Le Comité Consultatif National d'Ethique s'oppose aux mères porteuses

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Le sujet des mères porteuses fait débat. A l’aube d’une actualisation de la législation française et alors que de nombreux pays ont autorisé cette méthode de procréation, le Comité Consultatif National d’Ethique se prononce contre cette pratique.

Les premiers cas de maternité de substitution, ou gestation pour autrui, remontent aux années 1980, à l’époque où les techniques de

fécondation in vitro n’existaient pas. La mère porteuse était alors à la fois génitrice, en donnant son ovule, et gestatrice, en vivant pleinement grossesse et accouchement. Rapidement interdites en 1989, ces pratiques sont ensuite condamnées dans les premières lois de bioéthique de 1994. Ces lois précisent : “toute convention portant sur la procréation ou la gestation pour le compte d’autrui est nulle“.Cependant, avec le développement des techniques de procréation médicalement assistées, ces pratiques ont quelque peu évolué et sont maintenant autorisées dans de nombreux pays. Elles sont par exemple tolérées en Belgique, au Danemark, aux Pays-Bas, ou dans certains états des Etats-Unis. De ce fait, certains couples Français n’hésitent pas à se rendre à l’étranger pour y avoir recours. Pourtant, un problème majeur se pose puisque la France ne reconnaît aujourd’hui pas la filiation maternelle d’un enfant né d’une mère porteuse. Dès lors, nombreux sont ceux qui réclament une législation encadrée et adaptée.Ainsi, c’est à la veille de la révision des lois de bioéthique que le Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE) s’est prononcé sur ce sujet controversé. Selon le CCNE, “l’ensemble des arguments favorables au maintien de la législation en vigueur l’emportent sur ceux qui sont favorables à la législation de ce procédé, même de manière limitée et contrôlée“.Cette décision est argumentée par les risques médicaux indéniables encourus par une femme enceinte : grossesses multiples, prématurité, césarienne, éventuelles hémorragies en font partie. De plus, l’avis du CCNE précise que “les grossesses et les accouchements répétés éprouvent le corps des femmes et peuvent avoir des répercussions sur leur santé ultérieure“.D’autre part, la grossesse et l’accouchement sont deux éléments qui tissent le lien maternel. La mère porteuse se retrouve ainsi coincée entre deux sentiments : “d’une part celui de vivre pleinement sa grossesse avec une probabilité d’attachement à l’enfant et de séparation douloureuse dès l’accouchement et d’autre part celui de devoir se forcer à un détachement dès le début de la grossesse“.Quant à l’avenir de l’enfant, de nombreuses incertitudes demeurent selon le Comité. Même s’il est fort probable que l’enfant soit “attendu avec ferveur“, le CCNE s’interroge sur le développement psychologique de l’enfant, “fruit d’un projet inhabituel et complexe“ et “enjeu d’une tractation entre des intérêts différents“.
Selon le Comité, cette pratique représente une “instrumentalisation du corps des femmes“ et amène à considérer l’enfant comme une simple “marchandise“.
Toutefois, certains se sont prononcés favorablement et “expriment le vœu que la gestation pour autrui, strictement encadrée (…) soit prévue, à titre dérogatoire dans la loi, à l’occasion de sa future révision“. Cette pratique représente en effet la seule alternative possible, hors adoption, d’avoir un enfant pour les couples dont la femme est atteinte d’infertilité utérine.Frédéric TronelSource : “Avis 110 : Problème éthiques soulevés par la gestation pour autrui“ – Comité Consultatif National d’Ethique, 6 mai 2010,

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Rappel de lots de Fungizone, un antimycosique

Dans un communiqué envoyé le 18 juin, l’Afssaps (agence française du médicament) annonce que le laboratoire Bristol-Myers Squibb (BMS) procède au rappel d’un lot de flacons de Fungizone 10 %, suspension buvable, médicament antimycosique. A l’origine de ce rappel, une officine a rapporté la présence d’un corps étranger – un bout de verre de 2 cm – dans un flacon de 40 ml.

L’enquête conduite par le laboratoire a montré que ce problème provient d’un goulot cassé au cours de la fabrication. La couleur du conditionnement (verre brun transparent) et l’opacité de la suspension buvable rendent les morceaux de verre invisibles à l’oeil nu. Face aux graves conséquences liées à leur possible ingestion, le laboratoire Bristol-Myers Squibb, en accord avec l’Afssaps, procède au rappel du lot concerné par ce défaut. Il s’agit du lot n° A786 (péremption décembre 2011). L’Afssaps recommande aux patients en possession d’un flacon portant ce numéro de lot de ne pas l’utiliser, et de le rapporter à la pharmacie. En cas d’ingestion, il est nécessaire de consulter rapidement un médecin. Fungizone 10 %, suspension buvable, est un médicament antimycosique commercialisé par le laboratoire Bristol-Myers Squibb (BMS). Il est destiné à traiter les infections à champignons microscopiques sensibles à l’amphotéricine B. La suspension buvable est conditionnée dans un flacon de 40 ml en verre transparent de couleur brune. Luc BlanchotSource : Communiqué de l’Afssaps – juin 2010Click Here: cd universidad catolica

Bien manger sur la route avec Croq'malin

Vous allez devoir prendre la route pour rejoindre votre lieu de vacances ? Et vous en avez assez de vous contenter de sandwiches insipides que vous faites passer avec des chips pas très saines ? Bonne nouvelle, l’opération Croq’malin devrait vous permettre de bien manger sur les routes à un prix raisonnable.

Si Bison Futé voit souvent rouge en cette période estivale, l’estomac et le porte-monnaie ne sont pas en reste. En effet, si l’on n’a pas eu le temps de se préparer un encas digne de ce nom ou si, plus simplement, on n’en avait pas envie, les aires d’autoroutes offrent de quoi se sustenter. D’ailleurs, d’après une étude réalisée par TNS Sofres pour les sociétés d’autoroutes*, 80 % des automobilistes déjeunent sur les aires d’autoroutes et parmi eux, 30 % choisissent un restaurant, un self-service ou une boutique. Or, manger sur ces aires d’autoroutes est parfois un luxe, vu le prix d’un sandwich ou d’un paquet de chips. Pour 59 % des personnes interrogées, avoir une proposition de plats, sandwichs ou snacks à des prix raisonnables pourrait les inciter à se restaurer plus souvent sur les aires d’autoroutes et les stations services.

Pour répondre à cette demande, les sociétés d’autoroutes, en partenariat avec des associations de consommateurs et Automobiles Club lancent l’opération Croq’malin ! Du 24 juin au 29 août, les enseignes participant à l’opération s’engagent à proposer des produits sélectionnés pour leur prix raisonnable et leur équilibre nutritionnel dans les 71 selfs et 232 boutiques du réseau autoroutier signalés par le logo Croq’malin. Cet été, vous pourrez notamment trouver un menu composé d’un plat et d’un dessert en self-service à partir de 7,50 € ou une formule avec un sandwich, une boisson et un dessert en boutique à partir de 4,90 €. De quoi satisfaire toutes les envies et toutes les bourses.
Pour en savoir plus et trouver les partenaires, rendez-vous sur

le site Croq’malin!
Enfin, dernier conseil pratique, ne partez pas sans une bouteille d’eau, nécessaire pour vous

hydrater et vous rafraichir, surtout avec la chaleur actuelle. Emeline Dufour
* Etude TNS Sofres pour les sociétés d’autoroutes réalisée du 28 mai au 10 juin 2010 auprès de 1 000 Français.
Source : Communiqué de presse Croq’Malin, 23 juin 2010 © DAMOURETTE VINCENT/SIPAClick Here: Golf special

La France renforce ses mesures contre la menace de bactéries super-résistantes

Après avoir été retrouvées chez des patients en Grande-Bretagne, en Belgique, au Canada, en Suède, aux Etats-Unis et en Australie, des souches d’entérobactéries dites “NDM-1“ hautement résistantes aux antibiotiques ont été retrouvées chez un patient français. Selon la Direction générale de la santé, ce cas unique date d’avril  2010 et concerne un patient français de retour après une hospitalisation en Inde. Il est simplement porteur et ne présente pas d’infection liée à la bactérie. Il reste hospitalisé pour une toute autre pathologie.

Le 11 août dernier, la prestigieuse revue médicale The Lancet publiait

une étude sur l’émergence et la diffusion de bactéries dites “NDM-1“ résistantes à toutes les β-lactamines (pénicillines et céphalosporines) ainsi qu’à des antibiotiques très puissants, dont les

carbapénèmes (à usage hospitalier). Selon cette étude, cette particularité génétique qui confère une telle résistance pourrait être transférée d’une bactérie à l’autre, suggérant un potentiel de dissémination et de diversification bactérienne très inquiétant. “En France, quelques rares bactéries présentant une résistance similaire mais porteuse d’un gène autre que NDM-1 ont été mises en évidence de manière isolée depuis 2004 et deux épidémies nosocomiales d’une dizaine de cas chacune avec de telles bactéries sont survenues dans les six derniers mois. Dans la plupart des situations, le premier patient venait d’un hôpital étranger“ précise le communiqué de la Direction Générale de la santé, qui semble néanmoins prendre le problème au sérieux. Début avril 2009, la Direction générale de la Santé a sollicité l’avis du Haut Conseil de Santé Publique (HCSP) en vue de définir les mesures de gestion permettant de réduire les risques d’émergence et de maîtriser la diffusion de tels micro-organismes hautement résistants et la survenue d’épidémie. Après l’avis du HCSP, les principales mesures qui vont être recommandées aux établissements et aux professionnels de santé sont les suivantes :
– Mise en oeuvre d’un dépistage de ces bactéries chez des patients ayant séjourné dans un hôpital étranger ;
– Renforcement des mesures d’hygiène (mesures barrières, isolement septique, lavage antiseptique des mains, etc.) autour de tels patients ;
– Renforcement de la surveillance nationale de la résistance à certains antibiotiques;
– Rappel des règles de bon usage des antibiotiques. Des mesures qui avaient en partie été proposée par le Pr. Johann Pitout de l’Université de Calgary (Canada) dans un éditorial accompagnant l’étude anglaise. Rappelons que l’émergence de bactéries résistantes aux antibiotiques est un phénomène qui est apparu pratiquement dès le début de l’utilisation de ces produits. Ces émergences sont souvent dues à une utilisation trop large et inadaptée des antibiotiques.Ces résistances peuvent aussi survenir lors du non-respect par le patient de la posologie et de la durée du traitement. Face à ce danger, le développement de nouveaux médicaments infectieux se poursuit mais ne peut être aussi rapide que la rapidité des micro-organismes à développer des résistances, ainsi le bon usage des antibiotiques associé aux mesures d’hygiène reste primordial dans la lutte contre les agents infectieux. Luc Blanchot
Sources :
Communiqué de la Direction Générale de la Santé – 17 août 2010Emergence of a new antibiotic resistance mechanism in India, Pakistan, and the UK: a molecular, biological, and epidemiological study – The Lancet Infectious Diseases, Early Online Publication, 11 August 2010 –

(abstract accessible en ligne)The latest threat in the war on antimicrobial resistance – The Lancet Infectious Diseases, Early Online Publication, 11 August 2010Click Here: cheap INTERNATIONAL jersey

Les Français pessimistes sur l'avenir du remboursement des soins

Très attachés au système de remboursement des soins par l’Assurance Maladie, les Français sont toutefois très pessimistes quant à sa pérennité, selon une étude de l’institut de sondage TNS-Sofres publiée mardi dans La Tribune.

Le déficit du régime général de la Sécurité sociale atteindra 23,2 milliards d’euros cette année, selon les prévisions que doit valider le 28 septembre la Commission des comptes de la sécurité sociale. C’est dans ce contexte que doit être présenté le projet de loi de financement de la sécurité sociale 2011. C’est aussi dans ce contexte que La banque Postale, La Mutuelle Générale et La Tribune publient le Baromètre Prévoyance Santé, qui montre l’inquiétude croissante des Français à l’égard de l’avenir des remboursements des soins. Réalisée par l’institut de sondage TNS-Sofres, l’étude a été réalisée au début de l’été auprès d’un millier de personnes. Elle révèle que les Français sont globalement satisfaits des taux de remboursements des soins (consultations médicales et produits de santé) par l’Assurance maladie, mais qu’ils sont inquiets quant à la pérennité de ce système. Dans le détail, on constate que le remboursement des consultations de médecins généralistes donne satisfaction à la très grande majorité des citoyens (88 %). La prise en charge des frais de radiologie et d’hospitalisation est également jugée satisfaisante pour la plupart d’entre eux (71 % et 67 % respectivement). Mais quand on demande aux Français s’ils jugent satisfaisant le remboursement des médicaments et des consultations chez le spécialistes : ils ne sont plus que 59 % et 53 % à le penser. Et ils sont carrément insatisfaits des niveaux de remboursement des consultations pour lesquelles les honoraires sont libres et de certaines dépenses particulièrement coûteuses comme les soins dentaires ou optiques (lunettes et lentilles). Une inquiétude de plus en plus forteL’étude, qui est la 4ème du genre, montre un accroissement du pessimisme des Français depuis 2007, puisqu’ils sont désormais 83 % à se déclarer pessimistes à l’égard de l’avenir du remboursement des soins de santé, contre 76 % 3 ans plus tôt. Leur inquiétude porte plus précisément sur le taux de remboursement des médicaments. Les vagues successives de déremboursement orchestrées par le ministère de la Santé ont non seulement entamé leur satisfaction actuelle (59 % sont satisfaits du niveau de remboursement actuel contre 64 % en 2009), mais elles augurent un avenir plus sombre pour 83 % des personnes interrogées (contre 69 % en 2007). D’ailleurs, près des 2/3 d’entre elles jugent “pas normal“ de dérembourser des médicaments. Ces réponses traduisent le fort attachement des Français à leur système de santé : ils sont 55 % à vouloir que l’État garantisse sa pérennité et que l’Assurance maladie continue à rembourser les dépenses de santé. Pour pallier le déficit de remboursement, les Français se tournent vers les mutuelles ou les complémentaires santé, qu’ils sont de plus en plus nombreux à juger indispensables (83 % contre 77 % en 2009). La majorité d’entre eux en sont satisfaits, dans l’absolu et en termes de rapport qualité/prix (85 %).Interrogés sur le principe de désigner un médecin traitant, les 2/3 des Français pensent que c’est une bonne chose, un jugement en progression par rapport à 2006 (+ 6 points). D’ailleurs, ils sont 9 sur 10 à respecter le parcours de soins coordonnés (mais seulement 6 sur 10 systématiquement). Une proportion non négligeable (30 %) ignore toutefois que le niveau de remboursement par l’Assurance Maladie en cas de non-respect de ce parcours de soins va baisser (30 % au lieu de 50 % précédemment). Quand on les en informe, ils sont 55 % à penser qu’il s’agit d’une “mauvaise“ mesure.Amélie PelletierSource :Baromètre Prévoyance – 4ème vague Santé, La banque Postale, La Mutuelle Générale et La Tribune. En ligne prochainement sur le site de l’institut de sondage TNS-Sofres.Click Here: cheap nrl jerseys

Iman Cosmetics lance son e-shop

La marque de cosmétiques dédiée aux peaux noires et ethniques, Iman Bowie, lance son e-shop en France. Sur le site, www.iman-cosmetics.fr, les femmes pourront bien sûr commander leur make-up préféré, mais trouveront également de nombreux conseils beauté ainsi que des tutoriels pour bien se maquiller. Et, période de fêtes oblige, le site propose à ses clientes des cadeaux de bienvenue. Avec

www.iman-cosmetics.fr la beauté est à portée de clics !

Quand on est une femme noire, métissée, asiatique ou maghrébine en France, si on n’a pas la chance de vivre dans une grande ville, bien approvisionnée, trouver le maquillage qui convient à son type de peau peut parfois se transformer en parcours du combattant. Alors, pour répondre aux besoins de chacune, Iman Cosmetics, la marque commercialisée en 1994 par l’ancien top model somalien, Iman Bowie, lance en France son e-commerce. Le site proposant une large gamme de soins, les femmes pourront y commander tout leur nécessaire à maquillage : du fond de teint aux soins pour la peau en passant par le maquillage des yeux, des lèvres mais aussi des accessoires.Le site fait également la part belle aux conseils et astuces beauté pour tous les types de peaux. Et les moins douées prendront des cours en vidéo avec le maquilleur personnel de la star et créatrice de la marque, Byron Barnes, à travers une série de vidéos. La liste de tous les points de vente de la marque est également accessible en ligne.Et pour célébrer les fêtes de fin d’année et le lancement du e-shop, la marque propose des petites surprises : les frais d’envois sont gratuits jusqu’au 31 décembre 2010 et à partir de 50 € d’achat, les shoppeuses se verront remettre un rouge à lèvres. De quoi finir l’année en beauté !Juliette RobinSource : site

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J'adore de Dior plus fort que le N°5 de Chanel

Le NPD Group a publié son classement annuel des meilleures ventes de parfums féminins en 2010. Et pour la première fois depuis sa création, c’est J’adore de Dior qui arrive sur la plus haute marche du podium. Il détrône l’emblématique N°5 de Chanel, rétrogradé en deuxième place.

Il aura fallu un peu plus de 10 ans au

parfum J’adore de Dior (lancé en 1999) pour atteindre le top des ventes des fragrances féminines et devancer N°5 de Chanel… d’une courte tête. En effet, le montant des ventes de J’adore se chiffre à 43,77 millions d’euros contre 43,73 millions pour le N°5 qui arrive en deuxième position. On retrouve, sans changement, sur la troisième marche du podium, Angel, de Thierry Mugler.Cette progression de J’adore est due à une augmentation des ventes de 2 % en 2010, alors que N°5 a régressé de 2,5 %.Les femmes (comme les hommes qui leur offrent le parfum) auraient-elles d’avantage succombé aux charmes de Charlize Theron, égérie du parfum, plutôt qu’à ceux d’Audrey Tautou pour Chanel ?Les ventes de coffrets promotionnels (pour la fête des mères et Noël, notamment) seraient l’une des raisons de cette embellie, sans oublier le lancement à l’automne de L’or J’adore, qui a également boosté les ventes.Pour gagner la course au parfum le plus vendu, il faut définitivement avoir du nez !Découvrez en images les deux campagnes publicitaires.

Juliette RobinSource : FashionMag, Les EchosClick Here: Cheap France Rugby Jersey

Les hommes sont-ils réellement des obsédés ?

Comment les hommes et les femmes regardent-ils la photo d’une femme sexy ? Pour le savoir une étude réalisée dans 7 pays a permis de suivre le regard des participants grâce à la technologie eye tracking. Les résultats semblent accréditer les pires stéréotypes : les hommes regardent la poitrine et les femmes la bague du modèle…Au total, 210 participants, moitié hommes et femmes, répartis dans 7 pays ont dû simplement regarder la photo d’une jeune femme pendant 20 secondes, sans consigne spécifique. Pendant que le participant regardait la photo, son regard était mesuré à l’aide de la technologie eye tracking. Les résultats ont été compilés et analysés par les équipes de Miratech.Les hommes et les femmes n’ont pas les mêmes “regards“… Les hommes regardent la poitrine 37 % plus longtemps que les femmes.

De leur côté, les femmes regardent la bague 27 % plus longtemps que les hommes.

Autre différence : les femmes regardent le haut du visage pour identifier la jeune femme, alors que les hommes regardent les lèvres. Quels que soient le pays et le sexe, le visage est la partie la plus regardée. Le regard sur le bassin, la main droite et les cheveux est identique pour les deux sexes.Il existe de grandes différences de comportement entre les pays. Les Françaises sont celles qui regardent le plus la poitrine (2,7 fois plus longtemps que les Anglaises). Les Français et les Danois sont ceux qui regardent le plus la poitrine (près de deux fois plus que les autres pays). Les Anglaises regardent la bague 149 % plus longtemps que les hommes Anglais et 2,2 fois plus que les Françaises. Sont-elles alors les plus intéressées ?Suite au visionnage de l’image, on demandait aux participants de remplir un questionnaire pour déclarer ce qu’ils avaient vus. Dans le questionnaire, ce sont les hommes qui font le plus référence aux yeux et à la bague ; or ce sont les femmes qui les ont le plus regardés. Cette étude souligne alors la différence entre le déclaré (questionnaire) et le mesuré (eye tracking). Les auteurs concluent rapidement que les hommes sont des obsédés et que les femmes sont vénales. Une conclusion un peu rapide sans doute…Source : Miratech – novembre 2011Click Here: Athletic Club Jersey

Duck Boat Owners Cite 1851 Law Limiting Legal Damages

BRANSON, MO — Two companies facing multiple lawsuits over a summer tourist boat accident in Missouri that killed 17 people have invoked an 1851 law that allows vessel owners to try to avoid or limit legal damages as they also seek settlement negotiations with victims’ family members.

But Tia Coleman, an Indiana woman who survived the accident, and lawyers for others whose family members died denounced the filing Monday by attorneys for Ripley Entertainment Inc., based in Orlando, Florida, and Branson Duck Vehicles of Branson, Missouri, as callous and insulting. The companies’ filing was in federal court in western Missouri, where multiple lawsuits are pending.

“Ripley’s inhuman legal ploy will sink as fast as their death trap duck boat did,” Robert Mongeluzzi, a Philadelphia attorney representing accident victims, said in a statement Monday night. “We will legally and factually demolish this frivolous claim.”

If a judge concluded that the federal law cited by Ripley and Branson Duck Vehicles applies, claims for damages over the July 19 accident on Table Rock Lake near Branson, Missouri, could be consolidated into a single federal court case. The companies’ petition states that under the federal law, they would not owe any damages because the boat carried no freight and was a total loss.

But the filing came less than a week after attorneys for Ripley and Branson Duck Vehicles asked U.S. District Judge M. Douglas Harpool for a 90-day extension of court filing deadlines so that they could pursue a potential settlement. Harpool said he would consider the request at a Nov. 1 hearing.

Ripley spokeswoman Suzanne Smagala-Potts said the type of filing made Monday is “common in claims related to maritime incidents.” She said the goal is to delay the multiple court cases to give the parties time for mediation.

“We have reached out to those most impacted by the accident and offered to mediate their claims now,” Smagala-Potts said in a statement. “Mediation often leads to faster resolution and allows those affected to avoid a lengthy process of litigation, and most importantly, begin the healing process.”

Ripley owns the Ride the Ducks operation on Table Rock Lake, while Branson Duck Vehicles owned the boats. Their request last week for a delay in court deadlines said parties in the lawsuits are “actively working” to schedule mediation to resolve the federal and state court lawsuits.

And Smagala-Potts said Monday that two Kansas City-area attorneys experienced in mediation have agreed to lead negotiations and would consult with Kansas City, Missouri, Mayor Sly James, who also is an attorney.

She said the boat operators continue “our commitment to support all guests, employees, and members of the community who were affected by July’s tragic accident.”

But Mongeluzzi said there have been no settlement offers.

“Ripley’s claims of supporting these families are false,” he added.

The tourist duck boat capsized in rough water on the lake after a storm moved through the area. The victims included nine members of Coleman’s extended family , and one federal lawsuit pursued by Mongeluzzi and his fellow attorneys is seeking $100 million in damages on behalf of two of the deceased family members.

That lawsuit says the boat operators violated the company’s policies by continuing with the ride despite the weather warnings and by not telling passengers to put on life jackets when the water got rough. The boat’s driver instead lowered plastic side curtains, which further trapped passengers, according to the lawsuit.

The lawsuit also cites an August 2017 report from a private inspector who warned Ripley Entertainment that the vessels’ engines — and pumps that remove water from their hulls — were susceptible to failing in bad weather. And it accuses the defendants of ignoring warnings issued by the National Transportation Safety Board that the vehicles, which are designed to operate on land and water, should be upgraded to ensure they remain upright and floating in bad weather.

Coleman accused the Ripley and Branson Duck Vehicle attorneys of arguing that her husband and three children, who drowned in the accident, “are worthless” and called for a boycott of Ripley attractions.
Ripley Entertainment has said that the boat’s sinking was “an unforeseeable and unintentional occurrence.”
In its latest filing, it said the boat was “in all respects and properly manned, equipped and supplied” and that its sinking was not caused by “any fault, neglect or want of care” by the companies.

Photo: In this July 23, 2018, file photo, a duck boat that sank during a thunderstorm on July 19, killing 17 people on Table Rock Lake in Branson, Mo., is raised from the bottom of the lake. (Nathan Papes/The Springfield News-Leader via AP, File)

Swastika, 'Arsenal' Found Steps Away From Iconic Ocean Drive

MIAMI BEACH, FL — A South Dakota man was arrested early Thursday morning in Miami Beach with a Swastika and what police described as an “arsenal” of weapons in a pickup truck parked along an alley. The man was asleep inside the vehicle and was believed by police to have been drinking. He was identified as 32-year-old David Goldammer.

Ernesto Rodriguez said that police were called to 14 Street and Ocean Court around 1:37 a.m. after someone reported a suspicious vehicle blocking an alley. The area is steps away from tourist-favorite Ocean Drive in South Beach, known for its vibrant outdoor cafes and nightclubs.

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“When they arrived they discovered a man asleep at the wheel, slouched to the right with the ignition running,” Rodriguez explained.

He said officers shined a light into the red pickup to get Goldammer’s attention and discovered a cache of weapons.

“They quickly noticed two open beer bottles as well as two upholstered and loaded handguns on the center console,” he said. “The driver was immediately ordered out off the vehicle, almost falling as he exited.”

Miami Beach police said they discovered another loaded handgun in Goldammer’s waistband and later found two more loaded handguns, a semi-automatic rifle, a large amount of ammunition, a bullet-resistant vest and a pocketknife with a swastika on it.

These weapons were found steps away from iconic Ocean Drive in South Beach. Photo courtesy Miami Beach Police Department.