Conseils d'experts pour bien dormir pendant les vacances

Pendant les vacances d’été, les jours s’allongent et l’heure du coucher est souvent repoussée pour profiter de ses amis, de sa famille ou simplement des chaudes soirées. Mais il faut garder à l’esprit que des horaires trop irréguliers peuvent dérégler les habitudes des petits et des grands et que les conséquences peuvent être délétères. Voici quelques conseils d’experts pour profiter des vacances pour se relaxer tout en gardant un rythme cadré.

Le sommeil est une partie importante des vacances en familles, il n'est pas à prendre à la légère.

Sommaire

  1. Reconnaissez que vous avez peut-être besoin de plus de sommeil
  2. Les enfants doivent garder un rythme régulier de sommeil
  3. Eviter les longues siestes

Avoir des attentes réalistesLe docteur Cheryl Tierney du Penn State Children’s Hospital (Etats-Unis), note qu’il n’est pas réaliste de s’attendre à ce que toute la famille garde le même rythme rigide en vacances que pendant le reste de l’année. On veille plus tard certains soirs et quelques grasses matinées sont inévitables, “tout n’est que question d’équilibre“, explique le médecin, “le compromis est raisonnable“.Le professeur Henri Tuomilehto, spécialiste du sommeil à l’University of Eastern Finland, ajoute que les adultes ne peuvent pas récupérer toute leur dette de sommeil en une semaine. “Si vous avez négligé votre sommeil toute l’année durant, vous ne pouvez pas vous attendre à ce que les choses changent d’un coup lorsque vous débutez vos vacances“. Reconnaissez que vous avez peut-être besoin de plus de sommeilEn général, les personnes dorment moins que ce qu’elles pensent“, note le professeur Tuomilehto. “On sacrifie souvent son sommeil contre les tâches ménagères du soir, la télé, et surtout nos appareils connectés au lit. Vous pensez que vous allez vous coucher à une certaine heure, mais en réalité, vous êtes encore en train de surfer sur des sites une heure plus tard“.Comment savoir si nous avons besoin de plus de sommeil ? “Une personne bien reposée est énergique“, explique le professeur Tuomilehto. “Si vous avez l’impression que vous pourriez avoir plus d’énergie, il serait sage d’essayer de dormir une heure de plus pendant une quinzaine de jours, c’est suffisant pour pouvoir faire la différence“.


Les enfants doivent garder un rythme régulier de sommeilLes jeunes enfants ont tendance à se réveiller tous les jours à la même heure, qu’ils aillent à l’école ou non et même s’ils se couchent plus tard. Ils peuvent eux aussi manquer de sommeil et souffrir des mêmes désagréments que les adultes comme l’irritabilité, les maux de tête et les troubles de l’attention.Le docteur Tieney recommande de ne pas trop s’éloigner des horaires habituels de coucher des petits pendant les vacances, et de ne pas retarder de plus d’une heure le moment de les coucher. Les enfants plus âgés peuvent repousser un peu plus l’horaire fatidique, mais pas plus de deux heures par rapport au reste de l’année.Eviter les longues siestesAu bord de la plage ou de la piscine, il peut être tentant de se laisser aller à sombrer dans les bras de Morphée. Mais le Dr. Alon Avidan, directeur du centre dédié aux troubles du sommeil à l’université américaine d’UCLA, conseille d’éviter les longues

siestes en vacances en journée et de préférer une courte sieste de 15 à 20 minutes maximum en début d’après-midi en cas de fatigue.Les siestes répétées ou trop longues peuvent repousser l’heure d’endormissement le soir et décaler entièrement l’horloge biologique. Le docteur Tierney ajoute que les enfants de plus de cinq ou six ans n’ont plus besoin de sieste la journée, qu’elle peut même dérégler leur sommeil nocturne.Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

Le régime crétois pour réduire le risque d'AVC chez les femmes de plus de 40 ans ?

Une étude britannique permet de constater que le régime dit méditerranéen ou crétois peut contribuer à réduire le risque d’AVC chez les femmes de plus de 40 ans. Les chercheurs ne font pas le même constat chez les hommes.

Le régime dit méditerranéen ou crétois peut contribuer à réduire le risque d'AVC chez les femmes de plus de 40 ans.

Menées par des chercheurs de l’Université d’Est Anglie, de Cambridge et d’Aberdeen, ces recherches de grande ampleur sont les plus longues consacrées à ce sujet. Elles se penchent sur 23.232 adultes âgés de 40 à 77 ans sur une période de 17 ans.Les participants devaient tenir un journal quotidien relatif à leur nutrition, une méthode jamais utilisée sur une aussi grande cohorte et pourtant plus précise que les habituels questionnaires.Les chercheurs ont classé les participants en 4 groupes, allant de ceux qui se tenaient au régime le plus scrupuleusement possible à ceux qui le respectaient le moins pour ensuite comparer les risques d’AVC.Les résultats publiés dans 

Stroke, la revue de l’American Heart Association, montrent que les participants ayant le mieux suivi le régime crétois font face à une réduction du risque d’AVC de 17%.
Chez les femmes, la baisse du risque est plus importante (22%) que chez les hommes (6%). Les chercheurs pensent qu’il peut s’agir d’un hasard. Ce régime apparaît donc comme particulièrement bénéfique dans le cas des femmes de plus de 40 ans, sans que la situation ménopausale ou le suivi d’un traitement hormonal n’entrent en ligne de compte.
Par ailleurs, chez les personnes présentant déjà un risque de maladie cardiovasculaire, le risque d’attaque est également réduit de 13%. Là-aussi les femmes semblent plus bénéficiaires que les hommes et témoignent d’une réduction du risque d’AVC de 20%.Si de précédentes recherches ont déjà établi un lien entre ce régime et la baisse du nombre d’AVC, peu d’études se sont penchées sur son efficacité lorsque l’on prend en compte le sexe ou le risque de maladie cardiovasculaire.”Ces recherches montrent effectivement que le fait de suivre un régime méditerranéen (riche en poisson, en fruits, en noix, en légumes et en légumineuses et pauvre en viande rouge et en produits laitiers), pouvait réduire le risque d’AVC chez les femmes de plus de 40 ans“, commente le professeur Ailsa Welch, en charge de l’étude. “Mais un régime alimentaire équilibré demeure important pour tout le monde, à tout âge“.”Nous ne sommes pas certains de la raison pour laquelle on observe des différences entre les sexes, mais il est bien possible que la composition du régime influence de manière différente les hommes et les femmes“, ajoute Welch.”Nous savons également que des sous-catégories d’attaques peuvent différer selon le sexe. Notre étude n’était pas en mesure de couvrir cela mais ces pistes mériteraient d’être étudiées prochainement“.Click Here: NRL Telstra Premiership

Implant files : les incroyables lacunes du contrôle des dispositifs médicaux

Une enquête internationale réalisée par 59 médias, publiée dimanche, dénonce les lacunes du contrôle des implants médicaux (pacemaker, prothèse de hanche…) en Europe, notamment en France, en évoquant des incidents de plus en plus nombreux, difficiles à quantifier et à identifier.

Sommaire

  1. Un filet de mandarines certifié comme implant vaginal
  2. Une enquête internationale dénonce les lacunes du contrôle des implants médicaux
  3. L’enquête sur les implants médicaux souligne les nombreux incidents liés au leader Medtronic

Un filet de mandarines certifié comme implant vaginalEn Hollande, une journaliste de la chaîne de télévision AVROTROS a réussi il y a deux ans à faire homologuer un filet de mandarines en tant qu’un implant vaginal ! En se faisant passer pour un fabricant, elle a présenté un simple dossier aux organismes de certifications et a a obtenu de trois d’entre eux un accord de principe pour la délivrance du fameux “marquage CE”. Ce marquage lui permet alors théoriquement de vendre son produit dans n’importe quel pays de la communauté européenne. 

Ce système de certification par des organismes privés avait déjà été pointé du doigt dans l’affaire des 

prothèses mammaires fabriquées par la société française PIP : le certificateur TÜV a été condamné au mois de janvier à verser 60 millions d’euros à 20.000 plaignantes victimes de ces prothèses, remplies d’un gel frauduleux au mépris des règles sanitaires. Une

nouvelle législation européenne datant en 2017 devait permettre de renforcer ces contrôles… une initiative largement insuffisante si l’on en juge par le travail de la journaliste hollandaise mais également par l’enquête internationale lancée sur ce sujet.En effet, estimant qu’il y avait matière à enquêter, la journaliste alerte le consortium international de journalistes d’investigation pour lancer une enquête internationale sur les dispositifs médicaux.Une enquête internationale dénonce les lacunes du contrôle des implants médicauxCette enquête baptisée “Implant Files” a été menée par plus de 250 journalistes dans 36 pays, dans le cadre du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), dont ceux du Monde, de Radio France et de Premières Lignes (producteur de l’émission “Cash Investigation”) en France.Au terme de leurs recherches, ils affirment le nombre d’incidents liés aux “dispositifs médicaux” (pompes à insuline, pacemakers, prothèses mammaires, de hanche, d’épaule ou de genou) augmente partout dans le monde.Aux États-Unis, qui disposent d’un recueil de déclarations via une base de données, ces incidents auraient causé 82.000 morts et 1,7 million de blessés en dix ans, et auraient été multipliés par cinq, selon les estimations de l’ICIJ.En France, selon les chiffres de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), qui tient un répertoire des signalements de matério-vigilance, le nombre d’incidents lié à ces implants aurait doublé en dix ans, avec plus de 18.000 cas en 2017 et environ 158.000 incidents en dix ans, selon Le Monde.En Belgique, quelque 3.800 “incidents” ont été recensés depuis 2013, mais ce décompte serait “largement sous-estimés“, selon Le Soir.Les données resteraient globalement très incomplètes et souvent confidentielles, selon l’enquête, rendant impossible de dénombrer avec précision les incidents et de connaître la marque et le modèle des implants posés, et donc de retrouver les patients en cas de problème.

En France, “le nombre global” de dispositifs commercialisés n’est ainsi “pas approchable“, reconnaît Jean-Claude Ghislain, directeur pour les situations d’urgence, les affaires scientifiques et la stratégie européenne à l’Agence du médicament ANSM, cité par Le Monde.En France, où les professionnels de santé doivent déclarer ces incidents aux autorités, cette obligation serait peu respectée, alors qu’un nouveau règlement européen de 2017 se contente de demander aux Etats membres de l’UE d'”encourager” les médecins à les déclarer, regrette les auteurs.L’enquête déplore également des échanges peu transparents entre autorités de santé concernant ces incidents graves, alors qu’une base de données européenne, Eudamed, doit être mise en ligne en 2020, mais que les Etats membres sont en désaccord sur le degré d’informations à donner.En comparaison, la base créée par la Food and Drug Administration aux Etats-Unis, 

MAUDE (Manufacturer and User Facility Device Experience), est accessible à tous.Le  Consortium international des journalistes d’investigation a compilé et analysé les données recueillies sur ces implants et les ont mis à disposition du grand public via un outil en ligne ”

International Medical Devices Database”.L’enquête sur les implants médicaux souligne les nombreux incidents liés au leader MedtronicLe leader mondial des technologies médicales, l’américain Medtronic, est potentiellement lié à 9.300 décès et 292.000 blessures entre 2008 et 2017 aux Etats-Unis, selon des rapports sur les incidents liés aux implants médicaux analysés dans le cadre d’une enquête journalistique internationale publiée dimanche.D’après ces rapports faits auprès des régulateurs américains, l’an dernier, un incident sur cinq dû à un implant médical était lié à un produit de Medtronic, plus du double que pour tout concurrent de la société.L’enquête “Implant Files” relève que les rapports réalisés auprès des autorités au Japon, en Norvège ou en Australie placent également l’entreprise américaine parmi celles qui ont été liées au plus grand nombre d’incidents au cours des cinq dernières années.Dans le détail, depuis 2008, les pompes à insuline ou leurs composants fabriqués par Medtronic pour accompagner les malades du diabète ont été potentiellement impliqués dans plus de 2.600 décès et 150.000 blessures aux Etats-Unis. Et dans des entretiens avec des journalistes qui ont mené cette enquête, des patients et des familles de victimes en Finlande, en Allemagne, au Canada, en Inde et aux Etats-Unis ont rapporté que la société avait répondu avec lenteur à leurs réclamations au sujet de ces pompes à insuline ou ne les avait pas informés de certains risques.L’agence fédérale américaine des médicaments a relevé qu’il est normal que le premier producteur d’instruments médicaux soit aussi celui qui connaît le plus d’incidents, souligne l’ICIJ.Dans un long article sur son site internet, le consortium énumère toutefois nombre de cas dans lesquels Medtronic a été mis en cause, sur le terrain judiciaire ou éthique, pour un usage peu réglementaire de ses implants, ou des relations douteuses avec des médecins qui ont recours à ses produits ou sont à l’origine d’études favorables.Dans une réponse écrite à l’ICIJ, un porte-parole de Medtronic, Rob Clark, assure que la sécurité des patients est la première priorité de l’entreprise, qui respecte “les plus hauts standards éthiques”.”Les accusations ne sont pas des faits et ne devraient pas être interprétées pour suggérer que Medtronic a violé nos obligations légales, éthiques ou réglementaires d’une manière ou d’une autre“, a-t-il ajouté, tout en soulignant que tout produit médical comportait une part de risque.Click Here: cheap sydney roosters jersey

Prêt-à-porter en Afrique: Zara est arrivée

«La plupart de ces nouveaux marchés se situent en Afrique, y compris en Angola, en Côte d’Ivoire, au Sénégal et au Ghana», a indiqué le groupe spécialisé dans le modèle du «fast-fashion», autrement dit de la mode éphémère.

Un modèle économique qui consiste à fabriquer 60% des vêtements à proximité du siège, en Europe et au Maghreb, pour pouvoir mettre en rayon quinze jours plus tard des pièces collant aux tendances de la mode. Un système qui montre aujourd’hui ses limites.
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La marque met le turbo sur les ventes en ligne
Face à des mastodontes comme Amazon, et malgré un virage numérique, certes pris avec un peu de retard en 2010, le propriétaire de Zara mise désormais sur une stratégie digitale intégrée pour tirer sa croissance.

Sur la nouvelle plateforme, les clients pourront passer commande en français et en anglais et recevoir leurs colis «entre trois et sept jours en fonction de la destination», lit-on dans le communiqué.

Zara présente en Afrique du Sud depuis 2012
L’installation de la chaîne espagnole d’habillement dans plusieurs villes de la Nation arc-en-ciel devait lui permettre d’atteindre près de 50 millions d’habitants et de profiter de la consommation d’une classe moyenne en perpétuelle croissance.

Cette présence physique à travers des boutiques se double dorénavant d’une présence virtuelle bien plus vaste. 

Les ventes sur internet en hausse constante
Inditex a annoncé en septembre 2018 que les huit marques du groupe (dont Zara, Oysho, Bershka, Massimo Dutti…) offriraient un service de vente en ligne dans tous les pays d’ici à 2020, même là où le groupe ne possède pas de boutique physique.

Le groupe a vu son bénéfice net augmenter de 3% à 1,4 milliard d’euros au premier semestre.

En 2017, les ventes sur Internet ont représenté 10% du chiffre d’affaires total, soit 2,53 milliards d’euros.

En Ile-de-France, deux-tiers des communes sont à zero pesticide

Deux-tiers des communes d’Ile-de-France indiquent être passées à zéro pesticide chimique pour les espaces extérieurs, y compris pour l’entretien des cimetières et terrains de sport pourtant dispensés par la loi, selon l’Agence régionale de la biodiversité.

Deux-tiers des communes d'Ile-de-France indiquent être passées à zéro pesticide chimique pour les espaces extérieurs, y compris pour l'entretien des cimetières et terrains de sport.

Ces communes (67%) vont donc au-delà de la loi Labbé, qui depuis janvier 2017 leur interdit ces substances mais avec une dérogation pour les cimetières et terrains sportifs, note cette enquête publiée mardi, et nourrie par les déclarations de 690 villes et villages (plus de la moitié du total).Elles n’étaient que 22% au 1er janvier 2017, rappelle l’ARB, qui a créé cet indicateur “Objectif zéro pesticide en Ile-de-France” en 2011, et se félicite de “la mobilisation des communes pour tendre vers le zéro pesticide sur l’ensemble de leurs espaces“.

Parmi les autres déclarants, 24% indiquent recourir encore aux phytosanitaires pour les cimetières et terrains de sport, et 8% assurent être en cours de changement.Pour cette enquête destinée à mesurer l’impact de la loi Labbé, l’Agence régionale de la biodiversité a croisé ces déclarations volontaires avec les données des agences de rivières, parcs régionaux et associations, qui accompagnent depuis plusieurs années les communes dans leur transition.Ce bilan “c’est ce que l’on constate sur l’ensemble du territoire” francilien, confirme son auteur, Jonathan Flandin, pour qui il paraît aussi “représentatif de ce qui se passe au niveau national“.De nombreuses communes se sont engagées dans la réduction des pesticides dès avant janvier 2017, poussées par des arrêtés encadrant leur utilisation depuis 2006 et 2011.Mais les cimetières restent un point de fixation, car dans cet univers très minéral les “mauvaises herbes” se voient, et restent difficiles à accepter pour le public.”Beaucoup de communes ont trouvé la solution en végétalisant“, indique M. Flandin. “On enherbe les allées, ça se fait de plus en plus“.Pour les terrains de sport, un problème vient notamment de l’exigence de qualité des pelouses des fédérations, surtout à haut niveau, note l’écologue. De ce fait, les communes urbaines et de petite couronne sont le plus concernées.”Outre le nécessaire respect de la réglementation, l’arrêt total de l’usage des pesticides par les communes leur permet d’agir sur la protection de la santé des agents et des habitants, mais aussi sur l’environnement, la biodiversité, les sols, la qualité de l’air et de l’eau“, rappelle l’Agence.Click Here: cheap all stars rugby jersey

Florida Sheriff's Office Loses Accreditation Over Mass Shootings

FORT LAUDERDALE, FL — More than a year after the horrific Parkland school shooting and more than two years since passengers came under fire in a baggage claim at Fort Lauderdale-Hollywood International Airport, the Broward Sheriff’s Office has been stripped of its law enforcement accreditation over the incidents.

The Commission for Florida Law Enforcement Accreditation, which is an independent body made up of 15 commissioners from around the state, voted 13 to 0 to revoke the agency’s accreditation. See also Parkland Shooting Aftermath: 2 More Florida Deputies Fired

“It is disheartening for the hardworking members of the Broward Sheriff’s Office to lose our accreditation because of the previous administration’s mishandling of two devastating events in our community,” insisted Broward Sheriff Gregory Tony in a statement.

While commissioners pointed to the agency’s performance during the mass shootings, they were also critical of Tony’s absence from the meeting at which the accreditation decision came up for a vote in Orlando on June 26. The vote was announced Monday.

“Personally I’m disappointed the sheriff isn’t here. This is something so important you have to find time,” explained one of the commissioners prior to the vote. “Everyone on this commission are chiefs and sheriffs … But we make time to make sure we are here at these events. I believe he should have been here.”

Instead of Tony, the Broward Sheriff’s Office was represented at the commission meeting by Colonel Oscar Lierena, who oversees the agency’s 1,500 law enforcement deputies.

“It’s my opinion the most significant failure was that of people,” Lierena told commissioners. “One deputy in particular probably could have changed the outcome. For that one deputy, I had probably 30 to 40 deputies speak to me afterwards. They all wished that they could have been the deputy on scene that day.”

He was referring to former Deputy Scot Peterson, who was accused of waiting outside Marjory Stoneman Douglas as a lone gunman shot student after student. Peterson now faces 11 charges stemming from the Valentine’s Day 2018 mass shooting.

In voting to revoke accreditation, commissioners noted that the assessment team did not find the Broward Sheriff’s Office to be in violation of any specific standards at the time of the December site visit or a secondary visit in May based on the criticisms contained in the Marjory Stoneman Douglas High School Public Safety Commission report. Indeed the assessment team recommended approval, but commissioners chose not to follow that recommendation.

“Through agency policies, we talk the talk. But by our actions we walk the walk, and are we living through our actions, the spirit of the policy and the standards of this commission,” noted the commission chair.

Accreditation in Florida is a voluntary process by which law enforcement agencies demonstrate compliance to more than 250 standards which are considered best practices. “Accredited status does not directly impact an agency’s ability to perform law enforcement services,” a spokesperson for the commission told Patch on Tuesday.

The 15 commissioners who make up the commission include Florida sheriffs, police chiefs, a judge, elected officials as well as state and local appointees.

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A troubled Iraq war veteran randomly opened fire on fellow travelers at Fort Lauderdale-Hollywood International Airport one year before another gunman killed 17 at Marjory Stoneman Douglas High School. Five people were killed in the airport attack, while six others were wounded and thousands fled the scene

One accreditation commissioner said the airport incident should have been a “rude awakening” for the Broward Sheriff’s Office well before the gunman walked into the Parkland school.

Pressed to say whether the county’s communications system could handle a similar mass shooting today, Lierena said he he was more confident than in the past, but still couldn’t say with certainty.

“We’ve taken steps to put Band-Aids on what is a gaping wound,” Lierena acknowledged. “There are still things that need to be done in Broward County.

Both of the mass shootings predate Tony’s time as sheriff. He was appointed to the post in January as one of the first acts of Florida Gov. Ron DeSantis, who suspended then Sheriff Scott Israel over his handling of the mass shootings.

Israel and six other candidates have filed paperwork with the Broward County Supervisor of Elections to run for the Broward sheriff’s post in 2020. Gregory had not filed as of Tuesday.

“Since recently taking command, I have worked on improving BSO and repairing the effects of bad leadership and negligence by focusing on training and community relations,” said Tony. “I will continue working hard to ensure that all Broward residents feel safe and that our agency’s reputation and honor are restored.”

The accreditation process involves an in-depth review of the agency’s organization, management, operations and administration, including agency goals and objectives. The process has provisions for periodic updating and review as well as the correction of internal deficiencies and inefficiencies “before they become public problems.”

Tony last week ordered the firing of two more of his deputies based on the conclusions of an internal affairs investigation into his agency’s handling of the horrific Parkland school shooting on Valentine’s Day 2018. The announcement brought to four the total number of deputies who have lost their jobs over one of the worst school shootings in U.S. history.

“We may have it all right on paper but if we’re not practicing those best standards then it’s not worth the paper it’s written on,” explained one of the commissioners who voted to revoke the Broward accreditation. “I can’t in good conscience vote to recommend that the Broward County Sheriff’s Office be reaccredited for this past review period.”

Lierena told commissioners that the sheriff’s office would accept the criticisms rather than withdraw from the process.

“To our fellow law enforcement agencies in Broward County, we remain a good friend, a good partner. We will still continue to provide the service and documentation that you need for your own accreditation,” he said following the vote. “And to all of the Florida law enforcement agencies, I heed you to study that Stoneman Douglas report. We pray you never have an incident like we did. But, we also pray that you prepare every day, and the lessons that Broward County paid so dearly for, I pray that you learn some lessons from us.”

Ex-Supreme Court Justice John Paul Stevens Dies At 99

WASHINGTON, DC — John Paul Stevens, who served on the Supreme Court for more than three decades and became its leading liberal voice, has died. He was 99.

Stevens died Tuesday evening at Holy Cross Hospital in Fort Lauderdale, Florida, due to complications following a stroke he suffered Monday, the Supreme Court’s public information office said in a news release. He died peacefully surrounded by his daughters.

President Gerald Ford appointed Stevens to the high court in 1975. He served more than 34 years on the court and retired in 2010.

Known as an independent-thinker, Stevens was known for fighting for peoples’ freedom and dignity, be it students, immigrants or prisoners. He supported limiting the death penalty, gay rights, racial equality and keeping abortion legal. He also advocated for protecting the rights of criminal suspects and unlawful immigrants facing deportation, The Associated Press reported, and even influenced fellow justices to give foreign terrorism suspects at Guantanamo Bay the right to plead for their release in American courts.

Though he was considered a centrist at first, Stevens came to be seen as a leading liberal voice on the court — a label he rejected.

“I don’t think of myself as a liberal at all,” Stevens told The New York Times in 2007. “I think as part of my general politics, I’m pretty darn conservative.”

Chief Justice John Roberts Jr. said Stevens devoted his life to public service.

“He brought an inimitable blend of kindness, humility, wisdom, and independence,” Roberts said. “His unrelenting commitment to justice has left us a better nation.”

Stevens, who was born in Chicago on April 20, 1920, is survived by his children Elizabeth Jane Sesemann (Craig) and Susan Roberta Mullen (Kevin), as well as nine grandchildren and 13 great-grandchildren. His first wife Elizabeth Jane, his second wife Maryan Mulholland, and his two children John Joseph and Kathryn preceded him in death.

Two years after serving in the U.S. Navy from 1942-45, Stevens served as a law clerk to Justice Wiley Rutledge. He was admitted to law practice in Illinois in 1949 before becoming associate counsel to a House Judiciary subcommittee that studied monopoly power. For two years beginning in 1953, Stevens was a member of the attorney general’s national committee to study anti-trust law.

In 1970, he became second vice president of the Chicago Bar Association and served as a federal appeals court judge.

This is a developing story. Hit refresh for updates.

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Journée du refus de l’échec scolaire : l’origine sociale, un poids pour l’orientation scolaire ?

Depuis 2008, l’AFEV organise la journée du refus de l’échec scolaire en faisant valoir, à travers une enquête annuelle, le regard porté par les jeunes sur l’école. Cette année, la journée du 19 septembre est consacrée à la question de l’orientation chez les enfants de 4ème et 3ème issus de milieux populaires.

A l’occasion de la Journée du refus de l’échec scolaire, 

l’Association de la fondation étudiante pour la ville (AFEV) publie une enquête sur l’orientation des jeunes, avec pour question de fond : comment permettre à des jeunes inégalement outillés et préparés de s’orienter au 21ème siècle dans un monde complexe et incertain ?Réalisée auprès de 718 collégiens l’enquête s’est intéressée à « la manière dont les jeunes de 4ème et 3ème scolarisés en réseau d’éducation prioritaire perçoivent et construisent leur choix d’orientation».  Résultat : si 94% des collégiens ont conscience de l’importance de leur choix d’orientation pour leur futur, 88% d’entre-eux s’appuient sur leur réseau familial pour prendre une décision.  Lors du stage de 3ème, dans 62% des cas, c’est la famille qui aide l’enfant à trouver une entreprise d’accueil, bien que, pour se projeter dans l’avenir et choisir leur futur métier, les jeunes s’inspirent également des émissions et séries télévisées (36%), d’Internet et de discussions entre amis (27%).Face à ces chiffres, l’AFEV s’interroge sur l’importance du poids de la famille dans le choix d’orientation : « les familles des jeunes interrogés, résidant les quartiers de l’éducation prioritaire, ne possèdent globalement pas l’ensemble des ressources permettant d’éclairer pleinement les choix d’orientation : moindre connaissance des filières d’orientation, moindre diversité de métiers dans les quartiers, réseaux professionnels plus restreints ».  En effet, les enfants dont les parents n’ont pas accès à toutes les informations nécessaires peuvent avoir tendance à s’orienter vers des métiers proches de ceux de leurs parents et de leur réseau, par dépit ou manque d’information.Toutefois, l’étude montre aussi qu’au contact de professionnels de l’orientation (conseiller d’orientation, professeur principal ou psychologue),  et grâce à l’immersion dans la vie professionnelle qu’offre le stage de 3ème, les jeunes réussissent à élaborer des projets réalistes et cohérents.Click Here: gold coast suns 2019 guernsey

Mise en garde des gynécologues contre une "épidémie de césariennes"

Le nombre de naissances par césarienne a quasiment doublé dans le monde en quinze ans, de 12% à 21% entre 2000 et 2015, dépassant même 40% dans 15 pays, conduisant les gynécologues à s’interroger sur cette "épidémie", dans un dossier publié dans le Lancet vendredi.

Le nombre de naissances par césarienne a quasiment doublé dans le monde en quinze ans, de 12% à 21% entre 2000 et 2015, dépassant même 40% dans 15 pays.

On estime entre 10 et 15% la proportion de césariennes absolument nécessaires pour des raisons médicales. Mais 60% des 169 pays passés en revue se situent au dessus de cette fourchette tandis qu’un quart des pays sont en dessous, mettant en danger la mère et l’enfant, relève l’étude basée sur les chiffres de l’OMS et de l’Unicef.Dans 15 pays, ce sont plus de 40% des naissances qui ont lieu par césarienne (République dominicaine, Brésil, Egypte, Turquie, Venezuela, Chili, Colombie, Iran etc.).”La forte augmentation des césariennes -pour l’essentiel dans des environnements aisés et sans raison médicale – pose problème à cause des risques associés pour la mère et l’enfant“, souligne la coordinatrice de l’étude Marleen Temmermann (Aga Khan University du Kenya et Université de Gand en Belgique).”Dans les cas où des complications surviennent, les césariennes sauvent des vies et nous devons favoriser l’accès des femmes (à cette opération) dans les régions pauvres, mais nous ne devrions pas en abuser“.Les disparités sont écrasantes entre l’Afrique sub-saharienne (4,1% de césariennes) et l’Amérique latine et les Caraïbes où le taux atteint 44,3% en 2015.En Asie, le recours aux césariennes a augmenté en moyenne de 6% par an, grimpant de 7,2% à 18,1% des naissances entre 2000 et 2015. En Amérique du nord (32% de césariennes en 2015) et en Europe occidentale (26,9%), la hausse est d’environ 2% par an.L’étude du Lancet, basée sur des données collectées par l’OMS et l’Unicef, ne permet pas de d’expliquer cette hausse vertigineuse de césariennes dans certains pays.Elle constate toutefois un lien avec le niveau de revenu et d’éducation des femmes: par exemple au Brésil, les césariennes concernent 54,4% des naissances pour les femmes à haut niveau d’éducation contre 19,4% pour les femmes moins éduquées.La France stable autour de 20%Dans les pays à bas et moyen revenu, les femmes les plus aisées ont six fois plus de probabilité de donner naissance par césarienne que les plus défavorisées, et les opérations sont 1,6 fois plus nombreuses dans les cliniques privées.Le Congrès mondial de gynécologie et d’obstétrique réuni au Brésil avance plusieurs pistes dans le Lancet sur les raisons de cette “épidémie” : une baisse de compétence du corps médical pour accompagner un accouchement potentiellement difficile par voie naturelle, le confort de la programmation des naissances de jour, des tarifs plus attractifs pour les médecins et cliniques en cas de césarienne…En France, le taux de césarienne (20,4% en 2016) reste stable depuis 2010, “ce qui suggère une attitude générale tendant à limiter la réalisation de cette intervention“, relève la dernière enquête périnatale publiée par le ministère de la Santé.Cédric Grouchka, membre du Collège de la Haute autorité de santé française parle de “stabilisation à la baisse” et fait une distinction entre “les césariennes réalisées dans l’urgence, soit après un accouchement qui se passe mal soit au cours du travail, qui correspondent à 60% du total en France, les césariennes programmées pour raison médicale (40%) et celles programmées pour une raison non médicale, à la demande des femmes“, qu’il estime à “moins de 1%”.Pour Jane Sandall, de King’s College London, si certaines femmes font le choix d’une césarienne, c’est généralement par “peur de l’accouchement, parfois après une première expérience traumatisante“. La qualité des soins et des locaux, qui doivent préserver l’intimité des femmes et permettre la présence d’un proche, sont essentiels face à ces craintes, juge-t-elle.Le Congrès mondial de gynécologie (FIGO) préconise plusieurs pistes pour limiter l’abus de césariennes : pratiquer un tarif unique pour les naissances, césarienne ou non, obliger les hôpitaux à publier leurs statistiques, mieux informer les femmes des risques, améliorer la formation à l’accouchement naturel.

Levothyrox : L'ancienne formule restera disponible en 2019

Nouvel épisode autour du Levothyrox: le laboratoire Merck s’engage à fournir aux patients français l’ancienne formule durant toute l’année 2019. Cette annonce intervient au lendemain de la décision de justice du tribunal de grande instance de Toulouse concernant la plainte de 42patients s’estimant victimes de la nouvelle formule du Levothyrox.

Sommaire

  1. Levothyrox : pas d’indemnités au titre du préjudice moral
  2. Merck s’engage à mettre à disposition des patients l’ancienne formule pour 2019
  3. D’autres médicaments sont disponibles

Levothyrox : pas d’indemnités au titre du préjudice moralLes 42 plaignants avaient engagé des poursuites devant le tribunal de grande instance de Toulouse et demandaient des expertises, le maintien de la commercialisation de l’ancienne formule du médicament et des indemnités de 30 000 euros par personne au titre de préjudice d’anxiété et de préjudice moral. Le 5 novembre, le tribunal a accordé les expertises, a refusé les indemnisations et a statué sur l’obligation de mise à disposition de l’ancienne formule du Levothyrox pour trois mois à compter du 1er janvier 2019 pour 39 patients.Merck s’engage à mettre à disposition des patients l’ancienne formule pour 2019Le lendemain, le laboratoire Merck a indiqué qu’il allait mettre à disposition près de 50 000 boîtes d’

Euthyrox (l’ancienne formule) importées d’Allemane pour les patients français munis d’une ordonnance. Le laboratoire déclare répondre à une

demande de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) qui fin octobre lui avait demandé de “poursuivre sa mise à disposition en France sur l’année 2019 pour permettre aux patients encore traités par Euthyrox de s’adapter à un nouveau traitement“. L’ANSM avait rappelé qu’Euthyrox allait être “disponible pour une durée et dans des quantités limitées. Les médicaments à base de lévothyroxine disponibles de façon régulière et pérenne doivent être privilégiés”. Le laboratoire Merck a également insisté sur le fait qu’il s’agissait d’une mesure transitoire.D’autres médicaments sont disponiblesLes patients souffrant de troubles de la thyroïde et les professionnels de santé disposent depuis octobre 2017 de plusieurs médicaments à base de lévothyroxine :

  • Levothyrox comprimé sécable (Laboratoire Merck) ;

  • L-Thyroxin Henning comprimé sécable (Laboratoire Sanofi) ;

  • Thyrofix comprimé non sécable (Laboratoire Uni-Pharma) ;

  • TCAPS capsule molle (Laboratoire Genévrier) ;

  • L-Thyroxine Serb solution buvable en gouttes (Laboratoire Serb).

La diversification de l’offre thérapeutique se poursuit. D’autres spécialités princeps ou génériques sont en cours d’évaluation par l’ANSM.Click Here: new zealand rugby team jerseys