Sept membres d’une famille d’“origine syrienne” ont été interpellés, mardi 30 octobre, au Mans (Sarthe) dans le cadre d’une enquête antiterroriste après la mise en ligne de vidéos d’allégeance au groupe Etat islamique, a appris franceinfo de source proche du dossier, confirmant une information du Maine Libre. Ils ont été placés en garde à vue, indique une source judiciaire. Cette enquête préliminaire a été ouverte du chef d'”association de malfaiteurs terroristes formée en vue de commettre des crimes d’atteintes aux personnes”, par le parquet de Paris. Elle a été confiée à la Direction générale de la sécurité intérieur (DGSI). Elle concerne la mise en ligne de vidéos mettant en scène un individu prêtant allégeance à l’État islamique“Il ne s’agit pas à ce stade d’un projet d’attaque, a indiqué une source proche du dossier à l’AFP. L’enquête doit déterminer qui est l’individu qui prête allégeance à l’EI sur ces vidéos.”
Month: April 2020
Existe-t-il une durée normale pour un rapport sexuel ?
Combien de temps doit durer un rapport sexuel ? 10 minutes ? 1 heure ? Des scientifiques ont tenté d’y voir plus clair et le verdict est tombé. À vos marques, prêts… au lit !
Des scientifiques se sont lancé le défi de calculer la moyenne d'un rapport sexuel.
Soyons francs, qui n’a jamais eu, après un rapport sexuel, la sensation d’avoir fait soit un marathon de l’extrême, soit un sprint de 5 minutes ? Du coup vous vous demandez s’il y a une norme du coït. Sachez que vous n’êtes pas les seuls à vous poser cette question. En effet, des scientifiques du monde entier se sont mis en tête de calculer le temps moyen d’une partie fine.
S’il fallait retenir
une étude, ce serait celle réalisée par l’Université d’Utrecht. 500 couples originaires du monde entier ont été chronométrés pendant leur “gros câlin” sur 4 semaines.
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Cette étude n’a pas été une mince affaire puisqu’il fallait d’abord définir le moment où le chrono devait être lancé. Dès les préliminaires ? Au moment dudit coït ? Quand on quitte sauvagement ses vêtements ?
Pour clarifier au mieux les choses, les spécialistes ont déterminé la période suivante : de la pénétration à l’éjaculation. Mais comment aborder l’analyse ? Donner un questionnaire à un panel représentant la population ? N’oublions pas que l’Homme aime se vanter. Comment déceler le vrai du faux ? Pas si simple…
Puis, entre nous, qui peut donner une estimation de ses ébats ? À part Rocco Siffredi grâce aux replay de ses films. Lors d’une nuit d’amour, personne ne reste les yeux fixés sur sa montre pour débriefer le lendemain à ses collègues, devant la machine à café. Enfin espérons.Une expérience HOT
L’expérience était épique : les participants ont dû appuyer sur un bouton start au moment où le train entrait en gare, et sur stop lors du terminus (vous avez compris). Ensuite, la moyenne de chaque couple était calculée par rapport à tous leurs rapports sexuels durant les 4 semaines qui, disons-le, devaient être assez sportifs.
On constate que les durées varient bien évidemment selon les couples. Le temps le plus court est de 33 secondes (même pas le temps d’enlever ses chaussettes) et le plus long est de 44 minutes (comme un épisode sur Netflix).
Pas de surprise lors du verdict : il n’y a pas de durée dite “normale”. “Ouf” diront certain(e)s ! Mais en mesurant les divers résultats des galipettes des cobayes, une moyenne de 5,4 minutes en ressort tout de même.Bon à savoir
D’autres
informations intéressantes méritent d’être relevées. Par exemple, utiliser un préservatif n’a pas d’effet sur la durée de la performance. Ni le fait d’être circoncis ou pas. Ce qui met à mal les croyances populaires qui faisaient une corrélation entre sensibilité du pénis et efficacité au lit. L’âge quant à lui peut jouer un rôle. Plus le couple est âgé, plus le rapport est court.
A titre de comparaison, en Turquie, il faut savoir que la bagatelle ne dure pas plus de 4 minutes.Un début d’explicationDes chercheurs de l
’Université d’Albanie, à l’aide de vagins et de pénis factices, ont démontré que les mouvements répétés avaient pour fonction d’éloigner le sperme laissé par d’autres hommes grâce à la crête qui entoure l’organe de l’homme. Et d’assurer ainsi au moment de l’éjaculation plus de chances aux nouveaux spermatozoïdes d’atteindre l’ovule les premiers. Un Koh-Lanta de la procréation en quelque sorte.Au final, pas de stress à avoir si vous avez fait décoller votre partenaire au bout de 6 minutes ou 50 minutes. Tant que le moment est plaisant pour les deux, c’est le principal.
Concevoir un bébé après un cancer du sein peut être risqué selon le type de tumeurs
Les femmes qui ont eu un cancer du sein de type hormonodépendant et qui souhaitent faire un enfant présenteraient moins de risques de complications pour le bébé à naître, indique une
étudeaméricaine publiée dans l’International Journal of Cancer.
Les naissances étaient moins fréquentes chez les femmes ayant reçu une chimiothérapie et chez les femmes ayant eu un cancer du sein à un stade plus avancé, précise l'étude.
Le risque d’accoucher prématurément ou d’avoir un bébé de poids insuffisant peut dépendre du type de cancer du sein que les femmes ont connu avant leur grossesse, révèle une étude réalisée par des chercheurs du Centre de cancérologie de l’université de Caroline du Nord aux États-Unis.L’étude a suivi 4.978 Américaines diagnostiquées avec un cancer du sein entre 2000 et 2013. Environ 8% d’entre elles avaient eu au moins un enfant 10 ans après leur diagnostic.Les naissances étaient moins fréquentes chez les femmes ayant reçu une chimiothérapie et chez les femmes ayant eu un cancer du sein à un stade plus avancé, précise l’étude.Les chercheurs ont notamment regardé si les nourrissons nés prématurés (âgés de moins de 37 semaines) étaient en dessous du poids normal, de petite taille pour l’âge gestationnel ou nés par césarienne.Les résultats sont encourageants pour les femmes qui désirent concevoir un enfant après un diagnostic de cancer du sein. D’après les observations, il n’y a pas eu d’augmentation de la prévalence des naissances prématurées, de césarienne, le faible poids de naissance, de l’âge gestationnel chez les femmes avec un cancer du sein.Cependant, l’étude montre une différence de la survenue de complications en fonction du type de tumeurs : un risque accru de naissance prématurée, de faible poids à la naissance et de césarienne a été observé chez les femmes atteintes d’un cancer du sein dit à récepteurs œstrogéniques négatifs : 18% des naissances étaient prématurées contre 10% de l’ensemble des naissances de l’étude.Les femmes ayant connu un cancer du sein hormonodépendant dit “positif aux récepteurs œstrogéniques” ne présentaient pas de risque accru d’accouchement prématuré, soulignent les chercheurs qui ont l’intention de confirmer ces résultats par de plus larges recherches.Click Here: Cheap France Rugby Jersey
Le risque d'attaque serait plus fort après un épisode de grippe ou de pneumonie
De nouvelles recherches britanniques montrent que les personnes ayant attrapé une grippe ou une pneumonie peuvent être six fois plus susceptibles de souffrir d’une attaque cardiaque ou cérébrale (AVC) les jours ou les semaines suivant l’infection.
Une simple grippe peut augmenter son risque de développer une attaque cérébrale ou cardiaque.
Cette étude, menée par des chercheurs de l’University College de Londres (UCL), de la School of Mathematics and Statistics de Milton Keynes, et de l’institut Health Protection écossais, est la plus vaste à ce jour à s’intéresser aux effets des infections respiratoires sur le risque de
crise cardiaque et d’
AVC. On notera que leurs résultats font suite à un épisode particulièrement virulent de
grippe.
Pour mener leurs recherches, l’équipe a consulté des données écossaises et ont identifié 1.227 adultes ayant souffert d’une première crise cardiaque et 762 personnes atteinte d’un premier AVC. Tous ces sujets avaient précédemment été contaminés par un virus ou une infection bactérienne respiratoire entre 2004 et 2014.Les scientifiques ont ensuite regardé le taux de crises cardiaques et d’AVC dans les jours et les semaines suivant immédiatement une infection respiratoire et ont ensuite comparé ce taux à celui d’attaques survenues à d’autres périodes chez les mêmes sujets.
Les résultats ont montré que l’infection respiratoire rendait les personnes six fois plus sujettes à une attaque trois jours après la maladie, et que le risque accru de crise cardiaque restait fort jusqu’à une semaine après la contamination initiale, alors que le risque d’AVC perdurait jusqu’à un mois.Les conclusions ont par ailleurs souligné que bien plusieurs organismes différents causant les infections respiratoires augmentaient le risque, ce sont la bactérie S.pneumoniae et le virus de la grippe qui avaient l’impact le plus important.De plus, le risque d’attaque était plus élevé chez les sujets âgés de moins de 65 ans. Les scientifiques expliquent ce résultat par le fait que les personnes âgées de plus de 65 ans sont plus susceptibles d’être vaccinées contre ces infections.Suite à ces résultats, les chercheurs tiennent à souligner l’importance de la vaccination contre les maladies respiratoires chez les personnes âgées et les autres sujets à risque afin de réduire non seulement les troubles respiratoires mais aussi les attaques cérébrales ou cardiaques.
Ohio, Indiana Tornadoes Leave Trail Of Destruction
BROOKVILLE, OH — A rapid-fire line of apparent tornadoes tore across Indiana and Ohio overnight, packed so closely together that one crossed the path carved by another.
The storms damaged homes, blew out windows, toppled trees and left debris so thick that at one point, highway crews had to use snowplows to clear an interstate.
At least half a dozen communities from eastern Indiana through central Ohio suffered damage, according to the National Weather Service, though authorities working through the night had reported no fatalities as of early Tuesday. Some 5 million people were without power early Tuesday in Ohio alone.
In Indiana, at least 75 homes were damaged in Pendleton and the nearby community of Huntsville, said Madison County Emergency Management spokesman Todd Harmeson. No serious injuries were reported in the area or other parts of the state.
Madison County authorities said roads in Pendleton, about 35 miles (56 kilometers) northeast of Indianapolis, are blocked with trees, downed power lines and utility poles. Pendleton High School is open as a shelter.
The National Weather Service said a survey team will investigate damage in Madison County and possibly in Henry County. Another team may survey damage in Tippecanoe County.
Some of the heaviest hits were recorded in towns just outside Dayton, Ohio, where officials were still assessing damage.
In Vandalia, about 10 miles directly north of Dayton, Francis Dutmers and his wife were headed for the basement and safety Monday night when the storm hit with “a very loud roar.”
“I just got down on all fours and covered my head with my hands,” said Dutmers, who said the winds blew out windows around his house, filled rooms with storm debris, and took down most of his trees. But he and his wife were not injured and the house is still livable, he said.
The National Weather Service tweeted Monday night that a “large and dangerous tornado” hit near Trotwood, Ohio, eight miles northwest of Dayton. Several apartment buildings were damaged or destroyed.
Just before midnight, not 40 minutes after that tornado cut through, the weather service tweeted that another one was traversing its path, churning up debris densely enough to be seen on radar.
The aftermath left some lanes of Interstate 75 blocked north of Dayton. Trucks with plows were scraping tree branches and rubble to the side to get the major north-south route reopened, according to Matt Bruning, a spokesman for the Ohio Department of Transportation.
Trying to clear the debris in the middle of the night is a difficult task, complicated by darkness and downed power lines, Bruning said.
“We’ll do a more thorough cleaning after we get lanes opened,” he told The Associated Press by text early Tuesday, noting that tow trucks would have to haul off damaged vehicles along the roadway, too.
In Brookville, west of Dayton, the storm tore roofs off schools, destroyed a barn and heavily damaged houses.
Crews were also clearing debris in two other counties northwest of Dayton.
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In Dayton, the storm caused a few minor injuries but no reported fatalities. Dayton Fire Chief Jeffrey Payne called that “pretty miraculous” during a Tuesday morning briefing. Payne attributed the good news to people heeding early warnings about the storm.
Residents say sirens started going off around 10:30 p.m. Monday ahead of the storm.
Mayor Nan Whaley urged residents to check on neighbors, especially those who are housebound. Multiple schools in the area were closed or had delayed starts Tuesday.
City Manager Shelley Dickstein said a boil advisory has been issued for residents after the storms cut power to Dayton’s pump stations, and that generators are being rushed in.
The response will require a “multi-day restoration effort,” utility Dayton Power & Light said in an early morning tweet. The company said 64,000 of its customers alone were without power.
In Montgomery County, which includes Dayton, Sheriff Rob Streck said many roads were impassable. The Montgomery County sheriff’s office initially said the Northridge High School gymnasium would serve as an emergency shelter in Dayton but later said it wasn’t useable.
The latest apparent tornadoes came two nights after a twister struck a motel and mobile home park in El Reno, Oklahoma, killing two people and injuring 29. President Donald Trump tweeted Tuesday morning that that he spoke from Japan with Oklahoma Gov. Kevin Stitt and told him that the Federal Emergency Management Agency and the “federal government are fully behind him and the great people of Oklahoma.”
By Angie Wang, John Minchillo and Kantele Franko, Associated Press; AP writer David Runk contributed to this report from Detroit. Franko reported from Columbus, Ohio.
In New Jobs Era, Some Places Need A Wake-Up Call
NEW YORK, NY — A new era of work has companies and governments seeing unprecedented levels of productivity, but also a massive phase-out of jobs rendered obsolete by technology. And a new study shows some metro areas are better positioned than others to grow in the future as the workforce continues to evolve.
These places have one of two characteristics. Some are chock-full of challenging, hard-to-replace industries often tied to things like bigger paychecks and population growth. Others are growing through less-attractive industries in terms of things like high-quality jobs or their ability to attract the more sophisticated ones.
The Brookings Institution, a Washington, D.C.-based think tank, published its report in May with an accompanying interactive map showing how economically complex a city’s industries and underlying jobs are. Cities with more complexity are, by any measure, “more successful,” the authors wrote.
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The report is filled with jargon and mathematical concepts that can give you whiplash. But the concept is actually quite simple: Cities want as high a score as possible for economic complexity. This means it has a healthy number of industries and jobs that aren’t easily replaced or automated, such as computer systems design and scientific research. City scores for economic complexity range from as low as about -2.1 all the way up to around 3.5, though most appear to fall between -0.5 and 0.5.
The strategic index score is a little more interesting when it comes to policy-making, Marcela Escobari, a senior fellow at Brookings, told Patch this week. It indicates what industries are small and nascent in a city and that have a lot of potential. A high strategic score means the city is full of what they call “nearby” industries that have capabilities used by those in other more attractive industries.
“They’re attractive because they use talent, infrastructure, other things that can be used by complex industries,” said Escobari.
For example, Rhode Island officials decided that rather than relying on tax incentives to attract a certain biotech company, the two worked together to build the right workforce. After the company set foot in the state and started investing, several more biotech companies began knocking on the door, hoping to locate there and take advantage of the workforce talent.
“When we talk about a capability-based approach to growth, it’s understanding which sort of industries use the same talent and other capabilities as those you currently have,” she said. “We can tell you which industries are ‘nearby’ using our network approach. We can say that for every city, if you have a high strategic index, that means that you have a high potential to diversify into other complex industries, since the capabilities you have are shared by other complex industries.”
The strategic index score ranges from -2 to about 3.8, though most cities hover between -1 and 1. The ideal position is to have high scores in both categories, such as Nashville. These have a sunny economic outlook and are “primed” for job growth. Other areas, such as Pecos, Texas, face some tough sledding. Indeed, the authors prescribed a “thoughtful intervention” for cities with two low scores.
“For them, concerted effort towards strategic industries is paramount,” the report said.
Many cities scored well in one category but not the other. This is true in major metro areas, including Washington, D.C., New York and Los Angeles, which have high economic complexity scores and low strategic scores. This makes sense, Escobari said, because these cities are already strong in nearly all complex industries, meaning growth would have to come from new industries.
“It’s not a bad thing that it’s lower because they’re already in there,” said Escobari. “New York is going to grow by strengthening the current sophisticated industries and maybe inventing the next industry that we’ve never heard about.”
Meanwhile, cities with a low complexity score but a high strategic score will likely need to focus on less-complex work in nearby industries. This would hopefully gradually build an environment for more advanced capabilities. Such would be the case in a place like South Bend.
The report aimed to give local readers some insight on how the changing economy is “reshaping communities’ distinct advantages and opportunities.”
“Because this plays out differently depending on the unique mix of industries in each city — and the implicit capabilities they depend on — each community needs to chart its own tailored strategies toward growth,” the authors wrote.
The map also showed a stark contrast between the most and least developed metro areas. Sometimes, the best positioned areas neighbored the worst. Such was the case with Boise City and Ontario in Idaho. The Boise City area boasted scores of .6 and .8, respectively, while the Ontario area lagged behind with negative scores in both categories: -.6 for complexity and -.2 on the strategic index.
Furthermore, young workers ought to prepare to have “many careers.” Work will increasingly be organized around short-term assignments instead of “traditional” jobs. To that end, longstanding systems and institutions — such as colleges — long associated with growth and success have struggled to adapt to the changing economy. They, too, must rethink how best to prepare people.
Escobari said the researchers used a similar methodology to one Harvard University researchers previously used to evaluate countries. As cities think about how best to approach the future of work, the Brookings analysis acts as a sort of data-driven map they can use to navigate the future, allowing them to understand which industries are at risk and which are likely to grow based on where they currently stand.
“Instead of telling everyone, ‘to grow, just invest in these five tech industries, or just build talent and good infrastructure,’ a city can work form where it stands. The fact that certain industries exist in a city means it already has certain capabilities,” said Escobari.
Retrait de l'autorisation de mise sur le marché français d'un herbicide commercialisé par Bayer
L’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a annoncé jeudi le retrait de l’autorisation de mise sur le marché en France de l’herbicide Basta F1 de Bayer, estimant que des risques pour la santé humaine ne pouvaient être exclus.
Des risques pour la santé humaine ne pouvaient être exclus, estime l'ANSES.
Les stocks de Basta F1, “le seul produit phytopharmaceutique à base de glufosinate-ammonium autorisé en France“, pourront être écoulés pendant trois mois par les distributeurs et utilisés pendant neuf mois supplémentaires par les agriculteurs, à partir de la date de la décision le 24 octobre, a précisé l’Anses à l’AFP.”Les risques pour la santé humaine liés à l’exposition au glufosinate, une substance classée reprotoxique présumée, ne peuvent être exclus pour la santé” des agriculteurs l’utilisant et des personnes à proximité des lieux traités, a expliqué l’Agence dans un communiqué.Le retrait concerne également neuf licences d’importation de produits contenant du glufosinate-ammonium, ce qui signifiera à terme “la disparition de tous les produits phytopharmaceutiques” à base de cette substance du marché français.Cet herbicide est utilisé en pulvérisations sur les vignes, vergers, légumes et pommes de terre.Bayer s’est dit “surpris” de cette décision.”Nous regrettons la décision de l’Anses qui prive l’agriculture d’une solution de désherbage reconnue utile, voire indispensable par certaines filières, alors même que des études démontrent la sécurité de l’utilisation du produit pour la santé lorsque les conditions d’utilisation sont respectées“, a commenté dans un communiqué Frank Garnier, président de Bayer France.Click Here: cheap nrl jerseys
Stérilet Mirena® : l’ANSM continue des investigations sur les effets indésirables non mentionnés dans la notice du produit
Des milliers de plaintes concernant des effets indésirables dans différents pays dont la France ont été exprimées depuis des mois par des femmes portant le stérilet hormonal Mirena®. Après les plaintes exprimées sur les réseaux sociaux, l’Agence du médicament se penche dès mai 2017 sur l’ensemble des déclarations d’effets indésirables et en particulier ceux ne figurant pas dans la notice du produit. En novembre 2017, l’Agence européenne du médicament a conclu qu’il n’y avait pas suffisamment de données pour établir un lien direct entre les effets indésirables, notamment l’anxiété, et le dispositif.
Le stérilet hormonal Mirena fait l'objet de nombreuses plaintes pour effets secondaires dans le monde. L'ANSM et l'Agence européenne du médicament mènent des investigations sur ces plaintes.
Depuis quelques mois, voire plusieurs années, de milliers de femmes ont signalé de nombreux effets secondaires liés au stérilet hormonal Mirena® en Espagne, aux Etats-Unis ou en Allemagne.Des milliers de signalisations en France par InternetEn France, ces signalements sont réalisés par des femmes via Internet ou des réseaux sociaux, et ils sont très nombreux. Le produit, commercialisé depuis une dizaine d’années est ainsi mis en cause par des milliers de femmes dans le monde en raison de nombreux effets secondairesDes investigations complémentaires sur de nouveaux EI, données françaisesDans un communiqué du 12 mai 2017, l’ANSM précise que “de nouveaux effets indésirables comme
anxiété,
vertiges,
fatigue ou irritabilité, non mentionnés actuellement dans les documents d’information destinés aux professionnels de santé et aux patientes ont été rapportés au niveau européen. Ces effets indésirables sont en cours d’évaluation par l’Agence européenne du médicament (EMA) et les résultats sont attendus à partir du mois de juin 2017“.L’ANSM affirme qu’elle mène également des investigations au niveau national sur l’ensemble des déclarations d’effets indésirables reçues en lien avec le DIU Mirena®.Les premiers résultats de l’enquête de pharmacovigilance, présentés le 10 octobre dernier à l’occasion du CTPV, révèlent, concernant Jaydess , que seules 67 déclarations d’effets indésirables ont été reçues depuis le début de sa commercialisation en 2014 en France (29 avant le 15 mai 2017 et 38 après cette date). Concernant Mirena , depuis sa commercialisation en 1997 et jusqu’au 15 mai 2017, 510 cas dont 272 cas graves ont été rapportés. Après le 15 mai 2017 et jusqu’au 4 août 2017, 2 714 cas dont 1 789 rapportés comme graves par les femmes, c’est-à-dire déclarés comme ayant des conséquences sur leur vie familiale, professionnelle ou sociale.Pas de lien direct pour certains effets, selon l’Agence européenneLes résultats de l’enquête nationale relatifs aux effets de type “anxiété” ont été transmis à l’Agence européenne des médicaments (EMA) dans le cadre de l’évaluation des effets indésirables psychiatriques débutée en janvier 2017. Concernant l’anxiété, l’EMA considère qu’il n’y a pas, à ce stade, suffisamment de données pour établir une association entre l’utilisation d’un DIU contenant du lévonorgestrel avec une anxiété isolée, une attaque de panique, des troubles du sommeil ou une agitation. Les troubles de l’humeur ont été considérés comme liés à la dépression ou à l’humeur dépressive, déjà mentionnés dans les documents destinés aux professionnels de santé (RCP) et aux femmes (notice).Les cas d’arthralgies ont également été évalués par l’EMA qui a considéré que les données de vigilance n’étaient à ce stade pas suffisantes pour modifier les informations figurant dans ces documents.Les titulaires d’Autorisation de mise sur le marché des DIU contenant du lévonorgestrel devront continuer à suivre ces évènements en accord avec la réglementation en vigueur.Renforcer l’information des patientesL’ANSM rappelle par ailleurs que les patientes doivent être informées des bénéfices et des potentiels effets indésirables du dispositif par leur médecin au moment du choix de la contraception et de la pose du DIU.L’ANSM précisa également que “Mirena est un dispositif intra-utérin (DIU) commercialisé depuis près de vingt ans. Il est indiqué pour éviter une grossesse (contraception) ou pour traiter des règles trop abondantes (ménorragies fonctionnelles). Il est inséré dans la cavité utérine où il agit en libérant un progestatif (le lévonorgestrel) pendant une durée de 5 ans. Un examen de contrôle doit être réalisé 4 à 6 semaines après la pose du DIU, puis tous les ans.L’ANSM élabore actuellement un document d’information à destination des femmes, en collaboration étroite avec l’association “SVH ASSO stérilet vigilance hormones”, afin de renforcer l’information des femmes qui choisiraient ce type de contraception.Pas de remise en cause du produit pour l’instantMais selon l’ANSM, à ce jour, au regard des données disponibles, l’augmentation et la nature des déclarations ne remettent pas en cause le rapport bénéfice/risque de Mirena, qui reste positif dans ses indications actuelles, mais des investigations supplémentaires se poursuivront.Affaire à suivre…Click Here: cheap Cowboys jersey
La justice donne raison à Doctipharma
Les pharmaciens d’officine peuvent à nouveau vendre leurs médicaments sans ordonnancegrâce à la plateforme Doctipharma.fr. Une décision qualifiée d’historique pour le commerce électronique de médicament en France.
La justice a tranché: les pharmaciens d'officine peuvent à nouveau vendre leurs médicaments sans ordonnance grâce à la plateforme Doctipharma.fr.
Une décision favorable au marché numérique du médicamentLes pharmaciens d’officine utilisant la solution technique Doctipharma et ayant obtenu l’autorisation de leur Agence Régionale de Santé peuvent de nouveau procéder à la vente en ligne de médicaments sans ordonnance à partir de leur site internet créé et accessible à partir de la plateforme
Doctipharma.frDoctipharma.fr, une solution technique pour les pharmaciensPar un arrêt rendu le 12 décembre 2017, la Cour d’appel de Versailles a en effet rendu une décision historique pour le commerce électronique de médicaments en France. Elle a infirmé en toutes ses dispositions le jugement du tribunal de commerce de Nanterre du 31 mai 2016 qui avait déclaré illicite le site Doctipharma.fr en tant que solution technique déployée auprès des pharmaciens d’officine souhaitant éditer et exploiter un site de vente en ligne de médicaments sans ordonnance.Doctipharma, le partenaire digital des pharmaciens et des patientsDoctipharma, grâce à sa plateforme de référence, apporte aux pharmaciens et aux patients une solution sécurisée et fiable pour la vente et l’achat en ligne de produits de parapharmacie et de médicaments sans ordonnance.Sur Doctipharma.fr sont déjà regroupées les offres de centaines de pharmacies à travers toute la France avec plus de 15 000 références de parapharmacie vendues et expédiées directement par les pharmaciens eux-mêmes. Les produits commandés sur Doctipharma.fr sont en stock chez les pharmaciens et bénéficient donc d’une garantie de qualité et de traçabilité.Aucun risque pour le consommateurPour le consommateur, avec la multiplication des sites marchands et le risque de contrefaçon, c’est l’assurance de ne prendre aucun risque sur la provenance des produits de santé achetés.Doctipharma répond à la demande croissante des français de commander en quelques clics leurs produits, et de se faire livrer à domicile ou de retirer sa commande dans un comptoir de pharmacie ou dans un point retrait.Stéphanie Barré, directrice générale de Doctipharma : “Cet arrêt est historique. Nous sommes extrêmement satisfaits de cette décision éclairée et motivée qui illustre bien la légalité de notre offre et la mission de Doctipharma : accompagner les pharmaciens dans la digitalisation de leur métier. Doctipharma leur donne les moyens d’exercer leur activité sur internet dans le cadre fixé par la réglementation. Ainsi, Doctipharma permet aux patients d’accéder simplement et de façon sécurisée à une large offre de produits de santé.”A propos de DoctipharmaCréée en 2014, Doctipharma a su innover en développant la première plateforme française de sites de vente en ligne de médicaments sans ordonnance et de produits de parapharmacie. Elle propose une gamme complète de services répondant aux différents besoins des pharmaciens français face à la digitalisation de leur métier. Souhaitant assurer proximité, sécurité et confort d’achat pour les patients français, Doctipharma constitue une solution clé en main pour les pharmaciens désireux d’ouvrir une officine en ligne. Doctipharma est une filiale de Doctissimo.Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks
Le PDG de Lactalis sort de son silence et promet d'indemniser les victimes
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Sortant de son silence, le PDG de Lactalis a promis d’indemniser "toutes les familles qui ont subi un préjudice" en raison d’une contamination à la salmonelle de produits du géant français du lait.
Sortant de son silence, le PDG de Lactalis a promis d'indemniser "toutes les familles qui ont subi un préjudice" en raison d'une contamination à la salmonelle de produits du géant français du lait.
Dans un
long entretien au Journal du Dimanche, Emmanuel Besnier, qui ne s’était jusqu’ici pas exprimé au sujet de l’affaire qui ébranle son entreprise, a assuré avoir eu avant tout à l’esprit les conséquences de cette crise sanitaire pour les consommateurs, “des bébés de moins de six mois“, a-t-il rappelé : “c’est pour nous, pour moi, une très grande inquiétude“.Après la rencontre vendredi à Bercy entre M. Besnier et le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, le groupe Lactalis avait ordonné la reprise de tous les lots de lait infantile produits dans son usine de Craon (Mayenne), élargissant encore les rappels successifs lancés depuis début décembre.Le patron du groupe a affirmé avoir lui-même proposé au gouvernement cette mesure qui s’étend à 83 pays. “Il faut mesurer l’ampleur de cette opération : plus de 12 millions de boîtes sont concernées“, a-t-il révélé, assurant que les distributeurs n’auront plus à trier. “Ils savent qu’il faut tout retirer des rayons“.Trente-cinq enfants atteints de salmonellose ont été diagnostiqués en France après avoir consommé un lait ou un produit d’alimentation infantile de l’usine Lactalis incriminée, selon les derniers chiffres officiels au 9 janvier.Un cas de salmonellose avéré a en outre été découvert en Espagne concernant un bébé ayant consommé de ce lait infantile contaminé et un autre cas reste à confirmer en Grèce.Interrogé sur les “centaines” de plaintes déposées par des parents de nourrissons dans toute la France, et alors qu’une enquête préliminaire a été ouverte fin décembre par le pôle santé publique du parquet de Paris notamment pour “blessures involontaires” et “mise en danger de la vie d’autrui”, M. Besnier a assuré qu’il ne cacherait rien.”Il y a des plaintes, il y aura une enquête, nous collaborerons avec la justice en donnant tous les éléments qu’on nous demandera. Nous n’avons jamais pensé agir autrement“, a-t-il promis.M. Besnier, dont la discrétion est légendaire, n’était pas venu s’exprimer face aux journalistes lors de sa visite à Bercy, entrant même par une porte dérobée.La contamination à la salmonelle dans l’usine de Craon avait été révélée début décembre au public. Selon M. Besnier, les résultats des analyses situent le problème “probablement” au cours du premier semestre 2017.Or, au premier trimestre, “nous avons fait des travaux dans cette usine. À cette occasion, la bactérie peut avoir été réintroduite à l’intérieur des installations“, a-t-il suggéré.Les distributeurs, dont certains ont continué à vendre des produits potentiellement contaminés après l’annonce de leur retrait, avaient déjà été convoqués à Bercy jeudi soir. Le patron des centres E.Leclerc, Michel-Edouard Leclerc, a évoqué jeudi une “défaillance” des services de l’Etat.”Aujourd’hui, nous nous concentrons sur nos responsabilités et pas sur celles des autres“, a répondu le patron de Lactalis, qui n’a pas voulu désigner de responsables.”Notre métier, c’est de mettre des produits sains sur le marché“, a-t-il affirmé. “Si cela n’a pas été le cas, c’est notre responsabilité“, a-t-il reconnu, soulignant toutefois qu’à son sens, “il n’y a pas eu de manquements de notre part sur les procédures“.Les contrôles déjà effectués ont permis de retrouver des boîtes de lait potentiellement contaminées dans des supermarchés, mais aussi dans des pharmacies, des crèches et des hôpitaux.C’est le rappel des lots de lait infantile en trois étapes en décembre qui a semé la zizanie. Faute d’accord avec Lactalis, M. Le Maire a expliqué avoir dû signer lui-même le 9 décembre un arrêté demandant la suspension de la commercialisation des laits infantiles et le rappel de quelque 600 lots, soit 11.000 tonnes.