unannounced visits to 94 Dole Avenue and did not observe any signs of abuse or neglect. In August 2015, Andrew Freund’s father’s drug test was invalid.

In April 2016, DCFS closed its juvenile court case for Andrew Freund.

The family the went nearly two years without any interactions with DCFS, but on March 21, 2018, DCFS received a hotline report. The caller alleged a substantial risk of physical injury for the children at 94 Dole Avenue. Cunningham, according to the report, was brought to the emergency room after being found unresponsive in a car. AJ reportedly had “odd bruising” on his face, according to DCFS.

A DCFS investigator tried to contact the parents on March 21, March 29, and April 9 but could not get through to Andrew Freund Sr. or Cunningham.

On April 25, 2018, an investigator met with Cunningham, AJ and his younger brother, and Cunningham was interviewed while the boys played outside in the driveway at the home. The DCFS investigator “observed the boys to be clean and did not find signs of maltreatment.”

On May 17, a DCFS investigator completed a final safety assessment of the home and found both boys to be clean and dressed appropriately. Cunningham reported a history of drug use and said she was currently receiving treatment. The home was clean, neat and adequately furnished, according to DCFS.

The investigator also verified that Cunningham was taking part in a drug treatment program and marked the March 2018 report as unfounded. The investigation was closed, according to DCFS.

Later that year, on Dec. 18, 2018, DCFS received a hotline report regarding environmental neglect for both boys. According to the report, Andrew had bruises, welts and cuts. Police were called to the home and saw a large bruise on Andrew’s hip. Police also reported the ceiling was falling down, the floor was torn up and that they noticed a smell of urine in the children’s bedroom.

Cunningham was arrested for driving on a suspended driver’s license and both children were taken into protective custody.

A DCFS investigator interviewed both boys at the police department. AJ’s younger brother would not talk with police. He appeared to be healthy and well-cared for, according to DCFS. Andrew was interviewed and reported he received the bruise when the family’s dog pawed him.

A DCFS investigator spoke with Cunningham and she said they were remodeling the home and admitted the residence did smell like dog feces and urine. Andrew Freund Sr. posted bond for Cunningham on the driving while license suspended charge and she was released from custody.

That same day, a physician at the emergency room examined Andrew and could not determine how his bruise was caused. The doctor reported the injury could have been caused by a dog, belt or a football.

During the examination, Andrew told the doctor, “Maybe someone hit me with a belt. Maybe mommy didn’t mean to hurt me.”

A DCFS investigator contacted Andrew Freund Sr. to pick the children up from hospital until the home environment could be assessed and he was asked
to remain in the home as a safety precaution, according to the report.

The next day, a DCFS investigator conducted an unannounced home visit. The living room and dining room were cluttered with clothes and toys. The kitchen was clean and the floor was missing tile. The ceiling was not falling and investigator noticed a slight odor of dog urine but no feces or urine was observed on the floor. Andrew Freund Sr. reported to the investigator that he did pick the children up from the hospital last night. He also denied any corporal punishment and he denied Cunningham was using drugs.

On Dec. 20, 2018, the DCFS investigator spoke to a past investigator for the family regarding her case and findings. A couple weeks later, DCFS determined the report was unfounded due to lack of evidence regarding the original allegations of cuts, welt and bruises on AJ.

The next time DCFS was called was on April 18, the day Andrew was reported missing.

Moving forward, DCFS is conducting a “comprehensive review” of its interactions and cases with Andrew’s family.

“As we move forward, we will be fully transparent with the public as we seek to address
any possible shortcomings in this incident and understand how we can better serve the
state’s vulnerable children and families,” according to a DCFS statement.

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Valedictorian, Once An Honor, Being Eased Out By Many Schools

By John R. Thelin, University of Kentucky via The Conversation

As college and high school graduations take place, thousands of select students will step to podiums to deliver their graduating class’s farewell remarks at commencement ceremonies throughout the United States.

These students – usually the graduating seniors with the highest grade point average, or GPA – are recognized with a formal title: valedictorians.

Though the tradition goes back to colonial times, the validity of valedictorian honor is increasingly being called into question. A growing number of schools are changing how they bestow the honor or doing away with it altogether.

For instance, this is the last year there will be a valedictorian at William Mason High School, an Ohio school that is one of the best regarded in the nation. School leaders announced May 9 that the school would no longer have a class valedictorian or salutatorian as of next year, citing “unhealthy competitiveness among students.”

As an education historian, Mason High School’s decision underscores what I see as a long-standing problem in American education: Our emphasis on competition and awards in academics sometimes leads to problematic measurements of learning.

A question of honor

Recent news reports call into question whether the valedictorian honor is truly about merit or hobbled by biases of race and class.

Similar questions are being asked about American higher education in the wake of this year’s college admission scandal. Indeed, in a growing number of cases, students who have earned the top grades in their graduating class – but who happen to be more have darker skin hues than their peers of European descent – are finding themselves being asked to share their valedictory glory with other students. But before we get into those examples, a little history on the origin of the valedictorian is in order.

Roots in the colonial college

The tradition of selecting a valedictorian goes back to 1772 at The College of William & Mary.

It began when Norborne Berkeley – formally known as Lord Botetourt – arrived from England to serve as Governor of Virginia. He fell in love with the colony and college. To show his appreciation for the school and the student body, he put up a gold medal as the prize awarded to the student most skilled in Latin written composition and oratory. The victorious student, selected by the college president and faculty, was then designated as the valedictorian. The word is derived from the Latin “valedīcere,” which means “to say goodbye.” Accordingly, the valedictorian would deliver the farewell address at commencement. It was an enjoyable way for the honored student to show off with good natured quips and quotes in Latin. To this day at The College of William & Mary, the Lord Botetourt Medal is the top prize given to a graduating senior for scholarship.

Valedictorians in high school

By 1920 many American public high schools had adopted the practice of awarding honors, including valedictorian. Latin oratory gave way to the top GPA as the criterion for selecting the valedictorian.

Historical perspective complicates the measuring of scholarly performance. While high academic achievement is admired and coveted today, this was not always so in American colleges. The “Gentleman C” was the appropriate grade sought by socially prestigious students. An “A” was scorned as “poor form,” as documented in my 2019 book, “A History of American Higher Education.”

In the Yale yearbook of 1904, the senior class actually boasted of its low academic achievement, noting:

Never since the Heavenly Host with all the Titans Fought Saw they a class whose scholarship approached so close to naught

Yale students were by no means alone in their quest for mediocrity. In a custom still in place today at the United States Military Academy, each year the “Goat” award goes to the graduating senior who has the lowest grade point average. And at the United States Naval Academy, the honor of graduating “last in the class” is known as “The Anchor.” It is a deceptively difficult feat that requires doing as little as possible without flunking out.

Despite these curious instances of striving to be average or less than average, being selected as class valedictorian is generally considered to be good fortune by academically ambitious students.

For example, in 2010, Katie Washington, of Gary, Indiana, was celebrated for “making history as the first black valedictorian from the University of Notre Dame.” The then-21-year-old biology major had a minor in Catholic social teaching and an overall 4.0 GPA. Today, Katie Washington Cole is a psychiatrist in Chicago.

Being selected as class valedictorian, however, doesn’t always bring a happy ending.

In January 2019, the Boston Globe published “The Valedictorians Project.” The series featured some troubling examples of what became of recent valedictorians from Boston’s public high schools. While being a high school valedictorian often brought admission to a prestigious college, it was not a predictor of professional success, such as later being accepted to medical school. Most tragic were examples such as a Boston high school valedictorian who graduated from Dartmouth College, but then ended up homeless and unemployed.

The Globe’s reporting shows how academic achievements usually have some connection with opportunities and privileges. Talent counts, but it coexists with non-merit factors of race, gender, income, connections and luck.

Honor eludes diverse students

Some black or Hispanic students report being unfairly excluded from holding the valedictorian honor.

For instance, Jasmine Shepard, a black student from a school district in the Mississippi Delta, is suing the school district for forcing her to share the valedictorian honor with a white student in 2016. According to her lawsuit, the white student had a lower GPA. Similar cases were filed by black students in 2017 and 2011, although the 2011 case was ultimately dismissed.

In 2018, Jaisaan Lovett, the first black valedictorian at University Preparatory Charter School for Young Men in Rochester, New York, was denied the opportunity to give the valedictory address – a decision that may have stemmed from his history of protest at the school.

Earlier this year, Natalie Ramos, a graduating senior from Jesse Bethel High School in Vallejo, California, protested on social media when she was told she would have to share the valedictorian honor with nine other students. She was particularly upset because she was to be the first Latina valedictorian at her school. The school principal reversed the decision after GPA calculations had been “updated” and announced that Ramos would be the sole valedictorian.

The movement away from valedictorian poses a troubling dilemma for American education. Recognition is growing that singling out the student with the top GPA is not the best way to identify the best students. However, the valedictorian honor is beginning to disappear just as students from diverse backgrounds are becoming the first students of their background in their schools to win the honor.

GPA : la France condamnée pour avoir refusé d’inscrire à l’état civil des jumeaux nés à l’étranger

Alors que le parquet deNantes avait refusé l’inscription à l’état civil français de deux jumeaux nés de mère porteuse à l’étranger, la Cour européenne des droits de l’Homme a condamné, ce jeudi, cette décision.

Ce jeudi, la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a condamné la France pour avoir refusé d’inscrire à l’état civil deux enfants nés, en 2010, en Ukraine. La raison ? Les parents étaient soupçonnés d’avoir eu recours à la GPA, interdite en France. Le couple avait, après la naissance des enfants, demandé à l’ambassade de France en Ukraine une transcription des actes de naissance, mais le procureur de la République de Nantes s’y était opposé.Par cette condamnation, la CEDH rappelle sa jurisprudence : la France ne peut refuser de reconnaître les enfants nés par GPA et rappelle le droit au respect de la vie privée des enfants nés de mère porteuse.La France déjà condamnée par la CEDHCe n’est pas la première que la France est condamnée puisque la CEDH avait déjà formulé sa jurisprudence en juin 2014 et en juillet 2016 dans deux affaires similaires. Pour la juridiction internationale, la France peut interdire la GPA sur son territoire, mais ne peut refuser de reconnaître les enfants nés d’une mère porteuse à l’étranger, au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant. Comme le rappelle l’avocate du couple, Me Caroline Mecary, “c’est la cinquième fois que la France est condamnée parce qu’elle refuse d’appliquer la jurisprudence définie par la CEDH. C’est une marque d’opprobre pour la France, qui incarne les droits de l’Homme, et une victoire juridique”.La CEDH a souligné que les deux enfants nés en Ukraine avaient désormais “la possibilité d’établir leur lien de filiation“, notamment par le biais d’une reconnaissance de paternité.Pour rappel, la GPA est prohibée en France, avec des peines pouvant aller jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 30.000 euros d’amende.Click Here: new zealand rugby team jerseys

Joly Days : prochain rendez-vous le week-end du 18 mars

La prochaine édition des Joly Days approche… Rendez-vous le week-end du 18 mars pour un événement placé sous le signe de la beauté !

Crédit photo : Sylvie Duverneuil

Envie de vous faire chouchouter, maquiller ou encore coiffer ? Rendez-vous aux Joly Days ! En coiffure, c’est la marque Sacha Juan qui prendra soin de votre chevelure. Côté beauté du visage, c’est Sanoflore qui s’occupera de vous ! Les marques pour le maquillage et la pose de vernis n’ont pas encore été révélées… Profitez seule ou entre copines de ce pur moment de beauté !Petite nouveauté pour cette nouvelle édition : le prix d’entrée est passé à 60€, les clientes peuvent avoir désormais des options si elles veulent  : un massage du corps complet, une manucure ou une beauté des pieds en plus de la formule.Joly Days, prochain rendez-vous le samedi 18 et dimanche 19 mars de 10h à 18h. (Attention, places limitées : il reste quelques places pour le samedi mais le dimanche est d’ores et déjà complet !)L’adresse est communiquée la semaine qui précède l’événement.Réservation : 

http://www.lesjolydays.com/reservations

Avoir des enfants augmente l'espérance de vie

Avoir au moins un enfant augmente l’espérance de vie, plus particulièrement chez les hommes, selon une vaste étude publiée mardi dans la revue médicale Journal of Epidemiology & Community Health.

Avoir au moins un enfant augmente l'espérance de vie, plus particulièrement chez les hommes.

Réalisée sur plus d’1,4 million de Suédois nés entre 1911 et 1925, l’étude a permis de montrer que l’espérance de vie à 60 ans était supérieure de près de deux ans chez les parents d’au moins un enfant par rapport aux personnes sans enfants.L’écart était un peu supérieur chez les hommes, de l’ordre de 1,8 an, contre 1,5 an chez les femmes.A 80 ans, les pères ayant eu au moins un enfant avaient encore une espérance de vie de 7,7 ans, contre 7 ans chez les hommes sans enfant, soit un écart de 0,7 an, tandis que les mères pouvaient espérer vivre encore 9,5 ans au lieu de 8,9 ans pour les femmes sans enfant, soit un écart de 0,6 an.”Avoir des enfants est associé à une longévité accrue“, soulignent les chercheurs qui ont également montré, contrairement à d’autres études, que le sexe des enfants n’avait aucun impact.Les filles sont souvent considérées comme jouant un rôle plus important que les garçons dans l’aide apportée à des parents âgés.Mais aucune association de ce type n’a été retrouvée par les chercheurs qui mettent en avant le système de soins très performant et pratiquement gratuit existant en Suède.Quant à l’avantage relatif observé chez les hommes ayant eu des enfants, il est encore plus important chez les hommes non mariés “peut-être parce que les hommes mariés bénéficient également du partenaire en termes de soins et de soutien, alors que les non-mariés et les veufs seraient plus dépendants de leurs enfants adultes“, écrivent les chercheurs.Pour expliquer l’écart d’espérance de vie entre les personnes avec ou sans enfants, les chercheurs avancent, au-delà du soutien apporté par leurs enfants, d’autres phénomènes possibles comme le fait d’avoir adopté des comportements plus sains à cause de leurs enfants.Dans la plupart des pays, les femmes vivent plus longtemps que les hommes, qu’elles aient eu des enfants ou non.Dans l’étude suédoise, l’espérance de vie des mères de famille était de 24,6 ans à 60 ans contre 20,2 ans chez leurs homologues masculins. Pour les femmes sans enfants, elle atteignait encore 23,1 ans, contre 18,4 chez les hommes.Click Here: Maori All Blacks Store

Maladies cardio-vasculaires : encore beaucoup d'idées reçues chez les femmes

Les maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité des femmes dans le monde, sont encore sous-estimées, notamment la méconnaissance de certains facteurs de risque, selon une étude Opinionway, dévoilée à l’occasion du Red Day ce vendredi.

Selon une récente étude, il existe encore beaucoup d'idées reçues chez les femmes sur les maladies cardiovasculaires. ©Tharakorn / Istock.com

Sommaire

  1. Les infarctus ont triplé en 15 ans chez les femmes
  2. Des périodes “sensibles” sous-estimées
  3. Diabète et antécédents personnels, facteurs de risque les plus sous-estimés
  4. La prévention, mieux connue des femmes
  5. En France, 150 000 décès chaque année

Près de la moitié des femmes (42 %) en bonne santé considèrent que le

cancer du sein est plus meurtrier que les

maladies cardiovasculaires, selon une étude Opinionway qui a interrogé 1 276 femmes, dont 276 victimes de maladies cardiovasculaires.Autre idée reçue révélée par l’étude : 25 % des femmes pensent que les hommes sont davantage touchés par ces pathologies. Un chiffre qui tombe à 13 % chez les femmes interrogées malades. Les infarctus ont triplé en 15 ans chez les femmesEn France, les

infarctus chez les femmes de moins de 50 ans ont triplé ces 15 dernières années. Bien que le nombre de personnes hospitalisées pour un infarctus du myocarde entre 2002 et 2008 ait baissé dans toutes les classes d’âges chez les hommes (‐ 8,2 % de 45 à 54 ans), il a progressé chez les femmes de 17,9 % de 45 à 54 ans.Des périodes “sensibles” sous-estiméesDe même, les périodes “sensibles” comme la

contraception, la

grossesse ou la

ménopause sont sous-estimées, y compris chez les femmes victimes de maladies cardiovasculaires qui attribuent la survenue des pathologies à un âge spécifique. Après 35 ans pour ces dernières, contre 50 ans pour les femmes en bonne santé.Diabète et antécédents personnels, facteurs de risque les plus sous-estimésL’

hypertension artérielle (55 % et 59 %), l’

obésité (53 %) et le

tabac (49 % et 52 %) sont les principaux facteurs de risques d’un accident cardiovasculaire pour une femme, et cela pour les deux groupes de femmes interrogées.En revanche, le

diabète semble être un facteur de risque majeur non connu. Les antécédents familiaux et personnels (31 % et 30 %) sont sous-évalués tout comme l’importance des effets de l’

alcool (21 % et 17 %) et de la

pilule (13 % et 18 %).La prévention, mieux connue des femmesInterrogés sur les moyens de prévention, les bons comportements semblent bien repérés: faire de l’exercice physique (73 %), exclure le tabac (71 %), manger équilibré (62 %) sont les actions les plus citées, devant le suivi chez un spécialiste qui arrive en 5e position (37 %), alors que ce chiffre passe à 43 % (en 4e position) chez les femmes concernées par ces maladies.En France, 150 000 décès chaque annéeEn janvier dernier, l’Association de cardiologie américaine a préconisé un contrôle chez les jeunes femmes dès l’âge de 20 ans, devant le jugement non nécessaire de faire des examens avant 41 ans chez plus de la moitié des Américaines.Les maladies cardiovasculaires sont à l’origine de 28 % des décès en France, soit près de 150 000 décès chaque année.Méthodologie : l’enquête a été réalisée par OpinionWay pour le compte de Visiomed du 8 au 15 mars 2017 auprès d’un échantillon national représentatif de 1000 femmes âgées de 18 ans et plus, et d’un échantillonnage supplémentaire de 276 femmes souffrant de maladies cardiovasculaires. Les témoignages ont été recueillis par questionnaire auto-administré en ligne sur système CAWI (interviews assistées par ordinateur).Click Here: cheap sydney roosters jersey

Espace : lancement réussi pour le premier satellite franco-chinois

Après dix ans de collaboration, le premier satellite franco-chinois a été lancé lundi 29 octobre. C’est une première historique, l’engin de 650 kg va scruter la Terre afin de prédire et observer les effets du changement climatique. “Décollage réussi pour la fusée Longue Marche 2 C, en plein milieu du désert de Gobi (Chine), c’est la première coopération franco-chinoise en matière de satellite. Il s’appelle CFO Sat, et il est composé d’un instrument français, qui va observer les mouvements marins, et d’un instrument chinois qui va observer les mouvements du vent”, explique Justine Jankowski depuis Jiuquan (Chine).Tenter de prévoir les catastrophes naturelles “Le but est de récolter des données météorologiques, et puis à terme de tenter d’anticiper des catastrophes naturelles comme des cyclones. Alors ici c’est un succès, c’est une mise en orbite réussie, et un pas pour l’amitié franco-chinoise”, indique la journaliste de France 2 depuis la Chine.Le JT

  • JT de 8h du lundi 29 octobre 2018 L’intégrale

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Tabagisme: fumer occasionnellement expose aux mêmes risques cardiovasculaires

Fumer autour d’un verre de vin avec des amis ou en soirée de manière occasionnelle conduit à des risques cardiovasculaires, comparables à une consommation de tabac quotidienne, selon une étude américaine publiée ce jeudi 4 mai.

Le tabagisme occasionnel comporte des risques cardiovasculaires similaires à ceux du tabagisme quotidien.

Ce type de consommation “sociale”, même occasionnelle, expose à des risques d’

hypertension artérielle et d’augmentation du

cholestérol, indique une

étude menée par des chercheurs de l’université de l’Ohio auprès de 39 555 fumeurs volontaires dont 10 % de consommateurs occasionnels, entre 2010 et 2012.Tabagisme et risque cardiovasculaire vont de pairLe tabagisme est un facteur de risque connu pour l’hypertension et l’hypercholestérolémie, qui contribuent de manière importante aux

maladies cardiovasculaires, la principale cause de mortalité chez les hommes et les femmes à travers le monde.Fumer de temps en temps ou quotidiennement, mêmes risquesS’accorder ce plaisir dans un contexte récréatif (bars, soirées, réunions familiales, pots au bureau) fait sans doute la différence pour notre bonne conscience, mais pas pour notre santé à long terme, souligne l’étude. Les chercheurs ont en effet constaté que les fumeurs “intermittents”, déclarant ne pas

fumer tous les jours, avaient autant de risques cardiovasculaires que les fumeurs réguliers, en comparant les taux de cholestérol et la tension artérielle des deux groupes.Quel que soit leur type de consommation, 75 % des participants avaient une tension artérielle élevé et environ 54 % un taux de cholestérol élevé. Les fumeurs sociaux se considèrent comme non fumeursLa plupart des fumeurs sociaux, âgées de 21 à 41 ans, se considèrent non fumeurs lorsqu’on leur demande s’ils consomment du tabac, selon l’étude. Eviter de tomber dans l’addictionFace à ces résultats, les chercheurs pointent du doigt un problème de santé publique qui doit faire l’objet d’une prise en charge par les professionnels de santé pour éviter que ces personnes tombent dans l’addiction. Le tabagisme diminue en FranceEn France, la quantité de tabac fumé quotidiennement par les fumeurs diminue. Le nombre moyen de cigarettes fumées quotidiennement par les fumeurs réguliers est passé de 15,1 cigarettes par jour en 2005 à 13,6 en 2010, selon les chiffres de l’Inpes (actuellement Santé Publique France). La proportion de fumeurs de plus de dix cigarettes est passée de 72 % en 2005 à 68 % en 2010 (de 76 % à 72 % chez les hommes, et de 68 % à 64 % chez les femmes).Ces travaux ont été publiés dans la revue American Journal of Health Promotion.Click Here: pinko shop cheap