Mike Bloomberg Dropping Out Of Presidential Race, Endorsing Biden

Mike Bloomberg on Wednesday dropped out of the presidential race, ending somewhat of a controversial campaign just hours after citizens finally had the opportunity to vote for him.

Bloomberg, a billionaire who skipped the first four states and debuted on ballots Super Tuesday, failed to find almost any success across the country while his moderate rival Joe Biden continued his nationwide surge. Bloomberg’s lone victory Tuesday came in American Samoa.

“Three months ago I entered the race to defeat Donald Trump,” Bloomberg said in a statement. “I am leaving the race for the same reason: to defeat Donald Trump — because it is clear to me staying in would make achieving that goal more difficult.

“I’m a believer in using data to inform decisions,” he continued. “After yesterday’s results, the delegate math has become virtually impossible — and a viable path to the nomination no longer exists. But I remain clear-eyed about my overriding objective: victory in November. Not for me, but for our country. And so while I will not be the nominee, I will not walk away from the most important political fight of my life.”

Bloomberg threw his support behind Biden.

“Defeating Trump starts with uniting behind the candidate with the best shot to do it,” Bloomberg tweeted. “It’s clear that is my friend and a great American, @JoeBiden.”

The Medford native and former mayor of New York City predicated his campaign on the assumption that moderates wanted a strong alternative should Biden stumble out of the gate. Biden did, but a weekend resurgence keyed by is South Carolina victory coalesced the moderate wing behind him on Super Tuesday, leaving Bloomberg without a path to victory.

Bloomberg scored high in polls after he announced his candidacy, pouring hundreds of millions of dollars of advertising into key states. He was accused by fellow candidates of trying to buy the election.

But Bloomberg failed miserably on the debate stage — Sen. Elizabeth Warren made sure of that — and the early intrigue never translated into votes.

Bloomberg, 78, has been one of the major donors to Democratic causes and candidates in America.

Attention now turns to Warren, who will be facing intensifying calls to drop out after a disastrous showing on Super Tuesday.

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Hawaii Congresswoman Tulsi Gabbard also remained in the Democratic primary after Super Tuesday.

Obésité en Outre-mer : un rapport préconise sport sur ordonnance et aliments sains moins chers

Les Outre-mer sont "particulièrement concernés" par le surpoids et l’obésité, déplore un rapport parlementaire, qui préconise de développer les équipements sportifs, du sport sur ordonnance et la garantie aux plus démunis de l’accès à des aliments plus sains.

Selon une étude de 2016 en Martinique et Guadeloupe, 27,8% des plus de 16 ans sont en situation d'obésité, contre 14,5% au niveau national. A Mayotte, selon Santé publique France, le surpoids concerne 72% des femmes mahoraises et 34% des hommes.

Dans ce rapport, dont l’AFP a eu copie vendredi, les députés Maud Petit (Val-de-Marne, MoDem) et Jean-Philippe Nilor (Martinique, GDR) notent qu’en Outre-mer “les populations pratiquent moins d’activités physiques” qu’en métropole et “les déplacements en voiture individuelle sont devenus la règle“.Ils mettent aussi en cause “la modification des habitudes alimentaires traditionnelles, remplacées par la restauration rapide et l’abus de sucre, de sel et de produits gras“, qui ont abouti à une “montée de la surcharge pondérale dans ces territoires“.

En dépit – ou peut-être à cause – d’un niveau de vie encore inférieur à celui de l’hexagone, l’obésité est beaucoup plus présente dans les outre-mer“, constate le rapport d’après plusieurs enquêtes menées sur les territoires.Selon une étude de 2016 en Martinique et Guadeloupe, 27,8% des plus de 16 ans sont en situation d’obésité, contre 14,5% au niveau national. A Mayotte, selon Santé publique France, le surpoids concerne 72% des femmes mahoraises et 34% des hommes. En Polynésie, 70% de la population adulte est en surpoids, dont 40% obèses (2010).Conséquence : dans l’hexagone, l’espérance de vie s’élève à 79 ans pour les hommes et 85 ans pour les femmes, mais elle baisse à 77 et 85 ans en Guadeloupe, à 76 et 82 ans en Guyane et à 74 et 80 ans dans les collectivités du Pacifique.Le coût de certaines pratiques sportives, le sous-équipement en infrastructures, et les réticences à montrer un corps obèse “sont autant de freins qui ne favorisent pas la pratique de l’activité physique” outre-mer, regrettent les auteurs.Il préconisent d’y développer les équipements sportifs, d’inciter les médecins à prescrire le sport sur ordonnance, et de créer pour les populations les plus démunies, une “licence sportive sociale” moins chère.Les deux députés, qui font au total 43 propositions, recommandent aussi que les produits locaux faibles en lipides et glucides soient intégrés dans le “Bouclier qualité prix” (panier de produits à prix réduit propre aux Outre-mer) pour “garantir aux plus démunis l’accès à des aliments de qualité“, et que les autorités locales qui dans certains territoires, comme en Polynésie, subventionnent des “produits de première nécessité“, cessent de “favoriser les produits nocifs pour la santé“.Ils demandent aussi une commission d’enquête sur l’application de la loi Lurel (2016) qui a interdit en outre-mer la distribution de produits agro-alimentaires plus sucrés qu’en métropole.

Vaincre l'obésité : 8 pistes prometteuses

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Samedis Noirs : les médecins généralistes en grève

Vous risquez de ne plus avoir de rendez-vous avec votre médecin les samedis. A partir du 14 décembre, les médecins ont appelé à des “Samedis Noirs” pour protester contre le plan pour sauver les urgences annoncé par le gouvernement.

A partir du 14 décembre, votre médecin pourrait être en grève tous les samedis matin. La

Fédération française des Médecins généralistes (MG France), premier syndicat de médecins, a voté le 7 décembre, à l’unanimité, l’opération baptisé “samedis noirs”. Les cabinets seront fermés le samedi matin pour dénoncer le manque de moyens prévus dans le

plan de sauvetage des urgences, présenté par Agnès Buzyn début septembre. La ministre des Solidarités et de la Santé Agnès buzyn a présenté le “pacte pour une refondation des urgences”, un plan pour désengorger les urgences, qui s’appuie sur la médecine de ville. “Le gouvernement annonce partout qu’il va mettre en place sur toute la France un service d’accès aux soins permanent à partir du 30 juin prochain, il nous demande de faire plus, alors que nous sommes débordés et que cela demande de l’organisation. Mais le gouvernement ne veut rien mettre sur la table”, explique Jacques Battistoni, président de MG France au Parisien. Des médecins débordésCette action vise à sensibiliser le gouvernement sur “ce qui arriverait si les médecins généralistes n’étaient plus en mesure d’assumer la continuité des soins,” explique le syndicat. Car, comme le démontre MG France, la France manque des médecins, et particulièrement à la campagne, et ces derniers sont déjà débordés. “Sans aménagement des horaires, comment penser que les généralistes pourront dégager le temps nécessaire pour libérer des créneaux dans des emplois du temps chargés ? Sans rémunération des effecteurs, comment motiver les professionnels à effectuer ce travail supplémentaire ?”, questionne le syndicat de médecins sur Twitter.Un manque de moyensLe pacte de refondation ne prévoit que 100 millions d’euros, trop peu selon le syndicat. Il en faudrait pas moins de 200 millions d’euros par an, soit le double prévu, pour pouvoir mettre en place les dispositifs nécessaires du côté des généralistes. “Le pacte de refondation des urgences prévoit 100 millions à partager entre la médecine de ville et les Samu, ça fait 1,50 euros par habitant à se partager. Autant dire rien”, analyse le président du syndicat. La Fédération française des Médecins généralistes réclame aussi que la majoration des consultations le week-end démarre dès le samedi matin, et non le samedi à 12h actuellement. “Ce mouvement est susceptible de s’étendre si le signal lancé par ces ‘samedis noirs de la médecine générale’ n’est pas entendu”, alerte la Fédération. D’autres syndicaux médicaux sont incités à rejoindre ce mouvement début 2020.Click Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers

Journée mondiale de la BPCO : “Aider l’aidant, c’est aider le patient”

A l’occasion de la journée mondiale de la BPCO qui se déroule le mercredi 20 novembre 2019, la Fondation du Souffle lance la campagne de sensibilisation “La BPCO se soigne mieux à deux : l’indispensable soutien des aidants”. L’objectif : insister sur le rôle fondamental des proches dans l’amélioration de la qualité de vie des patients, et prendre conscience du poids que représente la maladie pour eux également.

Sommaire

  1. “Le rôle de l’aidant dans la BPCO est multiple”
  2. “Il n’existe aucune reconnaissance de la charge liée à l’aide de patients atteints de BPCO”
  3. Mieux intégrer l’aidant dans le parcours de soins

Méconnue du grand public, la

bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) n’en reste pas moins un fléau : 3,5 millions Français en souffrent et chaque année, elle engendre 17 000 décès. Les symptômes et les traitements de cette maladie inflammatoire des bronches, causée dans 90% des cas par le

tabagisme, sont difficiles à vivre au quotidien. Mais pas seulement pour les patients : afin d’insister sur le rôle primordial des proches des malades dans la gestion de la BPCO, la Fondation du Souffle lance la campagne de sensibilisation “La BPCO se soigne mieux à deux : l’indispensable soutien des aidants” à l’occasion de la journée mondiale de la maladie qui a lieu aujourd’hui.“Le rôle de l’aidant dans la BPCO est multiple”Parce que la BPCO est responsable de symptômes respiratoires, notamment d’un essoufflement, de plus en plus prononcés avec le temps, elle entraîne une réduction de la mobilité du patient. Sa qualité de vie s’en trouve alors grandement altérée. Néanmoins,  “plusieurs professionnels de santé peuvent être sollicités pour stimuler et soutenir régulièrement le patient dans son traitement au long cours, explique la Fondation : kinésithérapeute, infirmier, diététicienne, psychologue, éducateur sportif, prestataire de soins à domicile, le cas échéant, lorsqu’une assistance en oxygène s’impose. Certaines études le prouvent : plus le nombre d’aidants qui entourent le patient est important, plus les activités quotidiennes sont optimisées, quelle que soit la gravité de la BPCO. Et dans ce parcours de soins, la place et le rôle du partenaire de vie du malade sont tout aussi primordiaux.” Observance thérapeutique, surveillance des symptômes, collaboration avec les acteurs de santé… Le rôle de l’aidant dans la BPCO, qui est bien souvent un membre de la famille, “est multiple, affirme le docteur Alain Bernady, pneumologue. Il peut contribuer à la prévention des exacerbations, par exemple lorsqu’il signale à son proche qu’il tousse plus que d’habitude et ferait bien d’aller consulter. […] Devenir l’aidant d’un malade souffrant de BPCO, c’est plus qu’un apprentissage.”“Il n’existe aucune reconnaissance de la charge liée à l’aide de patients atteints de BPCO”Un apprentissage qui reste largement sous-estimé : “S’il existe aujourd’hui une reconnaissance de la charge liée à l’aide de patients atteints de cancers, il n’en existe aucune pour la charge liée à l’aide de patients atteints de BPCO”, déplore la Fondation. Or, les conséquences de la maladie sur la vie personnelle, sociale et professionnelle de l’aidant sont loin d’être négligeables : stress, absentéisme au travail, frais médicaux…Et cette situation est d’autant plus difficile à gérer que les aidants se plaignent d’un manque d’information sur la BPCO et de soutien de la part des professionnels de santé : “Quand on les interroge, ils [affirment que] la communication était absente ou difficile en consultation. Pneumologues, médecins traitants, personnel soignant médical et paramédical, entourage doivent pourtant les aider et s’occuper aussi d’eux.” Les bénéfices seraient en effet importants à la fois pour l’aidant et pour le patient : “Une méta-analyse récente évalue que le soutien et la formation des aidants contribue significativement à améliorer la qualité de vie du patient et à diminuer son nombre d’hospitalisations de l’ordre de 30 %”, précise la Fondation. Mieux intégrer l’aidant dans le parcours de soinsPour que ce cercle vertueux puisse se mettre en place, “l’aidant doit être invité à participer aux consultations, ou lors du séjour d’un patient en réhabilitation respiratoire invité à assister un après-midi, avec lui, à l’une de ses séances d’éducation thérapeutique, recommande-t-elle. Ces séjours, de même que l’hospitalisation, doivent aussi être l’occasion pour les soignants d’inviter l’aidant à en profiter, pour s’offrir, sans craintes, un peu de répit.” En 2017, le livre blanc de la Pneumologie avait déjà souligné “la nécessité de proposer un programme d’accompagnement pour ces partenaires de vie”.Lors de cette journée de sensibilisation à la BPCO, la Fondation du Souffle invite le grand public à se rendre dans ses locaux pour “s’informer sur les différents aspects de la maladie et réaliser une mesure de souffle”.Rendez-vous aujourd’hui, au 66 boulevard Saint Michel, 75006 Paris de 10h à 18h.

Le gène du bon cholestérol démasqué

La société américaine Myriad Genetics annonceavoir découvert le gène du bon cholestérol.Plus exactement, les recherches ont permis de déterminer legène qui fonctionne anormalement chez les jeunes victimes demaladies cardiaques. Ces personnes produisent en quantitétrop importante une protéine, CHD2 (Coronary Heart Disease2) responsable d’un taux élevé du “mauvais“cholestérol et d’une diminution du “boncholestérol“.
L’origine de ce dysfonctionnement a étédéterminée après l’analysegénétique de plus de 5 000 personnes issues de 145familles, en collaboration avec des chercheurs del’Université de l’Utah. Les scientifiquesestiment désormais qu’en bloquant l’expressionde ce gène, il sera possible de réduire le mauvaischolestérol et d’augmenter le bon, prévenantainsi l’apparition de maladies cardiovasculaires.
Le cholestérol sanguin est transporté par leslipoprotéines (graisse + protéine). Certaineslipoprotéines, les LDL, favorisent la formation de la plaqued’athérome. D’autres sont plutôtbénéfiques car elles permettentl’élimination de cholestérol en excèsdans les cellules : ce sont les HDL ou bon cholestérol. Cesdernières protègent ainsi des maladiescardiovasculaires et réduisent les risques d’attaquescardiaques.
Source : Communiqué de Myriad GeneticsClick Here: Cheap France Rugby Jersey

Quand on regarde la vidéo d'un coureur, notre corps a lui aussi l'impression de courir

Regarder sur un écran d’autres personnes faire du sportaccroîtle rythme cardiaque et d’autres mesures physiologiques, comme si le spectateurpratiquait lui aussi une activité physique, selon une étude australienne publiée dimanche.

Regarder les autres faire du sport serait bon pour la santé.

Lorsqu’une personne regarde les images vidéo d’un coureur, elle enregistre une hausse du rythme cardiaque, de la respiration, de la circulation sanguine et de la transpiration, affirme cette étude parue dans la revue spécialisée “Frontiers in Autonomic Neuroscience“.Ces paramètres reviennent à la normale lorsque le coureur de la vidéo cesse son activité. Cette étude montre pour la première fois que l’activité du système nerveux sympathique –responsable d’activités inconscientes– s’accroit lorsqu’une personne regarde une activité sportive, avance l’équipe scientifique qui l’a conduite.“Nous savons que le système nerveux sympathique, responsable du rythme cardiaque, des glandes salivaires ou encore des vaisseaux sanguins, accroit son activité lors de l’activité physique. Nous avons montré que son activité augmente également lorsque vous regardez une scène d’activité physique, comme si vous courriez vous-même“, a déclaré le professeur Vaughan Macefield, de l’Ecole de médecine à l’université de Sydney ouest.Pendant l’expérience, des aiguilles très fines ont été insérées sur neuf volontaires afin d’enregistrer les signaux électriques nerveux, fournissant ainsi une mesure sensible des réponses physiologiques à un stress physique ou mental.Les scientifiques ont d’abord montré les images d’un paysage immobile, puis une vidéo de 22 minutes d’un joggueur. “Les changements enregistrés étaient faibles, mais ils correspondaient aux réponses physiologiques à la pratique d’un exercice physique“, a ajouté Rachael Brown, qui a conduit la recherche avec le professeur Macefield.“Comme les volontaires étaient assis confortablement dans des fauteuils, sans aucune activité musculaire, cela montre que les réponses étaient psychogènes –d’origine mentale et non physique–“, précise-t-elle.Vaughan Macefield souligne toutefois que rien ne vaut la pratique d’un exercice physique. “Rien ne peut remplacer le fait de se lever de son canapé“, souligne-t-il.AFP/RelaxnewsSource : 

Increases in muscle sympathetic nerve activity, heart rate, respiration, and skin blood flow during passive viewing of exercise – Rachael Brown, Ursula Kemp, Vaughan Macefield – Front. Neurosci. doi: 10.3389/fnins.2013.00102 (

étude accessible en ligne)Photo : © Mikael Damkier/shutterstock.com

Vos boites de médicaments changent de look

La prise de certains médicaments peut avoir des effetssecondaires plus ou moins marqués : somnolence,réaction au soleil… S’il fallait jusqu’alorslire attentivement la notice pour connaître ces effetsindésirables, les laboratoires pharmaceutiques sontaujourd’hui dans l’obligation d’apposer despictogrammes sur les boites des médicamentsconcernés.
– Effets sur la capacité de conduire des véhicules oud’utiliser des machines
– Protéger les zones traitées par le port d’unvêtement afin de ne pas les exposer au soleil (mêmevoilé) ou aux UVA
N’oubliez pas qu’il faut toujours laisser lesmédicaments dans leur emballage et non en vrac dans unearmoire à pharmacie. Cela permet entre autres d’avoirsous la main la posologie à respecter. De même, nelaissez jamais de médicaments à la portée desenfants et cela quel que soit le produit. Les plus anodins enapparence peuvent être très dangereux pour les pluspetits.
Source : Communiqué du 20 juillet del’AfssapsClick Here: Cardiff Blues Store

A vélo, le port du casque est indispensable

L’Assurance Maladie et l’Institut national deprévention et d’éducation pour la santé(INPES) ont lancé début juin une campagne deprévention des accidents de vélo intitulée “Avélo, le port du casque c’est pas obligatoire,c’est juste indispensable“.
L’objectif de la campagne est de rappeler que le casquedevrait constituer l’accessoire systématique pour lapratique du vélo, comme il l’est pour les deux rouesmotorisées. Depuis début juin, un spottélé, une affiche et un numéro spéciald’Astrapi sont autant d’éléments poursensibiliser le grand public.
L’importance de cette protection est aujourd’huiincontestable. Lors d’une chute à vélo, latête est touchée plus d’une fois sur trois (38%) avec des conséquences pouvant entraîner desséquelles graves voire fatales. 255 cyclistes sonttués et 6 520 blessés chaque année. Faceà ces chiffres, une étude américaine a permisde souligner que le port du casque réduit de 80 % lagravité des traumatismes crâniens et de 88 % cellesdes lésions au cerveau. Malgré cet indéniablebénéfice, seuls 8 % des cyclistes françaisdéclarent avoir porté un casque lors de leurdernière sortie.
Pour les plus jeunes, pas de vélo sans casque. N’ayantpas le réflexe de se protéger le visage, latête est touchée dans 55 % des cas chez les enfants de1 à 5 ans, et dans 48 % des cas chez les 5-10 ans. Lesiège vélo est indispensable avant 6 ans, mais nedispense pas du port du casque.
Source : Communiqué de l’INPES

Nouvelle alerte sur Vicks Babybalm

En décembre, les laboratoires Procter&Gamble retiraientdu marché tous les baumes parfumant corporels Vicks BabyBalmen raison d’effets neurologiques indésirables. Ce produitcontenant des dérivés terpéniques (huilesessentielles renfermant de l’eucalyptol et du camphre) estutilisé en massage sur la poitrine des nourrissons pour sesvertus relaxantes. Mais son utilisation a entraîné desconvulsions et des pertes de connaissance chez des enfants,certains ayant du être hospitalisés. 7 nouveaux cas,dont deux postérieurs au retrait, ont étéenregistrés chez des nourrissons. L’Agence françaisede sécurité sanitaire des produits de santérappelle à tous les parents qu’ils ne doivent plus utiliserles pots de Vicks BabyBalm qu’ils pourraient encore détenirà leur domicile. Pour répondre à toutes lesquestions, un numéro vert a été mis en placepar le Procter&Gamble Pharmaceuticals : 0800 972 100 (du lundi au vendredi de 9 hà 20 h).Source : Afssaps 28 décembre 2004Click Here: camiseta seleccion argentina

A solution to the Brexit transition conundrum

Raoul Ruparel was the prime minister’s special adviser on Europe under Theresa May and was directly involved in Brexit negotiations for three years. Last year he predicted how a Brexit deal would be struck.

LONDON — Last week saw another round of Brexit negotiations pass with little progress.

June’s deadline for the U.K. to ask for more time to strike a deal with the European Union about its future relationship with the bloc is fast approaching. Without a deal come December, the U.K. will leave the Brexit transition period with no preferential trading terms in place and industry will need to be ready for significant friction in its business across the Channel.

Thanks to this impasse and massive disruption caused by COVID-19, those arguing for an extension to the transition have been vocal about why one is needed. Similarly, the U.K. government has publicly set out some of the reasons why it doesn’t want one.

The real question now is not why, but how. Is there a way forward that balances the arguments on each side, addressing concerns raised while still trying to deliver some of the benefits an extension to this transition period would bring?

I believe there is a way to tread this fine line — namely a conditional extension, which creates time to allow everyone to prepare for any deal reached. If it needs a Whitehall acronym, as these things generally do, I’d suggest Preparation, Ratification and Engagement Period (PREP).

Time to PREP

This time would be used for U.K. and EU governments to engage with business on how to implement the deal, for all involved to prepare for the coming changes and for the final ratification steps to be taken. Such time to prepare is common for big legal changes, from new financial regulations to free-trade agreements, often via a phase-in period.

The PREP would see the U.K. and the EU agree, before June 30, 2020, that the transition period will be extended for a set period — say six or nine months (though that would still be up for negotiation) — if an initial agreement has been reached by a certain point later this year. Crucially, this PREP time wouldn’t create more time for negotiating, simply more time to implement whatever had been agreed in the existing negotiating period.

That point by which a deal would have to be reached would need to be sufficiently far in advance of the end of the year to allow business time to react but also avoid being too late so that they had already made all necessary preparations in case there was a no-deal exit. Early October seems a logical target, in line with current aims to have negotiations broadly concluded around then to allow for ratification on both sides.

Such an agreement would also need to set out how to judge whether an agreement has been reached. Ultimately, this can be whatever the two sides wish it to be. But it is worth looking at precedent here. The original extension of Article 50 in March last year provided for different lengths of extension depending on the outcome of a vote in the U.K. parliament.

Therefore, one option would be to have both sides agree that the extension will kick in if U.K. MPs vote to indicate that initial political agreement has been reached between the two sides on what their future relationship will be. In other words, a deal is in sight that both sides can support.

Of course, there will be questions as to whether this is legally possible both under the Withdrawal Agreement (WA), that secured the terms of the U.K.’s exit from the bloc, and also under EU law.

Such an arrangement would amount to the Joint Committee taking a decision, at some point before June 30, 2020, to extend the transition period for up to one or two years as set out in the WA. It just happens this decision would be conditional on that vote which indicates MPs are happy with the proposed deal. Nowhere is this ruled out.

As for EU law, the legal base would be Article 50, since this remains the legal underpinning for the transition period and for its possible extension. As noted above, there is precedent for such a conditional extension under Article 50. The extension decision taken by the European Council on March 22, 2019 made the length of extension contingent on whether or not the WA was passed by the House of Commons. So there seems to be a strong argument to say such an approach is legally viable.

Everybody happy?

Much more important, though, is whether such an agreement would work for both sides. Would it address the arguments in favor while offsetting the concerns of the U.K. side who oppose an extension?

The arguments in favor tend to focus on economic concerns and delays to practical preparations, specifically that running one significant supply and demand shock (COVID-19) into another (Brexit) will only serve to cause more economic harm.

Of course, the U.K. government has previously disputed the level of economic harm caused by the U.K.’s exit from the EU. However, this difference focuses on the medium and long term.

As U.K. chief negotiator David Frost set out in his speech in Brussels, the government does accept there will be a “one-off cost from the introduction of friction at a customs and regulatory border.” There is a clear case to say such disruption is unwanted when businesses will still be dealing with the fallout from COVID-19. Clearly the PREP could help here.

And the argument when it comes to allowing sufficient time to prepare is even stronger. Almost all government and business resource has been diverted away from preparing for Brexit and onto dealing with COVID-19, meaning necessary arrangements for implementing a deal are unlikely to be in place even if one is reached.

The PREP would provide extra time to prepare and would do so while providing clarity about the political agreement that has been reached. As it stands, the value of any potential deal is being steadily reduced since, if one is reached very late in the day, no-one involved on either side would have had the time or capacity to implement it.

Of course, the potential for no agreement being reached remains, but for reasons set out below, that is part of the compromise that is likely to be needed.

Frost recently set out the U.K.’s key arguments against an extension: It would “simply prolong negotiations, create even more uncertainty, leave us liable to pay more to the EU in future, and keep us bound by evolving EU laws at a time when we need to control our own affairs.”

The PREP would explicitly not extend the negotiations, since it would only exist if a deal had already been reached.

It also maintains time pressure on the negotiations and the pressure from the risk of no deal — both conditions the U.K. government has said are useful drivers for a deal.

Furthermore, the government has previously argued that an extension wouldn’t change things since, fundamentally, either the differences between the two sides can be bridged or they can’t. This would still be the case, even if the PREP were agreed.

Such a conditional extension would reduce uncertainty rather than create more of it. It would provide a clear date from which the new agreement will be in place and allow firms certainty that they have time to prepare.

More importantly though, it would narrow down the potential scenarios which both government and business have to prepare for at the end of this year. Of course, I accept it wouldn’t remove the risk of no deal, but surely removing some uncertainty by narrowing down what might change at the end of this year is better than nothing.

One of Frost’s concerns would remain. Such an approach would include a contribution to the EU budget. This would need to be negotiated afresh as mandated by the Withdrawal Agreement and probably ahead of June 30, though the U.K. would only need to pay if a deal was reached.

Terms would need to be agreed by the Joint Committee — a body with representatives from both sides that oversees the implementation of the Brexit deal agreed last year — so the U.K. would have a veto, and should would be able to ensure it only contributes to those parts of the budget where the U.K. still participates.

Any contribution to wider EU budget schemes relating to COVID-19 should be clearly ruled out by the legal terms of the PREP agreed by both sides. In the U.K.’s 2020 budget, the Office for Budget Responsibility, which provides an independent assessment of U.K. finances, estimated that the real net fiscal saving from being out of the EU budget would be close to £5 billion in 2020/21, while the U.K.’s average annual net contribution over the past 7 years has been £9.5 billion, according the Treasury.

While £5 billion (for a whole year) is not insignificant, it pales in comparison to the cost of the U.K.’s Coronavirus Job Retention Scheme — just one element of a larger package — which has so far cost an average of £4 billion per week. Furthermore, the OBR expects the total cost of dealing with COVID-19 could top £100 billion.

Landing zone

As such, the benefits of the PREP, both in terms of economics and practicalities, surely justify this additional cost, as I think most businesses would agree.

Of course, this period, while conditional on there being a deal about the U.K.’s future relationship with the bloc once this period is over, would still see the U.K. bound by EU laws, as it is in the current transition period. However, so far that has not stopped the U.K. from having one of the most ambitious economic responses to COVID-19.

All the measures taken by the U.K. have been approved under EU state aid rules, which provide significant flexibility for states to take action to “remedy a serious disturbance to their economy.” Of course, there is a possibility that interpretations of the rules could change as the crisis develops but they would need to be applied uniformly to EU states as well as to the U.K.

This will create a clear emphasis in the EU on providing as much flexibility as possible, rather than taking a restrictive interpretation of the rules which could harm all EU states.

Therefore, the PREP could be a middle way. While not perfect — few compromises ever are — it would deliver the majority of the benefits of an extension while addressing most concerns raised by the U.K. government.

Most of all it allows businesses and governments on both sides to focus on dealing with COVID-19 safe in the knowledge they will have sufficient time to implement any deal about the U.K.’s future relationship with the EU that negotiators manage to strike.

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