Cigarette électronique : la fausse bonne idée ?

Sur les forums, la rumeur court… La cigarette électronique serait la solution miracle pour arrêter de fumer ! C’est du moins ce que laissent entendre plusieurs sociétés commercialisant ces produits. Mais tour à tour, les autorités sanitaires françaises et l’Organisation mondiale de la santé recommandent la plus grande prudence.

La cigarette électronique reproduit la forme et les sensations d’une cigarette classique. On trouve à l’intérieur de cette petite prouesse de miniaturisation : une batterie, un microprocesseur, un pulvérisateur et une cartouche destinée à être vaporisée et comprenant un liquide pouvant contenir de la nicotine ou des substances aromatiques à base d’additifs alimentaires ou d’arômes artificiels. A chaque bouffée, le liquide mélangé à l’air inspiré est diffusé sous forme de vapeur, qui reproduit la fumée d’une cigarette, et est inhalée par l’utilisateur.
L’OMS n’a jamais cautionné les cigarettes électroniques
Les entreprises commercialisant des cigarettes électroniques décrivent généralement celles-ci comme un moyen d’aider les fumeurs à se débarrasser de leur dépendance à l’égard du tabac. Certaines ont même été jusqu’à laisser entendre que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) considérait cette technique comme aussi légitime que les substituts nicotiniques (gommes à mâcher, les pastilles et les timbres à la nicotine).
Une caution que pourtant aucun responsable de l’OMS n’a jamais accordée à la cigarette électronique1. “L’OMS ne dispose pas de preuves scientifiques permettant de confirmer l’innocuité et l’efficacité du produit. Les entreprises qui le commercialisent devraient immédiatement retirer de leurs sites Web et autres matériels d’information toute indication laissant supposer que l’OMS considère ces cigarettes comme un moyen efficace et sûr de sevrage tabagique (…) La cigarette électronique n’a pas fait ses preuves en tant que thérapie de remplacement de la nicotine“ déclare ainsi le Dr. Ala Alwan, Sous-directeur général chargé du Groupe Maladies non transmissibles et Santé mentale à l’OMS.
Cigarette électronique : pas d’efficacité prouvée !
L’OMS n’écarte pas pour autant la possibilité que la cigarette électronique puisse être utile comme moyen de sevrage. Mais la seule façon de le savoir est de réaliser des tests. “Si les entreprises commercialisant la cigarette électronique veulent aider les fumeurs à cesser de fumer, elles doivent impérativement effectuer des études cliniques et des analyses de toxicité et opérer dans un cadre réglementaire correct“ déclare Douglas Bettcher, Directeur par intérim de l’Initiative pour un monde sans tabac de l’OMS. Tant que cela ne sera pas fait, l’OMS ne peut pas considérer la cigarette électronique comme une thérapie appropriée de remplacement de la nicotine.
Réuni du 12 au 14 novembre 2008, le groupe d’étude de l’OMS sur la réglementation des produits du tabac devrait étudier le cas particulier de la cigarette électronique.
Cigarette électronique : la France plus prudente encore
En France, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) et la Direction Générale de la Santé (DGS) 2 ont fait une première analyse des risques potentiels en juillet 2008. Constatations : les cigarettes électroniques peuvent contenir des substances chimiques, telles que du propylène glycol, un solvant au pouvoir irritant, ou des dérivés terpéniques, qui pourraient avoir une incidence en cas d’antécédents d’épilepsie.
Leur conclusion diffère ainsi peu de celle de l’OMS : “Dans l’attente de données complémentaires, et alors qu’à ce jour aucun produit de ce type ne dispose d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) ou d’un marquage CE, l’Afssaps et le Direction Générale de la Santé (DGS) recommandent la plus grande prudence aux utilisateurs de cigarettes électroniques“. Ils ont en particulier prévenu que l’usage de ces cigarettes électroniques est à éviter chez les femmes qui allaitent en raison de la toxicité de certaines substances et de l’absence de données relatives à leur passage dans le lait maternel.
Pour l’instant, pour arrêter de fumer, il vaut donc mieux s’en tenir à des médicaments qui ont reçu une autorisation de marché dans cette indication : les substituts nicotiniques sous toutes leurs formes (gommes, pastilles, patchs, inhaleurs…), le Champix® et le Zyban ® ou aux autres méthodes qui ont démontré leur efficacité (thérapie cognitivo-comportementale notamment). Mais pour arrêter de fumer, c’est avant tout, votre motivation qui fera la différence !
Anne-Sophie Glover-Bondeau
1 – Communiqué de presse OMS /34, 19 septembre 20082 – Communiqué de presse Afssaps, 7 juillet 2008

Un patch chauffant contre les règles douloureuses

De nombreuses femmes se plaignent de douleurs survenant au moment des règles. Nouveauté : Vania met sur le marché un patch chauffant thermo-actif pour soulager de façon naturelle et efficace. Une façon de remplacer la traditionnelle bouillote !Plus d’une adolescente de 11 à 17 ans sur deux et plus d’une femme sur trois souffrent de douleurs menstruelles, principalement au niveau du ventre, du dos, de la tête ou des seins. Médicaments, bains chauds, utilisation de bouillottes, tous les moyens sont bons pour soulager ces souffrances parfois handicapantes.

La chaleur reste un des moyens les plus efficaces pour apaiser ces douleurs. Pour remplacer le bain chaud ou la bouillotte, Vania a conçu le premier patch chauffant pour soulager les règles. Celui-ci contient des minéraux naturels (charbon actif et poudre de fer) qui, au contact de l’air, réagissent et diffusent une chaleur constante d’environ 40° pendant 8 heures. La chaleur transmise par le patch permet d’améliorer la circulation sanguine et de décontracter le muscle utérin, soulageant ainsi rapidement les douleurs.Le patch chauffant se place sur la culotte, à l’endroit où la douleur est ressentie. Il peut être utilisé en entier sur le ventre ou divisé en deux pour être placé sur le ventre et en bas du dos. 80 % des femmes ayant essayé le patch chauffant pendant leurs règles l’ont trouvé efficace.A vous de tester !Source : Dossier de presse Vania, octobre 2008Disponible en grandes surfaces dans les rayons hygiène fémininePrix public indicatif : 4,99 euros (2 patchs par pack)Click Here: cd universidad catolica

Les mystères du sommeil sur France 3

Ce soir sur France 3, Marina Carrère d’Encausse et Michel Cymes décryptent les mystères du sommeil dans une émission spéciale. Avec la collaboration de médecins experts, ils répondent scientifiquement aux interrogations des téléspectateurs. A leurs côtés, Jamy Gourmaud et Nicolas Angel apportent des éclairages et des explications sous forme de démonstrations pédagogiques et de conseils pratiques.

Dépression, stress, angoisses, rêves et cauchemars, insomnies, journées trop longues où l’épuisement se fait sentir… Nous sommes tous, une fois dans notre vie, confrontés à des troubles du sommeil. Attention, le manque de sommeil, s’il devient chronique, peut entraîner des troubles plus sévères mais peut également mettre nos vies en danger dans des accidents de la route ou des accidents du travail. Au programme de cette soirée : le syndrome des jambes sans repos, les liens entre insomnie et dépression, la narcolepsie, la gestion du sommeil pour les militaires sur le terrain…Une émission à ne pas manquer pour en savoir plus sur le sommeil et ses troubles. Et pour les plus curieux, n’hésitez pas à vous (re)plonger dans notre mini-site consacré à l’insomnie. Attention, cependant à ne pas tout dévorer en une seule fois, vous risqueriez alors une nuit blanche…Source : Communiqué de France 3 – novembre 2008Click Here: los jaguares argentina

Brunch & Spa à la station thermale Vichy Célestins

Pour vos fraîches matinées hivernales pourquoi ne pas vous offrir une escapade détente au Spa de la station thermale Vichy Les Célestins ? Depuis le 7 décembre, le complexe propose des formules “Brunch & Spa“ afin d’allier cocooning et équilibre nutritionnel.Pour 40 € seulement, vous pourrez découvrir le dimanche matin entre 11h00 et 14h00 le nouveau concept du Vichy Thermal Spa Les Célestins : le “Brunch & Spa“. Vous pourrez ainsi vous ressourcer dans cet havre de paix et profiter du hammam, sauna et jacuzzi tout en vous délectant ensuite d’un brunch de gastronomie diététique (salade de légumes, de lentilles, oeufs brouillés, corbeilles de viennoiseries, fromages raffinés, salade d’oranges…). Et en réservant à l’avance, vous pourrez également bénéficier de soins complémentaires comme un massage relaxant ou un bain d’eau de Vichy aux huiles de cèdre et de citron…Alors pour une pause gourmande (peu calorique) alliée à la détente absolue, confiez vos dimanches matins au Vichy Thermal Spa Les Célestins.Source : Communiqué de la station thermale Vichy Célestin – décembre 2008Click Here: cheap sydney roosters jersey

Le déni de grossesse en question sur France 3

De nombreux faits-divers dramatiques ont levé le voile sur un trouble psychologique méconnu : le déni de grossesse. Comment des femmes peuvent-elles nier leur état et leur maternité, au point parfois de tuer l’enfant qu’elles portent ? Un documentaire de France 3 suivi d’un débat tentera d’expliquer ce phénomène le lundi 19 janvier à 20h35 : Déni de grossesse, ces bébés clandestins.

D’après l’Association française pour la reconnaissance du déni de grossesse, il y aurait entre 800 et 2400 dénis de grossesse par an en France (environ 2 ou 3 pour 1000 naissances). Et toujours selon cette association, pratiquement 100 % se terminent par la mort du nourrisson…
A travers les témoignages de mères qui ont fait un déni, mais aussi des enfants issus d’un déni et les éclairages de spécialistes (psychologues, psychiatres, médecins, avocats…) l’émission de France 3 tentera de répondre à de nombreuses questions : Comment des femmes peuvent-elles ignorer ou nier qu’elles sont enceintes ? Comment certaines de ces mères peuvent-elles aller jusqu’à tuer ? Comment se crée le lien avec un bébé non désiré ?
Rendez-vous sur France 3 lundi 19 janvier à 20h35.Source : Communiqué France 3/ Agence Capa, janvier 2009.Click Here: cheap INTERNATIONAL jersey

Tabagisme : de l'argent pour ne plus être accro !

Payer les fumeurs pour qu’ils arrêtent de fumer, ça marche ! C’est la conclusion surprenante à laquelle sont arrivés des chercheurs américains après une expérience menée chez une centaine d’employés de la compagnie américaine Général Electric.

A certains employés, on ne donnait pas d’argent pour arrêter de fumer, mais simplement un programme d’accompagnement ainsi que des patchs ou du Zyban® (médicament antidépresseur utilisé pour le sevrage tabagique). Les autres employés ont reçu la même chose mais accompagnée de sommes de plus en plus importantes, à mesure qu’augmentait la durée de leur période de sevrage. Les plus persévérants sont arrivés à accumuler un total de 750 dollars (plus de 580 euros) au bout de 12 mois.Au bout d’un an, ceux qui ont reçu de l’argent étaient toujours 15 % à ne pas avoir rechuté. C’est trois fois plus que ceux qui n’avaient pas touché un centime !Pour les chercheurs, ce n’est pas tant l’argent en lui-même qui est efficace, mais plutôt la notion de récompense immédiate. Lorsque quelqu’un arrête de fumer, il le fait pour des raisons intangibles et lointaines : préserver sa santé, diminuer ses risques de maladies cardiovasculaires ou de cancer… Alors que le fait de donner du cash permet une gratification immédiate qui va permettre de mieux supporter le sevrage.Au vu de ces résultats, General Electric avait envisagé de donner une prime ou une augmentation de salaire aux employés fumeurs pour qu’ils arrêtent de fumer. Une bonne résolution qui malheureusement, avec la crise, est partie en fumée… Source : New England Journal of Medicine, février 2009, publication en ligne.Click Here: cheap nrl jerseys

Opération chirurgicale : comment prévenir au mieux les risques ?

Des complications peuvent survenir au cours d’une opération chirurgicale ou après celle-ci, même si tout est fait pour les prévenir. Les patients ont un rôle à jouer. Risques anesthésiques, hémorragie, infections nosocomiales, thrombose, comment se protéger au mieux ? Liste de conseils simples à mettre en oeuvre.

Vous pouvez contribuer à réduire vos principaux risques opératoires et post-opératyoires en appliquant une série de mesures simples et utiles.
Erreurs médicamenteuses
Mauvais médicament, mauvais dosage…vous pouvez aider à prévenir ces erreurs :
– Apportez tous vos médicaments : l’équipe qui vous soigne à l’hôpital a besoin de connaître l’ensemble des médicaments que vous prenez, qu’ils soient prescrits ou achetés en vente libre, y compris les remèdes dits “naturels“ à base de plantes. Le plus simple est d’amener tous vos médicaments dans un sac.
– Demandez si devez continuer à prendre vos médicaments habituels pendant l’hospitalisation : si vous prenez tous les jours un traitement contre l’hypertension artérielle par exemple, il faut en parler au médecin hospitalier et lui indiquer de façon précise le ou les médicaments pris et les doses.
– Il faut poser des questions sur les médicaments que l’on vous donne à l’hôpital : à quoi sert tel médicament ? Pourquoi me le donne-t-on ? A quelle dose ? C’est un bon moyen de faire diminuer les erreurs médicamenteuses.
– Assurez-vous que ce médicament est bien pour vous : demandez à l’infirmière de vérifier si votre identité est bien celle inscrite sur l’ordonnance.
– Demandez à votre famille de vous aider : un membre de votre famille ou un ami peut mettre en oeuvre les conseils précédemment cités si vous n’êtes pas en état de le faire.
Infections nosocomiales
Le risque d’infections nosocomiales est de mieux en mieux contrôlé, mais il existe toujours. Vous pouvez réduire votre risque infectieux en suivant ces conseils :
– Avant la chirurgie, demandez quelle technique va être employée pour vous épiler sur la zone opérée (si cela est nécessaire). Il vaut en effet mieux que cela soit fait avec un rasoir électrique plutôt qu’avec une lame de rasoir, ceci afin d’éviter les micro-coupures.
– Demandez à tout le monde, y compris aux médecins et aux infirmières, de se laver les mains avant tout contact physique avec vous. C’est un moyen clé pour lutter contre les infections nosocomiales.
– Dites à vos amis et aux membres de votre famille d’éviter de vous rendre visite lorsqu’ils sont malades.
– Connaissez les premiers symptômes d’infection (douleur, rougeur, chaleur lorsque c’est superficiel) : cela peut vous permettre d’alerter très vite le personnel.
Thrombose veineuse profonde
La thrombose veineuse profonde (TVP) est la formation d’un caillot de sang dans une veine. Elle survient généralement dans une veine des membres inférieurs. La thrombose veineuse profonde peut avoir une complication immédiate grave, l’embolie pulmonaire. Les interventions chirurgicales majeures et le fait d’être alité exposent à un risque élevé.
Pour prévenir cette complication, le chirurgien passera en revue vos antécédents médicaux afin de savoir s’il faut vous surveiller de façon particulière. Il peut vous prescrire des anticoagulants avant ou après la chirurgie. De votre côté, vous pouvez mettre en place certaines mesures :
– Si vous le pouvez, surélevez les pieds de votre lit ;
– Levez-vous et marchez dès que vous le pouvez ;
– Portez des bas de contention.
Hémorragie post-opératoire
L’amélioration des techniques chirurgicales a rendu les hémorragies post-opératoires beaucoup moins fréquentes. Voici quand même quelques conseils de prévention :
– Montrez à votre médecin tous les médicaments que vous prenez, y compris les médicaments sans ordonnance et dits naturels. L’aspirine et l’ibuprofène par exemple, d’usage courant, peuvent augmenter le risque de saignement après une chirurgie ;
– Avant l’intervention, informez le chirurgien si vous avez déjà eu un problème d’hémorragie, même lors d’une chirurgie mineure.
Risques anesthésiques
Les accidents d’anesthésie purs sont extrêmement rares. Néanmoins, donner certaines informations au médecin peut vous éviter des risques liés à l’anesthésie :
– Demandez à votre médecin si vous pouvez bénéficier d’une anesthésie locale ou d’une anesthésie de la moelle épinière si vous devez subir une anesthésie générale.
– Renseignez-vous afin de savoir si un membre de votre famille a déjà eu une mauvaise réaction à l’anesthésie, et, si c’est le cas, prévenez votre médecin ainsi que l’ensemble de l’équipe. Même si cela est très rare, certaines personnes héritent d’une prédisposition à avoir des accidents lors d’une anesthésie.
– Suivez les instructions de l’anesthésiste : être à jeun par exemple.
Respecter scrupuleusement les conseils du médecin suffit dans la majorité des cas à éliminer les risques anesthésiques.
En résumé, i faut donc vigilant et ne pas hésiter à poser des questions, sans pour autant tomber dans la psychose. Vous êtes entre les mains de professionnels qui connaissent leur métier et la grande majorité des opérations et suites opératoires se passent très bien !
Anne-Sophie Glover-Bondeau
Sources :
– Site de contrôle et de prevention des maladies : “Questions and Answers about Healthcare-Associated Infections“, “Overview of Pneumonia in Healthcare Settings“, consulté en ligne en février 2009 (en anglais)
– le site de l’Institute of Medicine
: “Report Brief, July, 2006: Preventing Medication Errors“, consulté en ligne en février 2009 (en anglais)- Le site Medicare Quality Improvement Community: “SCIP Target Areas“, consulté en ligne en février 2009 (en anglais) (http://www.iom.edu/)
– Le site du Pôle santé sécurité et soins du Médiateur de la République, consulté en ligne en février 2009
http://www.qualitynet.org/dcs/ContentServer?pagename=Medqic/MQPage/HomepageClick Here: cheap all stars rugby jersey

Prix Nobel de Médecine 2009 pour la découverte des télomères

Le prix Nobel de Médecine a été attribué aujourd’hui à 3 chercheurs américains pour leur co-découverte en 1984 des télomères. Ce sont des petites séquences ADN situées à chaque extrémité des chromosomes. Quelles sont les implications de cette découverte ? Pourquoi cette découverte a-t-elle été promue ?

Elizabeth H. Blackburn, Carol W. Greider et Jack W. Szostak, les trois co-lauréats du Nobel 2009 de médecine, ont résolu un problème scientifique majeur : comment se fait-il que lorsque les chromosomes se dupliquent (multiplication des cellules), pourquoi ne sont-ils jamais abîmés ?
Réponse, trouvée en examinant les chromosomes d’un organisme unicellulaire qui répond au doux nom de Tetrahymena : il existe des petits “bonnets“ protecteurs composés également d’ADN situés à chaque extrémité des chromosomes, les télomères. Les 3 chercheurs ont également découvert que ces télomères étaient fabriqués par une enzyme, la télomérase.
Cette découverte ouvre des perspectives thérapeutiques intéressantes. Si les télomères sont raccourcis, la cellule vieillit. Si la télomérase a une activité forte, la longueur des télomères est maintenue, et le vieillissement de la cellule est retardé, comme par exemple dans une cellule cancéreuse. Conséquence, une des pistes actuellement creusées par les chercheurs en cancérologie vise à bloquer par un médicament ou un “vaccin“ l’activité de la télomérase des cellules du cancer.
Par contre le phénomène de vieillissement de l’organisme entier est plus complexe, il ne suffit pas d’avoir des télomères très longs ou une télomérase en pleine forme pour vivre éternellement…
D’autres chercheurs ont depuis également démontré qu’il existait des maladies qui affectaient les télomères et donc endommageaient les cellules de l’organisme : certaines formes héréditaires d’anémie, des maladies de peau ou des poumons.
Cette découverte est donc bien majeure, ayant permis de mieux comprendre le fonctionnement de l’organisme humain et ouvrant des perspectives thérapeutiques prometteuses.
Jean-Philippe Rivière
Source : communiqué de presse de l’Assemblée Nobel, 5 octobre 2009© Image :

site de l’Assemblée NobelClick Here: Cheap FIJI Rugby Jersey

Malden Schools Failed To Protect Girl Against Bullying: State

MALDEN, MA — Malden Public Schools failed to institute a safety plan for a habitually harassed 13-year-old student following a cyber-bullying incident and did not notify police about a hallway assault the girl later suffered at Linden STEAM Academy.

The district acknowledged noncompliance with state law and its own district policy by not reporting the incident to police, the Massachusetts Department of Elementary and Secondary Education said in a letter to district officials and the victim’s mother. The district must review its Bullying Prevention and Intervention Policy and provide a corrective action report by Sept. 10.

Superintendent John Oteri declined comment when reached by email, citing student and staff privacy concerns.

Patch is not identifying the victim, now 14, or other juveniles involved.

The victim was the target of an unspecified cyber-bullying incident in February in which a video was posted to a social media site in order to make fun of her, the DOE said.

In May, the victim was slapped in the face by a female student in the hallway. The school suspended the girl for a day, but the district did not notify the DOE or provide proof it notified police of the assault, which would have been consistent with the district’s bullying prevention policy. The district at that point had been aware of multiple bullying incidents involving the victim over the past few years.

More bullying incidents followed, and the victim was pulled out of class before Memorial Day. She finished eighth grade with a district-provided home tutor at her parents’ request.

Her mother told Patch she is not going to Malden High this fall because of their experience.

In the letter, the DOE noted the district said Linden Principal Richard Bransfield was no longer employed. Bransfield was informed in March that his contract would not be renewed after 35 years. Oteri at the time cited privacy concerns in not explaining why the district was parting ways with Bransfield.


THE BULLY MENACE SERIES

Throughout the year, Patch is at society’s roles and responsibilities in bullying and a child’s unthinkable decision to end their own life in hopes we might offer solutions that save lives.

Do you have a story to tell? Are you concerned about how your local schools handle bullies and their victims?
Email us at [email protected] and share your views in the comments\

PREVIOUS COVERAGE


Subscribe to Malden Patch for more local news and real-time alerts, and ‘like us’ on Facebook for more conversation!

Got a local news tip or a bullying story? Email [email protected].

Photo by Mike Carraggi, Patch

Here's What Hurricane Florence Looks Like From Space

Hurricane Florence, the dangerous storm that government forecasters say will likely be “the storm of a lifetime,” is headed towards the East Coast and is expected to approach the coasts of the Carolinas on Thursday and Friday.

A reconnaissance aircraft sent into the eye of the hurricane by NOAA found that as of 2 p.m., the storm was packing wind speeds of 125 miles per hour with higher wind gusts. Florence is now a category 3 hurricane. The National Hurricane Center warned that the Florence is forecast “to be an extremely dangerous major hurricane when it nears the U.S. coast on Friday.”

While Florence churns in the Atlantic, it might be hard to judge the magnitude and size of this monster storm that forced people to flee their coastal homes.

But photos taken by the crew on the International Space Station provide an extreme close-up view of the storm and its immensity. Alexander Gerst, a German astronaut, posted the photos on Facebook. Gerst said the photos were taken with a super wide angle lens.

Separately, a video posted by the ISS that was captured by a high-definition camera showed the storm moving across the Atlantic at 7:50 a.m. eastern time.

You can see the photos and video below:

Photo: This image provided by NASA shows Hurricane Florence from the International Space Station on Wednesday, Sept. 12, 2018, as it threatens the U.S. East Coast. Hurricane Florence is coming closer and getting stronger on a path to squat over North and South Carolina for days, surging over the coast, dumping feet of water deep inland and causing floods from the sea to the Appalachian Mountains and back again. (NASA via AP)

Click Here: Rugby league Jerseys