Caroline Receveur : Star de la Fashion Week, elle dévoile ses “beauty looks”

Caroline Receveur est un défilé à elle toute seule ! Alors que la Fashion Week bat son plein à Paris depuis le 25 septembre 2018, la it-girl de 30 ans et jeune maman de Marlon a laissé de côté les biberons et les couches pour rejoindre les stars sur le banc des shows. Balmain, Etam, Isabel Marant, Elie Saab… La compagne d’Hugo Philip était présente à tous les plus grands événements de la semaine de la mode.

De retour à la réalité après cette parenthèse enchantée, l’ancienne candidate de télé-réalité n’a pas manqué de dévoiler chacun de ses looks sur les réseaux sociaux, pour le plus grand plaisir de ses fans. Mais ce lundi 1er octobre, c’est sur son maquillage qu’était portée l’attention.

En effet, Caroline Receveur s’est visiblement inquiétée de savoir lequel de ses “make-up” arborés toute la semaine plaisait le plus aux plus fashionistas de ses followers. Ainsi, à travers un diaporama de photos, la jolie blonde a enchaîné les selfies : “Quel look préférez vous ?” interroge-t-elle.

Sans surprise, la businesswoman a fait l’unanimité sur la Toile, recevant ainsi une multitude de compliments en quelques minutes. “Canon“, “Quelle beauté“, “Vous étiez sublime à chaque fois”, pouvait-on lire entre autres commentaires.

Caroline Receveur n’en finit pas d’impressionner puisqu’elle partageait par la suite sa nouvelle coupe de cheveux. En optant pour un roux foncé et un look automnal, elle prouve une nouvelle fois que la reine de la mode, c’est elle !

Which #BeautyLook is your favorite ? #PFW18

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And, just like that, Summer fell into Fall

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Iris Mittenaere (DALS 9) blessée : “Réveil très sympathique”

Nouvelle semaine d’entraînement dans Danse avec les stars 9 (TF1). Pamela Anderson, Basile Boli, Carla Ginola, Jeanfi Janssens, Lio, Héloïse Martin, Iris Mittenaere, Vincent Moscato, Clément Rémiens, Terence Telle et Anouar Toubali ont découvert la danse qu’ils devraient exécuter en direct samedi 6 octobre 2018. Et pour Miss France et Miss Univers 2016, ce sera intensif.

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Iris Mittenaere réalisera un jive, une danse basée sur les rebonds et très rapide. Son partenaire Anthony Colette est donc intransigeant avec elle afin que tout soit au point pour samedi prochain. Et on peut dire que la belle brune de 25 ans se donne à 100%… au point de s’être “blessée”.

Ce jeudi 4 octobre 2018, la grande amie de Camille Cerf a dévoilé à ses abonnés sur Instagram qu’elle avait un gros bleu, qui semble situé au niveau d’une jambe. “Petit réveil très sympathique. Merci Danse avec les stars. Non non Anthony Colette ne me bat pas“, a-t-elle légendé sa publication.

« Ils m'ont sauvé de l'enfer » : Gérard Louvin et Daniel Moyne soutenus par leur fils adoptif

Dans les colonnes de Nice Matin, Kévin Louvin a apporté son “soutien indéfectible” à ses parents Gérard Louvin et Daniel Moyne, visés par plusieurs plaintes pour agression sexuelle. Le trentenaire assure même avoir été “sauvé de l’enfer” par le couple.

Le couple Gérard Louvin – Daniel Moyne est visé par plusieurs plaintes pour agression sexuelle. Il y a tout d’abord eu les révélations de leur neveu Olivier A. pour des faits d’inceste, puis quatre nouveaux témoignages décrivant le “même scénario de prédation”. Le producteur, présumé innocent, a dénoncé “des affabulationset “des ragots tout aussi hallucinants que malveillants” sur les réseaux sociaux et dans les colonnes du Monde.

Sous le feu des critiques Gérard Louvin et Daniel Moyne peuvent compter sur le soutien de Kévin, leur fils adoptif. Dans une interview accordée à Nice-Matin ce dimanche 14 février, celui qui a été adopté en 1992 dans un orphelinat au Cambodge assure qu’il a été “sauvé de l’enfer” par ses parents adoptifs, qu’ils n’ont “jamais eu le moindre comportement déplacé ou ambigu à (son) égard” et qu’ils pourront toujours compter sur son “indéfectible soutien” et sur son “amour inconditionnel“.

© RACHID BELLAK / BESTIMAGEDaniel Moyne et Gérard Louvin – People à la 3ème édition de la “Fight Night” à Saint-Tropez. Le 4 août 2015

La colère de Gérard Louvin

Si une enquête pour viols sur mineurs a été ouverte par le parquet de Paris contre Gérard Louvin et Daniel Moyne, l’ancien chroniqueur de Touche pas à mon poste est bien décidé à faire entendre sa vérité. “C’est indécent pour les vraies victimes et insupportable pour les faux coupables que nous sommes!” a-t-il fait savoir sur Twitter à propos des attaques dont il est la cible. Gérard Louvin, qui estime que sa soeur est derrière tout cela, a aussi regretté dans Nice Matin que “des petits profiteurs qui ont aujourd’hui presque 50 ans” puissent “l’accabler et mentir dans la presse”.

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Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE

Ary Abittan face à des animateurs snobs pendant la pub : Il balance

Que ce soit pour les films Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu ?, Les Visiteurs : la révolution, A bras ouverts ou ses spectacles, Ary Abittan a enchaîné les plateaux télévisés afin de faire la promotion de ses projets. Et cela ne s’est pas toujours passé comme il l’imaginait.

Invité dans On refait la télé ce samedi 6 octobre 2018, sur RTL, afin d’évoquer son nouveau spectacle My Story (qui se jouera à La Cigale du 2 au 17 novembre 2018, puis un peu partout en France), l’acteur et humoriste de 44 ans a fait une révélation sur les coulisses des plateaux télévisés. Il a confié que certains animateurs snobaient leurs invités : “Je ne le prends pas du tout personnellement, mais c’est vrai qu’il y a des animateurs qui ont toujours besoin d’avoir un micro pour parler.” S’il n’a pas cité de noms, Ary Abittan a confié que cela “faisait bizarre” de recevoir des compliments à l’antenne et qu’il n’y ait plus rien une fois la caméra coupée.

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Bien que cela ait pu le décontenancer, Ary Abittan a assuré ne pas en vouloir aux animateurs concernés : “Ça n’arrive pas très souvent, mais je comprends qu’il y a des gens qui sont beaucoup plus à l’aise à l’antenne qu’hors antenne ; tant mieux, ça veut dire que c’est leur vrai métier.

« Tes images, c'est de la merde » : ce jour où Karine Baste-Régis s'est fait rabrouer par son mentor

Au micro d’Europe 1, Karine Baste-Régis, le joker d’Anne-Sophie Lapix sur France 2, s’est confiée sur ses débuts journalistiques difficiles en Martinique.

Elle est désormais l’un des visages les plus importants du PAF. Joker d’Anne-Sophie Lapix sur le 20 Heures de France 2, Karine Baste-Régis a su affirmer sa personnalité. “Je suis juste foncièrement moi-même. J’adore mon boulot, je m’implique à fond, je suis hyper rigoureuse. Pour autant, pour moi, tout est simple, factuel, sans pression. C’est vrai que ça détonne, a révélé la journaliste au micro de Philippe Vandel, sur Europe 1, ce 15 février. Contrairement à sa consoeur de TF1, Anne-Claire Coudray, la présentatrice de France 2 a décidé de prendre le contre-pied en ne regardant pas les audiences. “Ce n’est pas ma préoccupation. Cela ne veut pas dire que je ne m’intéresse pas au fait qu’on nous regarde”, explique-t-elle.

Jamais prompte à se prendre trop au sérieux, Karine Baste-Régis, qui répond désormais au surnom de KBR, s’est également confiée sur ses débuts journalistiques sur la chaîne RFO Martinique (devenue Martinique la 1ère), comme journaliste reporter d’images. “J’avais la grosse caméra à l’époque, avec le gros pied, très lourd, et j’allais tourner seule”, se souvient l’ancienne reporter. Et pendant ses années de formation, Alain Petit, le futur rédacteur en chef de la chaîne, lui a fait des réprimandes : Tes images, c’est de la merde.

“Il a été le seul à oser me dire ‘Ce n’est pas bon'”

Une remarque dure que Karine Baste-Régis applaudit aujourd’hui. Je ne le remercierai jamais assez parce que je suis très exigeante et très pointilleuse. J’ai commencé à tourner en Martinique, avant ça, j’avais tourné à Nice, et je m’adaptais difficilement à la lumière et la température de couleurs”, raconte-t-elle. Peu rancunière, elle le remercie de l’avoir forcée à s’améliorer. Il a été le seul à oser me dire ‘Ce n’est pas bon’. Il s’est permis de me le dire comme ça, non pas parce qu’il parle mal aux gens, mais parce qu’on avait un rapport très franc et spontané”, ajoute Karine Baste-Régis. Je lui ai dit : ‘Merci Alain, tu ne me le diras plus jamais’.

Crédits photos : Capture d’écran – France 2

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Nouveau modèle pour Koenigsegg

Fondé par Christian von Koenigsegg, le constructeur suédois fait régulièrement le « buzz » avec ses voitures délirantes aux performances stratosphériques. Affichées à plusieurs millions d’euros l’unité, les Koenigsegg se sont plusieurs fois illustrées en étant les modèles de « série » les plus rapides du monde, un record qui a été récemment repris par Bugatti.

Elles sortent également du commun grâce à leur technologie de pointe (le moteur « Free Valve » de la Gemera est unique en son genre) et leurs motorisations développées en interne, un choix très rare pour un petit constructeur, car très onéreux. Anticipant les 20 ans du lancement de son premier modèle, la CC8S, la marque a publié sur les réseaux sociaux la silhouette de son nouveau modèle, qui sera présenté cette année et devrait embarquer un moteur V8 surpuissant.

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« Le Tour du monde en 80 jours » : « Le tournage a duré 365 jours, pas les 80 jours que le titre suggérait », raconte David Tennant

En train, en bateau, à dos de dromadaire ou en ballon, ntDavid Tennant (Doctor Who, Broadchurch) est époustouflant dans le costume du gentleman Phileas Fogg. Tête d’affiche et coproducteur du Tour du monde en 80 jours, adaptation du roman de Jules Verne, dont les derniers épisodes de la première saison sont diffusés ce lundi à 21h05 sur France 2, la star écossaise revient pour 20 Minutes en visioconférence sur un tournage titanesque qui a duré bien plus de 80 jours…

Aviez-vous lu le roman avant qu’on vous propose le rôle ? Ou d’autres œuvres de Jules Verne ?

L’histoire m’était familière. J’avais lu 20.000 lieues sous les mers, il y a longtemps. Je n’avais pas lu Le Tour du monde en quatre-vingts jours. Je suppose parce qu’il s’agit d’une de ces histoires qu’on connaît depuis toujours, notamment grâce aux adaptations. Il y a toujours l’essentiel, la même mécanique, autour du tour du monde en 80 jours, et ce moment où c’est devenu possible au XIXe siècle, comme dans notre version. Au-delà de cela, ce roman est une sorte de terrain de jeu pour les scénaristes qui construisent leurs propres petits châteaux de sable sur chaque escale. On obtient une sorte d’arc narratif avec à chaque étape des obstacles à surmonter, qui convient parfaitement à la structure d’une série par épisode. Maintenant, j’ai lu le roman, vous ne savez pas à quel point il m’a été utile ! Mon Phileas Fogg est très différent de celui de Verne, mais c’est toujours un Anglais guindé qui va dans ce club ridicule tous les jours et mène un style de vie prétentieux.

Qu’est-ce qui vous a donné envie de jouer ce Phileas Fogg ?

Ce qui m’a particulièrement intéressé en tant qu’acteur, c’est que ce Phileas Fogg n’est jamais sorti de sa zone de confort ultra-protégée. Il n’a jamais mis les pieds à l’étranger. Il n’a jamais quitté le Royaume-Uni… Il n’est jamais allé plus loin qu’Edimbourg. C’est très malin de la part d’Ashley Pharoah [le scénariste] d’avoir fait de Fogg une sorte d’homme-enfant, plein de peur, d’insécurité et de doutes et qui n’a jamais osé faire quoi que ce soit. Fogg devient le prisonnier de ses propres limites. D’un point de vue dramatique, cela rend touchant cet humain mal équipé, errant à travers le monde et essayant d’accomplir cette tâche apparemment impossible. C’est ce dont nous avions besoin pour raconter à nouveau cette histoire et, espérons-le, pour capter un nouveau public.

Votre Fogg a des étoiles plein les yeux quand il découvre le monde, c’est une sorte de rêveur et de romantique, non ?

Oui, tout à fait. C’est un rêveur romantique frustré, il n’a jamais osé passer à l’action. J’aime beaucoup les scènes de l’épisode 2 lorsqu’il rencontre le petit garçon italien fasciné par les voyages dans l’espace. Il voit Fogg comme un héros, ce que Fogg sait qu’il n’est pas, mais il se voit dans ce petit garçon. Ce personnage lui donne le courage de poursuivre l’aventure, parce que Fogg voit la version de lui-même à 8 ans qui le regarde avec émerveillement. N’importe quelle histoire d’aventures ne prend vraiment vie que si les personnages comptent pour nous, que l’on se soucie de leur sort. Et je pense qu’on voit l’enfant dans ce personnage.

Une série d’époque dit des choses sur l’époque dans laquelle elle est produite. Que raconte « Le Tour du monde en 80 jours » sur la nôtre ?

Ce n’est pas à moi de le dire, mais au public ! Mais je pense que c’est intéressant de regarder en arrière un monde, avec ce colonialisme anglais, qui à l’époque de la sortie du roman, était considéré comme acquis. Vu du XXIe siècle, on se demande : « Qu’est-ce qui a bien pu se passer ? Pourquoi des pays comme l’Inde se font-ils laminer par l’autre bout du monde ? » Cela nous permet de voir les choses au travers les yeux de Fogg, qui n’a jamais remis en question cet ordre du monde, qui est resté assis à Londres dans son fauteuil en cuir. C’est fascinant d’arracher ce personnage à sa vie confortable et lui montrer comment le monde fonctionne. Ce n’est pas la façon dont on racontait cette histoire il y a 100 ans. Cela nous permet peut-être de nous questionner sur la façon dont une partie du monde se comporte vis-à-vis de l’autre. Surtout à une époque où l’on ne s’est jamais senti aussi peu internationaux. Nous n’avons pas anticipé ce qui est arrivé quand on a commencé à filmer, mais l’année qui a suivi, voyager est devenu si difficile…

Justement, vous gardez quels souvenirs de ce tournage dans plusieurs pays, en pleine pandémie ?

Entre le premier jour de tournage et le dernier, il s’est écoulé 365 jours, pas les 80 jours que le titre suggérait ! Il y a eu des défis que nous n’avions pas vu venir quand nous avons commencé à tourner, évidemment. Je me souviendrais de ce tournage au milieu de cette période extraordinaire. Quand on a repris, on se faisait tester tous les jours, on portait des masques. Nous sommes allés dans de magnifiques endroits comme Le Cap en Afrique du Sud, on a fait des allers-retours en double pour le désert d’Arabie, le village en Inde, pour l’île déserte, je ne sais où… Et puis nous avons découvert Bucarest et ses magnifiques architectures qui ramènent facilement à Londres et Paris du XIXe siècle. C’était donc un tournage passionnant, merveilleux, mémorable, marqué, évidemment, par le fait qu’il a été réalisé contre vents et marées au beau milieu d’une pandémie.

La série moque les différences culturelles entre Français et Anglais… Comment s’est passée la collaboration avec Ibrahim Koma ? Y a-t-il des différences dans la manière d’appréhender le jeu entre Français et Britanniques ?

Vous savez je suis Ecossais et pas Anglais ! Je ne sais pas, c’est difficile à dire, n’est-ce pas ? L’étincelle d’Ibrahim était contagieuse. Il a une telle légèreté dans son jeu. Je ne sais pas si c’est spécifiquement français, ou si c’est juste lui ? Il a cette espièglerie. J’ai été impressionné. Il ne jouait pas dans sa langue natale, il nous a parlé du défi que cela représentait pour lui, mais nous ne nous en sommes jamais aperçus en le voyant à l’œuvre. J’imagine qu’il rentrait et se battait avec le script. Il est très spirituel et drôle, c’était un plaisir de le côtoyer et d’interagir avec lui. Je n’aurais pas pu souhaiter un meilleur Passepartout ! Avec Léonie Benesch, nous venons tous les trois de pays différents, avec des expériences différentes, mais on a jamais eu l’impression de faire autre chose que de passer un bon moment à travailler ensemble.

William Shatner a été dans l’espace dans la capsule de Blue Origin. Quelle est l’aventure dont vous rêvez personnellement ?

Quelle bonne question ! Il y a un grand débat pour savoir si c’est ce que nous devrions faire. A-t-on besoin de s’envoler dans l’espace alors qu’il y a pas mal de problèmes à résoudre sur Terre ? Je ne sais pas. Après, j’irai n’importe où avec William Shatner ! Ce serait fascinant en soi et bien sûr aller dans l’espace, quelle chose extraordinaire ? J’attendrai peut-être que le voyage puisse être alimenté par l’énergie solaire. L’un des grands défis que nous aurons à relever au cours des prochaines années, décennies, et siècles, est de savoir comment nous pouvons continuer à progresser, à repousser les limites scientifiques, tout en prenant soin de ce qui nous reste pour ne pas épuiser notre potentiel avant l’heure. C’est assez extraordinaire que William ait fait cela, mais il est assez âgé, non ?

Il a 90 ans…

Wow, avoir 90 ans et aller dans l’espace, je lui tire mon chapeau !

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« Veganuary » : Affaire de « bobo », nouveau mode de vie… Nos lecteurs divisés sur le mois sans viande, lait et œufs

En janvier, adieu veau, vache, cochon… et œuf, lait, fromage ? C’est en tout cas l’une des résolutions de nombreux Français : entre autres, manger moins de viande. Et ils seront plusieurs milliers à dire au revoir pendant un mois à toute consommation de produits d’origine animale.

Ils ne sont pas devenus fous, ils vont tenter le « Veganuary ». Une initiative lancée en 2014 en Angleterre dont l’objectif est de faire réfléchir les participants sur leur consommation de produits issus des animaux en s’essayant au véganisme.

« J’ai trouvé ça très stimulant »

Lutter contre la souffrance animale, réduire son impact sur l’environnement… Les bénéfices d’une alimentation sans protéines animales seraient nombreux. Anthony a testé l’expérience l’an dernier et il témoigne : « J’ai tenté le Veganuary en 2021. J’ai trouvé ça très stimulant. Se poser des limites en cuisine, permet de découvrir plein d’autres saveurs et aliments (épices, tempeh, seitan). D’autant plus qu’on ne fait pas cela pour nous mais pour les animaux. Je suis encore vegan aujourd’hui. » Morgane se décrit comme étant flexitarienne, mais elle va essayer de franchir le cap : « Je fais attention toute l’année à diminuer la viande mais je vais profiter de ce mois pour essayer de supprimer totalement la viande, les produits laitiers, au moins 5 jours dans la semaine. »

Souvent, la nourriture végane a mauvaise presse : décrite comme fade, chère et qui n’apporte pas tous les besoins énergétiques. C’est ce que pense Charlotte, « je me considère comme flexitarienne, je mange de la viande qu’à de rares occasions, en général lorsque je suis invitée à un repas chez quelqu’un. Je respecte le fait d’être vegan mais pour moi c’est vraiment une contrainte trop difficile notamment en termes d’apport en protéine. Les œufs restent une bonne source pour moi et je ne pourrais m’en passer, même un mois ». Mais pas de panique, pour accompagner les participants tout au long du « Veganuary », l’association L214 propose des recettes et des conseils nutritionnels. 

Click Here: nrl jerseys« Un manque d’empathie et d’ouverture d’esprit »

Magali qui est végane pointe du doigt la difficulté d’ouvrir les esprits : « La plupart du temps, c’est par ignorance que les gens consomment car c’est si facile de mettre un paquet de viande sous blister dans son caddie. Personne ne veut se poser la question de savoir comment cela a été fait, quelle souffrance cela a engendrée. Ce qui est affligeant : le manque d’empathie et d’ouverture d’esprit. Le doute est sain dans une société et cela inclut le fait de se poser des questions. Le Veganuary est pour moi une opportunité de se poser des questions sur la façon de consommer, et de propager une meilleure connaissance de notre alimentation. »

« Le véganisme n’est qu’une lubie de bobo »

On le sait, en France, le véganisme est un sujet qui divise et qui cristallise les débats, il suffit de voir les réactions lorsque le maire de Lyon a décidé d’interdire le foie gras dans les repas de la ville. Une chose que l’on a également compris en lisant les réponses à notre appel à témoignages. Si beaucoup de nos lecteurs se disent flexitariens, les « viandards » peuvent être virulents. A l’image d’un homme qui se fait appeler Kadou : « Qu’ils aillent se faire voir les véganes, moi au mois de janvier c’est viande tous les jours. » Sans oublier Arnaud qui voit en ce régime alimentaire une certaine mode : « Même pas en rêve ! Le véganisme n’est qu’une lubie de bobo et une véritable hypocrisie. »

Même si notre consommation de protéines animales diminue, elle reste très élevée. Les chiffres de l’Agreste font état d’une baisse de la consommation de viande : de 86 kg/personne/an en 2019 à 84,5 kg en 2020. De son côté, l’ANSES juge qu’il faudrait consommer 500 grammes de viande par semaine, hors volaille. Les calculs sont vite faits, nous mangeons trop de viande. L’OMS et la FAO [Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture] recommandent de mettre en place des régimes flexitariens. Mais avant tout changement de régime alimentaire, il est important de consulter un professionnel de la santé pour éviter les carences ou tout autre problème.

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NBA : Steph Curry à deux petits paniers du mythique record de Ray Allen

Golden State, vainqueur à Indiana grâce à Stephen Curry, à qui il ne manque plus que deux paniers à trois points pour battre le record historique de Ray Allen, a repris la tête du championnat NBA à Phoenix, battu chez les Clippers, lundi. Mais c’est bien le record qui est dans toutes les têtes ces derniers jours.

A ce titre, la star des Warriors n’a pas partie facile en ce moment. Car aucune équipe ne veut être celle qui lui aura permis de dépasser les 2.973 tirs marqués derrière l’arc par son glorieux aîné. Face aux Pacers, il lui en fallait sept pour y parvenir. Et il en a planté cinq, pâtissant d’une réussite médiocre (5/15), mais le dernier inscrit à 80 secondes du terme a fait basculer la rencontre.

Rendez-vous au Madison Square Garden

Il a ainsi réduit le score à 100-98, avant d’égaliser sur une pénétration. Indiana, qui a compté neuf longueurs d’avance dans le dernier quart-temps, dans le sillage de Domantas Sabonis (30 points, 11 rebonds), a finalement cédé (102-100) sur un panier de Kevon Looney au rebond offensif sur l’ultime tentative de Curry (26 points, 6 passes).

Sauf improbable contre-performance, ce dernier deviendra le meilleur shooteur à trois points de l’histoire mardi au Madison Square Garden de New York, où il a l’habitude de briller, en témoignent ses 54 points réussis en 2013 et 2020. « Il y a beaucoup de battage autour de ce record, parfois cela pousse trop de précipitation. Maintenant que je frappe à la porte, c’est assez surréaliste, mais il faut aussi essayer de laisser les choses se faire », a dit Curry, comme s’adressant à lui-même.

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Turkey vs Italy Betting Preview: Latest odds, team news, preview and predictions

class=”article_teaser__2t5do”>The opening game of Euro 2020 takes place on Friday and Goal is backing an entertaining game between two sides in excellent scoring form this year

Euro 2020 finally gets underway on Friday with Turkey facing Italy at the Stadio Olimpico in Rome and both sides are hoping to get off to a strong start in Group A of the tournament.

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Roberto Mancini’s men are on 27-match unbeaten streak and come into the competition having won each of their last eight matches without conceding a goal, whilst Turkey are also unbeaten in 2021.

Turkey vs Italy Latest Odds

The Azzurri’s last defeat came back in September 2018 in the UEFA Nations League at the hands of Portugal and the four-time World Cup winners can be backed at 11/20 (1.55) with bet365 to pick up three points.

Turkey, for their part, are clear outsiders offered at 6/1 (7.00) with the draw available at 14/5 (3.80).

Turkey vs Italy Team News

The Italian squad is a blend of youth and experience, with 22-year-old Gianluigi Donnarumma starting in goal behind veteran defenders Giorgio Chiellini and Leonardo Bonucci.

In midfield, Sassuolo’s 23-year-old Manuel Locatelli looks set to start his first game at a major tournament, while Ciro Immobile will lead the line after another superb domestic season for Lazio.

Turkey are lead by veteran striker Burak Yilmaz, who helped fire Lille to an unlikely Ligue 1 title in France this season, and Trabzonspor’s Ugurcan Cakir is likely to start in goal despite lacking experience at this level.

Turkey vs Italy Preview

Senol Gunes had great success with the Turkish national team in 2002, taking them to the semi-finals of the World Cup, and there are hopes that the manager can work his magic again this year with another talented group.

Turkey have had plenty of joy in the final third over the last nine months, scoring at least twice in five of their last six competitive matches and notably putting four goals past the Netherlands and three past both Russia and Norway.

Italy will prove to be more challenging opponents and their extraordinary defensive record makes opposing a high-scoring game the natural bet, yet there could be some interest in backing both teams to score.

Turkey vs Italy Tips and Predictions

Investing goals at both ends appeals greatly at the price of 5/4 (2.25) which looks to offer plenty of value.

The Italians have netted in 23 of their last 24 matches and should relied upon to do so once more, while backing Turkey’s fine scoring form to continue makes plenty of sense. 

Odds correct at the time of writing. Please gamble responsibly.