Résistance aux antibiotiques : des médecins tirent la sonnette d’alarme

Des médecins et associations de patients tire la sonnette d’alarme sur l’antibiorésistance croissante. Certaines infections, même les plus courantes, sont de plus en plus difficiles à soigner à cause de bactéries coriaces.

Sommaire

  1. Un tiers des prescriptions d’antibiotiques inutile
  2. Les bactéries le plus souvent coriaces
  3. Résistance aux antibiotiques : comment en venir à bout ?

Les antibiotiques, c’est pas automatique“. Malgré une campagne d’information largement diffusée au début des années 2000, le sujet est encore d’actualité et s’aggrave. Ce jeudi 1er février, des médecins et associations de patients comme la Fédération française des diabétiques, lancent un cri d’alerte sur la résistance aux antibiotiques, un problème majeur qui pèse sur la santé mondiale.Un tiers des prescriptions d’antibiotiques inutileL’abus de prescriptions d’antibiotiques, inutiles dans 30 % des cas, rend les bactéries résistantes. Résultat, certaines infections, même les plus courantes

(infection urinaire, plaie sur la peau), sont de plus en plus difficiles à soigner. Ils se basent notamment sur une

étude portant sur les infections cutanées et dont les bactéries responsables sont de plus en plus résistantes aux traitements antibiotiques. Ces travaux avaient montré que les séjours hospitaliers pour ce type d’infection avaient augmenté de 5 % entre 2014 et 2016.Les bactéries le plus souvent coriacesInterrogé par Le Parisien, le Pr François Bricaire, infectiologue à la Pitié-Salpêtrière, rappelle que les personnes les plus vulnérables à l’antibiorésistance sont les “sujets fragiles, âgés et immuno-déprimés“. Le 29 janvier dernier, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait dressé le même constat. Les

premiers résultats du programme international de surveillance de la résistance aux antibactériens (le GLASS), menés sur 22 pays (la France n’en fait pas partie) sont inquiétants. Les bactéries le plus souvent résistantes sont Escherichia coli (souvent impliquée dans les infections urinaires), Klebsiella pneumoniae (souvent responsable des angines et infections pulmonaires), Staphylococcus aureus (responsable des infections cutanées) et Streptococcus pneumoniae (responsable d’infections respiratoires et ORL) et Salmonella spp (responsable des salmonelles). Ces bactéries sont résistantes et “franchissent les frontières“, souligne le Dr Marc Sprenger, directeur du secrétariat chargé du problème de la résistance aux antimicrobiens à l’OMS. Ce qui en fait un problème de santé mondial.Résistance aux antibiotiques : comment en venir à bout ?Pour faire face à ce problème, le Dr Jean-Paul Hamon, président de la Fédération des médecins de France appelle à l’éducation thérapeutique et à l’action des pouvoirs publics. La réduction de la consommation d’antibiotiques par les Français peut s’opérer uniquement si les médecins et les politiques interviennent rapidement pour limiter les prescriptions et sensibiliser le grand public aux dangers de l’antibiorésistance.Selon un

rapport du ministère de la Santé publié en 2015, 160 000 patients développent chaque année en France des infections liées à des bactéries multirésistantes aux antibiotiques et 13 000 en meurent.Click Here: New Zealand Rugby Shop

Une tumeur au cerveau record opérée en Inde

Des chirurgiens indiens ont annoncé jeudi avoir opéré un homme d’une tumeur au cerveau d’un poids record de près de deux kilogrammes.

La tumeur pesait exactement 1,87 kg, et il s'agit de la plus importante tumeur à avoir été opérée avec succès. ©INDRANIL MUKHERJEE / AFP

Le patient, Santlal Pal, un commerçant de 31 ans, a été opéré le 14 février.Selon les médecins de l’hôpital BYL Nair de Bombay où il a été opéré, la

tumeur au cerveau était tellement grosse et proéminente “qu’il semblait avoir deux têtes l’une au-dessus de l’autre“.Une intervention difficile de 7 heures”C’était une intervention extrêmement impressionnante et difficile“, a déclaré à l’AFP le chef du service de neurochirurgie, Trimurti Nadkarni.Il a indiqué que l’intervention avait duré sept heures et avait nécessité l’utilisation de 11 poches de sang.La tumeur pesait exactement 1,87 kg, et il s’agit de la plus importante tumeur à avoir été opérée avec succès, le patient ayant survécu, selon un communiqué de l’hôpital. Une amélioration satisfaisante”Avant l’intervention, le patient avait une vue très amoindrie, celle-ci devrait s’améliorer maintenant“, a ajouté le chef de service.L’hôpital a indiqué que le patient récupérait de manière satisfaisante, marchait et s’alimentait normalement. Le précédent record concernait une tumeur de 1,4 kg, selon la même source.

Dans la tête d'un schizophrène : un site interactif pour connaître la maladie

Comment la schizophrénie modifie-t-elle nos perceptions ? Un

site internet interactif permet de s’immerger dans la tête d’un malade, pour mieux connaître, et éventuellement reconnaître chez un proche, les effets de ce trouble.

L’Association des journées de la schizophrénie, événement qui commence samedi, a mis en ligne sur le site schizinfo.com un film intitulé “Un repas de famille” où l’internaute prend les commandes.Quand on maintient la barre Espace, on est dans la tête d’un malade sans suivi thérapeutique qui “voit des personnages malveillants et dangereux pour lui”.Quand on relâche la barre Espace, on passe dans la tête de celui qui bénéficie de ce suivi, et qui “décrit les tics, manies, travers et excès de sa famille de façon humoristique, et parfois tendre“, explique l’Association.

Avec ce film, on se met dans la perspective de la personne et on voit le désarroi qui est le sien“, explique à l’AFP le psychiatre Nicolas Franck, du Centre hospitalier Le Vinatier à Bron (Rhône).”Il reste impossible de dire ce qui se passe dans la tête d’une personne atteinte de schizophrénie. C’est toujours à elle de le faire, car la schizophrénie est un regroupement de causes diverses, qui provoquent des troubles très divers“, ajoute-t-il.L’un des objectifs est aussi de combattre les idées reçues. “La principale, c’est que ces personnes ne peuvent pas vivre une vie normale, et notamment ne peuvent pas travailler. C’est faux, car si on les accompagne elles le peuvent tout à fait”, selon le psychiatre.D’après un sondage OpinionWay réalisé en ligne en janvier et décembre auprès de 1.102 personnes, 65% des Français “ont déjà entendu parler de la schizophrénie mais ne savent pas exactement ce que c’est“.

La majorité d’entre eux pensent qu’une personne sur 10.000 en souffre, alors que la proportion est en fait d’une sur 100, avec environ 600.000 malades, selon des estimations officielles.Maladie mentale complexe, la schizophrénie affecte les mécanismes de la pensée, des sentiments, des émotions, des perceptions et du comportement. Elle apparaît à l’âge adulte.”Ces malades ne sont pas en mesure de faire eux-mêmes appel à la médecine au début de leurs troubles, car ils ne comprennent pas qu’ils sont malades. Il faut donc que l’entourage les y amène peu à peu“, souligne le Dr Franck.

Alzheimer : une seule nuit blanche suffit à causer des dégâts cérébraux

Une seule nuit blanche peut conduire à une accumulation de plaques amyloides dans le cerveau, des anomalies liées au développement de la maladie d’Alzheimer, révèle une nouvelle

étudeaméricaine publiée ce mardi 10 avril.

Une seule nuit blanche peut conduire à une accumulation de plaques amyloides dans le cerveau, des anomalies liées au développement de la maladie d'Alzheimer.

Les personnes privées de sommeil pendant une nuit manifestent une augmentation “immédiate et significative de plaques amyloïdes dans le cerveau”, montre une nouvelle étude publiée dans la revue médicale Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). Ces agrégats de la protéine bêta-amyloïde sont des marqueurs connus liés à des déficits cognitifs et la démence, symptomatiques de la maladie d’Alzheimer.Pour évaluer les effets d’une nuit blanche sur le cerveau, les chercheurs ont recruté 20 personnes saines sans antécédent de troubles cérébraux et leur ont fait passer deux nuits en laboratoire dont une où “ils n’ont pas fermé l’oeil“, précise l’étude.Comparativement à une bonne nuit de sommeil, la privation de sommeil a été associée à une augmentation significative de plaques amyloïdes dans le cerveau.Ces dépôts ont été observés dans des zones du cerveau liées à la mémoire et la pensée comme l’hippocampe et le thalamus, “un centre important pour retransmettre des informations sensorielles au cerveau“, souligne l’étude. 


Sans pour autant établir un lien de cause à effet entre la dette de sommeil et la maladie d’Alzheimer, les chercheurs émettent deux hypothèses pour expliquer ce phénomène.Premièrement, quand les gens ne dorment pas, leurs neurones meurent, “menant potentiellement à une formation de plaques amyloïdes“, expliquent les auteurs de l’étude. Deuxièmement, le sommeil facilite le déplacement des déchets du cerveau, incluant ces dépôts, “car les neurones diminuent de taille en dormant, créant de l’espace entre les cellules permettant de dégager les toxines.L’étude ne dit pas en revanche si une bonne nuit de sommeil peut inverser les effets néfastes de l’insomnie. D’autres recherches évalueront ce cas de figure. Par ailleurs, d’autres travaux devraient dire si de hauts niveaux de plaques bêta-amyloïde dans le cerveau augmentent le probabilité de formation de blocs denses entre les neurones, une condition grave conduisant à la dégénérescence.Click Here: nrl shops

Helicopter Crashes Into Midtown High Rise, Pilot Dies: FDNY

MIDTOWN MANHATTAN, NY — A helicopter crashed into the roof of a Midtown Manhattan high rise building Monday afternoon, killing one person and forcing hundreds of terrified workers to evacuate onto closed-down streets.

The aircraft was engulfed in flames while landing on the 752-foot AXA Equitable Building at 787 Seventh Avenue, between West 51st and 52nd streets, officials said. The crash killed the pilot.

“We’re 1 block south. 20 mins ago there was a loud sound like a too-low #helicopter & I looked up and saw sheet of flame on roof and then smoke,” one man said on Twitter.

Hank Ludwicki sprinted without shoes to Central Park after evacuating 787 Seventh Ave. during the middle of a yoga class in the basement of the building.

“Safety. Just run,” went through his head, he said.

Michaela Dudley, a lawyer at the firm Sidley Austin, told Patch that she was working in her office on the 20th floor when the helicopter crashed into the building. At first, she felt a “minor tremor,” then an evacuation order came over the PA system, she told Patch.

It took about 25 minutes to make it out of the building because the stairwell was packed with people trying to evacuate, Dudley said.

“We kept stopping and going,” she said. “People were getting kind of panicky because there wasn’t much information. You could hear people calling down to the lower floors, telling others to keep moving.”

A German relative of the Danish royal family, Prince Mario Max Schaumburg-Lippe, was having lunch in a nearby building when it was evacuated.

“It was very quiet,” said Schaumberg-Lippe. “Everyone was listening to the first responders of what to do.

“It was very scary. It was the one of the most scary moments of my life.”

Emergency officials closed several Midtown blocks, crippling traffic as the streets were lined with response vehicles and hundreds of people who emptied out of the surrounding buildings.

Police blocked off Seventh Avenue for several blocks south of West 57th Street and warned people to avoid the area.

NYPD Commissioner James O’Neill said the craft took off from the 34th Street heliport 11 minutes before the crash, it was run by a private operator and was thought to be involved in “executive travel.” O’Neill said it’s likely that the helicopter was headed to it’s home base in Linden, NJ.

The police commissioner added that a temporary flight restriction had been in place because of bad weather and investigators are trying to figure out if the helicopter had permission to be in the air.

Mayor Bill de Blasio said no terrorism connection was suspected. But when New Yorkers heard that an aircraft had crashed into a Manhattan building, the connection to 9/11 was the first thing on their mind, some told Patch.

Luther Kane, 25, who lives nearby, was walking a couple blocks away when he heard a loud boom and then, “people started to freak out.” He and a crowd of people started running and calling 911.

“It was just like a lot,” Kane said. He thought, “I hope this not another 9/11.”

Meghan Thompson, 21, was working on Eighth Avenue in Midtown when the sound of sirens drowned out the usual office din. She described the experience as “terrifying.”

“No one was sure yet if it was an accident or an attack,” said Thompson. “You start to wonder if everyone is okay and safe, if anyone’s hurt or dead, then you worry about their families then it hits…. what if it was you?”

“My first thought was terrorist attack and that I need to go home where I’m safe.”

No other injuries were initially reported, the spokesman said. All visible fire near the crash site on the building’s roof was extinguished, but firefighters remained on scene to contain fuel leaking from the helicopter, an FDNY spokesman said.

The building is home to tenants including international bank BNP Paribas and the renowned French restaurant Le Bernardin.

Monday’s crash was the latest in a number of high-profile helicopter accidents in New York City.

In 2011, a woman was killed after a helicopter crashed into the East River just after it had taken off from the 34th street heliport, DNAinfo reported at the time.

The helicopter held five people including the pilot. Four were able to escape with only minor injuries, but a woman who was traveling with her parents was trapped inside the helicopter as it sank, said then Mayor Michael Bloomberg.

In March 2018, another helicopter crashed into the East River, killing five passengers. The privately chartered aircraft was in the midst of a photo shoot when the pilot lost control and plunged into fifty feet of water.

Only last month, two passengers suffered non-life threatening injuries when a helicopter crashed into the Hudson River. The accident was caused by the helicopter’s pilot misjudging a landing pad, officials said.

Just last week, Uber announced plans to offer 6,200 helicopter flights between Manhattan and JFK Airport.

Patch’s Sydney Pereira and Gus Saltonstall contributed to this report.

Untold Story Of How Police Caught Kathleen Flynn's Accused Killer

NORWALK, CT — In the end, after more than 30 years, it came down to a small amount of scrapings under a fingernail. Marc Karun, the former Norwalk man who police say sexually assaulted and strangled 11-year-old Kathleen Flynn to death in 1986, gave police hair and DNA samples two years after the crime. But it took years and advances in forensics testing for his DNA to finally be linked to Flynn’s murder, and for Karun to be arrested more than 30 years after the crime.

How it came to that is a study in painstakingly detailed police work, persistence, dedication and the passion of one Norwalk police lieutenant and other members of the department — including one deceased former police chief and another former chief who is now the current mayor of the city — to see that justice was served.

“We don’t give up,” said Norwalk Mayor Harry Rilling, the former police chief who was a lieutenant in the department when Flynn was murdered, during a news conference Tuesday.

Kathleen Flynn was walking home from Ponus Ridge Middle School on the afternoon of Sept. 23, 1986, when she was abducted along her usual route on Hunters Lane, according to the Karun’s arrest warrant. When she didn’t get home at the usual time, her mother reported her missing. The next day in the woods near the school, about 158 feet from the walking path, her partially clothed body was discovered.

The shocking crime shook the community “to its core,” according to Rilling, and touched off an investigation that at various times consumed the entire police department under former Chief Carl LaBianca. Solving the murder became a passion of LaBianca’s, Rilling said, part of the bittersweet legacy of the case because LaBianca did not get to see the investigation end; he died in late 2013.

Flynn was strangled with some sort of rope or cord and her wrists were been bound. Whatever was used was removed from her body and the scene, but ligature marks were still visible. The medical examiner listed her cause of death “asphyxia due to ligature strangulation.”

Over the years, Norwalk police collected mounds of evidence in the case, generated reams of reports, conducted countless interviews, called for a myriad of tests to be run, and studied a host of other information. But it turned out that one of the first suspects in the case ended up being the man eventually accused.

Karun became a suspect early on in the investigation because of a sexual assault he was accused of earlier that year that involved similar characteristics.

Soon after news reports of Flynn’s body being found, Norwalk police received “a plethora of calls” from people who wanted to report seeing “suspicious persons and suspicious vehicles” near the school on or prior to Sept. 23, 1986.

One person reported her vehicle was nearly struck by another driver who sped out of the woods on the day Flynn disappeared. The vehicle was “an early 1970s, medium-green vehicle.” The woman recalled seeing three white males in the vehicle, which turned out to be one of the early clues potentially linking Karun to the crime because he drove a “light green-silver metallic color car.”

The vehicles turned out to be different, but Karun cropped up on the Norwalk police radar because of a sexual assault he was accused of committing in the city in January of that year.

In that crime, he was accused of threatening an 18-year-old woman at knifepoint and sexually assaulting her. During the attack, he bound her wrists with electrical wire. After releasing her, she reported the incident to police and he was charged with first-degree sexual assault and first-degree kidnapping.

The charges eventually were reduced to fourth-degree sexual assault, in part because the woman later dated Karun, police said. Karun received a six-month executed sentence and two years probation.

Norwalk police questioned Karun soon after the murder. He told investigators he visited the school a few days before the crime to see some teachers and a librarian, and he even walked along the same path that Flynn traveled. Karun attended the school as a child and was a graduate of Norwalk’s Brien McMahon High School.

But as for the 23rd, Karun said he was walking on Connecticut Avenue in Norwalk, half-heartedly looking for work because his parents had told him to find a job.

He also told police that he did not know Flynn and did not commit the crime, but one of the detectives who interviewed him noted that while he was cooperative while speaking with them, he appeared “very nervous and apprehensive and smoked three cigarettes during the interview.” He also could not account for his whereabouts on the afternoon Flynn disappeared.

Though some Ponus Ridge Middle School teachers at the time remembered Karun as a student with “many serious problems,” none of the staff saw him on Sept. 19, 1986, the day that he said he was there.

Investigators collected hair samples from Karun from his arrest in January 1986 incident and compared them to evidence found on Flynn. While some of the evidence appeared to be from a Caucasian male, which Karun is, his hair did not directly match the evidence, in part because those types of tests had not yet reached the level of sophistication that tests are today.

In the two years that followed, hair samples from other potential suspects were tested and came up negative.

Then in June of 1988, Karun was accused of attacking a 41-year-old woman at knifepoint as she was out walking on Ponus Ridge Road in New Canaan. He surprised her as she walked by and asked her what road he was on, police said. After a brief exchange, he pulled out a knife, grabbed her and tried to drag her back to the car he borrowed, police said.

As she screamed and tried to fight him off, a couple out walking saw the commotion and rushed toward them, according to police, and Karun got into the car and drove off. The victim and witnesses gave a description of the attacker and car, and Karun was picked up by police. He borrowed the car from his then-girlfriend.

Karun was charged in that attack. That same year, he was accused by state police and Derby police of committing other attacks, with the one in Derby involving a sexual assault and kidnapping.

During the same period, Norwalk police continued to submit hair samples for testing from Karun and other people of interest in the Flynn murder. All of them came up negative.

Then in May of 1989, two women were kidnapped and sexually assaulted in Norwalk’s Cranbury Park. They were both handcuffed and secured by a rope placed around their necks. The victims had been attacked by a man named Michael Franzese, who was arrested and charged.

Franzese became a suspect in the Flynn murder, and initially some hair samples taken from him appeared to show similar characteristics with samples taken from Flynn. But ultimately, he was dismissed as a suspect because he was found to have been out of state at the time of the murder and his forensic profile did not match up.

By then it was 1990, and some potential DNA evidence was discounted because it was stained.

Years passed, and beginning in 1999, evidence was re-examined using newer forensic technologies, a slow and painstaking process that was done at a lab in Pennsylvania.

Essentially, smaller and older pieces of evidence, and samples from victims and suspects, could be tested. So earlier suspects were able to be ruled out during the re-testing process, known as Mitochondrial DNA analysis.

In 2002, the Flynn case was transferred from the Norwalk Police Detective Bureau to the department’s Cold Case Unit where it was picked up by Lt. Art Weisgerber, the investigator who eventually shepherded the case to last week’s arrest.

By this time, Karun was a registered sex offender who served years in prison. Weisgerber began looking at him again as a suspect and obtained warrants for the re-examination of hair samples.

Forensic testing continued to improve and slowly various items of Flynn’s clothing was re-examined, and by 2010 the clothing and fingernail scrapings were tested for “touch” DNA.

More suspects were ruled out, but Karun, while not being ruled in as the sole suspect, was not being ruled out. So Weisgerber began re-interviewing school staff, many of whom were retired and no longer residing in the area.

By 2017, Karun was living in Maine. Norwalk police discovered that all of the old evidence and samples had been tested and re-tested, and a fresh sample from Karun was needed for new examination.

A new warrant was obtained in Maine and DNA swabs were collected from Karun, and in new tests based on 31-year-old fingernail scrapings from Flynn, he “could not be eliminated as the source of the DNA.”

That evidence, combined with the “geographical profile, modus operandi and rituals” of the Flynn attack and others Karun was been accused of — and convicted of — committing led to his eventual arrest last week.

The Norwalk Police Department has two detectives dedicated to cold cases, and in the past two years they have closed four such homicide cases with arrests, including the Flynn case, making the department one of Connecticut’s best at resolving such cases.

“Our department has a passion to solve such cases,” said Norwalk Police Chief Thomas Kulhawik. “You have to be committed to the task, and we are.”

Marc Karun remains in police custody on a $5 million bond. His next scheduled court appearance is July 10 in Stamford Superior Court.

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60 millions de consommateurs dresse la liste des "aliments qui empoisonnent"

La revue s’attaque dans un hors-série paraissant jeudi à l’industrie agroalimentaire en dénonçant "les aliments qui empoisonnent", et en apprenant au consommateur à débusquer, marque par marque, sucres, sels, graisses, additifs, nitrites et pesticides cachés.

Sommaire

  1. “70% des sucres sont ajoutés et cachés”
  2. Qu’est-ce qu’un aliment ultratransformé ?
  3. Les additifs à éviter
  4. Viande et risque de cancer
  5. Les céréales, des “bombes de graisses”
  6. Un dossier qui ne fait “qu’alimenter les peurs” ?

Du chocolat en poudre qui contient plus de sucre que de cacao (76% dans le Nesquik, 86% dans le Super Poulain), aux additifs interdits dans les yaourts, la revue (éditée par l’Institut national de la consommation, un établissement public dépendant du ministère en charge de la consommation) épingle plus de 100 produits de grande consommation.“70% des sucres sont ajoutés et cachés”L’accusé numéro un, le sucre, est souvent caché. Ainsi dans un flacon de ketchup Heinz de 700 g, on trouve huit tomates et 22 morceaux de sucre. Soit pour 20 g de sauce, autant de sucre que dans deux petit-beurre de la marque Lu.”80% du sel absorbé par les Français proviennent des aliments transformés. 70% des sucres sont ajoutés et cachés” indique la revue.La lecture du dossier est anxiogène, mais elle vise aussi à donner des armes et des clés au consommateur en rapprochant chaque produit d’une série d’études internationales, dont celle publiée début 2018 dans le British Medical Journal, établissant un “lien sérieux” entre nourriture ultratransformée et risque de cancer. En effet, selon l’Inserm, qui a participé à cette étude, “une augmentation de 10% de la proportion d’aliments ultratransformés dans le régime alimentaire s’est révélée être associée à une augmentation de plus de 10% des risques de développer un cancer global et un cancer du sein en particulier“.Qu’est-ce qu’un aliment ultratransformé ?Pour l’Association nationale des industries alimentaires (Ania), qui juge le dossier de 60 millions de consommateurs “particulièrement violent”, il n’existe “aucune définition officielle” de ce concept, souligne une porte-parole.Pour la revue 60 millions en revanche, il a été défini en 2009 par le département nutrition de l’université de Sao Paulo au Brésil. Et recouvre des aliments “dont la particularité est d’être fabriqués avec très peu de matières premières brutes (fruits, lait, viande..) et beaucoup d’additifs ou d’ingrédients reconstitués dans le but de leurrer le goût du consommateur et d’obtenir un produit facile à utiliser”.Les additifs à éviterAu chapitre

additifs, 60 millions publie une liste de 50 produits “à proscrire”, allant du E102 au E951. Cette liste a passablement énervé l’Ania (Association des industries alimentaires) qui a rappelé que les additifs “ont d’abord été introduits pour la conservation des aliments“.La plus grande déception vient des yaourts. Alors que la réglementation française interdit l’ajout d’additifs dans les yaourts, les grandes marques en incorporent en quantité dans les mélanges de fruits qui parfument les desserts lactés: neuf additifs dans le yaourt Carrefour aux fruits recette crémeuse, sept dans le Taillefine aux fraises, et 12 dans le panier de Yoplait nature sur fruits.”Le mélange de fruits sert en somme de cheval de Troie pour contourner la loi”, un “subterfuge” qui “dénature un produit simple et bon pour la santé” regrette la revue. Le magazine cible également le pot de nouilles instantanées de la marque Tanoshi qui revendique une “préparation de légumes d’automne croquants sautés et mijotés dans une sauce soja” qui contient en réalité que 0,4 % de légumes déshydratés et 12 additifs.

Viande et risque de cancerAu rayon viande, la revue détaille le “mécanisme pernicieux” du “trop de fer”, ou comment, à trop forte dose, le fer contenu dans la

viande rouge favorise l’apparition de cancers, notamment du sein pour les femmes.En résumé, la revue préconise pas plus de 500 grammes de viande rouge par semaine, soit 70 g par jour, et moins pour les femmes après 50 ans.Les céréales, des “bombes de graisses”60 millions débusque aussi des graisses cachées dans les céréales des enfants qualifiées de “bombes de graisses”, en particulier les marques Tresor de Kellogg’s et Extra Fruits du même Kellogg’s, ainsi que les barres de céréales, les pâtes feuilletées, et, plus surprenant, les poêlées de légumes de Bonduelle ou Picard qui doivent être utilisées sans ajouter de matières grasses.Un dossier qui ne fait “qu’alimenter les peurs” ?Tout est passé au laser. Même un outil destiné à améliorer l’information du consommateur et lutter contre l’obésité ou la diabète, comme le nouveau système d’étiquetage Nutriscore (basé sur les cinq lettres A,B,C,D,E, et un code couleurs) présente “quelques lacunes“, selon la revue.Mise en cause, l’Ania, qui représente 17 000 entreprises françaises du secteur agroalimentaire, a regretté un dossier qui ne fait selon elle “qu’alimenter les peurs”.Il “mélange des études sérieuses avec d’autres qui le sont beaucoup moins“, dans le but de “faire douter les consommateurs”, alors que le secteur fait “beaucoup d’efforts” dans le sillage des États généraux de l’alimentation “pour tenir ses engagements afin de parvenir à une alimentation plus sûre, plus saine et plus durable”, a indiqué une porte-parole à l’AFP.Click Here: West Coast Eagles Guernsey

N’hésitez pas à faire un sauna pour réduire les risques d’AVC

Une étude vient de révéler que faire des saunas pouvaient réduire le risque d’accident vasculaire cérébral.

Le sauna bon pour la santé ?

Et si le sauna était bon pour la santé ? Nombre d’athlètes, après une séance intensive de sport, se récompensent par “un moment sauna”. Outre le bonheur de se détendre dans une chaleur réparatrice, les effets du sauna seraient encore meilleurs qu’on ne le pense. La revue Neurology a révélé dans

un article que les saunas étaient associés à une réduction significative du risque d’accident vasculaire cérébral. “Les résultats sont très solides. (…) Ceux qui prenaient un sauna quatre à sept fois par semaine étaient environ 60 % moins susceptibles d’avoir un AVC que ceux qui ne prenaient qu’un seul sauna par semaine.“, a déclaré Setor Kunutsor, co-auteur de l’étude et chercheur à l’Université de Bristol au Royaume-Uni, dans un email envoyé au

TIME.L’étude a analysé des personnes vivant en Finlande où les saunas sont si fréquents que de nombreuses personnes en sont pourvues au sein de leur foyer. Pendant 15 ans, 1 628 adultes ont répondu à des questions par rapport à leur utilisation du sauna et à leurs autres habitudes de vie. Les participants ont également subi un certain nombre de tests de santé au début de l’étude.Lors de la période, 155 personnes ont eu un AVC. Les chercheurs ont utilisé ces données pour calculer le taux d’AVC par 1 000 personnes pour trois groupes différents : ceux qui utilisaient un sauna une fois par semaine, deux à trois fois par semaine ou quatre à sept fois par semaine. Ils ont constaté un véritable contraste entre des saunas fréquents et des saunas moins fréquents.Au final, l’étude montre que la probabilité d’avoir un AVC est réduite de 60 % pour les utilisateurs très réguliers de sauna. Les résultats sont restés les mêmes après avoir pris en compte d’autres facteurs de santé et de mode de vie qui pourraient influencer le risque d’AVC, comme un taux de cholestérol élevé, le tabagisme et le diabète.Ces résultats sont relatifs aux Finlandais inclus et ne s’appliquent pas nécessairement à tout le monde. Pourtant, Kunutsor explique qu’il ne voit pas “pourquoi des résultats similaires ne seraient pas observés chez d’autres populations“.Cette découverte est probablement liée aux baisses de pression artérielle, associées à l’utilisation du sauna, puisque l’hypertension est un facteur de risque connu d’AVC, explique M. Kunutsor. La chaleur dans les saunas augmente le flux sanguin vers la peau, ce qui entraîne une baisse générale de la pression artérielle. Les saunas peuvent également stimuler le système immunitaire, améliorer la santé vasculaire et réduire l’inflammation, le stress et le cholestérol sanguin circulant, ajoute-t-il.D’autres recherches faites récemment ont établi le même lien entre une séance de sauna et un cœur en bonne santé.

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La France ne remboursera plus les médicaments anti-Alzheimer

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Les médicaments anti-Alzheimer, jugés insuffisamment efficaces et potentiellement risqués, ne seront plus remboursés en France à compter du 1er août, selon un texte officiel paru vendredi.

Sommaire

  1. Des effets indésirables potentiellement graves
  2. L’argent économisé ira aux personnes qui s’occupent des malades

Ces quatre médicaments et leurs formules génériques, visés par un arrêté du ministère de la Santé publié au Journal officiel, traitent les symptômes d’Alzheimer et étaient jusque-là remboursés à hauteur de 15 %, ce qui a représenté un coût pour la collectivité de quelque 90 millions d’euros en 2015.La ministre de la Santé Agnès Buzyn avait annoncé dès lundi sa décision, suscitant le tollé d’associations de malades et de professionnels.Des effets indésirables potentiellement gravesEn octobre 2016, la commission de transparence de la Haute autorité de santé (HAS), qui évalue les traitements en vue de leur remboursement, avait jugé que tous ces médicaments avaient “un intérêt médical insuffisant pour justifier leur prise en charge“. Elle pointait aussi “l’existence d’effets indésirables potentiellement graves“.Devant l’inquiétude d’associations de malades, la ministre de la Santé de l’époque, Marisol Touraine, s’était refusé à suivre cet avis.Elle avait posé comme préalable à un éventuel déremboursement la mise en place d’un “protocole de soins élaboré par les scientifiques en lien avec les associations de patients“.Ce protocole a été dévoilé le 25 mai par la HAS, via un guide et des fiches pratiques sur la prise en charge des patients souffrant d’Alzheimer et de maladies apparentées. Leur publication a ouvert la voie au déremboursement officialisé vendredi.L’argent économisé ira aux personnes qui s’occupent des maladesDès lundi, l’association de malades France Alzheimer a jugé cette décision “infondée et dangereuse”. “Il semblerait (…) que dans la balance économique, la qualité de vie des personnes malades et de leurs proches ne pèse pas très lourd“, a-t-elle écrit dans un communiqué.La décision de déremboursement a été contestée par cinq sociétés savantes et organisations professionnelles médicales, qui ont jugé cette mesure “délétère pour les patients et leur entourage“.La ministre de la Santé a assuré mercredi que cette mesure n’était pas motivée par des raisons budgétaires, mais par le fait que ces médicaments étaient considérés comme “néfastes et entraînant beaucoup d’effets secondaires, avec des fractures, des chutes”.

Selon elle, la somme économisée “sera dédiée aux équipes qui prennent en charge les malades d’Alzheimer: ça n’est pas une économie pour la Sécurité sociale, c’est un transfert vers des compétences humaines“.La maladie d’Alzheimer, qui se traduit par une dégénérescence du cerveau et des pertes de mémoire, touche, avec d’autres démences, entre 850 000 et 1,2 million de personnes en France, selon les chiffres officiels. Il ne s’agit toutefois que d’estimations, car le nombre réel de malades est difficile à quantifier.Click Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

La protection solaire pendant les vacances

Les vacances d’été sonnent le début des journées ensoleillées. Que ce soit à la plage, ou dans la rue, il est essentiel de se protéger des rayons du soleil. Opodo a effectué une étude auprès de vacanciers de différents pays afin de connaître leurs habitudes en matière de protection solaire.

Le soleil met du baume au cœur en été, pourtant une exposition répétée sans protection peut être dangereuse pour la santé de votre peau. Opodo a mené une étude internationale visant à montrer les différences en matière de protection solaire selon les pays.Les Français, bons élèvesles Français sont ceux qui sont le mieux sensibilisés aux méfaits du soleil. En effet, pour 49% d’entre eux, l’application d’une crème solaire plusieurs fois dans la journée est indispensable.  A contrario, un Américain sur 4 (20%) avoue n’avoir recours à aucune protection solaire.Les Français sont également ceux  qui passent le moins de temps au soleil, environ 2h08 par jour. Derrière la France, les Espagnols avec environ 2h16 d’exposition au soleil par jour. Les Suédois sont les moins vigilants, ils s’exposent environ 3h55 par jour au soleil. Dans ce pays, l’été, le soleil est visible 24h/24 au nord du cercle polaire.Les différences générationnelles en matière de protectionLes habitudes en matière de protection diffèrent selon la génération. Opodo a interrogé des sujets âgés de 60 ans et +, 29% d’entre eux ne mettaient aucune protection solaire à l’époque de leur vingtaine. Aujourd’hui, l’étude démontre que les millénials (20-29 ans) sont les plus sensibles à l’importance de protéger sa peau du soleil.L’indice de protection reste le critère d’achat numéro unPour choisir la crème qui va les protéger durant tout l’été, les Français regardent premièrement l’indice SPF (67%), puis la méthode d’application (41%) et enfin la marque (37%).Le SPF correspond à l’indice de protection d’une crème. Il en existe à différentes échelles, mais l’indice 50 et + reste le plus prisé (43% des 60 ans et + l’ont adopté). Les crèmes solaires au SPF 30-45 sont utilisées par 27% des Français et seulement 16% préfèrent les crèmes au SPF 15-25.Si se protéger de soleil est une tendance majeure surtout chez les femmes et les seniors, Opodo révèle que 12% des vacanciers ne mettent pas de protection solaire.Click Here: geelong cats guernsey 2019