Près de deux millions de Françaises ont adhéré au programme de dépistage organisé du cancer du sein. La participation a augmenté d’un tiers entre 2003 et 2005, selon un bilan effectué par l’Institut de veille sanitaire (InVS). Ce taux était de 33 % en 2003 et atteint 45 % en 2005.
Malgré une augmentation globale, ces bons chiffres traduisent mal une disparité régionale étonnante. Sur la période 2004-2005, la participation la plus élevée est observée en Bretagne (proche de 60 %), en Pays-de-Loire et dans le Limousin (taux proches de 55 %). En 2005, sept départements présentent même des taux supérieurs à 60 % : Cher, Loire-Atlantique, Lot-et-Garonne, Meuse, Morbihan, Pyrénées-Atlantiques et Val d’Oise. A l’inverse, la Corse, l’Ile-de-France et la Lorraine ont les taux les plus bas (respectivement de 31,5 %, 34,3 % et 32,1 %).
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“Deux ans après la généralisation du dépistage organisé, les résultats sont encourageants mais les efforts pour la promotion ne doivent pas être relâchés“ commente ainsi l’Institut de Veille Sanitaire.
Les taux de participation rapportés ici ne reflètent cependant qu’une partie du dépistage. En effet, 65 % des femmes de 50 à 74 ans interrogées pour le Baromètre santé en 2005, ont déclaré avoir effectué une mammographie au cours des deux dernières années.
La généralisation de ce dépistage depuis 2003 s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans, à raison d’une mammographie tous les deux ans. Ce programme a pour objectif de réduire la mortalité du cancer du sein. Chaque année, 12 000 femmes meurent de cette maladie en France et 46 000 nouveaux cas sont diagnostiqués. Source : Communiqué de l’Institut de Veille Sanitaire du 10 mai 2006
Month: May 2020
Plus je fume, plus je bois !
Fumer donne envie de boire encore plus d’alcool ! Tel est le résultat d’une étude récente publiée dans la revue « Alcoholism Clinical and Experimental Research ». En effet, la cigarette aurait tendance à inhiber les effets de l’alcool et donc à en augmenter sa consommation. La nicotine diminue la concentration d’alcool dans le sang. L’expérience a été réalisée sur des rats auxquels on a injecté différentes doses de nicotine et d’alcool. Les résultats montrent une relation significative entre les deux produits injectés.
Dans le détail, la nicotine augmente le temps nécessaire à l’estomac pour se vider de son contenu. L’alcool restant plus longtemps dans cet organe, il est alors métabolisé de façon plus efficace par les nombreuses enzymes. La concentration sanguine est ainsi diminuée ! On pourrait ainsi croire que l’effet est positif : il faudrait fumer pour ainsi réduire son taux d’alcoolémie. Mais il n’en est rien et c’est plutôt l’effet inverse : cela pourrait encourager les buveurs à boire encore plus d’alcool de manière à obtenir les effets recherchés.
Alors un petit conseil si vous avez tendance à mélanger alcool et tabac : le meilleur moyen de préserver sa santé est avant tout d’arrêter de fumer, et de limiter sa consommation d’alcool. Pas plus de deux verres par jour pour les femmes et trois verres pour les hommes.Source : Alcoholism Clinical and Experimental Research (Vol. 30 – issue 8)Click Here: camiseta river plate
Allaitement et QI : pas de lien ?
L’allaitement présente de nombreuses vertus, mais pas celle d’augmenter l’intelligence de bébé ! Des scientifiques écossais viennent ainsi remettre en cause une longue série d’études qui avaient trouvé une corrélation entre l’allaitement maternel et un meilleur score aux tests d’intelligence.
L’étude porte sur près de 3 000 mères et leurs 5 000 enfants nés aux Etats-Unis. A première vue, les enfants allaités avaient un score de QI plus élevé que les autres. Mais les chercheurs ont alors souligné un biais (présent dans les études précédentes) : les mères allaitantes appartiennent à des milieux plus aisés, favorisant ainsi l’éducation des enfants. De plus, ces femmes avaient en moyenne un QI plus élevé. Une fois enlevé ce biais statistique, la différence n’était plus que d’un demi-point de QI en fonction du mode d’alimentation des bébés. Ces résultats ont d’ailleurs été largement confirmés par l’étude d’enfants nés dans la même famille, leur alimentation infantile n’influe pas sur leur QI. Ce travail tend à relier les performances intellectuelles de l’enfant à celles de leur mère. Ce qui confirmerait de précédents travaux, qui avaient montré que le père n’était pas pour grand chose dans l’intellect de ses enfants…
Mais cette étude ne remet pas en cause les très nombreuses vertus avérées de l’allaitement maternel, considéré par l’Organisation Mondiale de la Santé comme l’alimentation la mieux adaptée aux nourrissons.Source : BMJ, publication en ligne octobre 2006.
Les infections nosocomiales en baisse
Les infections nosocomiales reculent en France mais leur nombre varie selon le type d’établissement, de service ou l’âge du patient. Afin de continuer sur cette voie, le Ministre complète le dispositif de lutte contre ce fléau et inaugure une nouvelle plate-forme d’informations sur les établissements de santé.
Les infections nosocomiales touchent chaque année près de 750 000 personnes et 4 000 en meurent. Mais près d’un tiers de ces cas pourraient être évités. Face à ces chiffres, les hôpitaux s’améliorent dans leur lutte contre ce fléau selon les résultats de l’Institut de veille sanitaire publiés le 18 janvier 2007. Touchant 2 337 établissements de santé publics ou privés (soit 95 % des lits d’hospitalisations) et 358 467 patients, cette nouvelle enquête d’une ampleur inégalée a mesuré la proportion de patients touchés, les maladies concernées ainsi que l’usage des traitements anti-infectieux.
Une tendance à la baisse
Au total, près de 5 % des patients (soit 17 820 personnes) étaient concernés principalement par des infections urinaires (30 % des infections nosocomiales), des infections respiratoires basses (15 %) et des infections du site opératoire (14 %).
Les trois bactéries les plus fréquemment incriminées étaient Escherichia coli(25 %), Staphylococcus aureus(ou staphylocoque doré 19 %, dont 52 % résistants à la méticilline) et Pseudomonas aeruginosa(10 %). Enfin, la proportion de patients infectés varie en fonction du type d’établissements et de services. Elle est ainsi plus élevée dans les CHU et centres de lutte contre le cancer ainsi que dans les services de réanimation. Par ailleurs, les patients plus âgés, atteints d’une maladie sévère, immunodéprimés, opérés ou exposés à un dispositif invasif (sonde urinaire, cathéter ou intubation/trachéotomie…) sont plus souvent infectés.
Les résultats de cette enquête témoignent d’une diminution modérée (- 4 %) de la proportion des patients infectés par rapport à 2001 et une diminution plus importante (- 38 %) des cas très graves d’infection par Staphylococcus aureus résistants à la méticilline. De tels chiffres placent la France parmi les bons élèves de l’Europe. Mais pour le Ministre de la santé, Xavier Bertrand, “Il n’est donc question de tomber dans le piège de la satisfaction parce que les résultats sont meilleurs que les années précédentes. Nous devons clairement faire mieux et continuer sur cette voie“.
Vers plus de transparence et de qualité
Ces bons résultats suivent de près la démarche de transparence et de qualité des établissements de santé voulue par le Ministre de la santé, Xavier Bertrand. C’est ce souhait qui avait donné lieu à la mise en place du premier indicateur du tableau de bord, baptisé ICALIN pour Indice composite des activités de lutte contre les infections nosocomiales. Cette démarche se poursuit un an plus tard avec la mise en place de deux nouveaux indicateurs :
ICSHA pour indicateur de consommation des produits hydro-alcooliques. En effet, l’hygiène des mains, et en particulier le lavage, la friction des mains avec des produits hydro-alcooliques, est un des meilleurs moyens pour prévenir les infections nosocomiales. « Dans un hôpital nul ne devrait s’en exonérer : visiteurs, patients et personnels soignants. Le lavage systématique des mains doit devenir un réflexe pour tous. La consommation de produits hydro-alcooliques constitue donc un très bon marqueur de l’investissement d’un hôpital dans cette lutte » précise le Ministre. Et les résultats ne sont pas aujourd’hui très bons : seuls 5,3 % des hôpitaux sont classés dans les deux meilleures catégories et 63,3 % d’entre deux se situent dans les classes C et D. « Pour que ce type d’hygiène des mains devienne un réflexe pour tous, je souhaite que les hôpitaux mettent à disposition les solutés hydro-alcooliques au moins à l’entrée de tous les services et au-delà, par exemple, dans toutes les chambres » souhaite le Ministre ;
SURVISO sur la surveillance des infections du site opératoire. L’hôpital doit dans ce cas signaler s’il surveille les infections du site opératoire spécifiquement ou non. 668 établissements sur 1 124 établissements concernés ont répondu par l’affirmative, principalement les grandes structures largement informatisées. A ce sujet, le Ministre entend accélérer les investissements pour l’informatisation des systèmes de santé dans le cadre du plan hôpital 2012.
Ces deux nouveaux indicateurs s’ajoutent à ICALIN, l’indicateur composite des activités de lutte contre les infections nosocomiales. Pour les 74 établissements qui n’ont pas répondu, le Ministre promet des enquêtes médico-administratives et si besoin, des mesures plus coercitives. Mais globalement, plus de la moitié des établissements ont amélioré leur situation.
A chaque établissement, sa fiche d’identité !
En plus du tableau de bord des infections nosocomiales, une nouvelle plate-forme d’Informations sur les Etablissements de Santé, appelée Platines et accessible à l’adresse www.platines.sante.gouv.fr. Celle-ci a pour objectif de donner aux usagers des informations sur les caractéristiques et l’activité des établissements.
Outre les caractéristiques générales (niveau d’activité, équipements, pratiques spécifiques, scores aux différents indicateurs de performance et de qualité), elle comprend également des indicateurs sur le type et le nombre de certaines pathologies traitées, sur le nombre de médecins présents pour 10 000 passages aux urgences, sur la prise en charge des soins palliatifs, ou encore sur les délais d’attente pour une IVG.
“En tout, 55 indicateurs sont pour l’instant répertoriés dans ces fiches d’identité. Mais nous voulons aller plus loin. Sont dores et déjà à l’étude des indicateurs tels que les délais d’attente aux scanners et IRM. Ils viendront au fur et à mesure enrichir les données disponibles sur les établissements“ conclut le Ministre.
David BêmeSources : Conférence de presse du ministre de la santé le 18 janvier 2007Communiqué de presse de l’InVS du 18 janvier 2007Click Here: cheap Cowboys jersey
La canneberge : remède naturel contre les cystites
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Connue depuis des décennies Outre-Atlantique, la canneberge est une petite baie rouge au jus amer et acidulé à la fois. Les Américaines la consomment comme remède traditionnel contre les infections urinaires sous forme de jus ou de comprimés. Une propriété qui a été reconnue en France par l’Agence de sécurité sanitaire des aliments.
Cranberry, c’est son nom anglo-saxon. En France, on l’appelle canneberge ou “grande airelle rouge“. Amère et acidulée à la fois, cette petite baie rouge est connue aux Etats-Unis depuis des lustres. Ces jus sont des boissons désaltérantes, mais sont également bien connues pour leurs vertus santé.
Un remède traditionnel des cystites
En France, près de deux millions de femmes sont chaque année victimes d’infections urinaires récidivantes. Malgré les douleurs et le handicap qu’elles suscitent, les moyens dont disposent les médecins restent minces. Le traitement de référence repose sur la prise d’antibiotiques, qui diminue le taux de récidive. Cependant, les phénomènes de résistance des bactéries aux antibiotiques sont de plus en plus fréquent et la prise en charge peut alors relever du casse-tête. Aux Etats-Unis, le jus de fruits de canneberge (Vaccinium macrocarpon) est consommé depuis plusieurs décennies comme remède traditionnel de ces infections urinaires.
Mais certains remèdes de grands-mères se sont parfois révélés n’être qu’une poudre de perlimpinpin, qu’en est-il du jus de canneberge ? Plusieurs études très sérieuses ont permis de prouver que la consommation de ce jus de fruit permet de réduire la fréquence des infections urinaires chez des jeunes femmes (1, 2) mais également des femmes âgées (3). Une réduction qui selon les études et les doses varie entre – 20 % et – 60 %. Cet effet serait également observé avec des comprimés de poudre encapsulée (4).
Enfin, la consommation régulière de ce jus de canneberge offre même une bonne protection contre les bactéries résistantes aux antibiotiques (5). Face à ce phénomène en constante augmentation, l’efficacité de ces médicaments (6) est mise en péril et les alternatives comme le jus de canneberge sont réellement les bienvenues.
Des mécanismes anti-adhésion
Mais comment expliquer ces propriétés miraculeuses ? Contrairement à ce que l’on a pu croire un temps, ce n’est pas l’acidification de l’urine par le jus de canneberge qui est à l’origine de cette protection. De plus amples recherches ont permis de mettre à jour un mécanisme original. Ces baies contiennent des flavonoïdes, des anthocyanes et des proanthocyanidines. Ces derniers composés au nom barbare seraient capables de se fixer sur certaines bactéries Escherichia coli responsables des cystites et les empêcher d’adhérer aux cellules de la vessie et de causer l’infection. Ne bénéficiant pas de point d’ancrage, ces bactéries sont alors naturellement éliminées par les voies naturelles.
On ne sait que peu de chose sur la rapidité d’action de ce remède miracle. En juin 2002, une étude suggère que cet effet bénéfique survient dans les deux heures suivant l’ingestion et reste perceptible plus de 10 heures au niveau urinaire (5). Des résultats qui s’ils sont confirmés plaideraient pour une ration le matin et une autre le soir pour une couverture optimale.
Des bénéfices reconnus par l’Afssa
Pour la première fois en France, l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) s’est récemment prononcée sur la canneberge. Le 6 avril 2004, cette agence nationale a rendu un avis favorable (7) tant sur la sécurité (8) que sur les bénéfices santé de ce produit : “la consommation de jus de Vaccinium macrocarpon (contenant 36 mg de proanthocyanidines mesurées) conduit à une diminution de la fréquence des infections urinaires dues à certains E.coli uropathogènes (…) chez des femmes adultes. Cet effet est également rapporté avec une poudre encapsulée de Vaccinium macrocarpon“.
Ainsi, ces produits peuvent depuis cette date bénéficier de l’allégation très officielle : “contribue à diminuer la fixation de certaines bactéries E.coli sir les parois des voies urinaires“.
Si comme de nombreuses femmes, vous êtes victimes de cystites récidivantes, vous devriez pouvoir trouver ces fameux jus dans des boutiques de produits naturelles ou sous forme de comprimés en pharmacie.
David Bême
1 – Cochrane Database Syst Rev. 2004 ;(2) :CD0013212 – BMJ 2001 ;322 :15713 – JAMA 1994 Mar9 ;271(10) :751-44 – Can J Urol.2002 Jun ;9(3) :1558-625 – JAMA. 2002;287:3082-3083.6 – NEJM 2001 ;345(14) : 1007-10137 – Avis de l’Afssa du 6 avril 2004, Saisine n°2003-SA-03528 – Un seul cas de lithiase rénale avec hématurie a été rapporté chez un patient ayant des antécédents de lithiasiques avec des comprimés de 450 mg d’un concentré de canneberge depuis 6 mois. Urology. 2001 Jan ;57(1) :26-9
Alerte à la rage en Seine-et-Marne : l'enquête se poursuit
Après la confirmation d’un cas de rage en Seine-et-Marne, il apparaît qu’un deuxième chien aurait pu être infecté. L’enquête se poursuit pour identifier les personnes qui auraient pu être en contact avec ces animaux.
L’Institut Pasteur a confirmé le 26 février 2008 un cas de rage chez une chienne dénommée Cracotte et vivant à Grandpuits (Seine-et-Marne). Cet animal a été euthanasié le 19 février dernier. Il s’agissait d’une chienne à poil ras couleur jaune-fauve, avec des poils blancs sur le museau et le poitrail, d’une cinquantaine de centimètres au garrot et d’un poids d’environ 10 kilos.
Une enquête épidémiologique a permis d’identifier une vingtaine de personnes ayant été en contact l’animal entre le 1er février inclus et le 19 février (période durant laquelle ce chien était potentiellement contaminant). Toutes ont été prises en charge et dirigées vers un centre antirabique pour recevoir, si nécessaire, un traitement préventif.
Parallèlement, l’enquête vétérinaire a permis d’identifier un chien qui pourrait être lié à l’infection de cette chienne : un labrador croisé noir dénommé Youpi mort à Grandpuits le 5 janvier dernier. L’enquête se poursuit en Seine-et-Marne et dans d’autres départements dont le Calvados, afin d’obtenir plus d’indications sur les endroits fréquentés par ces deux chiens.
Selon les informations connues à ce jour, la période à risque de contamination pour l’homme et les animaux en contact avec ces deux chiens débuterait le 15 décembre 2007 et se terminerait le 19 février 2008.
Les personnes qui auraient été mordues, griffées, égratignées, ou léchées sur une muqueuse (bouche, yeux…) ou sur une peau lésée par un chien, dans les environs de Grandpuits (Seine et Marne) ou dont l’animal aurait été en contact avec l’un de ces chiens, entre le 15 décembre 2007 et le 19 février 2008 doivent appeler rapidement le 0800 13 00 00.
La rage est une maladie mortelle si la contamination n’est pas traitée à temps. Elle est transmissible pendant toute la période d’excrétion du virus chez l’animal, soit environ 15 jours avant l’apparition des signes de la maladie. Il convient de souligner l’efficacité du traitement préventif post exposition de la rage humaine, s’il est administré avant l’apparition des symptômes.Source : Communiqué de la Direction générale de la santé, du ministère de la santé, du ministère de l’agriculture et de la direction générale de l’alimentation du 28 février 2008Click Here: Rugby league Jerseys
EU Confidential #152: Timothy Garton Ash — Second wave — War on leaks
EU Confidential #152: Timothy Garton Ash — Second wave — War on leaks
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Timothy Garton Ash, professor of European studies in the University of Oxford, doesn’t mince words about the challenges — and opportunities — facing the European Union as it tries to navigate its way out of the coronavirus crisis. His Europe’s Stories project is producing some surprising findings about what young people want from the Continent’s politicians. Can they rise to the challenge?
The renowned historian also talks about why this is a moment of “existential” danger for the EU, why he calls today’s Hungary a dictatorship and how liberals mishandled the aftermath of the Cold War.
Is Europe facing a second wave of the coronavirus? POLITICO’s Matthew Karnitschnig and Carmen Paun join EU Editor Andrew Gray to look at possible triggers for a new spike in infections. They also discuss the response to the pandemic in Carmen’s home country of Romania.
And we debate the European Commission’s new war on leaks. Does the Commission have any justification for threatening charges against those who pass on information about its plans?
5 Tornadoes Hit Iowa: Buildings Leveled, Homes A 'Complete Loss'
At least five tornadoes touched down in Iowa Thursday and weather officials say it will take days to determine an exact number. The tornadoes ravaged central Iowa, taking residents by surprise and causing widespread damage in Marshalltown, Pella and Bondurant.
At least 17 people were injured as a result of the tornadoes but no fatalities were reported. The tornado that touched down in Pella, damaging multiple facilities at a manufacturing company, was rated as an EF-3 tornado with winds of 144 miles per hour. An EF-3 tornado is categorized as “strong” by the National Weather Service.
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NWS officials say damage surveys are underway in the affected communities.
In Bondurant, officials said dozens of homes were damaged with some of the damage described as minor and others described as being a “complete loss.” The tornado also caused a major gas leak in the city that officials rushed to bring under control. The Bondurant tornado was rated an EF-2 by the NWS with peak winds of 110 miles per hour. An EF-2 tornado is also categorized as strong.
Marshalltown appeared to be the worst hit by the tornado spell with an EF-3 tornado touching down that had maximum wind speeds of 144 miles per hour. According to WHO-TV, the spire was ripped from Marshalltown’s historic courthouse and brick buildings were crumbled. A hospital in Marshalltown was forced to evacuate all of its patients after being hit by the tornado.
Marshalltown officials asked people who were coming to look at the damage there to stay away as it was hampering emergency response efforts. Officials said there were power lines down, gas leaks and several damaged buildings.
Iowa Gov. Kim Reynolds toured the damage on Friday.
Despite reports that 27 tornadoes touched down in the Iowa Thursday, weather officials said there was no confirmed number yet.
Forecasting models produced Thursday morning showed only a slight chance of strong thunderstorms later in the day, said Alex Krull, a meteorologist with the National Weather Service in Des Moines.
“It didn’t look like tornadic supercells were possible,” Krull said. “If anything, we were expecting we could get some large hail, if strong storms developed.”
On Thursday, National Weather Service meteorologist Rod Donavon said two primary storms spawned the series of tornadoes. One developed in the Marshalltown area, while the other started east of Des Moines and traveled through Bondurant and into Pella, about 40 miles (64 kilometers) southeast of Des Moines.
Reporting from The Associated Press was used in this report.
Photo: An uprooted tree lies in front of the tornado damaged Marshall County Courthouse, Thursday, July 19, 2018, in Marshalltown, Iowa. Several buildings were damaged by a tornado in the main business district in town including the historic courthouse. Photo by Charlie Neibergall/Associated Press
Search For Mollie Tibbetts: No Possibilities Being Ruled Out
BROOKYLN, IA — Authorities have investigated over 200 leads as they search for Mollie Tibbetts, the 20-year-old University of Iowa student who went missing after going for a jog nearly two weeks ago. At a press conference Tuesday afternoon, investigators said they have not identified a reason for Tibbetts’ disappearance and have not ruled out any possibilities.
Kevin Winker, assistant director of the Iowa Department of Public Safety, said at the press conference that investigators are not giving up on any possible lead and hope that they can find her soon. Tibbetts was last seen July 18 after going for a run in Brooklyn, Iowa, where she was dog sitting at her boyfriend’s home. She was reported missing July 19 when she did not show up for work.
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Winker said authorities have a timeline that they feel confident in but declined to share specific details . He also stressed that the investigation involves many aspects, including understanding what’s normal for Mollie and what’s not normal for her. He added that understanding who was in the area of Brooklyn the evening of July 18 was also important for the investigation.
Law enforcement officials from the local, state and federal levels are investigating the case.
Asked if he believes whether the public was at risk, Winker said authorities don’t know why Mollie is missing but he encouraged everyone to take some standard precautions. He added that people should be cognizant of their surroundings, regardless of the events involving Tibbetts. Asked if there were any persons of interests in relation to her disappearance, Winker said authorities are pursuing every lead available to them.
Authorities said anyone with information on Tibbetts’ whereabouts can use either of the two following tiplines: 800-452-1111 or 515-223-1400 or email [email protected]. The Crime Stoppers of Central Iowa has offered a $1,000 reward for information leading to an arrest in the case or the discovery of Mollie Tibbetts. The TIP Rural Electric Cooperative in Brooklyn has agreed to match that reward, for a total of $2,000.
This report will be updated.
Photo via Poweshiek County Emergency Management Agency
Prévenir les petits maux de l'hiver
Voici venu le froid, le vrai froid piquant et cinglant, et avec lui son lot de petits problèmes. Pour éviter de passer l’hiver au lit, découvrez vite nos ?infos? et conseils. Grippe, bronchite, maux de gorge, rhume… sachez les prévenir et les combattre.
Pendant la saison hivernale, certaines infections sont plus fréquentes. Passons en revue les petits maux de l’hiver.
La grippe, plaie de l’hiver
Star de l’hiver, la grippe se transmet avec une haute contagiosité d’une personne à l’autre par inhalation de particules infectieuses véhiculées par l’air. Due au virus Myxovirus influenzae A, B et C, la grippe se caractérise par une fièvre élevée d’apparition brutale, des frissons, souvent une toux, et un mal-être général qui impose le repos au lit.
Elle est sans danger chez les adultes sains, mais peut être grave chez les personnes âgées et chez les malades cardiaques ou chez les insuffisants respiratoires. Si vous n’êtes pas vacciné, vous pourrez utiliser des médicaments antigrippaux comme le chlorydrate d’amantadine (Mantadix), le zanamivir (Relenza) ou le très célèbre oseltamivir (Tamiflu). Ceux-ci ne sont efficaces que s’ils sont pris dès le tout début des symptômes, en règle pendant les deux premiers jours.
Bronchiolites et bronchites
En réalité, les syndromes pseudo-grippaux sont en hiver, bien plus répandus que les vraies grippes. Certaines viroses respiratoires se développent ainsi sur un mode épidémique au même moment que la grippe et sont difficiles à différencier de celle-ci.
Ces bronchites aiguës, qui sont souvent secondaires à des virus (parainfluenzae, rhinovirus, coronavirus), ne nécessitent en général pas de prescription d’antibiotiques, qui n’ont aucune efficacité sur ces agents infectieux. En revanche, l’administration de ces médicaments pourra se justifier si votre médecin pense qu’une surinfection provoquée par des bactéries est présente. Dans les autres cas, bien plus courants, repos, produits antitussifs délivrés sans ordonnance en pharmacie et aspirine sont largement suffisants.
Chez les enfants de moins de deux ans, on rencontre plus volontiers des bronchiolites et des infections des voies respiratoires de petit calibre souvent dues au virus respiratoire syncytial. Ces bronchiolites peuvent exiger une hospitalisation chez le tout petit, mais guérissent le plus souvent après l’instauration d’une kinésithérapie respiratoire. Mais, cette maladie le plus fréquemment bénigne accroît le risque d’allergie respiratoire et favorise par la suite le développement d’infections respiratoires.
Rhume et mal de gorge
Le rhume ou rhinite est aussi d’une grande banalité, en particulier chez les enfants de moins de 6 ans. Néanmoins, même un adulte en bonne santé fait en moyenne 3 à 4 rhumes par an, qui surviennent plus souvent en hiver qu’en été mais aussi à l’automne et au printemps. Le froid n’est pas en cause. C’est plutôt la promiscuité plus forte entre les gens, qui contribue à la propagation de l’infection.
De nombreux virus sont impliqués dans l’apparition des rhinites parmi lesquels les rhinovirus. Face à un rhume, armez-vous de patience, utilisez éventuellement un produit pour décongestionner le nez et mieux dormir, respirez de la vapeur d’eau très chaude, et prenez de l’aspirine. Buvez aussi beaucoup d’eau pour fluidifier les sécrétions.
Quant au mal de gorge, il est le plus souvent sans gravité et ne requiert, sauf en cas d’authentique angine s’accompagnant de fièvre, que la prise de pastilles à sucer vendues en pharmacie ou la consommation de bonbons pour diminuer la douleur. Néanmoins, si vous avez plus de 38°C, il est recommandé de consulter un médecin.
Comment s’habiller pour sortir
Quelques conseils quant à l’attitude à adopter face au froid pour se protéger. En fait, mieux vaut multiplier les couches de vêtements plutôt que de mettre un pull épais. Et ne pas oublier les gants en montagne pour éviter les engelures.
Dans tous les cas, ne buvez pas trop d’alcool, car cela favorise l’apparition d’accidents d’hypothermie. Chaque hiver, des décès sont constatés pour ce motif dans des pays au climat rude comme la Russie. Faites aussi attention au risque de chutes, notamment en cas de verglas, et, si vous n’êtes plus tout jeune, portez des chaussures avec de bonnes semelles antidérapantes.
Enfin, adaptez votre alimentation à vos apports énergétiques. Attention ! Il est habituel d’avoir des repas un peu plus riches en calories lorsque l’on doit affronter des températures basses. Mais, ce n’est pas une raison pour prendre de nombreux kilos, qui seront difficiles à reperdre avant l’été.
Des problèmes liés au confinement des habitations
A la maison, les risques de pollution intérieure sont augmentés l’hiver en raison du calfeutrage excessif des habitations. Même si le thermomètre se situe en dessous de zéro, vous devrez penser à aérer suffisamment votre appartement, notamment si vous avez des enfants asthmatiques. Gare aussi à la fumée de cigarette et ce tout particulièrement si de jeunes nourrissons vivent dans votre entourage.
Par ailleurs, chaque année en hiver, des accidents sont provoqués par le monoxyde de carbone (CO) émis par certains chauffages et cuisinières défectueux. Soyez vigilants ! Vous devrez évoquer la possibilité d’une intoxication au CO devant des maux de tête inexpliqués, des nausées, des vomissements et des modifications de l’état de conscience. Dans ce cas arrêtez immédiatement l’appareil suspect.
Enfin, n’oubliez pas qu’un feu de cheminée doit être correctement ventilé et bien surveillé pour éviter le risque d’incendie et que l’usage d’un pare-feu est recommandé. Il faut aussi faire attention aux poêles à charbon ou à bois dans les maisons de campagne, car ils peuvent également être à l’origine de feux.
Dr Corinne TutinClick Here: camiseta river plate