Dimanche 23 juin 2019, un nouveau numéro de Vivement dimanche (France 2), animé par Michel Drucker (qui rempilera l’année prochaine sur le Service public) fait la part belle à des artistes triés sur le volet.
Cette semaine, l’animateur de 76 ans aura tout d’abord le plaisir de partager un moment de convivialité et de confidences avec Florent Pagny à l’occasion de la sortie de son nouvel album intitulé Aime la vie, mais aussi avec la jeune Maëlle (18 ans et gagnante de The Voice 7), laquelle défendra son premier single Toutes les machines ont un coeur, et le réalisateur Jean-François Pignon. Les chroniqueurs Chanee, Emmanuel Chaunu, Franck Ferrand, Hélène Gateau et Marcel Ichou seront eux aussi de la partie pour nous faire passer un excellent début d’après-midi.
Dans Vivement dimanche prochain, la deuxième partie de l’emblématique talk show de l’après-midi diffusée à 15h35, les téléspectateurs retrouveront cette fois la chanteuse Amel Bent (qui a sorti son album Demain le 17 mai dernier), les humoristes Claudia Tagbo et Julie Ferrier, Grégory Benchenafi et Moniek Boersma pour la comédie musicale Ghost, Les Frangines (Anne et Jacinthe) et Maud Fontenoy qui publie Les Mers et les océans pour les nuls. Les habitués Ben, Arnaud Tsamère, Julie Ferrier et Pablo Mira seront eux aussi présents.
Vivement dimanche, c’est chaque dimanche à partir de 14h20 sur France 2 !
The main event for NWA’s next pay-per-view is now official as World Champion Nick Aldis will defned against Trevor Murdoch at When Our Shadows Fall
Murdoch, Chris Adonis and Thom Latimer were the final three men in the ring in a battle royale held on tonight’s NWA Power to determine the next challenger for the title. Adonis and Latimer attempted to team up to take out Murdoch, but their plan failed as both were dumped to the floor, giving Murdoch the win.
The NWA later confirmed on social media that his title match would take place at the Sunday, June 6th PPV on FITE.tv.
After the battle royal, Aldis went to attack Murdoch, but that also failed as the former NWA National Champion laid him out with a top rope bulldog. He closed out the show cutting a promo at the podium. In tears, he described what an honor it was to challenge for the title, citing Harley Race and how he missed him and that he wants to hold the championship that Race once held.
Voilà un week-end placé sous le signe de la culture et de la gourmandise ! Du vendredi 21 juin au dimanche 23 juin 2019, de nombreuses personnalités ont participé à la 2e édition du week-end du Cercle des Périgourmands. Il faut dire que le programme était alléchant.
Le 21 juin, premier jour de l’été, les invités se sont rendus à Montignac (Dordogne) pour profiter d’un cocktail déjeunatoire chez Christophe Teyssier, Médaille d’argent au Salon de l’agriculture avec son foie gras mi-cuit, et participer à un atelier culinaire avec préparation de pâtés de foie gras de canard du Périgord. Après avoir mis la main à la pâte et goûté quelques préparations, place ensuite, le samedi 22 juin, à une visite insolite de Bergerac avec promenade en gabarre au fil de la Dordogne. Les convives ont pu se rafraîchir à bord avec un cocktail déjeunatoire préparé par Damien Fagette, chef étoilé qui officie à La Tour des Vents à Monbazillac. Au château de Monbazillac justement, ils ont pu ensuite déguster un apéritif et visiter les lieux avant de dîner dans la cour d’honneur. Le lendemain, place à la visite du château de Montaigne, où ils ont pique-niqué dans les jardins.
Alors, qui a eu la chance de profiter de ce merveilleux programme ? Des fins gourmets comme la cuisinière Danièle Mazet-Delpeuch, Ghislaine Arabian (deux étoiles au Guide Michelin en 1995 et ex-jurée de Top Chef) et Philippe Mesuron (ancien candidat à Masterchef en 2010 et auteur du livre Le Foie gras dans tous ses états). Il y avait aussi de grands gourmands comme Virginie Hocq, Bernard Le Coq, Zinedine Soualem, venu avec sa compagne Caroline Faindt, Marie Mamgioglou – journaliste et chroniqueuse à Télématin (France 2) – et le journaliste Pierre Bonte.
Lors de ce week-end, l’ambiance était au rendez-vous, notamment grâce à Marie Mamgioglou, qui n’a pas hésité à mettre le feu dans les jardin du château de Monbazillac. Entre deux pas de danse, elle a notamment, et peut-être involontairement, mis une main aux fesses de Ghislaine Arabian !
Revoilà la conférence de Google. Annulée l’an dernier à cause de la pandémie de Covid-19, Google I/O, la grand-messe annuelle pour les développeurs du géant de Mountain View, s’est ouverte avec la traditionnelle keynote – virtuelle mais en direct – mardi. Très attendu, Android 12 s’offre un nouveau design coloré qui s’adapte harmonieusement au fond d’écran. Google a également dévoilé un partenariat avec Samsung pour sortir son système Wear OS de son sommeil, et, peut-être, enfin concurrencer l’Apple Watch. L’entreprise californienne continue de s’appuyer sur l’intelligence artificielle pour améliorer ses produits (Search, Maps et Photo). Et on a assisté à une démo bluffante de conversation avec une intelligence artificielle, puis entraperçu le futur de la téléprésence avec Project Starline.
Android 12 multicolore
On ne sait pas si Google a été influencé par la pandémie et l’isolation, mais l’entreprise semble avoir décidé de mettre un peu de joie dans son design. Baptisé « Material You », la nouvelle approche mise sur la personnalisation, notamment via les couleurs. Cela commence avec Android 12, d’abord sur les smartphones Pixel, mais Google va ensuite décliner ce design sur tous ses produits, y compris sur le hardware, avec une nouvelle gamme pastel pour Google Home ou Chromecast.
Android has a new look. Inspired by Material You, we’ve rethought the entire experience for #Android12, from colors to shapes, light and motion. It’s more personal and expressive — a one-of-a-kind design, just for you. pic.twitter.com/xCRLr7XLWM
— Google (@Google) May 18, 2021
Android 12 propose des thèmes couleurs qui s’adaptent automatiquement au fond d’écran, comme des dégradés de vert pour accompagner une photo de plante. Les menus, les notifications et les widgets sont aussi revus, avec un feeling plus cartoon et ludique. Cette cohésion dans le design à travers différents produits pourrait aider Google à solidifier une identité qui manque parfois de caractère. La densité plus faible d’information dans les menus d’Android pourrait cependant ne pas plaire à tout le monde.
Un partenariat avec Samsung pour défier l’Apple Watch
Après un long sommeil, WearOS veut enfin se réveiller. Google a annoncé un partenariat inattendu avec Samsung pour mieux concurrencer l’Apple Watch. Wear OS et Tizen vont fusionner pour unifier une plateforme wearable morcelée. Simplement baptisé Wear, le nouveau système a pour priorité d’optimiser la réactivité et l’autonomie, et d’améliorer la qualité des apps et des notifications. Les deux entreprises n’ont rien révélé côté hardware, mais l’OS pourrait équiper la future Galaxy Watch 4 et l’hypothétique Pixel Watch.
L’intelligence artificielle continue de progresser
Recherche, Photos, Assistant… Google s’appuie plus que jamais sur l’IA pour améliorer ses produits. Google Photos, notamment, est capable de créer des live photos à partir de deux ou trois images fixes, en devinant les frames manquantes grâce au machine learning.
Côté recherche, le nouvel engin, baptisé Mum (Multitask unified model), est annoncé comme 1.000 fois plus puissant que le précédent, ce qui l’aide à comprendre des requêtes complexes. Par exemple, avec la question « J’ai fait une randonnée au sommet du Mont Adams, et je voudrais faire le Mont Fuji à l’automne. Quels préparatifs différents dois-je faire ? », le système compare la hauteur et le dénivelé des deux volcans, sait qu’à l’automne, il pleut souvent au Japon, et va suggérer des chaussures de randonnée et une tenue imperméable.
La conversation presque naturelle avec la machine
Google avait déjà fait des démonstrations bluffantes de conversation avec une intelligence artificielle à l’élocution presque humaine. Mais elles ne fonctionnaient que dans des cadres très scriptés, comme pour réserver une table à un restaurant. Son dernier modèle de langage, LaMDA, permet pour la première fois d’avoir une discussion avec la machine sur n’importe quel sujet. Par exemple demander à un avion en papier le secret pour bien voler («définis bien », répond l’IA, « le plus loin, le plus droit ou le plus longtemps ?), et le pire endroit où il ait jamais atterri («dans une flaque). Si la démonstration est bien représentative de la technologie – c’est toujours difficile à dire quand elles sont préenregistrées – les progrès sont impressionnants.
Ok on avait déjà entendu une conversation humain-AI bluffante, mais ca restait scripté (résa de resto). Là, le nouveau modèle de Google LAMDA est capable de discuter de n’importe quel sujet. Avec un avion en papier, c’est presque poétique #GoogleIO https://t.co/MhTSmXQ8Ew pic.twitter.com/OSYGNZHbUQ
— Philippe Berry (@ptiberry) May 18, 2021
Project Starline, la téléprésence du futur
« Je pouvais presque la toucher. » L’une des quelques personnes choisies pour tester Project Starline semblait véritablement émue. Appelez cela de la téléprésence, de la visioconférence en 3D, une vidéo holographique ou l’holodeck de Star Trek, peu importe : c’est avant tout une prouesse technique.
Imagine a magic window, and through that window you see another person, life-size and in three dimensions.
Project Starline is a technology project that combines advances in hardware and software to help people feel like they’re together, even when they’re apart. #GoogleIO pic.twitter.com/2yNJrXoQcx
— Google (@Google) May 18, 2021
Le système utilise une dizaine de caméras et de capteurs de profondeur pour créer un modèle 3D photoréaliste d’une personne, qui est compressé et envoyé dans les tuyaux d’Internet, puis affiché en temps réel dans un « panneau de verre magique », dit Google. Comprendre un affichage light-field de 65 pouces – qui coûte sans doute des dizaines de milliers de dollars – et qui permet de percevoir la profondeur sans porter de lunettes spéciales (Google n’a pas précisé s’il y a un système de tracking des yeux comme sur un prototype d’écran light-field de Sony). Ajoutez une grosse dose de post-treatment pour une touche d’ombres et de lumière, de l’audio spatial, et voilà : on a l’impression que son interlocuteur est vraiment présent, en face de soi. Attention, c’est pour l’instant un prototype, et vu la lourdeur du système, il est avant tout destiné aux entreprises et au monde médical. Google semble ici prendre le contre-pied de la réalité virtuelle, avec une technologie qui se fait oublier pour mieux nous connecter.
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Lancée en 2001, la franchise « Fast & Furious » connaît un succès jamais démenti, notamment grâce à ses incroyables scènes de cascades automobiles. C’est pour l’une d’elles que deux Toyota Supra ont été spécialement préparées. Repeintes dans une teinte orange issue du nuancier… Lamborghini (!), elles sont pourvues d’un kit carrosserie avec un immense aileron arrière, de jantes spéciales et de sièges baquets. C’est l’une de ces voitures qui sera proposée à la vente par Barrett-Jackson du 17 au 19 juin prochains.
Equipée d’un moteur 6 cylindres de 3 litres relié à une boîte de vitesses à 4 rapports “spécial cascades”, cette Supra a également fait une apparition dans le 2e volet cinématographique intitulé « 2 Fast 2 Furious ». Une voiture qui devrait intéresser les très nombreux amateurs de cette saga dont, le 9e opus sortira bientôt au cinéma !
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Basta cosi avec cette histoire. La France, deuxième de l’Eurovision, « n’a pas du tout l’intention de déposer une réclamation » alors que les vainqueurs sont au cœur d’une polémique, indique lundi dans Le Parisien Delphine Ernotte, patronne de France Télévisions, qui diffuse l’Eurovision en France et gère la délégation française.
Damiano David, chanteur du groupe italien victorieux, Måneskin, va se soumettre à un dépistage de drogue après une vidéo devenue virale. Filmé durant la cérémonie, on le voit, sans que les images soient très claires, dans une posture assimilée par certains internautes à une prise de cocaïne. Ce qu’il nie.
Fair-play et amitié
« Quel que soit le résultat du test, la France n’a pas du tout l’intention de déposer une réclamation, assure Delphine Ernotte. Le vote est extrêmement clair en faveur de l’Italie. Elle n’a pas volé sa victoire et c’est ce qui compte ». Sans recours de la France, le classement pourrait ne plus bouger quoi qu’il arrive.
« L’Eurovision est une saine compétition, sans coup fourré, avec beaucoup de fair-play et d’amitié entre les équipes et il faut conserver cet esprit, poursuit la dirigeante. Nous voulons gagner, mais nous irons avec plaisir l’an prochain en Italie. Et nous gagnerons à la loyale. »
Slip à l’envers en plus ?
Barbara Pravi, arrivée deuxième avec Voilà, meilleur classement français depuis 30 ans, s’est également montrée détachée par rapport à la polémique autour des Italiens. « Déjà moi, premièrement, je m’en fiche un peu. Ce sont des choses qui ne me concernent pas. Et surtout ce qui est réel, c’est que ce sont des gens qui ont été élus et par le public et par le jury. Après, s’ils se droguent, s’ils ont mis leur slip à l’envers ou machin… Ce n’est pas mon problème », a-t-elle commenté dimanche soir dans le 20 heures de France 2.
Le chanteur de Måneskin ne cesse de réfuter les accusations, comme il l’a fait dès la conférence de presse après la remise du trophée samedi à Rotterdam : « Je ne me drogue pas. S’il vous plaît, les gars. Ne dites pas cela, vraiment. Pas de cocaïne. S’il vous plaît, ne dites pas cela. »
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Elizabeth Banks va se plonger dans le monde de Red Queen. La réalisatrice et actrice développera, pour Peacok, le service de streaming de NBC, une série basée sur le roman de Victoria Aveyard. D’après Deadline, la star va non seulement réaliser le programme, mais elle jouera également un second rôle important dans cette saga fantastique qui raconte l’histoire, dans un futur proche où l’Amérique est dirigée par une monarchie ultra-autoritaire, d’une jeune femme qui découvre, du jour au lendemain, qu’elle possède des pouvoirs. Cette révélation l’amènera à prendre la tête d’un mouvement révolutionnaire prêt à tout pour mettre fin au règne de terreur de la monarchie.
« C’est parti ! », a lancé avec enthousiasme Elizabeth Banks sur Twitter en partageant la nouvelle.
Femmes en tête
Si le projet doit être mené par Elizabeth Banks et son mari Max Handelman, via leur société de production Brownstone, Red Queen sera quasi intégralement développé par des femmes. Beth Schwarze, l’ex-showrunneuse d’Arrow, a en effet coécrit la série avec l’autrice Victoria Aveyard, et sera à la tête de cette nouvelle série. Il s’agit, selon Deadline, du plus gros projet signé par NBCUniversal sous la houlette de Susan Rovner, présidente du divertissement.
Notre dossier Série
Red Queen est le premier roman de Victoria Aveyard, un best-seller, décrit par certains critiques comme un « Hunger Games à la sauce X-Men », qui a été suivi par trois autres livres, intitulés Glass Sword, King’s Cage et War Storm. Son dernier livre, Realm Breaker, est sorti le 4 mai dernier.
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Pablo Sarabia est la principale surprise dans la liste de 24 joueurs annoncée ce lundi par l’Espagne, en vue du prochain Euro.Le milieu offensif ou attaquant, qui ne compte que trois sélections à 29 ans, joue assez peu avec le PSG.Luis Enrique a expliqué son choix étonnant.
Ce lundi midi en conférence de presse, les questions des journalistes espagnols au sélectionneur Luis Enrique ont essentiellement porté sur LA nouvelle du jour, outre-Pyrénées : l’absence de l’inamovible capitaine Sergio Ramos de la liste des 24 pour l’Euro (11 juin – 11 juillet). Les autres sujets de discussion : l’« oubli » historique de joueurs du Real Madrid, la présence attendue du « francés » Aymeric Laporte et enfin, loin derrière, celle de Pablo Sarabia, tout sauf évidente au vu du statut du milieu offensif ou attaquant parisien.
Remplaçant au PSG, l’ancien Sévillan, débarqué dans la capitale voici deux ans, ne compte que trois capes (pour un but) en A, entre septembre et novembre 2019. Pas vraiment un cadre, donc, ni un espoir, avec ses 29 bougies soufflées le 11 mai. Sa convocation « peut être la surprise, y compris pour lui », a admis Luis Enrique, qui aurait voulu « le sélectionner lors des deux derniers rassemblements, mais il était blessé ».
D’accord, mais pourquoi lui, alors que d’autres armes offensives a priori plus fiables (Iago Aspas du Celta Vigo, Marco Asensio du Real Madrid) ont été snobées ? « Il évolue dans l’une des meilleures équipes du monde, a justifié le patron de la Roja. Il doit affronter une concurrence très forte et il ne joue pas autant que nous le souhaiterions. Mais chaque fois qu’il joue, il apporte beaucoup de choses. Il marque des buts, il est capable de faire des passes décisives, il abat du travail défensif. C’est un joueur très intéressant. »
Cette saison en L1, Sarabia a marqué six fois et délivré trois offrandes en 27 apparitions…
Un journaliste a alors osé demander au sélectionneur s’il avait pris le joueur formé au Real pour son bon état d’esprit. Comprenez : s’il avait choisi le genre de gars qui ne l’ouvrira pas quand il cirera le banc pendant un mois. « Il est là pour gagner sa place, comme les 24 joueurs », a répliqué Luis Enrique.
Un año, seis meses y nueve días llevo trabajando sin descanso y con la ilusión de un niño para volver a ponerme la Roja. Pues bien, el momento ha llegado y voy a estar a la altura. Gracias a todos los que me habéis ayudado a llegar hasta aquí. No os fallaré… ♥️💛♥️ #somosespaña pic.twitter.com/6wqcub0j2d
— Pablo Sarabia Garcia (@Pablosarabia92) May 24, 2021
Forcément, l’ancien entraîneur de la Roma et du Barça va pouvoir s’appuyer sur un joueur motivé, qui cochait apparemment les cases du calendrier depuis sa dernière sélection. Laquelle remontait à « un an, six mois et neuf jours », a dévoilé Pablo Sarabia sur Twitter. « Le moment est venu et je vais être à la hauteur », a « teasé » le Parisien qui, selon la presse espagnole, se verrait bien retourner en Liga cet été, trois ans avant la fin de son contrat.
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Occupé par le titre de champion de France qui lui tend les bras avec le Losc, qui sera sacré dimanche soir en cas de victoire à Angers, Christophe Galtier poursuit en parallèle sa réflexion sur son futur. Lié à Lille jusqu’en 2022, l’entraîneur des Dogues ne devrait pas aller au bout de son bail dans le Nord et écoute attentivement les propositions extérieures qui lui sont faites.
Outre Lyon, l’OGC Nice aurait fait de Galtier sa priorité pour relancer le projet d’INEOS, après une saison manquée à tous points de vue en Ligue 1. Selon L’Equipe, les Aiglons tiendraient même la corde dans ce dossier. En plus d’un bon gros contrat et d’un salaire à l’avenant, le coach lillois se serait vu promettre un mercato ambitieux et une jolie marge de manœuvre sur les choix sportifs de l’OGC.
Nice frapperait un immense coup
Si personne en interne ne souhaite évoquer ce sujet à voix haute, du fait notamment de l’enjeu du match des Lillois à Angers, plusieurs sources indirectement liées au club assurent que l’affaire est bel et bien sur le point d’être bouclée. Journaliste très bien informé sur le mercato du côté de chez Sky Sport Italia, Fabrizio Romano a de son côté annoncé que Galtier était attendu sur la Côte d’Azur dans « les prochains jours ».
S’il venait à signer le possible futur champion de France, les Aiglons réussiraient là un énorme coup, eux qui sont certains de ne pas participer à aucune campagne européenne la saison prochaine.
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Mettre à jour facilement les couleurs et les tonalités sur la surface d’un objet, ce devrait être bientôt possible. Le Massachussetts Institue of Technology MIT développe actuellement une technologie de matière programmable baptisée ChromoUptdate.
Encore rudimentaire, assez lourde et peu ergonomique, elle ne sera destinée dans un premier temps qu’à l’élaboration de prototypes. Au moins le fait de pouvoir moduler les couleurs sur une seule et même matière aura l’avantage de limiter fortement les coûts et le temps de travail fourni. A terme, la technologie pourrait convenir pour des objets du quotidien.
ChromoUpdate s’appuie sur la technologie du PhotoCameleon, inspirée du processus présent sur la peau du caméléon.
Un procédé novateur
Dans le système PhotoCameleon, les surfaces sont recouvertes d’une encre composée de colorants sensibles à la lumière, de couleurs cyan, magenta et jaune, comme dans certaines imprimantes. Une lumière ultraviolette est projetée sur la surface et sature les couleurs. Une deuxième source de lumière est ensuite chargée d’émettre de la lumière visible. Elle fait varier les longueurs d’onde et donc le spectre lumineux. Cela permet de désaturer certains endroits de la surface et donc de faire ressortir telle ou telle couleur. Tout l’intérêt de la technologie est qu’on ne projette pas de la lumière colorée sur un objet, mais que ce soit l’objet lui-même qui change de couleur.
Le ChromoUpdate va plus loin et permet d’accélérer et de faciliter le processus. Les chercheurs ont remplacé le premier projecteur LED aux faisceaux ultraviolets uniformes par un projecteur capable d’émettre de la lumière ultraviolette malléable au pixel près. On peut donc dorénavant contrôler le niveau de saturation des colorants photosensibles dès le premier projecteur. Le deuxième ne change pas et continue de faire varier la longueur d’onde, mais la précision du rendu s’en voit décuplée. Le processus de variation des couleurs prend quelques minutes – quelques secondes pour varier du noir au blanc – contre vingt minutes auparavant.
Un projet prometteur
Cette technologie est une aubaine pour les concepteurs de produits, qui pourront désormais faciliter la phase de recherche et développement en reprogrammant les couleurs d’un objet à volonté et en simulant son aspect à la lumière du jour ou à l’ombre. La technologie est d’ailleurs financée en partie par le constructeur automobile Ford, que le projet intéresse tout particulièrement pour ses activités.
Le prototype n’en est qu’à un stade très précoce et il n’est possible de l’utiliser que sur des surfaces lisses et rigides. Le chef des travaux sur le projet Michael Wessley veut perfectionner le ChromoUpdate pour le rendre plus flexible : « Nous étudions des méthodes pour teindre les tissus et éventuellement utiliser des fibres luminescentes. Ainsi, nous pourrions avoir des vêtements – t-shirts, chaussures et autres – capables de se reprogrammer ».
Max Wessley précise également que la matière programmable pourrait arriver à terme sur des objets du quotidien. Il prend l’exemple d’une tasse de café connectée qui pourrait être programmée pour donner la météo et une liste des tâches, directement depuis la peinture qui la recouvre. Quoi qu’il en soit, cette technologie promet. Peut-être aurons-nous droit un jour à des murs connectés au sein de notre maison affichant toutes sortes d’informations, sans avoir besoin d’écran.
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