En guise de soutien à Donald Trump, le député, Joachim Son-Forget avait changé son nom de compte Twitter par celui du président américain. Son compte a lui aussi été suspendu.
La plaisanterie n’a pas duré longtemps. Le député français, Joachim Son-Forget avait modifié et remplacé son nom par celui de Donald Trump sur Twitter. Son compte a finalement été suspendu. Cette initiative intervenait seulement quelques heures après la suppression du compte du président américain, banni définitivement du réseau social Twitter. Cette suppression fait suite aux événements, condamnés par Ivanka Trump, qui se sont déroulés au Capitole ce mercredi 6 janvier. Alors que des membres du Congrès américain étaient réunis au Capitole de Washington pour officialiser la victoire de Joe Biden à l’élection présidentielle, des supporters de Donald Trump, chauffés à blanc par le président américain, ont investi le temple de la démocratie américaine. Quatre protestataires et un policier sont morts.
Ce vendredi 8 janvier, après le bannissement du compte Twitter du président américain, en place encore jusqu’au 20 janvier, l’entreprise dirigée par Jack Dorsey avait précisé les raisons de sa décision dans un communiqué de presse. “Après une étude précise des récents tweets du compte @realDonaldTrump et de leur contexte – notamment dans la façon dont ils sont compris et interprétés sur et en dehors de Twitter – nous avons suspendu définitivement le compte en raison du risque de nouvelles incitations à la violence”, a expliqué Twitter.
Le député n’est pas à sa première provocation, lui qui est grand utilisateur des réseaux sociaux où il s’est construit une certaine réputation par ses nombreuses bourdes notamment. Dans le paysage politique, Joachim Son-Forget est un véritable électron libre. Il a été membre du Parti Socialiste, puis de La République en marche avant de fonder son propre parti, Valeur Absolue. En février 2020, sur le plateau de Touche pas à mon poste, il avait tout simplement annoncé sa candidature à l’élection présidentielle de 2022 :“Je ne suis pas un suiveur, je suis franc, je viens de la campagne, j’aime les Français dans leur diversité, dans leurs différences, dans le fait qu’ils soient de droite ou de gauche. Il y a des points de consensus, il y a des choses à faire avec les Français, moi j’ai envie de les faire.”
Minés par des problèmes de drogue et d’infidélité, John John Kennedy, fils de JFK et de Jackie Kennedy, et Carolyn Bessette menaçaient de se séparer avant leur mort tragique, lors d’un crash d’avion le 15 juillet 1999.
Leur histoire a commencé comme un conte de fée. Elle se finira dans un crash d’avion. Pourtant, difficile d’imaginer la trajectoire de Carolyn Bessette et John John Kennedy tant celle-ci semblait mener à deux destins différents. Femme active et indépendante, la première, qui aurait célébré son 55ème anniversaire le 7 janvier dernier, est alors chargée des relations publiques pour la marque Calvin Klein. Issue de la classe moyenne, elle a été nommée “ultimate beautiful person” durant ses jeunes années au lycée. De son côté, le second est un ambitieux patron de presse, et surtout fils de JFK. Ils n’auraient jamais dû se connaître. Il en a pourtant été tout autre.
Leur rencontre aurait pu figurer dans une comédie romantique. Certains racontent que Carolyn Bessette et John John Kennedy se seraient heurtés alors qu’ils faisaient leur jogging dans Central Park. D’autres évoquent une rencontre dans une boutique Calvin Klein, où la jeune femme travaillait. Une chose demeure certaine : leur couple semble tout droit sorti d’une publicité, entre promenades avec leur chien à New York et soirées branchées. Pourtant, leur décès, survenu dans un crash d’avion le 16 juillet 1999, fera émerger une autre vérité, moins glamour : celle d’un couple en proie à des problèmes de drogues et des soupçons d’infidélité.
Pression médiatique
Mais comment se fait-il que l’un des duos les plus chéris de l’Amérique abritait de si noirs secrets ? Consommatrice de drogues dures, Carolyn Bessette a mal supporté la notoriété de son époux. En 1996, à leur retour de lune de miel, le couple, qui s’est marié dans le plus grand secret, est assailli par les photographes devant l’entrée de leur immeuble. Dès lors, la jeune femme sera traquée, en tout temps et tout lieu. Le rédacteur en chef du Women’s Wear Daily, Patrick McCarthy, fera de Carolyn une icône au style résolument moderne, héritière de Jackie O, sa belle-mère décédée.
Mais peu peuvent avoir le flegme de la grande Jackie. Carolyn, l’ex-party girl repentie, perd peu à peu le contrôle de son image, pour entrer dans le rôle convenu de “femme de”. Sous pression médiatique depuis sa plus tendre enfance, John Jr. s’en accommode de son côté, y trouvant même une source de narcissisme. Il se livre ainsi à des séances d’exhibitionnisme à Central Park ou en vacances, où il s’affiche régulièrement torse nu. Au grand désespoir de sa femme. “Elle ressemble de plus en plus au Bossu de Notre-Dame“, se plaint alors Calvin Klein, qui en a fait son égérie.
Carolyn Bessette, enfermée dans une spirale infernale
Pour éviter les paparazzis, Carolyn Bessette se réfugie dans l’appartement de l’un de ses amis, Gordon Henderson, situé dans le West Village, à New York. “Elle ne se sentait pas chez elle dans l’appartement de North Moore Street (celui de John John – NDLR)”, se souvient l’un de ses amis, auprès de Vanity Fair, en 2003. “Elle le détestait. Elle n’aimait pas le quartier. John l’avait mal décoré. Il y faisait très froid et cela ressemblait à un loft de jeune célibataire.“
Un jour, le fils de JFK la retrouve chez eux, étendue sur le sol, les yeux creux, consommant de la cocaïne avec ses amis, à qui elle a donné le double des clés de l’appartement. Dépressive, Carolyn s’enferme dans une spirale infernale, refusant de sortir de chez elle et de rencontrer les amis de son mari. “Elle a coupé les ponts“, raconte l’une de ses proches amies. John, lui, préfère s’éloigner de son épouse pour s’occuper de son magazine George. Entre temps, la consommation de drogues de Carolyn devient effrénée. “Elle et moi somme allées dîner un soir, alors que John était malade de la grippe”, se souvient une connaissance du couple. “Elle a fait au moins une demi-douzaine de voyages aux toilettes et revenait à chaque fois à la table avec des anneaux blancs autour des narines.”
Et là n’est pas le seul problème du couple. JFK Jr. reproche à son épouse de ne pas vouloir d’enfants. “A chaque fois que j’aborde le sujet avec Carolyn, elle se détourne et refuse d’avoir des relations sexuelles avec moi”, se plaint-il auprès de l’un de ses amis, quelques jours avant son décès. “Il est impossible de parler de quoi que ce soit avec Carolyn. Nous sommes devenus des inconnus.”
De son côté, Carolyn Bessette le soupçonne d’avoir des relations extra-conjugales. Pour se venger, elle lance même en pleine crise à John John qu’elle continue de voir Michael Bergin, un mannequin sous-vêtements avec lequel elle a entretenu une liaison jusqu’à son mariage. Leurs disputes deviennent de plus en plus violentes. Un jour, John John est transporté aux urgences pour un nerf sectionné à son poignet droit. Devenue paranoïaque à cause de la drogue, Carolyn fait en sorte que son mari se brouille avec certains de ses associés. Elle déteste également sa belle-soeur, Caroline Kennedy, avec qui JFK Jr. est très proche.
En guerre avec sa belle-famille, l’épouse brisée refuse ainsi d’assister au mariage de Rory Kennedy, la cousine de JFK Jr, qui a lieu le 15 juillet 1999, et auquel ce dernier doit se rendre. Amie du couple, la sœur de Carolyn, Lauren, voit pourtant dans ce voyage l’occasion de renouer le dialogue. Pour convaincre Carolyn de monter dans l’avion piloté par John John, Lauren propose de l’y accompagner. Le décollage, prévu à 18h30, ne se fera que deux heures plus tard, alors que la nuit tombe. A 22h, intervient le dernier signal de l’avion, qui sera retrouvé quelques jours plus tard, avec les trois corps, dont ceux des deux époux irréconciliables.
Pendant plus de 25 ans, Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui se sont aimés. Et malgré leur séparation en 2012, ils ont continué leur duo pour le cinéma, expliquant à qui voulait bien les entendre qu’ils s’aimaient toujours, mais différemment.
Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui se sont rencontrés en 1986 et se sont aimés pendant plus de 25 ans. Un couple à la ville et à la scène. Voire même une marque puisque dans l’inconscient collectif, l’un ne va pas sans l’autre, même s’ils étaient séparés depuis 2012. S’ils avaient pris des chemins différents cette année-là, le réalisateur qui est décédé ce lundi 18 janvier voyait tout de même en Agnès Jaoui son âme soeur, la femme de sa vie.
Ensemble, ils avaient trouvé leur rythme de carrière. L’un s’inspirait de l’autre, et ils ne se voyaient pas arrêter de créer ensemble. “Je ne vois aucune raison d’arrêter. Je ne trouverai jamais de meilleure partenaire : c’est une femme magnifique, intelligente et une très belle personne,” expliquait d’ailleurs Jean-Pierre Bacri dans les colonnes de Version Fémina en 2015. Comme une belle réponse à son ex-compagne qui racontait l’année précédente dans Causeur : “On n’a jamais voulu se perdre. On s’aime toujours, mais autrement.” Dans Gala, en 2016, celui qui s’était fait remettre à sa place par Anne-Sophie Lapix avait ajouté : “Agnès, c’est la grande histoire de ma vie et je pense que c’est réciproque. On s’aime. C’est mon âme soeur.” Et de préciser qu’ils étaient bien séparés.
C’est dans ce même Version Fémina que la maman de deux enfants s’amusait de se voir inlassablement associée à Jean-Pierre Bacri. “On a fini par me coller la même étiquette qu’à Jean-Pierre, celle qui fait la gueule, qui bougonne. Déjà, pour lui, c’est injuste, même si on peut comprendre le malentendu. Mais pour moi, ça n’a aucun sens, ça prouve seulement à quel point on nous associe toujours lui et moi,” lâchait-elle. Une association professionnelle et autrefois sentimentale. Autrefois ? Pas vraiment puisque l’actrice se plaisait à expliquer lors de cette interview comment ils se disaient toujours “Je t’aime”, parfois en italien. “Ti voglio bene“, ou “Je te veux du bien“. Soit une autre façon de s’aimer.
Pourquoi ils n’ont jamais eu d’enfants
Plus de 25 ans d’amour mais pas d’enfants. Interrogé à ce sujet dans Psychologies magazine, Jean-Pierre Bacri avait joué franc jeu et révélé : “La nature n’a pas voulu… Mais je n’en conçois pas de manque. Si ça avait existé, ça aurait été bien, mais ça n’a pas été…” Un couple qui est devenu duo et qui a su transformer sa relation avec brio.
Camille Kouchner a accepté de répondre aux questions de François Busnel dans l’émission La Grande Librairie sur France 5 ce mercredi 13 janvier, et revenir sur les abus commis par son beau-père Olivier Duhamel sur son frère jumeau, comme raconté dans son livre La Familia grande. L’occasion de lui faire passer un message clair.
Son livre fait grand bruit. Camille Kouchner a décidé de briser le silence et raconter dans son ouvrage intitulé La Familia grande (Seuil) comment son beau-père, Olivier Duhamel, a agressé sexuellement son frère jumeau à la fin des années 80. Avec courage, la juriste est revenue sur ce lourd secret ce mercredi 13 janvier sur le plateau de l’émission La Grande Librairie sur France 5. Elle a longuement évoqué la fragilité de sa mère Evelyne Pisier, et sa réaction terrible lorsqu’elle a appris cet inceste.
Camille Kouchner est également revenue sur le rôle important joué par sa tante Marie-France Pisier, qui a été l’une des seules à briser l’omerta, et sur ses relations avec son père Bernard Kouchner, “un père absent mais formidable”. En fin d’interview, elle a accepté de dire quelques mots au sujet de son beau-père, Olivier Duhamel. “Lui, depuis un moment, il vit hors de cette réalité. Il a l’air d’aller très bien. Je trouve ça injuste (…) Ce n’est même pas une punition, mais je voudrais qu’il entende que c’est impardonnable, et que ça va durer toute la vie,” a-t-elle confié avec gravité.
A la suite de ces révélations, Olivier Duhamel s’est exprimé sur Twitter le 4 janvier dernier. “Étant l’objet d’attaques personnelles, et désireux de préserver les institutions dans lesquelles je travaille, j’y mets fin à mes fonctions,a-t-il fait savoir. Interrogé par Le Monde, le politologue a également formulé ces quelques mots : “Je n’ai rien à dire là-dessus“, avant de souligner auprès de nos confrères de L’Obs : “Non, je n’ai rien à dire sur ce qui, de toute façon, sera, je ne sais pas, n’importe quoi, déformé ou quoi. Merci.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour “viols et agressions sexuelles”. Olivier Duhamel, que certain évoquent comme “un homme qui se croyait intouchable“ sera défendu par maître Frédérique Baulieu, qui s’est occupée de la défense de Dominique Strauss-Kahn dans l’affaire du Carlton. Celui qui avait pris l’habitude d’être “un roi partout” est désormais aux abonnés absents.
Sur son compte Instagram, ce vendredi 15 janvier, Louane a partagé des clichés sur lesquels elle dévoile sa nouvelle couleur de cheveux, très originale.
Nouvelle folie capillaire pour Louane. Ce vendredi 15 janvier 2021, la chanteuse de 24 ans a dévoilé, sur son compte Instagram, trois photos d’elle sur lesquelles elle apparaît avec une couleur de cheveux pour le moins osée. Visiblement décidée à apporter un peu de vie à la période hivernale, la jeune maman a tenté la teinture rose bonbon sur sa coupe carré long. Pour la touche manga, elle a agrémenté le tout de deux petits chignons.
Pas de panique, cette nouvelle chevelure ne serait en fait qu’une perruque, comme elle l’a indiqué en réponse à Camille Combal, en commentaire. Malgré tout, nombreux étaient les internautes à réagir et à l’encenser pour son originalité. “Oh ça te va bien”, “Passion rose”, “J’adore”, “Trop jolie”, “Magnifique rose”, “C’est trop beau”, peut-on lire sous sa publication, likée par plus de 38 700 personnes. Louane n’a jamais caché son goût pour les colorations sortant de l’ordinaire. La compagne du musicien Florian Rossi s’est fait connaître, en participant en 2013 à The Voice, avec sa blondeur candide. Début 2019, la jeune femme optait pour un blond polaire virant vers le gris au fil des mois. En juillet 2019, l’artiste s’était dévoilée sur Instagram avec une chevelure violette.
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Une maman qui est revenue à sa couleur d’origine
En devenant maman d’une petite Esmée, en mars 2020, Louane est retournée à un blond champagne, plus naturel. Sur la pochette de son troisième album, intitulé Joie de Vivre, et qu’elle doit au photographe britannique Martin Parr, la chanteuse apparaît en effet avec une longue tresse dorée. D’ailleurs, la photo a été prise sur la plage du Touquet. Lors d’une interview accordée à BFMTV, la jeune femme expliquait que ce lieu est symbolique pour elle puisqu’elle y a “passé les trois quarts de ses vacances enfant” et qu’elle “a de la famille” là-bas. “Je suis très heureuse parce que c’est une pochette qui est vraiment pleine d’authenticité”, avait-elle ajouté auprès de nos confrères.
Ce mardi 19 janvier, Coralie Dubost a débattu autour du séparatisme avec une autre députée, Annie Genevard, sur LCP. Entre les deux femmes, les explications étaient houleuses.
“Tout est piloté depuis l’Elysée et Matignon…” Annie Genevard, députée LR du Doubs, a débattu avec Coralie Dubost ce mardi 19 janvier sur LCP et le ton est rapidement monté. “Qui peut aujourd’hui prétendre que la radicalisation et le séparatisme n’ont rien à voir avec l’immigration,” a-t-elle estimé, et de parler de l’usage du voile dans les espaces publics. “Le gouvernement craint les désordres et n’a pas le courage d’affronter les décisions même difficiles à appliquer. Le gouvernement n’a pas le courage de ses ambitions,” a aussi affirmé Annie Genevard, devant la compagne de Coralie Dubost, bien décidée à livrer sa vérité.
“Vous faites de l’amalgame,” lui a lancé Coralie Dubost. Et de démonter ses arguments. “Pas de leçons de lâcheté ou de courage quand on ne fait pas certaines choses et que nous, nous les amenons,” a poursuivi celle qui était surnommée “bébé Macron“. Présentant un autre argument, la députée de la 3e circonscription de l’Hérault s’est exclamée : “Vous dites des absurdités“. Un règlement de comptes en pleine bataille sur les amendements autour du séparatisme.
Ce n’est pas la première fois que Coralie Dubost sort les griffes. Ainsi, elle n’a pas hésité à prendre la défense de son compagnonOlivier Véran alors qu’il était attaqué. En décembre dernier, elle avait volé au secours d’Emmanuel Macron alors qu’il était au coeur d’une polémique à cause d’un dîner.
Au cœur d’accusations d’inceste, Olivier Duhamel est toujours dans la tourmente. Prochainement, ce seront ses deux enfants adoptifs, Simon et Aurore, qui seront entendus par la brigade de protection des mineurs.
L’affaire Olivier Duhamel ne cesse de faire les gros titres, depuis le début de l’année. En publiant son livre La Familia grande, dans lequel elle accuse son beau-père d’avoir sexuellement abusé de son frère jumeau lorsqu’il était adolescent, Camille Kouchner a provoqué un raz-de-marée. De nombreux internautes en ont profité pour livrer leur témoignage sur la Toile, avec le hashtag #Metooinceste.
De son côté, le politologue de 70 ans est contraint de faire face à la justice. Le 5 janvier dernier, le parquet de Paris a ouvert à son encontre une enquête pour “viols”et “agressions sexuelles par personne ayant autorité sur un mineur de 15 ans”. Les policiers de la brigade de protection des mineurs (BPM) de la police judiciaire parisienne ont d’ores et déjà entendu le beau-fils d’Olivier Duhamel. Comme le précisent nos confrères du Parisien, son frère aîné a également été auditionné. Pour sa part, Camille Kouchner a livré sa version des faits aux autorités, le 14 janvier dernier. La victime présumée d’inceste, âgée aujourd’hui d’une quarantaine d’années, a assuré qu’elle envisageait de porter plainte contre le constitutionnaliste.
Le Journal du Dimanchea révélé, ce samedi 23 janvier, que ce sont cette fois les deux enfants adoptés au Chili par Olivier Duhamel qui seront, dans les jours prochains, entendus par la BPM. Pour rappel, il avait en effet adopté, avec son épouse Évelyne Pisier, Aurore, en 1987 et Simon, en 1989. En difficulté à cause de la lenteur de l’administration et de la procédure d’adoption, le couple avait fait appel à Jacques Chirac pour qu’il leur donne un coup de main. Cela a fonctionné et les deux enfants ont pu rejoindre leur nouvelle famille. Ces derniers sont d’ailleurs restés extrêmement silencieux depuis que leur père est éclaboussé par les accusations d’inceste. Les enquêteurs vont pouvoir recueillir leurs témoignages.
Dans son livre Les visiteurs du soir (Plon), qui paraît ce jeudi 21 janvier, Renaud Revel révèle les coulisses de l’Élysée et s’intéresse aux hommes qui murmurent à l’oreille du président. Le journaliste démontre aussi qu’Emmanuel Macron peut parfois se montrer cinglant, comme ce fut le cas avec Ségolène Royal.
Emmanuel Macron n’est pas là pour plaisanter. Élu au sommet de l’État en 2017, il est conscient que les Français attendent beaucoup de lui, et qu’il doit, par conséquent, faire les bons choix. Mais comme tout homme, il lui arrive parfois de douter. Pour l’aider, il peut compter sur ceux qu’on appelle “les visiteurs du soir”, des personnalités de la société civile chargées de le conseiller ou de l’aiguiller afin qu’il prenne les bonnes décisions lors de son quinquennat. Si ses prédécesseurs attendaient beaucoup de ces visites nocturnes, qui permettaient bien souvent de rompre avec la solitude du pouvoir, Emmanuel Macron préfèreles consulter par SMS, comme le raconte Renaud Revel dans son livre Les visiteurs du soir, paru ce jeudi 21 janvier chez Plon. “Le président arrose d’émoticônes une nébuleuse qu’il entretient à distance, tant le goût du secret est son mode de fonctionnement.” Avec ces “conseillers” de l’ombre, le chef de l’État peut se montrer cash et n’hésite pas à dire ce qu’il pense, que ce soit bien ou mal.
Alors qu’il ne porte pas particulièrement Ségolène Royal dans son coeur, Alain Minc conseille au président de la République de la nommer au ministère de l’Écologie, suite à la démission de Nicolas Hulot à l’été 2018. Une idée que ne tarde pas à balayer Emmanuel Macron : “Oublie ça. Elle va me faire chier“, lâche-t-il, cinglant, au sujet de l’ex de François Hollande, selon des propos rapportés par le journaliste Renaud Revel dans son livre. En septembre 2017, Ségolène Royal est finalement nommée à un autre poste par le président de la République. Après avoir été ministre de l’Environnement, elle est désormais ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique. Début 2020, elle est démise de ses fonctions, après avoir critiqué ouvertement la politique menée par l’exécutif.
Depuis, tout laisse à penser que l’ancienne ministre est devenue persona non grata aux yeux d’Emmanuel Macron. Encore amère de cette décision, Ségolène Royal ne perd jamais une occasion de critiquer les actions du gouvernement en place. Le président de la République en prend, lui aussi, pour son grade régulièrement. Si les critiques se sont le plus souvent dans les médias, l’ex de François Hollande n’hésite pas non plus à remettre à sa place le chef de l’État lorsque celui-ci se trouve devant elle.
Début janvier, elle a profité de le croiser lors de la cérémonie du 25e anniversaire de la mort de François Mitterrand pour lui faire part de ses remontrances au sujet de la fermeture des lieux culturels et des salles de sport : “On espère que le monde de la culture pourra revivre. C’est vrai que la culture ce n’est pas plus dangereux que les grandes surfaces. Les salles de sport, tout ça”, lui a-t-elle fait remarquer, lors d’un échange surréaliste. Et de marteler à l’issue de leur échange : “C’est une grave erreur de les laisser fermées.” Est-elle parvenue à convaincre Emmanuel Macron ? C’est une autre affaire…
Le présentateur américain Larry est mort à l’âge de 87 ans après avoir eu le coronavirus. Pendant 25 ans, il avait présenté le Larry King Live sur CNN.
Plus de dix ans après la fin de son émission sur CNN, Larry King est décédé, a révélé Ora Media ce samedi 23 janvier. Le célèbre présentateur américain du Larry King Live, qui souffrait de diabète, s’est éteint à l’âge de 87 ans. Fin décembre, il avait contracté le coronavirus. Quelques semaines plus tard, il avait été hospitalisé en soins intensifs. « Avec une profonde tristesse, Ora Media annonce le décès de notre cofondateur et ami Larry King, qui est mort à l’âge de 87 ans au centre médical Cedars-Sinai à Los Angeles », a annoncé sur son compte Twitter la chaîne qu’il avait créée en 2013. L’information a été aussi relayée sur le compte personnel de Larry King.
Un communiqué y a été publié où sont rappelés ses 63 ans de carrière et son « talent unique »d’intervieweur. « Il pensait que les questions concises fournissaient généralement les meilleures réponses, et il n’avait pas tort », se souviennent ses collaborateurs d’Ora Media qui adressent leurs condoléances à ses enfants : Larry Jr, Chance et Cannon. Après plus de 7 000 émissions et 40 000 interviews, il avait arrêté son émission phare en 2010.
pic.twitter.com/x0Hl0X6vqU
— Larry King (@kingsthings) January 23, 2021
Le journaliste à bretelles avait connu ces dernières années de multiples problèmes de santé : descrises cardiaques, un cancer du poumon, un autre de la prostate, mais aussi une angine de poitrine, une maladie causée par une diminution du flux sanguin vers le cœur, comme le rappelleL’Obs. Larry King n’avait pas seulement séduit les téléspectateurs américains. Son charme derrière ses célèbres lunettes faisait aussi craquer les femmes. Le présentateur avait été marié à sept reprises.
De ces idylles sont nés cinq enfants. Mais deux d’entre eux, Chaia et Andy sont décédés l’été dernier, respectivement emportés par une crise cardiaque et un cancer du poumon, quelques mois avant la mort de leur illustre père. « Tous deux étaient des âmes bonnes et gentilles, ils nous manqueront énormément (…) Les perdre ne paraît pas être dans l’ordre des choses. Aucun parent ne devrait avoir à enterrer un enfant », avait réagi sur son compte Facebook Larry King.
En direct sur RMC le 25 janvier, l’infectiologue Éric Caumes s’est prononcé en faveur d’un confinement « court » et « dur » pour venir à bout de l’augmentation constante des infections au Covid-19.
Le professeur Éric Caumes n’a pas laissé planer de faux espoirs, lundi 25 janvier, sur les ondes de RMC. « C’est malheureux, mais il va falloir reconfiner », a déclaré le chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière. Selon lui, la lenteur de l’exécutifdans sa prise de décision fait « perdre du temps du point de vue médical ».
Face à Apolline de Malherbe, le scientifique a plaidé pour un confinement « court »et « dur », à l’instar de celui du mois de mars dernier. Selon lui, il est plus pertinent de « confiner de manière rigoureuse dès maintenant pendant quatre semaines qu’avoir un confinement mou » dont la durée pourrait éventuellement s’étendre sur des mois.
Fermeture des écoles
L’infectiologue s’est d’ailleurs prononcé en faveur d’une fermeture des écoles pour juguler la circulation du coronavirus. « Il n’y a pas de raison que la France soit le seul pays du monde où ça ne circule pas dans les écoles », a insisté le membre du Conseil scientifique qui accompagne le gouvernement dans la gestion de la pandémie. Tout en reconnaissant que le maintien de l’ouverture des établissements scolaires est un choix politique, il a prévenu que ce dernier aura « un coût » en matière d’infections.
Interrogé sur la campagne de vaccination, jugée poussive par certains, le professeur Caumes a déclaré ne pas croire à une injection de toute la population d’ici fin août, comme le promet l’exécutif. Il a indiqué que les services médicaux allaient « être obligés de déprogrammer un peu moins de 400 personnes qui devaient recevoir une deuxième dose cette semaine », sans être en mesure de savoir quand elles pourraient être reprogrammées.