Month: May 2020

OSSEO, MN — Video posted on social media appears to show high school officials in Osseo forcing open a bathroom stall as a transgender student sits inside, and the school has come out with a statement in response to backlash that the student’s privacy rights were been violated. In the minute-and-a-half video, posted Wednesday by Twitter user @kev_chillen, a student at Osseo Senior High School sits on a toilet and hits the record button as school officials use a long tool to reach over the stall and unlock the door from the inside. The door swings open and three adults can be seen in the bathroom staring back at the student.

“I’m using the bathroom right now and they just violated me,” the student says in the video. The student repeatedly calls the adults perverts and adds:”I am so scared and violated right now. They just walked in the bathroom while I was using the bathroom for no reason.”

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The recording then shows the student being escorted out of the building by eight school officials.

The student wrote in a subsequent Facebook post: “I Guess I Can’t Use The Girls Bathroom Just Because I’m Transgender. Share This & MAKE IT GO VIRAL!!”

The video had been watched more than 5.5 million times by Sunday afternoon and garnered nearly 3,000 comments, 16,000 retweets and 51,000 likes. Many commenters said the school bungled the handling of the situation by forcing the door open.

“It doesn’t matter what your personal opinion is on transgenders or what bathroom they use what should matter was that GROWN ADULTS opened the bathroom door of a MINOR in a public setting if they had no problem doing it to this person whose to say they won’t do it to someone else,” tweeted @zoie65455421.

Another user agreed, saying no one should be able to open a bathroom stall door while a child uses the bathroom unless someone was in danger.

OutFront Minnesota, the state’s largest LGBTQ organization, told WCCO-TV in a statement that it’s “imperative for students to be respected and affirmed in schools to thrive.”

“When students feel bullied or invalidated for being who they are, their ability to learn and thrive in school is greatly diminished,” Monica Meyer, the group’s executive director, told the station. “It is the job of school districts, faculty and educators to provide spaces where Minnesota youth feel safe and welcome and are encouraged to live their full identities.”

A day later, the principal issued a statement saying that social media posts “significantly” misrepresented what happened.

“It’s important for you to know that no students were barred or banned from using any bathroom at Osseo Senior High,” said Principal Michael Lehan. “I sincerely wish I could say more, but for data privacy reasons, I cannot provide details about a situation involving a specific student.”

The principal said staff only intervenes in restroom use when there’s safety concerns, health concerns, or suspicions of unlawful activity. He stressed that the school works every day to create an inclusive environment where students feel welcome and respected.

“Our staff regularly works with individual students and families who have varying needs, including needs related to identity,” he said.

The school has remained mum on why the door had to be forced open.

Photo credit: Shutterstock

Près d’un jeune sur cinq (19 %), dans cette tranche d’âge, est en surpoids ou obèse. Parmi eux, trois sur dix n’en ont pas conscience puisqu’ils s’estiment minces ou de corpulence normale, selon une enquête IPSOS sur les habitudes de vie des jeunes les exposant au surpoids et à l’obésité, réalisée pour Doing Good Doing Well, société conseil dans le domaine social.

Plus d'un jeune Français sur deux mange ses repas devant un écran, au moins une fois sur deux.

De mauvaises habitudes alimentairesCette tranche d’âge représente 9 millions de personnes, souligne auprès de l’AFP Hélène Roques, directrice générale de cette société qui a financé l’enquête. Grignotage, repas sautés ou avalés à toute vitesse, budget réduit consacré à l’alimentation font partie de mauvaises habitudes relevées par l’enquête.L’alimentation n’est pas un poste de dépenses prioritaire chez les jeunes: plus d’un sur quatre est prêt à sacrifier la qualité et la quantité de son alimentation au profit de son habillement (31%) ou de la téléphonie mobile (25%).La sédentarité aggrave les risques de

surpoids et d’obésité: plus d’un jeune sur trois déclare ne pas faire de sport (38%). Une proportion qui est presque d’un jeune sur deux dans les foyers les plus modestes (44% contre 27% pour les jeunes les plus aisés).Peu de temps consacré aux repasPlus d’un jeune Français sur deux (61%), âgé de 15 à 25 ans, mange ses repas devant un écran, au moins une fois sur deux.  54% disent ne pas manger à heure fixe au moins un repas sur deux. 48% “zappent“ le petit-déjeuner au moins un matin sur deux. Plus d’un jeune sur trois reconnaît qu’en cas de stress, il lui arrive de grignoter toute la journée.  Les jeunes consacrent peu de temps à leurs repas (9 minutes pour le petit-déjeuner, 24 minutes pour le déjeuner, 27 minutes pour le dîner).Près d’un jeune sur quatre (23%) boit “souvent“ des sodas pendant les repas contre seulement un sur six qui dit boire “très souvent“ de l’eau. 38% déclarent consommer quotidiennement à la fois des fruits et des légumes. La vie professionnelle contraint fréquemment 59% des jeunes à déjeuner sur le pouce et, pour 32% d’entre eux, à sauter la pause déjeuner.L’enquête confirme la fracture sociale en matière de surpoids: la proportion de jeunes en surpoids ou obèses est de un sur dix dans les foyers les plus aisés – revenu net mensuel supérieur à 3 000 euros (10% des foyers) – alors qu’elle est d’un sur quatre parmi les foyers les plus modestes – revenu net mensuel inférieur à 1 250 euros (24% des foyers).AFP/RelaxnewsSource :

Enquête Ipsos/Logica Business Consulting réalisée 15 au 25 septembre auprès d’un échantillon représentatif de 1 000 jeunes âgés de 15 à 25 ans, interrogés via l’Access Panel Online d’Ipsos. Méthode des quotas.Click Here: gold coast suns 2019 guernsey

La broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) continue de progresser en silence. Dans un contexte de réduction des dépenses de soins et après un plan BPCO 2005-2010 critiquable, l’association BPCO s’inquiète de la qualité des soins. A l’occasion de la Journée Mondiale de la BPCO relayée en France par la Fondation du souffle, elle lance un nouveau cri d’alarme à quelques jours de son prochain colloque organisé le 13novembre à Paris, la veille de la journée mondiale contre ce fléau.

L'association BPCO s'inquiète des financements dédiés à la prise en charge des patients.

BPCO : un tueur silencieuxLa BPCO est une épidémie moderne, un tueur silencieux, et à l’instar d’autres pathologies chroniques, une source de dépenses de santé. Qui devrait aller croissante puisque près de 3 patients sur 4 ne sont pas diagnostiqués, en particulier à cause de la complexité de réaliser des Explorations Fonctionnelles respiratoires (EFR) dans le cadre d’études épidémiologiques. On estime toutefois que 7,5 % des adultes de plus de 40 ans seraient touchés en France. Suivant l’évolution du tabagisme féminin avec un décalage, on observe une augmentation du taux de mortalité, notamment chez les femmes, dont la courbe s’approche de celle des hommes.BPCO : agir sur la prévention et la prise en chargeFace à ces enjeux de santé publique et économiques, la prévention est indispensable et doit cibler le tabac bien sûr, mais également les maladies professionnelles de certains secteurs spécifiques (minier, BTP, fonderie, sidérurgie, industrie textile ou agricole). L’amélioration de la prise en charge et de la qualité de vie doit également être améliorée, elle passe par le recours à l’ensemble des armes thérapeutiques disponibles (éducation thérapeutique du patient (ETP), réhabilitation respiratoire, nouveaux médicaments). Telles étaient les ambitions initiales du premier plan BPCO 2005-2010, dont les associations de patients dresse un bilan pour le moins mitigé…Plan BPCO 2005-2010 : un bilan mitigéLors de l’ouverture de son 1^er colloque, l’Association BPCO s’était félicitée de l’annonce de la mise en place d’un Plan dédié, porteur de beaucoup d’espoirs. “Malheureusement, ce Plan n’a pas bénéficié d’un budget ambitieux et aucune vraie réponse, concrète et efficace, n’a été apportée aux patients. L’exemple des EFR complètes, indispensables au diagnostic et qui ne sont toujours pas obligatoires ; celui de la

réhabilitation respiratoire (RR), à l’efficacité unanimement reconnue et préconisée par la HAS, mais qui ne fait toujours pas l’objet de la cotation d’acte, sont en la matière révélateurs…“ regrette l’association. En 2011, l’association avait déjà dénoncé le

retard concernant la réhabilitation respiratoire… sans grand succès.Si les améliorations concrètes peinent à venir, ce plan aura néanmoins permis une prise de conscience forte des pouvoirs publics et du grand public quant à l’enjeu majeur de santé publique qu’est la BPCO.L’Association BPCO lance un cri d’alarmeRegrettant un “constat partiel d’échec de ce type d’actions étatiques“, l’association BPCO s’inquiète d’un financement des soins qui “s’essouffle“. Elle entend privilégier des initiatives collectives, dont la première consiste à donner la parole aux patients. “Ces derniers, en observateurs avisés du système de soins, doivent devenir acteurs de leur propre santé. Dans ce cadre, l’Association BPCO annoncera lors de ses 5^èmes rencontres, une nouvelle action concrète afin de répondre à cet objectif : le lancement d’une plateforme internet dédiée, véritable espace communautaire qui permettra aux patients d’échanger, de recueillir des conseils et d’avoir accès à une carte personnalisée sur le suivi de leur maladie“ précise l’association qui rappelle l’importance de l’implication du patient dans sa prise en charge, et notamment dans le cadre de mesures telles que l’éducation thérapeutique du patient (ETP) ou la réhabilitation respiratoire. Des recommandations largement soulignées dans le

Guide du Parcours de Soins  « Broncho-pneumopathie chronique obstructive » édité en février dernier par la Haute Autorité de Santé (HAS).Elle appelle par ailleurs à améliorer le parcours de soins en investissant aujourd’hui pour mieux économiser demain. “Pour une meilleure coordination des soins, l’association BPCO lance un appel à tous les acteurs de santé, pneumologues, généralistes, pharmaciens, paramédicaux – et aux malades qui sont encore insuffisamment consultés, avec un mot d’ordre : le dialogue pour trouver des solutions. Redonner la parole aux patients, les écouter, et aller au-delà des mots, en cessant de morceler le problème et en cassant les corporatismes pour que toute la « chaîne » de la prise en charge puisse mieux s’articuler, au profit du patient !“. Un projet ambitieux et logique face à une maladie qui, selon l’OMS, pourrait passer à la troisième place des causes de mortalité par maladie d’ici 2030.David BêmeSource : Communiqué de l’association BPCO – novembre 2012Click Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

Plus de quatre diabétiques insulinodépendants âgés de moins de 65 ans sur dix (41%) affirment ne pas avoir reçu le bon destiné à profiter d’un vaccin antigrippal gratuit, d’après la dernière enquête SIROP express. Cette étude révèle aussi que plus de 90 % des seniors et des diabétiques ne savent pas que les médecins peuvent émettre un bon donnant droit à un vaccin gratuit.

Grippe : les personnes à risque ne reçoivent pas toutes le bon de vaccination gratuite

Chaque année, l’Assurance maladie édite et envoie des bons de vaccination antigrippale pour permettre aux personnes les plus fragiles de se faire vacciner gratuitement. Ce dispositif est destiné aux personnes qui risquent des complications sévères, comme les seniors, les personnes obèses, les asthmatiques ou encore certains diabétiques. Plus de 8 millions de bons pour un vaccin gratuit sont ainsi envoyés annuellement. En complément de ce dispositif, les Caisses d’Assurance-Maladie ont mis en place une procédure complémentaire pour combler les lacunes du système d’envoi : les médecins ont la possibilité d’émettre eux-mêmes un bon et de le donner aux patients concernés qui n’auraient pas reçu de bon venant de leur caisse d’Assurance-Maladie.La dernière enquête SIROP express montre que ces bons ne parviennent pourtant pas chez toutes les personnes concernées. 41% des patients diabétiques insulinodépendants âgés de moins de 65 ans déclarent ainsi ne pas avoir reçu ce bon pour se faire vacciner gratuitement, contre seulement 4% des seniors.Autre constat : 93% des seniors et 91% des diabétiques interrogés concèdent ne pas savoir que les médecins peuvent émettre un bon donnant droit à un vaccin gratuit.Les auteurs de l’étude juge qu’une campagne de promotion du nouveau dispositif mis en place par l’Assurance-Maladie permettrait d’améliorer la couverture vaccinale antigrippale.Cette enquête a été réalisée entre le 22 et le 27 octobre derniers, dans 1.894 pharmacies informatisées. L’équipe officinale a interrogé 18.820 clients, diabétiques insulino-traités ou personnes âgées de 65 ans et plus.RelaxnewsSource : Communiqué SIROP Express – décembre 2012Photo : ©F.C.G./Shutterstock.comUTIP Association, dont la mission est l’amélioration des pratiques des pharmaciens et OPEN ROME, une équipe de recherche en santé publique, associent leurs compétences pour aider les pharmacies à intervenir dans des problèmes de santé publique et à participer à la recherche médicale.  Leur programme baptisé « SIROP » (Système d’Intervention et de Recherche des Officines Pharmaceutiques) permet de réaliser des enquêtes auprès des officines équipées.Click Here: geelong cats guernsey 2019

A quelques heures du réveillon du jour de l’an, l’Association française des diététiciens et nutritionnistes (AFDN) délivre ses conseils pour permettre à tous de partager un repas de fête sans maltraiter son organisme. Le mot d’ordre est de privilégier certains aliments peu riches en matières grasses (crustacés ou fruits de mer) et d’écouter son corps.

Les conseils de l'AFDN pour le repas de réveillon.

L’heure de l’apéritif
C’est le moment où il faut le plus faire attention.

Le repas du réveillon du jour de l’an est généralement servi tardivement; ce qui pousse certains à se jeter sur l’apéritif. Il faut avant tout gérer son appétit et équilibrer l’alimentation tout au long de la soirée.L’AFDN dévoile deux petites astuces à mettre en pratique. Dans le cas d’une réception à domicile, il est recommandé de concocter des mets sans calories, comme des bâtonnets de crudités à déguster avec du yaourt nature agrémenté de ciboulette, ou des feuilles d’endives servies avec du fromage blanc.Si le repas est organisé chez une tierce personne, il est conseillé de manger un fruit ou un laitage avant le départ. Cela évitera de se jeter sur les canapés salés dès l’apéritif.Pendant le repasLors d’une telle occasion, il ne faut surtout pas se priver tout en limitant les excès. Il est tout à fait possible de profiter de chaque plat sans pour autant agresser son organisme.Pour ce faire, l’AFDN préconise de ne pas saucer et de ne pas se resservir pour bien équilibrer le repas. L’écoute du corps est également primordiale. Si certains mets ne se mangent que par gourmandise, il faut tout de même savoir dire “stop“ lorsque l’estomac devient lourd, la langue pâteuse ou le goût saturé.La présence de crustacés et de fruits de mer lors de ce type de repas est un avantage de taille, puisque ce sont justement les aliments à privilégier. Ces produits de la mer sont peu caloriques et très appréciables. Ils peuvent représenter une alternative aux plats en sauce, d’après l’Association des diététiciens et nutritionnistes.
Oui au dessert
Aucune raison de se priver de dessert lors des fêtes de fin d’année, bien au contraire. Sans surprise, il est conseillé d’opter pour une

bûche glacée, moins lourde et plus facile à digérer qu’une bûche pâtissière.L’alcool… avec modérationLes boissons alcoolisées sont généralement associées au repas festif du réveillon du jour de l’an. Toutefois, certaines astuces permettent de ne pas agresser son foie et son estomac, et de se sentir en pleine forme le lendemain.De l’apéritif au dessert : il est préférable de ne pas mélanger les boissons alcoolisées. Il vaut mieux faire tout un repas au champagne ou au vin blanc, que de passer d’un vin à l’autre.L’AFDN recommande également de prévoir deux verres pendant le repas : un pour l’eau, et un autre pour le vin. Cela évite de remplir son verre de vin sans arrêt, et donc de faire des excès.Relaxnews

Plus de la moitié des personnes célibataires (52%) considère que les attentions faites au quotidien à son partenaire comptent plus que celles données à la Saint-Valentin, d’après un sondage réalisé par le site de rencontres Mektoube.fr, rendu public lundi 28 janvier.

Les petites attentions quotidiennes préférées à la célébration de la Saint-Valentin.

Certains demeurent pourtant de vrais romantiques. Le sondage montre que 20% des sondés s’attendent à une réelle déclaration d’amour pour la

Saint-Valentin, contre 19% qui pourraient se contenter d’un mot doux sur une carte.Moins de 10% des personnes interrogées estiment qu’une soirée autour d’un bon dîner suffit amplement à célébrer cette journée dédiée aux couples.Cette étude a été réalisée en janvier 2013 auprès de 770 membres inscrits sur le site de rencontres Mektoube.fr.RelaxnewsSource : Communiqué du site MektoubeClick Here: Maori All Blacks Store

En constante augmentation, le cancer colorectal touche près de 40000 personnes par an. Face à ce fléau, de nouvelles armes apparaissent. Fin janvier 2013, plus de 3000spécialistes étaient réunies pour le congrès de la société américaine de cancérologie spécialement dédié aux cancers digestifs. De retour de ce rendez-vous scientifique important, le Pr Emmanuel Mitry, oncologue digestif à l’institut Curie pointe les principales avancées.

De nouvelles études permettent d'améliorer le traitement des personnes âgées.

Survenant principalement après 70 ans, le cancer colorectal est ainsi le troisième cancer le plus fréquent et le deuxième en terme de mortalité après le cancer du poumon. Le vieillissement de la population et les modifications des modes de vie (apports caloriques trop élevés, activité physique réduite, etc.) ont favorisé l’augmentation depuis les années 80.Limiter la toxicité des traitementsPourtant les patients âgés sont paradoxalement moins bien pris en charge que les patients jeunes. Les études d’efficacité étant conduite sur des populations plus jeunes, on ne sait pas quel prise en charge est la mieux adaptée aux seniors. Mais cela est en voie d’amélioration grâce à de récents travaux. “Les données de deux essais prospectifs de phase III, maintenant connues permettent d’envisager une amélioration. L’essai 2001-02 de la Fédération Française de cancérologie digestive, dont j’étais le coordonateur, présenté lors du congrès de l’ESMO montrait que, contrairement à ce qui est rapporté chez les patients jeunes, une chimiothérapie par FOLFIRI (5FU+irinotécan) était plus toxique mais pas plus efficace qu’une chimiothérapie à base de 5FU seul chez les patients âgés“ explique le Pr. Mitry.

L’intérêt des thérapies ciblées confirmé chez les plus de 70 ans“L’étude AVEX, présentée lors du congrès de l’ASCO GI apporte de nouvelles informations et montre pour la première fois l’intérêt d’une thérapie ciblée dans cette population âgée“ poursuit le Pr Mitry. Cette étude internationale, randomisée et ouverte visait à évaluer le profil d’efficacité et d’innocuité du bevacizumab (

Avastin ®)en association avec de la capécitabine (

Xeloda ®) en chimiothérapie chez des personnes âgées (≥ 70 ans) atteintes d’un cancer colorectal métastatique. Originaire de 10 pays différents, 280 patients d’un âge moyen de 76 ans ont été divisés en deux groupes, le premier recevant de la capécitabine en monothérapie, le second de la capécitabine en association avec bevacizumab.Une prolongation de quatre mois de la survie sans progression (pas d’augmentation de la tumeur) médiane a été observée chez les patients bénéficiant du bevacizumab : 9,1 mois vs 5,1 mois. La survie globale médiane est passée de 20,7 mois à 16,8 mois, même s’il ne s’agissait pas du critère principal de l’étude et qu’il faudra, pour disposer d’une meilleure puissance statistique, confirmer cet effet avec des effectifs plus importants. Mais cette étude montre qu’un traitement associant la capécitabine (Xeloda ®), forme orale du 5FU, et le bevacizumab (Avastin ®) est plus efficace qu’un traitement par capécitabine seule, sans majoration importante de la toxicité, en dehors des effets secondaires connus de l’Avastin ®.Pour améliorer la prise en charge du cancer colorectal, il faudra désormais savoir quelle chimiothérapie utiliser avec quelle thérapie ciblée (

Erbitux ®, Avastin ®…). Des premières données pourraient être annoncées lors du prochain congrès de l’ASCO.Click Here: cd universidad catolica

HOUSTON, TX — The public visitation for President George H.W. Bush, who died Nov. 30 at the age of 94, ended at 5:30 a.m. Thursday. The visitation opened at 4:45 p.m. Wednesday with the first wave of mourners arriving at about 5:30 p.m.

Officials estimate that as many as 12,000 mourners filed through St. Martin’s Episcopal Church to pay their respects to Bush.

The funeral for the man known in the Bayou City as “Houston’s President” begins at 10 a.m. and will be a private service for family and close friends.

His casket will leave the church shortly before noon and will be transported to Spring to be loaded on the Bush 4141 train.

The final journey for Bush will wind 70 miles through several Texas communities en route to College Station, where he will be laid to rest next to his wife, Barbara, who died in April.

Residents in communities along the funeral route are expected to begin lining up at about 10 a.m. to pay their final respects.

The official state funeral for Bush was held Dec. 5 at the National Cathedral in Washington, D.C., with former presidents and dignitaries attending the service.

His body was flown to Houston afterward.

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Dans une tribune parue dans le New York Times, l’actrice américaine, dont la mère est décédée d’un cancer à l’âge de 56 ans, a annoncé qu’elle a subi une double mastectomie préventive.

Angelina Jolie annonce avoir subi une ablation préventive des seins

La raison de son choix ? La star est porteuse d’un gène qui l’expose à un risque très élevé. Ce gène, appelé BRCA 1, l’exposerait à un risquer de 87 % de développer un cancer du sein (avec 30 % de risques de mortalité) et de 50 % un cancer de l’ovaire.Quelle efficacité pour prévenir le cancer ?L’ablation des seins n’annule pas totalement le risque de cancer car il est pratiquement impossible de supprimer totalement la glande mammaire. Cependant, chez les femmes à risque génétique élevé, comme c’était le cas pour Angelina Jolie, plusieurs études ont montré une baisse significative de survenue des cancers. En effet, le risque après mastectomie est de 4 à 5 % (contre 60 à 80 % sans mastectomie) et avec un risque de décès qui passe à 2 % (contre 30 à 40 % avant). Autrement dit, la star américaine a ramené  son risque à celui de la population générale des femmes  grâce à cette intervention.Par ailleurs, l’actrice, connue pour ses œuvres caritatives, a souligné qu’elle regrette que le test de dépistage générique des 2 gènes inculpés (le BRCA 1 dont elle est porteuse, et le BRCA 2) coûte plus de 3 000 dollars aux Etats-Unis, ce qui “reste un obstacle pour beaucoup de femmes“.Une première interventionAngelina a donc subi une première intervention incluant l’ablation et la pose d’implants temporaires. Dans un deuxième temps chirurgical, elle bénéficiera d’une reconstruction des seins. Quant aux effets secondaires éventuels, elle se montre confiante et “espère que d’autres femmes pourront bénéficier de son expérience“.Rappelons qu’en France, les professionnels de santé recommandent une surveillance rapprochée. En cas de chirurgie, l’option en France est la combinaison d’ablation des ovaires et une prise de tamoxifène (un médicament anticancéreux) plutôt qu’une mastectomie. Ce choix permet de faire baisser le risque très fortement tout en conservant les seins.Par ailleurs, le dépistage génétique des femmes à risque est souvent pratiqué en cas d’antécédent de risque génétique chez la mère.Jesus CardenasClick Here: Golf special

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CHICAGO, IL — Two Chicago police officers were struck and killed by a train on the city’s far South Side Monday evening. During a press conference late Monday, officials identified the officers as Eduardo Marmolejo, 36, and Conrad Gary, 31.

Mayor Rahm Emanuel said both men were fathers of young children. Marmolejo had been with CPD for more than two years, and Gary joined 18 months ago, Superintendent Eddie Johnson said.

Marmolejo is the father of three children, while Gary is the father of an infant, according to ABC Chicago. Both were married.

“We’ve lost two young men, both fathers with young families. This holiday will never be the same for those two families,” Emanuel said.

Chicago Police Department spokesman Anthony Guglielmi confirmed the officers’ deaths, saying they were hit near 103rd and Cottage Grove in a “devastating tragedy.”

Guglielmi said at around 6:20 p.m., the officers were investigating a “shots fired” report and were engaged in a foot pursuit with a suspect who had gone onto the Metra tracks when they were hit by the outbound train. A weapon was found near where the officers were hit, and Guglielmi said a person of interest was taken into custody. Shell casings were also reportedly found.

Metra said a Northern Indiana Commuter Transportation District (NICTD) South Shore train headed for Indiana hit two people near 103rd Street. Inbound and outbound trains were stopped after the incident and Metra told riders to expect them to be “extensively delayed.” By 8 p.m., inbound and outbound trains on the Metra Electric South Chicago Branch were operating again.

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The incident is only the latest tragedy for the Chicago Police Department. Last month, Ofc. Samuel Jimenez, 28, was killed along with Mercy Hospital ER doctor Tamara O’Neal and pharmacy resident Dayna Less after a gunman opened fire at the hospital.

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The department lost several officers who took their own lives this year, including two officers with the 5th District, where Marmolejo and Gary served. In February, Cmdr. Paul Bauer was shot and killed by a man he was pursuing near the Thompson Center.

The incident is also not the first time a Chicago police officer was killed by a train in the line of duty. In 2002, Ofc. Benjamin Perez, 32, was using a rail overpass as cover during a stakeout on the West Side when he was hit and killed by a commuter train.

Photos of Conrad Gary (left) and Eduardo Marmolejo via Chicago Police Department