Los Angeles Rams Beat Saints In Overtime, Head To Super Bowl

NEW ORLEANS, LA — The Los Angeles Rams defeated the New Orleans Saints in the NFC championship game Sunday and will play in Super Bowl 53. Kicker Greg Zuerlein booted a 57-yard field goal in overtime to send his team into the title game Sunday afternoon. This will be the first time the Rams will play in the Super Bowl since 2001.

The Rams, led by young quarterback Jared Goff, fell behind early 13 points as the roaring New Orleans crowd caused headaches for the offense.

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The Saints and Rams went to overtime following a wild — and controversial — ending to the fourth quarter. The teams exchanged field goals in the final six minutes. The first came when Rams coach Sean McVay elected to kick a field goal at the goal line to tie the game at 20-20 with about 5 minutes to play.

But Saints quarterback Drew Brees quickly drove down the field, threatening to answer. The drive stalled, however, when referees missed what appeared to be a blatant pass interference call on third down. Rams defensive back Nickel Robey-Coleman collided with Tommylee Lewis — their helmets clanging off one another — as the ball was in the air and before it arrived. Saints coach Sean Payton appeared livid when a flag wasn’t thrown.

New Orleans kicker Wil Lutz knocked a 31-yard field goal through the uprights to put his team up by three with less than two minutes to play. But Los Angeles answered with a long drive of its own, setting up Zuerlein’s game-tying 48-yard field goal with 19 seconds left to make it 23-23.

In overtime, New Orleans received the ball first; but a Brees interception near midfield set up Goff and McVay’s offense nicely. The Rams got a first down before getting stopped on a third-and-7 at the 39 yard line. Zuerline then kicked the game-winner.

Goff and Brees saw similar stat lines on the day. Goff completed 25 of his 40 passes for 297 yards and a touchdown. Brees completed 26 of 40 yards for 249 yards and a pair of touchdowns. Both also threw an interception in the game.

New Orleans’ vaunted rushing attack led by Alvin Kamara and Mark Ingram II struggled to find room on the day. The dynamic duo combined for 17 carries and just 46 yards on the day. The Rams fared slightly better, with C.J. Anderson surprisingly getting the lion’s share of the work over star runningback Todd Gurley II. Anderson rushed 16 times for 44 yards while Gurley finished the day with just four carries for 10 yards and a touchdown.

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The Associated Press contributed to this report.

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Photo credit: Jonathan Bachman/Getty Images

Radio Curie : c’est reparti pour un mois d’information non-stop sur le cancer du sein !

L’Institut Curie lance la 3èmeédition de Radio Curie, une web radio consacrée exclusivement au cancer du sein qui émettra exclusivement sur Internet pendant le mois d’octobre, traditionnellement consacré à la lutte contre le cancer du sein.

Lancement, le 1er octobre, de la web radio Radio.curie.fr.

Sans tabou, toutes les questions que vous vous posez sur le

cancer du sein seront abordées au travers de reportages, témoignages et débats inédits, animés par des spécialistes et des patients de l’institut de lutte contre le cancer. Ils seront diffusés 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 sur le site Internet dédié

radio.curie.fr.Les questions seront regroupées autour de 5 grandes thématiques :

  • Les soins et l’accompagnement, qui abordera le parcours de soins, de l’annonce de la maladie au choix du traitement.
  • Cancer et bien-être, consacré à la sexualité, au

    soutien psychologique, au rôle des aidants, à l’importance des thérapies complémentaires…

  • Cancer et travail : comment conserver son emploi pendant les traitements, comment annoncer sa maladie, comment faire face aux pertes de revenus… sont autant de questions qui pourront être discutées dans cette thématique.
  • Les progrès d’aujourd’hui et de demain sera consacrée aux avancées de la recherche (test génétiques prédictifs, chirurgie ambulatoire, développement d’essais cliniques…)
  • La vie après un cancer, et notamment la problématique du

    retour à l’emploi, fera l’objet d’une session à part entière.

Vous pouvez assister à la première émission, qui aura lieu en direct au centre commercial Beaugrenelle à Paris* le 1er octobre à 18h. Pour témoigner ou poser vos questions, écrivez à

[email protected] ou téléphonez au 01 56 24 55 19 (coût d’un appel local).L’Institut Curie organise par ailleurs une vente aux enchères caritative, dont l’intégralité sera reversée au profit de la recherche contre le cancer du sein à l’institut. Comme pour la web radio, il s’agit de la 3ème édition de cet évènement baptisé “Des femmes donnent aux femmes“. La vente portera sur des objets offerts par des stars françaises qui ont souhaité s’investir dans la lutte contre le cancer à l’occasion d’Octobre Rose (Catherine Deneuve, Inès de La Fressange, Audrey Dana, Claire Chazal…)Amélie Pelletier*Centre Beaugrenelle – 12, rue de Linois 75015 Paris.Source : Communiqué de presse de l’Institut Curie, 29 septembre 2014.Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Rentrée scolaire : faites contrôler la vue de votre enfant !

Nouvelles fournitures, assurance scolaire, choix des activités sportives… La rentrée des classes est pleine d’événements, mais c’est aussi l’occasion de faire le point sur la santé des enfants pour démarrer l’année du bon pied. L’Association nationale pour l’amélioration de la Vue(AsnaV) rappelle que l’examen visuel doit faire partie des “rendez-vous réflexe“ en cette période pour les plus petits comme les plus grands.

L'Asnav avance 5 bonnes raisons de faire contrôler la vue de votre enfant à la rentrée, quel que soit l’âge !

Selon le Baromètre 2013 de la santé visuelle des Français (AsnaV / OpinionWay), 71 % des parents ont conscience de l’importance d’un rendez-vous régulier pour dépister un éventuel trouble de la vue de leurs enfants mais 34 % d’entre eux ne le programme que tous les deux ans ou même plus. Et pourtant, une bonne vue permet de renforcer les chances de réussite de ses enfants. L’Asnav avance ainsi 5 bonnes raisons de réaliser un contrôle annuel :

  1. Jusque l’âge de 12 ans, l’œil de l’enfant se construit : si un défaut visuel n’est pas détecté, il vivra avec sa déficience sans se rendre compte de son besoin de correction. Habitué à ses faiblesses, ce handicap au quotidien non corrigé s’accentuera plus vite avec l’âge.
  2. Un problème visuel décelé avant 6 ans a 75 % de chance d’être corrigé s’il est détecté à temps. Par exemple, un dépistage précoce (avant 4 ans) permettra de détecter et corriger une amblyopie à 95 %. Ainsi, l’œil paresseux retrouvera son utilité s’il est dépisté à temps.
  3. S’il existe des antécédents familiaux et si les parents ont porté des lunettes avant l’âge de 10 ans, ce peut être une source d’anomalie visuelle.
  4. 39 % des 18/24 ans souffrent de fatigue visuelle d’après le dernier Baromètre de l’AsnaV/OpinionWay. L’utilisation abusive ou dans de mauvaises conditions des écrans (ordinateur, télévision, téléphone portable, tablette) peut entraîner ce mal de plus en plus répandu chez les jeunes. Gênant au quotidien, elle se manifeste par des maux de tête, problème de concentration, etc.
  5. 80 % des informations liées à l’apprentissage passent par la vue :les capacités visuelles sont sollicitées pour lire et écrire, mais sont également un facteur d’intégration et d’interaction souvent sous estimées. Un défaut visuel non-dépisté peut ralentir l’apprentissage de l’enfant ou de l’adolescent et sa scolarité, voire son évolution sociale avec ses camarades à l’école ou lors d’activités extra-scolaires.

 Jusqu’à l’âge de 6 ans, plusieurs paires de lunettes peuvent être prises en charge par l’Assurance Maladie annuellement, en particulier si l’affection évolue. Le montant du remboursement est fixe pour la monture et varie en fonction du degré de correction. Entre 6 et 18 ans, l’Assurance Maladie permet d’obtenir le remboursement d’une paire de lunettes par an, comprenant les verres et la monture. La prise en charge de cet équipement est la même que pour les plus jeunes. Tous les informations sont disponibles sur le site de

l’assurance maladie.En cas de doute, plusieurs professionnels peuvent être alertés par les parents avant de se rendre chez l’ophtalmologiste : les pédiatres, les médecins de la Protection Maternelle et Infantile, les personnels de crèches, les médecins ou les infirmiers de santé scolaire, sans oublier les opticiens.N’attendez pas d’identifier une gêne ou un comportement anormal chez l’enfant pour faire contrôler sa vue. Ayez le réflexe dès le plus jeune âge de réaliser un contrôle régulier, au moins tous les 2 ans et avant l’âge de 3 ans.David BêmeSource : Communiqué de l’Asnav – août 2013

Alzheimer : les Français se feraient diagnostiquer en amont si un test existait

La quasi-totalité des Français (90%) se dit favorable à un dépistage précoce de la maladie d’Alzheimer s’il existait un test fiable, d’après un sondage réalisé par TNS Sofres pour l’Espace national de réflexion éthique sur la maladie d’Alzheimer (EREMA).

90% des Français se disent favorables à un dépistage précoce de la maladie d'Alzheimer s'il existait un test fiable.

Si un test pouvait permettre de diagnostiquer la maladie d’Alzheimer plusieurs années avant que n’apparaissent les premiers symptômes, les Français sauteraient sur l’occasion pour eux-mêmes, mais également pour leur conjoint (87%) et leurs parents (86%). Ils sont légèrement moins à envisager ce test pour leurs enfants (72%).Aux yeux des sondés, la réalisation de ce test présente deux avantages majeurs : avoir le temps et les capacités nécessaires pour se préparer à affronter la maladie en cas de résultat positif (63%) et être rassuré en cas de résultat négatif (60%).A contrario, certaines personnes interrogées soulèvent les inconvénients liés à un diagnostic précoce : vivre avec l’angoisse de développer un jour la maladie (38%), l’impact négatif sur l’entourage (23%).Ce sondage a été réalisé en ligne, entre le 22 et le 31 juillet derniers, auprès d’un échantillon de 2.001 Français âgés de 18 ans et plus.RelaxnewsSource : Communiqué de l’Espace national de réflexion éthique sur la maladie d’Alzheimer – septembre 2013Photo : ©Sofia/shutterstock.com

Un nouveau réseau social interdit aux célibataires

Pour ceux qui ne supportent plus d’être dragué via les réseaux sociaux, la solution s’appelle Facecouples! Un nouveau réseau social où il n’est possible de s’inscrire qu’en couple.

Un nouveau social réservé aux couples s'apprête à voir le jour. Crédit photo : Facecouples.com

Le web s’enrichit d’un nouveau réseau social, entièrement dédié aux

couples. Excluant les célibataires, la plateforme Facecouples.com sera officiellement lancée le 31 octobre prochain.D’ordinaire accessibles aux célibataires, les réseaux sociaux et sites de rencontres ont tendance à mettre un peu de côté les couples pour favoriser les rencontres amicales, amoureuses voire libertines. Face à la profusion de ce type de réseaux sociaux, le site internet Facecouples.com joue la carte de l’originalité en acceptant uniquement des membres en couple. Les inscrits pourront utiliser la plateforme comme n’importe quel réseau social, si ce n’est qu’aucun célibataire n’est admis. Une bonne façon d’éviter les crises de jalousie, et d’oeuvrer pour la paix dans les ménages.“Facecouples est strictement interdit aux célibataires à la recherche d’aventures hasardeuses. Ainsi le site met tout en œuvre pour assurer le confort et la tranquillité de ses membres, afin qu’ils puissent se rencontrer, échanger, et partager à leur guise, et ce sur un strict pied d’égalité et de discrétion“, expliquent les fondateurs du réseau virtuel.Accessible dès le 31 octobre, Facecouples n’est toutefois pas gratuit. Si le site offre trois mois d’essai aux premiers inscrits, les membres devront s’acquitter des 9,90€ mensuels par la suite.Relaxnews

Roaccutane et ses génériques : l’ANSM rappelle quelques précautions

Mi-octobre, une mère portait plainte contre un dermatologue suite au suicide de son fils, lui reprochant de ne pas avoir tenu compte des effets secondaires connus de ce générique du Roaccutane (isotrétinoïde). Dans ce contexte, l’Agence nationale de sécurité du médicament rappelle aux médecins et aux patients la conduite à tenir avant de commencer un traitement avec cette substance.

L'isotrétinoïde réservée au traitements des acnés sévères nécessite une prise en charge particulière.

Un document d’information est mis à la disposition des médecins prescripteurs pour qu’ils le remettent aux patients avant d’initier un traitement par isotrétinoïde orale. Ce médicament (

Roaccutane ® et ses

génériques) est indiqué dans le traitement des acnés sévères qui résistent aux traitements classiques (antibiotique par voie orale et traitements locaux). Ce document vise à alerter les patients et leur entourage sur certains effets importants à connaître et nécessitant une attention particulière pendant le traitement, spécifiquement le risque de malformations graves du fœtus et le risque de dépression et autres troubles psychologiques. Risque de malformations graves du fœtusL’isotrétinoïde est fortement tératogène, c’est-à-dire qu’elle peut provoquer des malformations graves au cours de la croissance fœtale de l’enfant à naître. Les femmes ne doivent donc pas débuter de grossesse alors qu’elles sont sous traitement et dans le mois qui suit l’arrêt. Un test sérologique de grossesse doit être effectué tous les mois pendant le traitement et 5 semaines après l’arrêt. A cet effet, les patientes se verront remettre un carnet-patiente (

accessible en ligne).Risque de dépression et autres troubles psychologiques“Certains patients sous traitement ou peu de temps après son arrêt ont présenté des troubles psychologiques en particulier des troubles dépressifs (…) Dans de très rares cas, certains patients recevant de l’isotrétinoïde ont présenté des idées ou des conduites suicidaires“ précise l’ANSM dans la brochure à remettre au patient. Bien que selon l’ANSM, le lien entre ce médicament et la survenue de tels troubles ne soit pas établi, “une attention particulière doit être portée sur la survenue de troubles de l’humeur“.Conseils aux patientsLa brochure précise ainsi les conseils pour les patientes :-       PRÉSENTEZ VOTRE CARNET-PATIENTE à votre médecin lors de chaque consultation et à votre pharmacien à chaque délivrance. Cette démarche est obligatoire pour que votre traitement vous soit délivré.-       Contactez IMMÉDIATEMENT votre médecin si vous constatez un retard de règles ou si pour toute autre raison vous pensez être enceinte. Et pour tous les patients-       Signalez à votre médecin tous les antécédents personnels et familiaux de troubles psychologiques et psychiatriques.-       Discutez de votre traitement avec votre entourage qui pourrait constater des changements d’humeur que vous-même n’avez pas remarqués.-       Prévenez IMMÉDIATEMENT votre médecin si vous ou votre entourage constatez un changement de l’humeur. David Bême Source : Communiqué de l’ANSM – 26 octobre 2013

Symptômes de la ménopause : les femmes se traitent peu

Une étude conduite par le GEMVI (Groupe d’études sur la ménopause et le vieillissement) montre que, si la grande majorité de femmes ont ressenti des troubles gênants liés à la ménopause, peu suivent un traitement pour des raisons diverses dont la peur des traitements hormonaux.

Dans cette étude, 12 % des femmes n'ont jamais parlé de leurs symptômes liés à la ménopause.

Sommaire

  1. Le traitement hormonal substitutif (THS) de la ménopause jusqu’en 2002
  2. Place du THS en 2013
  3. Une étude sur la perception et le traitement des symptômes de la ménopause
  4. Variété, chronologie et vécu des symptômes
  5. Freins et motivations au traitement
  6. Les options thérapeutiques

Le traitement hormonal substitutif (THS) de la ménopause jusqu’en 2002 “Avant 2002, le traitement hormonal substitutif (THS), utilisé pour traiter les symptômes liés à la ménopause était considéré comme une sorte de traitement de jouvence en raison de ses bénéfices sur la qualité de vie des femmes ménopausées et de son effet protecteur cardiovasculaire“, rappelle le Pr Patrice Lopès, gynécologue obstétricien et président du GEMVI. Mais au cours de la même année, l’étude WHI (Women’s Health Initiative) qui avait été conduite depuis 6 ans sur 8506 femmes ménopausées sous THS combiné (

oestrogènes +

progestérone) par voie orale était arrêté en catastrophe car les données montraient une augmentation d’accidents cardiovasculaires et du risque de cancer du sein. Très médiatisés, ces résultats ont eu comme conséquence le refus ou la limitation importante d’indication du THS, tant de la part de femmes comme de nombreux médecins.Place du THS en 2013“Douze ans plus tard, le

THS est prescrit de façon plus raisonnable et structurée“, déclare le Pr Lopès. Globalement, le THS est donnée aux femmes qui présentent des symptômes importants, de préférence au début de la ménopause, sur une période limitée, en évaluant régulièrement la patiente et en suivant les recommandations pour la surveillance du cancer du col de l’utérus et du sein. Le THS est particulièrement utile pour prévenir la perte osseuse à l’origine de l’

ostéoporose. Pour les oestrogènes, on préfère actuellement la voie transdermique pour éviter le risque thromboembolique et l’utilisation de progestérone naturelle. Le Dr Florence Trémollières, endocrinologue et secrétaire général du GEMVI précise que, “ce n’est pas tant le THS qui expose au risque de cancer du sein mais la durée de l’exposition aux oestrogènes. En effet, plus la durée d’exposition à cette hormone est longue, plus le risque de cancer du sein sera important, par exemple en cas de puberté précoce et de ménopause tardive“. Et d’ajouter : “bien entendu, les hormones ne sont pas les seuls facteurs impliqués dans le risque de cancer du sein“.Une étude sur la perception et le traitement des symptômes de la ménopauseEtant donnée l’évolution de la prise en charge des symptômes de la ménopause suite au contexte de l’étude WHI, le GEMVI a conduit une étude afin d’identifier les freins et les motivations à traiter les symptômes de la ménopause en France. L’étude a été réalisée en avril-mai 2013 auprès de 1001 femme âgées de 45 à 65 ans déclarant être en péri-ménopause ou ménopausées et représentatives en termes d’âge, de catégories socioprofessionnelles, de région et de taille d’agglomération.  Sur l’ensemble des répondantes, 20 % étaient en péri-ménopause et 80 % ménopausées (perte des règles depuis un an). Focus sur les principaux résultats.Variété, chronologie et vécu des symptômesLa majorité des femmes (82 %) a ressenti au moins un symptôme lié à la péri-ménopause ou à la ménopause alors que 74 % souffraient, au moment de l’étude, d’au moins un symptôme. Les symptômes sont très variés. En tête de liste, sont ressentis des bouffées de chaleur (82 %), des sueurs nocturnes (60 %), une prise de poids (41 %) et des troubles du sommeil (30 %). Une donnée intéressante, 14 % des femmes déclarent avoir ressenti des douleurs articulaires tout en l’attribuant à la ménopause, symptôme dont on ne parle pas, en dehors des problèmes rhumatismaux.Quant à la chronologie des troubles, près de la moitié des répondantes a eu les premiers symptômes avant 48 ans et 24 % plus tardivement, entre 53 et 65 ans. Les symptômes semblent s’estomper avec l’âge.Parmi les troubles les plus gênants sont évoqués  la prise de poids suivie des bouffées de chaleur et des symptômes nocturnes (sueurs, troubles du sommeil). Les femmes plus jeunes, entre 45 et 50 ans, sont celles qui ressentent le plus les symptômes. Par ailleurs, si 83 % ont parlé de leurs symptômes à leur médecin généraliste ou gynécologue, 12 % d’entre elle n’en ont jamais parlé à personneFreins et motivations au traitementDans l’ensemble, peu de femmes traitent leurs symptômes : 13 % seulement sont actuellement traitées, 21 % ont pris un traitement et 14 % peuvent l’envisager. Mais pour 52 %, le traitement n’est pas envisagé. Les raisons principales avancées pour ne pas se traiter sont le fait de considérer la ménopause comme une étape de la vie ne nécessitant pas de traitement (30 %) et l’absence de conséquences des symptômes sur la vie sociale ou sur son propre bien-être (respectivement 26 et 23 %).Quant aux motivations, elle est dépendante du degré de la gêne causée par les symptômes. Dans cette étude, deux symptômes principaux déterminant la prise d’un traitement se dégagent : les bouffées de chaleur (78 %) et les sueurs nocturnes (76 %). Avant de se traiter, 54 % des femmes ont attendu un an ou moins après la survenue des symptômes. Sans surprise, la prise de traitement diminue avec l’âge, passant de 20 % à 45-50 ans à 7 % entre 61 et 65 ans.Enfin, l’arrêt d’un traitement et principalement motivé par la disparition des symptômes mais aussi par les effets secondaires (23 % des femmes sous THS).Les options thérapeutiquesTraitement hormonalFait intéressant, si l’efficacité des traitements est reconnue par une majorité des femmes, 72 % déclarent que les traitements hormonaux leur font peur. Cependant, parmi les femmes qui se traitent, 49 % prennent un traitement hormonal. Mais l’efficacité du THS est limitée : dans 55 % de cas, le traitement hormonal n’estompe pas complètement les symptômes.Traitement non hormonal17 % des femmes actuellement traitées ont un traitement médicamenteux non hormonal dont 6 % un traitement homéopathique.  Cette même donnée est retrouvée chez les femmes non traitées actuellement mais qui envisagent un traitement.Concernant le traitement homéopathique, si 2 femmes sur 3 connaissent la médecine homéopathique, seulement 1 sur 10 font le lien entre les symptômes de la ménopause et le recours à l’homéopathie. Pour le Dr Monique Quillard médecin généraliste exerçant dans l’Essonne et pratiquant également l’homéopathie, “chez la femme ménopausée ou en péri-ménopause, l’homéopathie peut être utile pour soulager les symptômes liés à la ménopause. Pour être efficace, il convient d’étudier chaque patiente dans son contexte global et personnaliser le traitement, qu’il soit hormonal ou non hormonal“.

"Jennifer Aniston nue" : le spam préféré des pirates pour piéger les internautes crédules

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La promesse de voir Jennifer Aniston dans le plus simple appareil est le moyen le plus utilisé par les cyber-pirates pour voler vos données. Elle devance Rihanna et Selena Gomez dans ce classement des astuces visant à piéger des internautes imprudents, selon une étude publiée par Bitfender, spécialiste de la sécurité en ligne.

La promesse de voir la star nue est le piège le plus utilisé par les pirates pour piéger les internautes crédules.

Gare aux spams qui associent le nom d’Aniston à du contenu sexuellement explicite ! Un simple clic sur le lien permet aux pirates d’installer un Cheval de Troie sur votre système afin de récupérer vos données bancaires. Même fausse promesse si c’est Rihanna ou Selena Gomez qui apparaît dans de tels e-mails. Les liens vous redirigeront vers des pages Web au contenu pornographique et des sites plus ou moins frauduleux de vente d’accessoires en ligne pour lesquels il est peu probable que vous receviez un jour la moindre marchandise. Miley Cyrus, Scarlett Johansson, Marilyn Monroe, Katy Perry, Beyonce Knowles, Sandra Bullock et Eminem sont également ces derniers mois, des célébrités très utilisées pour propager des campagnes de scams.  

 Attention donc, ces e-mails promettant des photos ou des vidéos sexy n’ont qu’un seul objectif : soutirer de l’argent à l’utilisateur crédule. En ouvrant les pièces jointes et/ou en cliquant sur les liens associés, l’internaute infecte sa machine avec un malware et/ou se retrouve exposé à des contenus inappropriés, offrant ainsi aux scammeurs la possibilité de récupérer ses informations personnelles à son insu et de les exploiter par la suite. Selon Bitdefender, la meilleure chose à faire est de supprimer tout e-mail non sollicité et de rester vigilant contre ces messages promettant ce genre de contenus chocs.Que les fans de Jennifer Aniston se consolent, ils pourront en toute sécurité sur Doctissimo découvrir les secrets de son

ventre plat grâce à nos exercices de fitness ou les astuces pour son

teint californien grâce à nos Tips de star.Source : Etude Bitfender – 30 décembre 2013 (

accessible en ligne)Photo : CHRISTINE CHEW/NEWSCOM/SIPA

Climachill : des vêtements rafraîchissants signés Adidas

Climachill d’Adidas s’attaque à un marché de niche des vêtements de sport et pourrait bien changer la donne dans ce domaine.

Adidas lance Climachill, une ligne de vêtements rafraîchissants.

Les créateurs de cette ligne ont eu recours à des textiles innovants associés à de l’aluminium 3D et du titane pour réaliser ces vêtements. La marque explique que ces matériaux offrent aux athlètes une sensation de fraîcheur instantanée pour que leur performance ne souffre pas des températures trop élevées. La chaleur corporelle est ainsi abaissée, leur permettant de s’entraîner plus intensément et plus longtemps dans de meilleures conditions.Les zones sphériques rafraîchissantes se concentrent dans le dos, les bras et dans la région du cou, les parties les plus chaudes du tronc pour les t-shirts.En plus d’offrir une sensation de fraîcheur au contact de la peau, les microfibres de ces vêtements permettent d’évacuer la transpiration pour rester au sec, comme bon nombre d’autres vêtements de sport déjà sur le marché. Mais la nouveauté réside dans le fil plat SubZero contenant du titane et présent sur tout l’intérieur de chaque pièce. Contrairement au fil traditionnel, le fil plat couvre plus de surface et permet d’évacuer plus facilement la chaleur corporelle.Cette gamme a été testée dans le laboratoire Adidas Clima à une température maximale de 50 degrés Celsius. On utilisa une plaque chauffante de 35 degrés pour simuler les fonctions de la peau afin de créer un produit aux fonctions optimales.La gamme comprend des débardeurs, des shorts, des chaussures de running, des tennis et des t-shirts. Les prix des vêtements oscillent entre 25€ et 100€. Plus d’informations sur

adidas.com.Source : Relaxnews

Tabac : Les Français ne croient pas au succès du paquet "neutre"

86% des Français considèrent que l’instauration d’un paquet de cigarettes neutre n’aidera pas à faire baisser la consommation de tabac en France, révèle une étude OpinionWay pour Metronews ce lundi 29 septembre. Et ce ne sont pas seulement les fumeurs (86%) qui le pensent, les non-fumeurs partagent cet avis (82%).

74% des Français favorables à l'interdiction de la cigarette électronique dans les lieux accueillant des enfants.

La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a présenté la semaine dernière les grandes mesures d’un plan de lutte anti-tabac, qui prévoit d’imiter l’Australie, premier pays à avoir instauré le paquet de cigarettes neutre. Mais, les Français s’avouent sceptiques. Car plus des trois quarts (77%) considèrent cette mesure inefficace, qu’il soit homme (71%) ou femme (82%), fumeurs (82%) ou non-fumeurs (76%). Du côté des fumeurs justement, un paquet sans logo n’aura aucun impact, puisque 86% confient qu’ils ne fumeront ni plus, ni moins. Et cette réponse vaut aussi bien pour les jeunes (88% pour les moins de 35 ans) que pour les plus âgés (90% pour les 50 ans et plus). Pour autant, les Français ne sont pas opposés aux mesures anti-tabac qui sont lancées en faveur de la santé publique. Ils sont plutôt favorables aux propositions en ce qui concerne l’interdiction de la cigarette électronique, surtout lorsqu’il s’agit des lieux accueillant des enfants (74%), dans les transports collectifs (72%) ou sur le lieu de travail (69%). Selon 44% de Français, le meilleur moyen de lutter contre le tabac consiste à faire de la prévention et de l’éducation. AFP/RelaxnewsSource : Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 1.011 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, interrogés les 25 et 26 septembre 2014 – OpinionWay pour Metronews Photo : © Marc Bruxelle/shutterstock.com